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Topic des bonnes nouvelles
Galadriel- Messages : 15418
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- Message n°202
Re: Topic des bonnes nouvelles
Elle a eu 118 en février me semble !
Mais quid de tous les "non répertoriés"
en Afrique, Inde, Australie, Asie du Sud-Est, Moyen et Proche Orient..etc.
Il doit peut-être bien y avoir des personnes dont
la date de naissance est plus ou moins certaine...
Mais quid de tous les "non répertoriés"
en Afrique, Inde, Australie, Asie du Sud-Est, Moyen et Proche Orient..etc.
Il doit peut-être bien y avoir des personnes dont
la date de naissance est plus ou moins certaine...
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beced- Messages : 48651
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- Message n°203
Re: Topic des bonnes nouvelles
Galadriel a écrit:Elle a eu 118 en février me semble !
Mais quid de tous les "non répertoriés"
en Afrique, Inde, Australie, Asie du Sud-Est, Moyen et Proche Orient..etc.
Il doit peut-être bien y avoir des personnes dont
la date de naissance est plus ou moins certaine...
C'est que l'âge de Michel Drucker restera une des énigmes insolubles de ces 2 derniers siècles ...
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Mutine- Messages : 15149
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- Message n°204
Re: Topic des bonnes nouvelles
Grenoble : pour le ramadan, ils distribuent des repas gratuits aux personnes isolées
Une initiative mise en place pour tisser du lien en ce mois saint pour les musulmans.
Ils ont de 15 à 25 ans. Nawfel, Jaouad et Irfan font partie de la trentaine de jeunes grenoblois à l'initiative d'une action solidaire pour le ramadan. Avec leur collectif "repas jeunes solidaires", durant un mois, ils distribuent gratuitement des repas à la rupture du jeûne.
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Une initiative mise en place pour tisser du lien en ce mois saint pour les musulmans.
Ils ont de 15 à 25 ans. Nawfel, Jaouad et Irfan font partie de la trentaine de jeunes grenoblois à l'initiative d'une action solidaire pour le ramadan. Avec leur collectif "repas jeunes solidaires", durant un mois, ils distribuent gratuitement des repas à la rupture du jeûne.
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Invité- Invité
- Message n°206
Re: Topic des bonnes nouvelles
Celui qui pousse le charriot, il mange de temps en temps ?Mutine a écrit:Grenoble : pour le ramadan, ils distribuent des repas gratuits aux personnes isolées
Une initiative mise en place pour tisser du lien en ce mois saint pour les musulmans.
Ils ont de 15 à 25 ans. Nawfel, Jaouad et Irfan font partie de la trentaine de jeunes grenoblois à l'initiative d'une action solidaire pour le ramadan. Avec leur collectif "repas jeunes solidaires", durant un mois, ils distribuent gratuitement des repas à la rupture du jeûne.
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Non, parce que, barré comme il est, il va bientôt passer derrière les affiches sans les décoller.
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- Message n°207
Re: Topic des bonnes nouvelles
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- Message n°208
Re: Topic des bonnes nouvelles
A l'eau, non mais, à l'eau aqua?
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Mutine- Messages : 15149
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- Message n°209
Re: Topic des bonnes nouvelles
Euréka ! Leclerc fait un geste pour ses consommateurs !
En gros sur la note : BOUCLIER ANTI-INFLATION
On m'a remboursé
En gros sur la note : BOUCLIER ANTI-INFLATION
On m'a remboursé
- Spoiler:
- 0,14 euro sur ma note de 160,90 euros !
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beced- Messages : 48651
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- Message n°210
Re: Topic des bonnes nouvelles
Dépouillée au festival Coachella, elle récolte 250.000 $ pour le chauffeur Uber qui lui est venu en aide...
Le festival ne s’est pas passé comme prévu, puisqu’elle s’est fait voler son téléphone, ses cartes de crédit, et les clés de sa voiture de location. Alors qu’elle racontait ses mésaventures à son chauffeur Uber le lendemain, celui-ci a décidé de lui venir en aide. L’influenceuse a ensuite décidé de récolter 250.000 $ pour la fille de ce dernier, malade d’un cancer.
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Le festival ne s’est pas passé comme prévu, puisqu’elle s’est fait voler son téléphone, ses cartes de crédit, et les clés de sa voiture de location. Alors qu’elle racontait ses mésaventures à son chauffeur Uber le lendemain, celui-ci a décidé de lui venir en aide. L’influenceuse a ensuite décidé de récolter 250.000 $ pour la fille de ce dernier, malade d’un cancer.
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Galadriel- Messages : 15418
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- Message n°211
Re: Topic des bonnes nouvelles
On a retrouvé Jim !
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beced- Messages : 48651
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- Message n°212
Re: Topic des bonnes nouvelles
Vrai ou fausse, l'histoire est sympa: et il existe d'autres cas avérés et même à Vère ( rivière française de Normandie, dans le département de Orne)..
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...............................
Une femme est venue visiter la maison qu’elle a héritée et tombe sur sa sœur jumelle en fauteuil roulant - Histoire du jour /Jacques Ronny / 23 mai 2022
Quand j'ai eu 21 ans, j'ai découvert que j'avais reçu un héritage et cela a changé ma vie.
Le jour de mes vingt et un ans, ce qui aurait dû être une fête joyeuse avec mes parents s'est transformé en une dispute avec mon père après qu'un livreur de FedEx ait frappé à notre porte.
"Livraison pour Mlle Julia Stanley", a dit le livreur de FedEx. J'ai signé avec enthousiasme. Quelqu'un m'avait envoyé un cadeau, en livraison spéciale, et j'avais hâte de voir ce que c'était. Je n'aurais jamais imaginé que ma vie entière était sur le point de changer.
J'ai ouvert l'enveloppe et j'ai trouvé une lettre d'un avocat spécialisé dans les successions, m'informant que j'avais hérité d'une maison de campagne en Virginie appartenant à une certaine Mme Gloria LeFevre.
LeFevre ? Cette femme portait mon nom de famille ! Pourquoi n'avais-je jamais entendu parler d'elle ? Elle doit être la mère de mon père... Peut-être qu'ils se sont disputés ! C'était évident car mon père avait toujours eu un caractère difficile et austère.
Lettre en main, je suis retournée dans le salon où je m'apprêtais à souffler mes bougies. "Maman, papa ? On dirait que j'ai hérité d'une maison quelque part en Virginie !"
Pendant une seconde, j'ai vu le visage de mon père se transformer. Était-ce un regard de peur ? Puis cela a changé, il est redevenu aussi maussade que d'habitude. Un héritage ? De qui ?
Je fêtais mon 21e anniversaire lorsque j'ai reçu une lettre de FedEx | Source : Unsp
"Une femme, Gloria LeFevre", lui ai-je dit. "Elle doit être de la famille puisqu'elle porte notre nom de famille".
Jamais entendu parler d'elle, a dit mon père, mais la peur a de nouveau traversé son visage. Ce doit être une sorte d'escroquerie". Derrière lui, j'ai vu les yeux de ma mère timide s'écarquiller, en portant ses mains devant sa bouche.
Il y avait quelque chose d'étrange derrière cet héritage, un secret de famille, et j'étais déterminée à découvrir ce que c'était. Toute ma vie, j'ai eu le sentiment tenace que quelque chose était étrange, bizarre, absent.
Peut-être que maintenant j'aurais la chance de découvrir ce que c'était. Le lendemain, malgré les protestations de mon père et les larmes de ma mère, je suis allée voir l'avocat nommé dans les documents d'homologation.
Il m'a informé que Gloria LeFevre m'avait laissé une maison à Smithfield en Virginie. Il y avait cependant des conditions pour que je reçoive l'héritage. Je devais résider dans la maison pendant au moins trois mois avant de pouvoir vendre la propriété.
Ma résidence dans la maison devait être vérifiée par des déclarations sous serment des voisins, ce qui signifiait que je devais me socialiser. Je devrais vivre dans une petite ville de Virginie et fréquenter mes voisins de campagne !
"Je peux vous dire, Mlle LeFevre, que la maison, qui est un beau manoir de style antebellum, a été évaluée à plus de deux millions de dollars", m'a dit l'avocat.
Deux millions de dollars ? Je pourrais faire beaucoup de choses avec deux millions de dollars, je pourrais payer mes études universitaires et il me resterait encore assez pour acheter ma propre maison et monter la petite entreprise dont je rêvais.
Malgré les protestations de mon père et les larmes de ma mère, je suis allée voir l'avocat nommé dans les documents d'homologation.
Malgré les protestations frénétiques de mon père, j'ai embarqué un sac à dos avec quelques vêtements à l'arrière de ma petite voiture et j'ai pris la direction de Smithfield, en Virginie.
J'ai parcouru les quelques 80 kilomètres qui séparaient Richmond de Smithfield, l'esprit en ébullition. Cette Gloria LeFevre avait vécu à moins de deux heures de chez nous. Pourquoi mon père ne lui avait jamais rendu visite ?
Lorsque je suis arrivée à l'adresse de la maison dont j'avais hérité, j'ai été stupéfaite. C'était exactement comme l'avocat l'avait décrit, comme dans "Autant en emporte le vent" ! J'ai sorti le trousseau de clés que l'avocat m'avait donné et j'ai utilisé celle qui était étiquetée "porte d'entrée".
À l'intérieur, la maison était encore plus belle et d'une propreté irréprochable, même les lustres suspendus étincelaient. Quelqu'un avait gardé la maison propre et sans poussière. Dans la belle salle à manger, j'ai trouvé une enveloppe sur la table.
Elle était adressée à "Mlle Julia LeFevre". Je l'ai ouverte avec des mains tremblantes, j'ai déplié la lettre et j'ai commencé à la lire. "Ma très chère Julia", commençait-elle, "Je sais que tout cela te surprend. Je suis ta grand-mère Gloria, la mère de ton père."
"S'il te plaît, tu dois croire que je t'aime tendrement et que la décision que j'ai prise et qui a amené ton père à me tenir éloignée de toi a été la plus difficile que j'ai jamais prise. J'ai vécu et je mourrai avec un cœur déchiré."
"Ma chère, je sais que cela va te faire un choc, mais tu as une sœur jumelle. Tu ne peux pas imaginer notre joie quand vous êtes nées toutes les deux ! Malheureusement, ta mère a eu un accouchement difficile, et les médecins ont fait une triste révélation."
"Pendant le travail, ta jumelle, June, avait subi des lésions nerveuses à la colonne vertébrale et ne marcherait probablement jamais. Quand il a entendu cela, ton père était furieux. Il a poursuivi l'hôpital et a reçu une importante indemnisation."
"Après cela, son intérêt pour June a disparu. À ma grande horreur, il a déclaré que lui et ta mère ne pouvaient pas donner à June les soins dont elle avait besoin et il a décidé de la faire interner."
Je suis restée bouche bée. J'avais une jumelle ? Et mes parents l'avaient abandonnée dans une institution ? J'ai continué à lire la lettre de ma grand-mère. "Comme tu peux l'imaginer, j'étais choquée et déterminée à empêcher cela à tout prix.
" J'ai supplié ton père de revenir sur sa décision, mais il était inflexible. Ta mère voulait aussi garder June, mais comme tu l'as sûrement compris depuis longtemps, elle est complètement dominée par ton père."
"Finalement, j'ai obtenu la tutelle de June à la condition que je n'aie aucun contact avec lui ou sa famille. J'ai accepté, et ton père vous a fait déménager, toi et ta mère, à Richmond."
"Je savais que j'étais trop vieille pour élever June, alors j'ai demandé à mes voisins d'à côté qui étaient sans enfants de l'adopter. June a grandi, aimée et heureuse, et cela vaut tous les sacrifices."
"Ma chère, j'espère que maintenant ta sœur et toi serez réunies. Je t'ai donné les moyens de conserver ton indépendance financière vis-à-vis de ton père et de prendre tes propres décisions. Avec tout mon amour, ta grand-mère Gloria."
J'ai laissé tomber la lettre et j'ai couru à travers le jardin jusqu'à la maison voisine. Sur le porche se trouve une grande femme d'âge moyen aux yeux doux qui sourit en me voyant. "Julia," a-t-elle dit, "elle t'attend !"
Annonces
Je suis entrée et je me suis vue, ma personne exacte, assise dans un fauteuil roulant, qui m'attendait les bras ouverts. J'ai couru vers elle et on s'est embrassées. Je savais que j'avais trouvé mon autre moitié, la partie de moi qui semblait être vide toute ma vie.
C'était la plus précieuse de l'héritage de ma grand-mère : ma sœur, ma jumelle, mon autre moitié. Quant à mes parents, j'ai confronté mon père et lui ai dit ce que je pensais de lui.
Ma mère est venue me rendre visite régulièrement, et elle a commencé à établir une relation avec June. Elle s'est peu à peu libérée de sa dépendance émotionnelle à l'égard de mon père et je lui ai dit qu'elle pourrait vivre avec moi et June lorsqu'elle prendrait sa décision finale.
Mon père refuse de rencontrer June, et j'ai le sentiment qu'il va finir seul et aigri. Peut-être que c'est exactement ce qu'il mérite.
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Une femme est venue visiter la maison qu’elle a héritée et tombe sur sa sœur jumelle en fauteuil roulant - Histoire du jour /Jacques Ronny / 23 mai 2022
Quand j'ai eu 21 ans, j'ai découvert que j'avais reçu un héritage et cela a changé ma vie.
Le jour de mes vingt et un ans, ce qui aurait dû être une fête joyeuse avec mes parents s'est transformé en une dispute avec mon père après qu'un livreur de FedEx ait frappé à notre porte.
"Livraison pour Mlle Julia Stanley", a dit le livreur de FedEx. J'ai signé avec enthousiasme. Quelqu'un m'avait envoyé un cadeau, en livraison spéciale, et j'avais hâte de voir ce que c'était. Je n'aurais jamais imaginé que ma vie entière était sur le point de changer.
J'ai ouvert l'enveloppe et j'ai trouvé une lettre d'un avocat spécialisé dans les successions, m'informant que j'avais hérité d'une maison de campagne en Virginie appartenant à une certaine Mme Gloria LeFevre.
LeFevre ? Cette femme portait mon nom de famille ! Pourquoi n'avais-je jamais entendu parler d'elle ? Elle doit être la mère de mon père... Peut-être qu'ils se sont disputés ! C'était évident car mon père avait toujours eu un caractère difficile et austère.
Lettre en main, je suis retournée dans le salon où je m'apprêtais à souffler mes bougies. "Maman, papa ? On dirait que j'ai hérité d'une maison quelque part en Virginie !"
Pendant une seconde, j'ai vu le visage de mon père se transformer. Était-ce un regard de peur ? Puis cela a changé, il est redevenu aussi maussade que d'habitude. Un héritage ? De qui ?
Je fêtais mon 21e anniversaire lorsque j'ai reçu une lettre de FedEx | Source : Unsp
"Une femme, Gloria LeFevre", lui ai-je dit. "Elle doit être de la famille puisqu'elle porte notre nom de famille".
Jamais entendu parler d'elle, a dit mon père, mais la peur a de nouveau traversé son visage. Ce doit être une sorte d'escroquerie". Derrière lui, j'ai vu les yeux de ma mère timide s'écarquiller, en portant ses mains devant sa bouche.
Il y avait quelque chose d'étrange derrière cet héritage, un secret de famille, et j'étais déterminée à découvrir ce que c'était. Toute ma vie, j'ai eu le sentiment tenace que quelque chose était étrange, bizarre, absent.
Peut-être que maintenant j'aurais la chance de découvrir ce que c'était. Le lendemain, malgré les protestations de mon père et les larmes de ma mère, je suis allée voir l'avocat nommé dans les documents d'homologation.
Il m'a informé que Gloria LeFevre m'avait laissé une maison à Smithfield en Virginie. Il y avait cependant des conditions pour que je reçoive l'héritage. Je devais résider dans la maison pendant au moins trois mois avant de pouvoir vendre la propriété.
Ma résidence dans la maison devait être vérifiée par des déclarations sous serment des voisins, ce qui signifiait que je devais me socialiser. Je devrais vivre dans une petite ville de Virginie et fréquenter mes voisins de campagne !
"Je peux vous dire, Mlle LeFevre, que la maison, qui est un beau manoir de style antebellum, a été évaluée à plus de deux millions de dollars", m'a dit l'avocat.
Deux millions de dollars ? Je pourrais faire beaucoup de choses avec deux millions de dollars, je pourrais payer mes études universitaires et il me resterait encore assez pour acheter ma propre maison et monter la petite entreprise dont je rêvais.
Malgré les protestations de mon père et les larmes de ma mère, je suis allée voir l'avocat nommé dans les documents d'homologation.
Malgré les protestations frénétiques de mon père, j'ai embarqué un sac à dos avec quelques vêtements à l'arrière de ma petite voiture et j'ai pris la direction de Smithfield, en Virginie.
J'ai parcouru les quelques 80 kilomètres qui séparaient Richmond de Smithfield, l'esprit en ébullition. Cette Gloria LeFevre avait vécu à moins de deux heures de chez nous. Pourquoi mon père ne lui avait jamais rendu visite ?
Lorsque je suis arrivée à l'adresse de la maison dont j'avais hérité, j'ai été stupéfaite. C'était exactement comme l'avocat l'avait décrit, comme dans "Autant en emporte le vent" ! J'ai sorti le trousseau de clés que l'avocat m'avait donné et j'ai utilisé celle qui était étiquetée "porte d'entrée".
À l'intérieur, la maison était encore plus belle et d'une propreté irréprochable, même les lustres suspendus étincelaient. Quelqu'un avait gardé la maison propre et sans poussière. Dans la belle salle à manger, j'ai trouvé une enveloppe sur la table.
Elle était adressée à "Mlle Julia LeFevre". Je l'ai ouverte avec des mains tremblantes, j'ai déplié la lettre et j'ai commencé à la lire. "Ma très chère Julia", commençait-elle, "Je sais que tout cela te surprend. Je suis ta grand-mère Gloria, la mère de ton père."
"S'il te plaît, tu dois croire que je t'aime tendrement et que la décision que j'ai prise et qui a amené ton père à me tenir éloignée de toi a été la plus difficile que j'ai jamais prise. J'ai vécu et je mourrai avec un cœur déchiré."
"Ma chère, je sais que cela va te faire un choc, mais tu as une sœur jumelle. Tu ne peux pas imaginer notre joie quand vous êtes nées toutes les deux ! Malheureusement, ta mère a eu un accouchement difficile, et les médecins ont fait une triste révélation."
"Pendant le travail, ta jumelle, June, avait subi des lésions nerveuses à la colonne vertébrale et ne marcherait probablement jamais. Quand il a entendu cela, ton père était furieux. Il a poursuivi l'hôpital et a reçu une importante indemnisation."
"Après cela, son intérêt pour June a disparu. À ma grande horreur, il a déclaré que lui et ta mère ne pouvaient pas donner à June les soins dont elle avait besoin et il a décidé de la faire interner."
Je suis restée bouche bée. J'avais une jumelle ? Et mes parents l'avaient abandonnée dans une institution ? J'ai continué à lire la lettre de ma grand-mère. "Comme tu peux l'imaginer, j'étais choquée et déterminée à empêcher cela à tout prix.
" J'ai supplié ton père de revenir sur sa décision, mais il était inflexible. Ta mère voulait aussi garder June, mais comme tu l'as sûrement compris depuis longtemps, elle est complètement dominée par ton père."
"Finalement, j'ai obtenu la tutelle de June à la condition que je n'aie aucun contact avec lui ou sa famille. J'ai accepté, et ton père vous a fait déménager, toi et ta mère, à Richmond."
"Je savais que j'étais trop vieille pour élever June, alors j'ai demandé à mes voisins d'à côté qui étaient sans enfants de l'adopter. June a grandi, aimée et heureuse, et cela vaut tous les sacrifices."
"Ma chère, j'espère que maintenant ta sœur et toi serez réunies. Je t'ai donné les moyens de conserver ton indépendance financière vis-à-vis de ton père et de prendre tes propres décisions. Avec tout mon amour, ta grand-mère Gloria."
J'ai laissé tomber la lettre et j'ai couru à travers le jardin jusqu'à la maison voisine. Sur le porche se trouve une grande femme d'âge moyen aux yeux doux qui sourit en me voyant. "Julia," a-t-elle dit, "elle t'attend !"
Annonces
Je suis entrée et je me suis vue, ma personne exacte, assise dans un fauteuil roulant, qui m'attendait les bras ouverts. J'ai couru vers elle et on s'est embrassées. Je savais que j'avais trouvé mon autre moitié, la partie de moi qui semblait être vide toute ma vie.
C'était la plus précieuse de l'héritage de ma grand-mère : ma sœur, ma jumelle, mon autre moitié. Quant à mes parents, j'ai confronté mon père et lui ai dit ce que je pensais de lui.
Ma mère est venue me rendre visite régulièrement, et elle a commencé à établir une relation avec June. Elle s'est peu à peu libérée de sa dépendance émotionnelle à l'égard de mon père et je lui ai dit qu'elle pourrait vivre avec moi et June lorsqu'elle prendrait sa décision finale.
Mon père refuse de rencontrer June, et j'ai le sentiment qu'il va finir seul et aigri. Peut-être que c'est exactement ce qu'il mérite.
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beced- Messages : 48651
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- Message n°214
Re: Topic des bonnes nouvelles
Bonne nouvelle, le GP F1 de Monaco a eu lieu sans accident..... et avec la victoire de Sergio Perez ...
...
Ce qui est ironique est qu'elle a lieu au moment où les nouveaux chiffres de la pollution terrestre confirment une dégradation..
Cherchez l'erreur..
.....
PS.Cela m'a rappelé le moment où les courses de Francorchamps/Belgique ont repris. Ceux qui y étaient opposés ont mis en avant le fait, qu'en autres nuisances, cela allait augmenter les risques pour la santé. A cela les organisateurs avaient annoncé qu'une partie des gains financiers allaient être consacrés à la recherche médicale contre le cancer...
....................
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Ce qui est ironique est qu'elle a lieu au moment où les nouveaux chiffres de la pollution terrestre confirment une dégradation..
Cherchez l'erreur..
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PS.Cela m'a rappelé le moment où les courses de Francorchamps/Belgique ont repris. Ceux qui y étaient opposés ont mis en avant le fait, qu'en autres nuisances, cela allait augmenter les risques pour la santé. A cela les organisateurs avaient annoncé qu'une partie des gains financiers allaient être consacrés à la recherche médicale contre le cancer...
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beced- Messages : 48651
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- Message n°221
Re: Topic des bonnes nouvelles
Adopté à la naissance, Benjamin réalise qu’il travaille dans le même hôpital que sa mère biologique...
Après l’avoir cherchée pendant deux décennies, Benjamin, un jeune homme de 20 ans adopté à la naissance, a finalement rencontré sa mère biologique. Coïncidence : ils travaillent tous deux dans le même hôpital !
Benjamin Hulleberg, 20 ans, a grandi dans l’Utah. Il a toujours su qu’il avait été adopté par ses parents, Angela et Brian. Entouré d’une famille aimante, il a cherché, tout au long de sa vie, et avec le soutien de ses parents, à retrouver la trace de sa mère biologique. Pour seul indice, il avait un prénom : Holly. Test ADN, recherches dans les registres d’adoption, contacts avec l’agence… Il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour la retrouver.
De son côté, sa maman Holly n’a pas vécu un seul jour sans penser à son fils. « Il était toujours dans ma tête. Plus encore pendant les vacances et son anniversaire, là c’était les montagnes russes émotionnelles. Je pensais à lui tout le temps », raconte-t-elle dans l’émission « Good Morning America ».
Holly, 36 ans aujourd’hui, n’avait que 15 ans quand elle a donné naissance à Benjamin. Comme sa situation était très compliquée, elle a pris la décision de placer son enfant à l’adoption le jour de la fête de Thanksgiving, voilà 20 ans.
Jusqu’aux trois ans de Benjamin, Angela et Brian lui ont donné de ses nouvelles et envoyé des photos. Le contact a été rompu lorsque l’agence d’adoption a fermé. Alors, il y a quelques années, Holly a recherché son fils sur les réseaux sociaux. « Il avait 18 ans quand je l’ai retrouvé. J’ai longuement hésité. Il avait tellement de choses à faire dans sa vie. La dernière chose que je voulais faire, c’était de lui mettre des bâtons dans les roues » se souvient Holly. « Alors, j’ai juste suivi son compte de loin. »
Deux ans plus tard, Holly se décide à envoyer un message Facebook à son fils pour lui souhaiter un joyeux 20e anniversaire. Quand Benjamin lui répond et lui demande qui elle est, Holly lui raconte son histoire. Leur histoire. Pour le jeune homme, c’est un véritable électrochoc.
« Je me souviens de l’endroit exact où j’étais quand j’ai reçu ce message. J’étais au travail, devant la machine Nº15 », se rappelle Benjamin. « J’ai fondu en larmes. Mais ce n’étaient que des émotions très positives. Ce jour-là, je l’attendais depuis 20 ans. Que ça arrive enfin, c’était bouleversant. Ça faisait beaucoup à encaisser. » Immédiatement, il demande à Holly pour la voir. « Je ne voulais plus attendre. Ça faisait 20 ans, ça avait été assez long pour moi », dit-il.
Le lendemain, mère et fils se rencontrent au restaurant avec leurs familles respectives. « Quand Benjamin est arrivé, la joie m’a submergée », poursuit Holly. « On s’est serrés dans les bras pendant cinq minutes en pleurant. Je n’arrivais pas à croire que c’était réel. »
La réunion de famille a duré plus de trois heures. Au fil des discussions, Benjamin et Holly ont réalisé qu’ils travaillaient dans le même hôpital depuis deux ans ! Holly y travaille en tant qu’assistante médicale, tandis que son fils fait du bénévolat dans l’unité de soins intensifs, en néonatalogie. « Je passe devant l’USIN tous les jours. Nous ne savions pas que nous étions si proches », s’exclame Holly.
Depuis leurs retrouvailles, mère et fils se retrouvent au moins une fois par semaine pour discuter. Benjamin passe dans son bureau avant de se rendre en néonatalogie. Il a aussi rencontré son demi-frère et sa demi-sœur. « Retrouvez ma mère biologique et rencontrer ma famille, ça a été comme une guérison pour moi », assure-t-il. « C’était comme s’il y avait un vide en moi que je ne savais pas expliquer avant. Mais aujourd’hui, je me sens enfin entier. Je sens que je suis enfin prêt à continuer ma vie. »
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- Message n°222
Re: Topic des bonnes nouvelles
Une Californienne a eu l’heureuse surprise de découvrir 36.000 dollars enfouis dans les coussins d’un canapé donné gratuitement sur un site de petites annonces, mais s’est empressée de rendre l’argent à ses propriétaires. / Par AFP
Vicky Umodu cherchait à meubler son nouveau logement pour une somme modique et s’était félicitée de trouver ce canapé. « Je viens d’emménager et je n’ai rien dans la maison », a-t-elle expliqué à la chaîne locale ABC7 depuis son domicile de Colton, près de Los Angeles.
Mais une fois à son domicile, Mme Umodu a trouvé une bosse suspecte dans l’un des coussins : plusieurs enveloppes remplies d’argent liquide, chacune contenant des milliers de dollars.
« Je disais à mon fils ‘viens, viens !’ Je hurlais ‘c’est de l’argent ! Je dois appeler le monsieur’», a-t-elle raconté.
D’une honnêteté exemplaire, Mme Umodu a donc contacté ceux qui lui avaient donné le canapé pour les avertir de sa trouvaille et leur rendre l’argent.
La famille, qui vidait la maison d’un proche récemment décédé, a répondu qu’elle ignorait tout de la présence et de l’origine de cet argent.
Mais pour remercier Mme Umodu, ils lui ont donné plus de 2.000 dollars, de quoi acheter le réfrigérateur neuf dont elle avait besoin. « Je n’espérais pas un centime », a-t-elle assuré.
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.
...
PS. Il aurait été intéressant de voir ce qu'il y avait dans le matelas du décédé, non?
Vicky Umodu cherchait à meubler son nouveau logement pour une somme modique et s’était félicitée de trouver ce canapé. « Je viens d’emménager et je n’ai rien dans la maison », a-t-elle expliqué à la chaîne locale ABC7 depuis son domicile de Colton, près de Los Angeles.
Mais une fois à son domicile, Mme Umodu a trouvé une bosse suspecte dans l’un des coussins : plusieurs enveloppes remplies d’argent liquide, chacune contenant des milliers de dollars.
« Je disais à mon fils ‘viens, viens !’ Je hurlais ‘c’est de l’argent ! Je dois appeler le monsieur’», a-t-elle raconté.
D’une honnêteté exemplaire, Mme Umodu a donc contacté ceux qui lui avaient donné le canapé pour les avertir de sa trouvaille et leur rendre l’argent.
La famille, qui vidait la maison d’un proche récemment décédé, a répondu qu’elle ignorait tout de la présence et de l’origine de cet argent.
Mais pour remercier Mme Umodu, ils lui ont donné plus de 2.000 dollars, de quoi acheter le réfrigérateur neuf dont elle avait besoin. « Je n’espérais pas un centime », a-t-elle assuré.
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- Message n°223
Re: Topic des bonnes nouvelles
Linceul le sait !
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beced- Messages : 48651
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- Message n°224
Re: Topic des bonnes nouvelles
"Go to/for the mattress" (expression tirée du film "Le Parrain")
beced- Messages : 48651
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- Message n°225
Re: Topic des bonnes nouvelles
Percy Bysshe Shelley, poète britannique, né le 4 août 1792 près de Horsham (Sussex) et mort le 8 juillet 1822 en mer au large de Viareggio (Toscane)....
Percy Shelley, el poeta adelantado a su tiempo que influyó en la generación Beat
Le poète est célébré aujourd'hui dans le monde (surtout anglo-saxon)...
Le Coucher du Soleil
Il y avait autrefois un être dont l’existence subtile,
Telle la lumière et le vent dans un délicat nuage
Qui disparait dans le ciel brulant d’un midi bleu,
Est disputée par le génie et la mort. Personne ne connaîtra
La douceur et la joie qui lui ont fait
Perdre souffle, comme les transes de l’air d’été,
Quand, avec l’élue de son cœur, qui pour
La première fois connut la liberté d’une telle union,
Il marcha le long d’un sentier champêtre
Qui à l’est par une forêt fanée était ombragé
Mais à l’ouest était à ciel ouvert.
Le soleil était descendu, mais des lignes d’or
Pendaient des nuages cendrés, et sur les pointes
Des herbes distantes et fleurs aux têtes baissées,
Et de la barbe blanchie du vieux pissenlit,
Et, entrelacée avec les ombres du crépuscule, posées
Sur l’épaisse forêt brune – et à l’est
Une large et brûlante lune se leva tranquillement
Entre les tronc noirs des arbres serrés,
Tandis que de faibles étoiles en haut se rassemblaient.
« N’est-ce pas étrange, Isabel », dit le jeune,
« que je n’aie jamais vu le soleil ? Nous marcherons ici
Demain ; tu le regarderas avec moi. »
Cette nuit-là le jeune et la dame se reposèrent enlacés
Dans l’amour et le sommeil – mais lorsque vint le matin
La dame retrouva son amant mort et froid.
Que personne ne croie que Dieu par pitié eût donné
Ce coup. La dame n’en mourut pas, ni n’en perdit raison,
Mais année après année survécut – en vérité je crois
Que sa gentillesse, patience et tristes sourires,
Et qu’elle ne mourût pas, mais vécut pour soigner
Son vieux père, étaient une sorte de folie,
Si la folie est d’être différente du monde.
Que de la voir était de lire son histoire
Tissée par un quelconque barde subtile pour faire fondre
Les cœurs durs par une peine emmenant la sagesse ;
Ses yeux étaient noirs, sans éclat et blêmes :
Ses cils étaient usés par les larmes,
Ses lèvres et ses joues étaient des choses inanimées – si pâles ;
Et ses mains étaient minces, et leurs veines errantes et
Faibles jointures laissaient transparaître
La lumière vermeille du jour. Le tombeau de ta propre dépouille,
Habité nuit et jour d’un fantôme contrarié,
Est tout, enfant perdu, ce qui reste de toi !
« Sois l’héritier de plus que la terre ne peut donner,
Calme sans passion et silence irréprochable,
Là où le mort trouve, oh, non pas le sommeil ! mais le
Repos, et sont ces choses imperturbables,...
Ou vis, ou tombe dans les mers profondes de l’Amour ;
Ah, tout comme la tienne, mon épitaphe est – Paix ! »
Ce fut le seul soupir qu’elle eût fait.
Percy Shelley, el poeta adelantado a su tiempo que influyó en la generación Beat
Le poète est célébré aujourd'hui dans le monde (surtout anglo-saxon)...
Le Coucher du Soleil
Il y avait autrefois un être dont l’existence subtile,
Telle la lumière et le vent dans un délicat nuage
Qui disparait dans le ciel brulant d’un midi bleu,
Est disputée par le génie et la mort. Personne ne connaîtra
La douceur et la joie qui lui ont fait
Perdre souffle, comme les transes de l’air d’été,
Quand, avec l’élue de son cœur, qui pour
La première fois connut la liberté d’une telle union,
Il marcha le long d’un sentier champêtre
Qui à l’est par une forêt fanée était ombragé
Mais à l’ouest était à ciel ouvert.
Le soleil était descendu, mais des lignes d’or
Pendaient des nuages cendrés, et sur les pointes
Des herbes distantes et fleurs aux têtes baissées,
Et de la barbe blanchie du vieux pissenlit,
Et, entrelacée avec les ombres du crépuscule, posées
Sur l’épaisse forêt brune – et à l’est
Une large et brûlante lune se leva tranquillement
Entre les tronc noirs des arbres serrés,
Tandis que de faibles étoiles en haut se rassemblaient.
« N’est-ce pas étrange, Isabel », dit le jeune,
« que je n’aie jamais vu le soleil ? Nous marcherons ici
Demain ; tu le regarderas avec moi. »
Cette nuit-là le jeune et la dame se reposèrent enlacés
Dans l’amour et le sommeil – mais lorsque vint le matin
La dame retrouva son amant mort et froid.
Que personne ne croie que Dieu par pitié eût donné
Ce coup. La dame n’en mourut pas, ni n’en perdit raison,
Mais année après année survécut – en vérité je crois
Que sa gentillesse, patience et tristes sourires,
Et qu’elle ne mourût pas, mais vécut pour soigner
Son vieux père, étaient une sorte de folie,
Si la folie est d’être différente du monde.
Que de la voir était de lire son histoire
Tissée par un quelconque barde subtile pour faire fondre
Les cœurs durs par une peine emmenant la sagesse ;
Ses yeux étaient noirs, sans éclat et blêmes :
Ses cils étaient usés par les larmes,
Ses lèvres et ses joues étaient des choses inanimées – si pâles ;
Et ses mains étaient minces, et leurs veines errantes et
Faibles jointures laissaient transparaître
La lumière vermeille du jour. Le tombeau de ta propre dépouille,
Habité nuit et jour d’un fantôme contrarié,
Est tout, enfant perdu, ce qui reste de toi !
« Sois l’héritier de plus que la terre ne peut donner,
Calme sans passion et silence irréprochable,
Là où le mort trouve, oh, non pas le sommeil ! mais le
Repos, et sont ces choses imperturbables,...
Ou vis, ou tombe dans les mers profondes de l’Amour ;
Ah, tout comme la tienne, mon épitaphe est – Paix ! »
Ce fut le seul soupir qu’elle eût fait.
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