Nous ne sommes plus dans le capitalisme, mais dans la financiarisation de l'économie, et la mondialisation en est le véhicule principal. L'argent va là où cela rapporte.stirnersept7 a écrit:
La manipulation des cours,la spéculation à court terme sont facteurs de crises.
La pression des "hedges funds ", entre autres, imposent ses lois.
Que penser de ce système capitaliste qui rémunèrent, pour les plus grandes sociétés, des patrons salariés avec des salaires de joueurs de foot quand ils dégagent de plus en plus de profit .
Et quand le CA stagne, car le capitalisme dévoyé ne peut vivre que par la croissance économique et sa marge, sacrifient des milliers de salariés , souvent avec des salaires peu mirobolants pour faire du bénéfice , bien souvent pour satisfaire les actionnaires.
Ces patrons salariés sont même récompensés;
Quand une société mondialisée fait des bénéfices mirobolants et malgré tout licencie
et bien je ne suis pas pour ce type de capitalisme.
Le capitalisme dévoyé préfère les bénéfices à court terme, facteurs de crises, que le long terme.
Je n'ai jamais dit que j'étais contre le capitalisme.
J'ai dit que j'étais pour un capitalisme au profit de la société.
Pas pour qq privilégiés.
Maintenant il n'y a pas de quoi s'en réjouir, mais il n'en demeure pas moins, que pour le moment c'est ainsi que va le monde, parce qu'aucun pays n'échappe à ce mouvement du temps. Et ceux qui traînent les pieds, comme la France, risquent d'en payer un prix exorbitant. On arrête pas un train en plaine vitesse, on essaye de le prendre le plus rapidement en marche...