Pourtant, des " Y a qu'à " " Y faut qu'on ...." , en en entend un paquet !Mutine a écrit:
Comme beaucoup je pense.
Faciles, les " Y a qu'à " " Y faut qu'on ...."
+12
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LES MACRONADES DE JUPITER
Invité- Invité
- Message n°176
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Vieux singe- Messages : 1819
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- Message n°177
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Dommage de les séparer,Azalee a écrit:
J'en ai un bon !
Bien que Mélenchon ait perdu à la présidentielle, souhaitez-vous qu'il devienne président ?
Variante :
Bien que Marine Le pen ait perdu à la présidentielle, souhaitez-vous qu'elle devienne présidente ?
Ensemble, ça ferait un beau couple
Invité- Invité
- Message n°178
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
C'est sûr !Vieux singe a écrit:
Dommage de les séparer,
Ensemble, ça ferait un beau couple
J'imagine les réunions de famille.
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°179
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Invité- Invité
- Message n°180
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
il est ou le topic pour dire bon noël rompfff
Moiself- Messages : 22569
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Age : 105
- Message n°181
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Tout en haut Phelpsounet Noel d'antan.PandaCoinCoin a écrit: il est ou le topic pour dire bon noël rompfff
Invité- Invité
- Message n°182
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
ouai j ai vuMoiself a écrit:
Tout en haut Phelpsounet Noel d'antan.
MACKY- Messages : 8799
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Localisation : Angers
- Message n°183
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
J'entendais ou lisais depuis quelques jours que Macron restait discret sur ses vacances de Noêl
En effet
Selon les informations de Var-Matin, à ST TROPEZ , c'est aux alentours de 19h15 que Brigitte et Emmanuel Macron ont été aperçus place des Lices. Un endroit très fréquenté en soirée, où ils ont échangé quelques mots et sourires avec des passants, escortés par trois agents de sécurité seulement.
En effet
Selon les informations de Var-Matin, à ST TROPEZ , c'est aux alentours de 19h15 que Brigitte et Emmanuel Macron ont été aperçus place des Lices. Un endroit très fréquenté en soirée, où ils ont échangé quelques mots et sourires avec des passants, escortés par trois agents de sécurité seulement.
cristaline- Messages : 26851
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- Message n°184
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Macky, je te lis juste après avoir posté sur le fil des gilets la même info !
Mais que les gens se déchaînent à ce point me dégoûte....
Mais que les gens se déchaînent à ce point me dégoûte....
Invité- Invité
- Message n°185
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Ce sont les médias qui ne sont pas discrets.MACKY a écrit:J'entendais ou lisais depuis quelques jours que Macron restait discret sur ses vacances de Noêl
En effet
Selon les informations de Var-Matin, à ST TROPEZ , c'est aux alentours de 19h15 que Brigitte et Emmanuel Macron ont été aperçus place des Lices. Un endroit très fréquenté en soirée, où ils ont échangé quelques mots et sourires avec des passants, escortés par trois agents de sécurité seulement.
Ils disent où il est en vacances en disant que les GJ vont accourir pour le faire ièche et que ça fera de bons articles avec de belles photos.
Faut bien vendre...
cristaline- Messages : 26851
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- Message n°186
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Ce que je dis sur le fil gilets jaunes : 13h
Invité- Invité
- Message n°187
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Ce sujet a été diffusé ce jour aussi dans le journal télévisé de 13H !!!Azalee a écrit:
Ce sont les médias qui ne sont pas discrets.
Ils disent où il est en vacances en disant que les GJ vont accourir pour le faire ièche et que ça fera de bons articles avec de belles photos.
Faut bien vendre...
Un conseiller municipal a confirmé l'absence d'hostilité envers le couple présidentiel durant leurs échanges avec des passants.
cristaline- Messages : 26851
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°188
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Je viens d'écouter seulement maintenant le discours de Macron en replay : nul doute que c'est un homme brillant et un grand orateur, et après hollande, ça fait du bien....
Mais il y a des sujets sur lesquels on ne l'entend pas trop, par exemple, celui des fameuses zones de non droit, et des dégradations commises en permanence par une certaine catégorie de population....Les exactions quotidiennes, les voitures brûlées, la police caillassée, j'en passe et des pas meilleures....
Le problème de l'Education Nationale, les profs maltraités, rabaissés, vilipendés par la population qui continue de croire qu'ils se roulent les pouces cinq mois par an, et qu'ils ne foutent rien, alors que trop souvent, ils sont confrontés à des violences inimaginables....
La justice, si mal appliquée que ça finit par irriter profondément les citoyens honnêtes
LE problème migratoire, qu'il effleure à peine, et pour lequel les bons sentiments sont loin de suffire....
Et le pire : l'islamisme galopant
Mais il y a des sujets sur lesquels on ne l'entend pas trop, par exemple, celui des fameuses zones de non droit, et des dégradations commises en permanence par une certaine catégorie de population....Les exactions quotidiennes, les voitures brûlées, la police caillassée, j'en passe et des pas meilleures....
Le problème de l'Education Nationale, les profs maltraités, rabaissés, vilipendés par la population qui continue de croire qu'ils se roulent les pouces cinq mois par an, et qu'ils ne foutent rien, alors que trop souvent, ils sont confrontés à des violences inimaginables....
La justice, si mal appliquée que ça finit par irriter profondément les citoyens honnêtes
LE problème migratoire, qu'il effleure à peine, et pour lequel les bons sentiments sont loin de suffire....
Et le pire : l'islamisme galopant
cristaline- Messages : 26851
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°189
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
nonna- Messages : 166
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- Message n°190
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
cristaline a écrit:
Ah ! bon ! on nous l'aurait pas dis ???
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°191
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Macrn annule presque tous ses voeux !
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ça fera des économies !
" C'est une situation inédite dans la Vème République, mais ça n'est ni le tournant du quinquennat, ni une transformation profonde de la Vème République. C'est simplement que comme il va s'exprimer souvent ces temps-ci, notamment à propos du grand débat, il n'a pas intérêt non plus à apparaître tous les jours à la télévision. Surtout que la parole rare lui réussit quelques fois mais la parole fréquente ne lui réussit jamais", note Alain Duhamel. "
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ça fera des économies !
" C'est une situation inédite dans la Vème République, mais ça n'est ni le tournant du quinquennat, ni une transformation profonde de la Vème République. C'est simplement que comme il va s'exprimer souvent ces temps-ci, notamment à propos du grand débat, il n'a pas intérêt non plus à apparaître tous les jours à la télévision. Surtout que la parole rare lui réussit quelques fois mais la parole fréquente ne lui réussit jamais", note Alain Duhamel. "
Flavius- Modérateur
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- Message n°192
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Ce gouvernement est quand même d'un amateurisme rare. il n'en n'est pas à son premier cafouillage. Dernier en date, la taxe d'habitation. première séquence, elle sera supprimée pour 80% des Français ; deuxième séquence, elle sera supprimée pour tous les Français ; troisième séquence, Bruno Le Maire dixit, elle sera en effet supprimée pour 80% de Français, quatrième séquence, Bruno Le Maire nous assure qu'on a rien compris, elle sera supprimée pour tous. Avis du Conseil d'Etat : elle doit être supprimée pour tous.
Vieux singe- Messages : 1819
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- Message n°193
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Certes , les technocrates sont plus adaptés pour gérer des équations que des bonhommes.
Pour gérer les femmes, ça doit être pire mais subodorons discrètement .
Par suite la pédagogie d'en haut est soit hors sujet pour ces brillants gamins, soit il s'agit d'autre chose, plus sérieux , disons plus grave.:
Pour moi, et peut être seulement pour moi, le vrai problème n'est pas d'ordre fiscal, car il est vrai que la fiscalité dans notre pays est une des plus lourde,. Même les plus riches passent lourdement à la casserole , mais évidemment seulement dans le cadre de la légalité. Evidemment , l'ISF rétabli serait un gros risque pour notre économie (investissements , emplois, stratégies internationales ,...)
Mais pourquoi ces grands artistes de l'économie ne font pas l'effort de le démontrer (calculs, statistiques, comparaisons, ...) ce serait techniquement assez facile.
Parce que derrière ce lampadaire très éclairé, il y a une autre lumière qu'il faut continuer à masquer.
C'est la répartition des richesses produites dans une économie mondialisée permettant des jeux ouverts sans frontières, qui n'offrent que quelques % au travail (salaires ou autres adjacents,..) et le reste se partage entre la rémunération du capital et évidemment les couts de productions.(peut être moitié, moitié )
Car c'est là qu'est le coeur de la dérive du libéralisme sans vrai contrôle qui alimente , qui accroit avec violence, l'inégalité des revenus, la dominance des puissances acquises.
C'est pas avec la fiscalité, à fortiori dans un seul pays, devenu relativement petit comme la France d'aujourd'hui!hui, qu'on peut aborder, traiter ces dérives croissantes.
Et c'est pourtant dans cette vision mondialisée que se situe Macron et ses mandants.
La grande boule est un magnifique terrain de jeu pour les grands joueurs de poker menteur, mais la visite du casino doit rester discrète. La mosaïque des stratégies de localisation pour trouver l'emploi est encore bien plus subtile que pour échapper à l'impôt.
Mon propos n'est pas original, déjà évoqué par plusieurs auteurs, économistes notamment.
Ce qui me rassure, c'est que peu de monde perdra son temps à réfléchir à mes propos décalés.
Car faut bien que je fasse mon job, même à titre gratuit, d'autant que je ne suis jamais certain de la qualité de mes produits
Je vous en demande pardon, mais je n'ai jamais honte de mes insuffisances
La est ma force , à défaut de vertu
Pour gérer les femmes, ça doit être pire mais subodorons discrètement .
Par suite la pédagogie d'en haut est soit hors sujet pour ces brillants gamins, soit il s'agit d'autre chose, plus sérieux , disons plus grave.:
Pour moi, et peut être seulement pour moi, le vrai problème n'est pas d'ordre fiscal, car il est vrai que la fiscalité dans notre pays est une des plus lourde,. Même les plus riches passent lourdement à la casserole , mais évidemment seulement dans le cadre de la légalité. Evidemment , l'ISF rétabli serait un gros risque pour notre économie (investissements , emplois, stratégies internationales ,...)
Mais pourquoi ces grands artistes de l'économie ne font pas l'effort de le démontrer (calculs, statistiques, comparaisons, ...) ce serait techniquement assez facile.
Parce que derrière ce lampadaire très éclairé, il y a une autre lumière qu'il faut continuer à masquer.
C'est la répartition des richesses produites dans une économie mondialisée permettant des jeux ouverts sans frontières, qui n'offrent que quelques % au travail (salaires ou autres adjacents,..) et le reste se partage entre la rémunération du capital et évidemment les couts de productions.(peut être moitié, moitié )
Car c'est là qu'est le coeur de la dérive du libéralisme sans vrai contrôle qui alimente , qui accroit avec violence, l'inégalité des revenus, la dominance des puissances acquises.
C'est pas avec la fiscalité, à fortiori dans un seul pays, devenu relativement petit comme la France d'aujourd'hui!hui, qu'on peut aborder, traiter ces dérives croissantes.
Et c'est pourtant dans cette vision mondialisée que se situe Macron et ses mandants.
La grande boule est un magnifique terrain de jeu pour les grands joueurs de poker menteur, mais la visite du casino doit rester discrète. La mosaïque des stratégies de localisation pour trouver l'emploi est encore bien plus subtile que pour échapper à l'impôt.
Mon propos n'est pas original, déjà évoqué par plusieurs auteurs, économistes notamment.
Ce qui me rassure, c'est que peu de monde perdra son temps à réfléchir à mes propos décalés.
Car faut bien que je fasse mon job, même à titre gratuit, d'autant que je ne suis jamais certain de la qualité de mes produits
Je vous en demande pardon, mais je n'ai jamais honte de mes insuffisances
La est ma force , à défaut de vertu
nonna- Messages : 166
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- Message n°194
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Je n'ai pas l'intention d'acheter un journal pour lire la lettre de Macron. Ou bien sur 20 minutes ou C News. Je compte ur vous pour la commenter.
bonne journée
bonne journée
Vieux singe- Messages : 1819
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- Message n°195
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
oui mais faut payernonna a écrit:Je n'ai pas l'intention d'acheter un journal pour lire la lettre de Macron. Ou bien sur 20 minutes ou C News. Je compte ur vous pour la commenter.
bonne journée
Au moins un journal;
un journal de campagne.
haro sur les invisibles
C'est une lettre recommandée
mais sans récépissé imposé.
Les femmes aussi peuvent la lire
mais c'est le ressenti qui compte
et puisqu'elles savent compter
voir le prix des parfums du jour,
effluves très volatiles qui vont
changer et virevolter chaque matin.
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°196
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Vieux Singe !Vieux singe a écrit:
oui mais faut payer
Au moins un journal;
un journal de campagne.
haro sur les invisibles
C'est une lettre recommandée
mais sans récépissé imposé.
Les femmes aussi peuvent la lire
mais c'est le ressenti qui compte
et puisqu'elles savent compter
voir le prix des parfums du jour,
effluves très volatiles qui vont
changer et virevolter chaque matin.
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°197
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
BonJour Nonna !nonna a écrit:Je n'ai pas l'intention d'acheter un journal pour lire la lettre de Macron. Ou bien sur 20 minutes ou C News. Je compte ur vous pour la commenter.
bonne journée
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
" La transformation de l'ISF en prélèvement sur la fortune immobilière fait partie des mesures sur lesquelles l'exécutif «ne reviendra pas», prévient le Président de la République.
C'est un des rares passages affirmés de la lettre aux Français d'Emmanuel Macron. Le président de la République y écarte tout retour sur les mesures fiscales prises par le gouvernement depuis le début du quinquennat. Avertissant sur les risques d'un impôt trop élevé, privant «les travailleurs du fruit de leurs efforts», le président affirme que «nous [l'exécutif] ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d'encourager l'investissement et faire que le travail paie davantage».
Parmi les mesures protégées donc, la transformation de l'impôt sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière, décidée lors de la préparation du budget 2018, et votée le 20 octobre 2017 par l'Assemblée nationale. Avec le droit d'asile, sanctifié comme une évidence, les mesures fiscales sont d'ailleurs les seules décisions du début du quinquennat qui soient citées, et qui plus est présentées comme non négociables. "
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°198
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Chères Françaises, chers Français, mes chers compatriotes,
Dans une période d’interrogations et d’incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes.
La France n’est pas un pays comme les autres.
Le sens des injustices y est plus vif qu’ailleurs. L’exigence d’entraide et de solidarité plus forte.
Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l’éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les aléas de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontés, grâce à l’effort partagé par tous.
C’est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
C’est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d’opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.
Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans la conception des lois, dans les grandes décisions à prendre.
Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c’est tout cela, la nation française.
Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ?
Je sais, bien sûr, que certains d’entre nous sont aujourd’hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n’offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d’où l’on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.
Cette impatience, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d’effort et de travail.
En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.
Mais il y a pour cela une condition : n’accepter aucune forme de violence. Je n’accepte pas, et n’ai pas le droit d’accepter la pression et l’insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n’accepte pas et n’ai pas le droit d’accepter la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !
Afin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.
C’est pourquoi j’ai proposé et je lance aujourd’hui un grand débat national qui se déroulera jusqu’au 15 mars prochain.
Depuis quelques semaines, de nombreux maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J’ai eu de nombreux retours que j’ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l’Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l’étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l’initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.
Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l’intermédiaire légitime de l’expression des citoyens.
Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre.
Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d’accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu’on ne le croit.
Je n’ai pas oublié que j’ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu’il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse, car l’un va avec l’autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l’emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu’il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours qu’il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l’épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n’a pas changé.
..............
Dans une période d’interrogations et d’incertitudes comme celle que nous traversons, nous devons nous rappeler qui nous sommes.
La France n’est pas un pays comme les autres.
Le sens des injustices y est plus vif qu’ailleurs. L’exigence d’entraide et de solidarité plus forte.
Chez nous, ceux qui travaillent financent les pensions des retraités. Chez nous, un grand nombre de citoyens paie un impôt sur le revenu, parfois lourd, qui réduit les inégalités. Chez nous, l’éducation, la santé, la sécurité, la justice sont accessibles à tous indépendamment de la situation et de la fortune. Les aléas de la vie, comme le chômage, peuvent être surmontés, grâce à l’effort partagé par tous.
C’est pourquoi la France est, de toutes les nations, une des plus fraternelles et des plus égalitaires.
C’est aussi une des plus libres, puisque chacun est protégé dans ses droits et dans sa liberté d’opinion, de conscience, de croyance ou de philosophie.
Et chaque citoyen a le droit de choisir celles et ceux qui porteront sa voix dans la conduite du pays, dans la conception des lois, dans les grandes décisions à prendre.
Chacun partage le destin des autres et chacun est appelé à décider du destin de tous : c’est tout cela, la nation française.
Comment ne pas éprouver la fierté d’être Français ?
Je sais, bien sûr, que certains d’entre nous sont aujourd’hui insatisfaits ou en colère. Parce que les impôts sont pour eux trop élevés, les services publics trop éloignés, parce que les salaires sont trop faibles pour que certains puissent vivre dignement du fruit de leur travail, parce que notre pays n’offre pas les mêmes chances de réussir selon le lieu ou la famille d’où l’on vient. Tous voudraient un pays plus prospère et une société plus juste.
Cette impatience, je la partage. La société que nous voulons est une société dans laquelle pour réussir on ne devrait pas avoir besoin de relations ou de fortune, mais d’effort et de travail.
En France, mais aussi en Europe et dans le monde, non seulement une grande inquiétude, mais aussi un grand trouble ont gagné les esprits. Il nous faut y répondre par des idées claires.
Mais il y a pour cela une condition : n’accepter aucune forme de violence. Je n’accepte pas, et n’ai pas le droit d’accepter la pression et l’insulte, par exemple sur les élus du peuple, je n’accepte pas et n’ai pas le droit d’accepter la mise en accusation générale, par exemple des médias, des journalistes, des institutions et des fonctionnaires. Si tout le monde agresse tout le monde, la société se défait !
Afin que les espérances dominent les peurs, il est nécessaire et légitime que nous nous reposions ensemble les grandes questions de notre avenir.
C’est pourquoi j’ai proposé et je lance aujourd’hui un grand débat national qui se déroulera jusqu’au 15 mars prochain.
Depuis quelques semaines, de nombreux maires ont ouvert leurs mairies pour que vous puissiez y exprimer vos attentes. J’ai eu de nombreux retours que j’ai pu prendre en compte. Nous allons désormais entrer dans une phase plus ample et vous pourrez participer à des débats près de chez vous ou vous exprimer sur internet pour faire valoir vos propositions et vos idées. Dans l’Hexagone, outre-mer et auprès des Français résidant à l’étranger. Dans les villages, les bourgs, les quartiers, à l’initiative des maires, des élus, des responsables associatifs, ou de simples citoyens… Dans les assemblées parlementaires comme régionales ou départementales.
Les maires auront un rôle essentiel car ils sont vos élus et donc l’intermédiaire légitime de l’expression des citoyens.
Pour moi, il n’y a pas de questions interdites. Nous ne serons pas d’accord sur tout, c’est normal, c’est la démocratie. Mais au moins montrerons-nous que nous sommes un peuple qui n’a pas peur de parler, d’échanger, de débattre.
Et peut-être découvrirons-nous que nous pouvons tomber d’accord, majoritairement, au-delà de nos préférences, plus souvent qu’on ne le croit.
Je n’ai pas oublié que j’ai été élu sur un projet, sur de grandes orientations auxquelles je demeure fidèle. Je pense toujours qu’il faut rendre à la France sa prospérité pour qu’elle puisse être généreuse, car l’un va avec l’autre. Je pense toujours que la lutte contre le chômage doit être notre grande priorité, et que l’emploi se crée avant tout dans les entreprises, qu’il faut donc leur donner les moyens de se développer. Je pense toujours qu’il faut rebâtir une école de la confiance, un système social rénové pour mieux protéger les Français et réduire les inégalités à la racine. Je pense toujours que l’épuisement des ressources naturelles et le dérèglement climatique nous obligent à repenser notre modèle de développement. Nous devons inventer un projet productif, social, éducatif, environnemental et européen nouveau, plus juste et plus efficace. Sur ces grandes orientations, ma détermination n’a pas changé.
..............
Mutine- Messages : 15150
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- Message n°199
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
......
Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d’envisager l’avenir, de nouvelles idées.
À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d’entre nous, puisse participer.
Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C’est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la nation : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d’ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n’épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.
Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l’action publique. L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C’est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d’avenir, notre recherche, notre culture, ou d’entretenir nos infrastructures. C’est aussi l’impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.
Mais l’impôt, lorsqu’il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s’investir dans les entreprises, créant ainsi de l’emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d’être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?
Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d’autres trop cher en raison des cotisations qu’ils paient. L’efficacité de la formation comme des services de l’emploi est souvent critiquée. Le gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour notre santé, pour lutter contre la pauvreté, et pour lutter contre le chômage.
Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?
Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c’est l’organisation de l’Etat et des collectivités publiques. Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux : école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d’échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d’action au plus près des citoyens ? A quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l’Etat soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l’administration et comment ?
Comment l’Etat et les collectivités locales peuvent-ils s’améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?
La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l’air. Aujourd’hui personne ne conteste l’impérieuse nécessité d’agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
Faire la transition écologique permet de réduire les dépenses contraintes des ménages en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
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Mais je pense aussi que de ce débat peut sortir une clarification de notre projet national et européen, de nouvelles manières d’envisager l’avenir, de nouvelles idées.
À ce débat, je souhaite que le plus grand nombre de Français, le plus grand nombre d’entre nous, puisse participer.
Ce débat devra répondre à des questions essentielles qui ont émergé ces dernières semaines. C’est pourquoi, avec le Gouvernement, nous avons retenu quatre grands thèmes qui couvrent beaucoup des grands enjeux de la nation : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Sur chacun de ces thèmes, des propositions, des questions sont d’ores et déjà exprimées. Je souhaite en formuler quelques-unes qui n’épuisent pas le débat mais me semblent au cœur de nos interrogations.
Le premier sujet porte sur nos impôts, nos dépenses et l’action publique. L’impôt est au cœur de notre solidarité nationale. C’est lui qui finance nos services publics. Il vient rémunérer les professeurs, pompiers, policiers, militaires, magistrats, infirmières et tous les fonctionnaires qui œuvrent à votre service. Il permet de verser aux plus fragiles des prestations sociales mais aussi de financer certains grands projets d’avenir, notre recherche, notre culture, ou d’entretenir nos infrastructures. C’est aussi l’impôt qui permet de régler les intérêts de la dette très importante que notre pays a contractée au fil du temps.
Mais l’impôt, lorsqu’il est trop élevé, prive notre économie des ressources qui pourraient utilement s’investir dans les entreprises, créant ainsi de l’emploi et de la croissance. Et il prive les travailleurs du fruit de leurs efforts. Nous ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d’encourager l’investissement et faire que le travail paie davantage. Elles viennent d’être votées et commencent à peine à livrer leurs effets. Le Parlement les évaluera de manière transparente et avec le recul indispensable. Nous devons en revanche nous interroger pour aller plus loin.
Comment pourrait-on rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts faut-il à vos yeux baisser en priorité ?
Nous ne pouvons, quoi qu’il en soit, poursuivre les baisses d’impôt sans baisser le niveau global de notre dépense publique.
Quelles sont les économies qui vous semblent prioritaires à faire ?
Faut-il supprimer certains services publics qui seraient dépassés ou trop chers par rapport à leur utilité ? A l’inverse, voyez-vous des besoins nouveaux de services publics et comment les financer ?
Notre modèle social est aussi mis en cause. Certains le jugent insuffisant, d’autres trop cher en raison des cotisations qu’ils paient. L’efficacité de la formation comme des services de l’emploi est souvent critiquée. Le gouvernement a commencé à y répondre, après de larges concertations, à travers une stratégie pour notre santé, pour lutter contre la pauvreté, et pour lutter contre le chômage.
Comment mieux organiser notre pacte social ? Quels objectifs définir en priorité ?
Le deuxième sujet sur lequel nous devons prendre des décisions, c’est l’organisation de l’Etat et des collectivités publiques. Les services publics ont un coût, mais ils sont vitaux : école, police, armée, hôpitaux, tribunaux sont indispensables à notre cohésion sociale.
Y a-t-il trop d’échelons administratifs ou de niveaux de collectivités locales ? Faut-il renforcer la décentralisation et donner plus de pouvoir de décision et d’action au plus près des citoyens ? A quels niveaux et pour quels services ?
Comment voudriez-vous que l’Etat soit organisé et comment peut-il améliorer son action ? Faut-il revoir le fonctionnement de l’administration et comment ?
Comment l’Etat et les collectivités locales peuvent-ils s’améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté et que proposez-vous ?
La transition écologique est le troisième thème, essentiel à notre avenir. Je me suis engagé sur des objectifs de préservation de la biodiversité et de lutte contre le réchauffement climatique et la pollution de l’air. Aujourd’hui personne ne conteste l’impérieuse nécessité d’agir vite. Plus nous tardons à nous remettre en cause, plus ces transformations seront douloureuses.
Faire la transition écologique permet de réduire les dépenses contraintes des ménages en carburant, en chauffage, en gestion des déchets et en transports. Mais pour réussir cette transition, il faut investir massivement et accompagner nos concitoyens les plus modestes.
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Dernière édition par Mutine le Lun 14 Jan 2019 - 10:49, édité 1 fois
Vieux singe- Messages : 1819
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- Message n°200
Re: LES MACRONADES DE JUPITER
Intervention gratuite pour contrer et annihiler l'offre commerciale des conseillers professionnels accrédités.Mutine a écrit:
BonJour Nonna !
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" La transformation de l'ISF en prélèvement sur la fortune immobilière fait partie des mesures sur lesquelles l'exécutif «ne reviendra pas», prévient le Président de la République.
C'est un des rares passages affirmés de la lettre aux Français d'Emmanuel Macron. Le président de la République y écarte tout retour sur les mesures fiscales prises par le gouvernement depuis le début du quinquennat. Avertissant sur les risques d'un impôt trop élevé, privant «les travailleurs du fruit de leurs efforts», le président affirme que «nous [l'exécutif] ne reviendrons pas sur les mesures que nous avons prises pour corriger cela afin d'encourager l'investissement et faire que le travail paie davantage».
Parmi les mesures protégées donc, la transformation de l'impôt sur la fortune en impôt sur la fortune immobilière, décidée lors de la préparation du budget 2018, et votée le 20 octobre 2017 par l'Assemblée nationale. Avec le droit d'asile, sanctifié comme une évidence, les mesures fiscales sont d'ailleurs les seules décisions du début du quinquennat qui soient citées, et qui plus est présentées comme non négociables. "
Je récuse cette analyse qui souligne une allégeance à peine masquée aux pouvoirs dominants en place.