Hier soir j'ai fait une tentative : suivre Calvi et ses invités dans leurs papotages sur l' Affaire Président + Julie.
Je me suis quasiment endormi devant la télé -
J'étais d'accord avec Marielle de Sarnez (ortho ? ) : la vie privée est contigüe à l'intime, et le président n'est pas le
seul à avoir marché on the wild side.
D'accord avec elle aussi pour se défaire de la notion de 'première dame' qui est particulière à la France post-monarchique -
Mr Merkel mène la vie qu'il veut pendant que son Angela mène le pays.
Un homme qui est au pouvoir, d-onc-p qui a du pouvoir, a besoin d'exercice sexuel --- alors une petite amie vaut largement une foule de dames à la cuisse légère qui viendraient lui nettoyer le cerveau.
Exemplaire : il est représentatif de nos contemporains. Un coup de canif par ci, un p'tit écart par là .... et puis ça repart ou ça ne repart pas.
Enfin, si la zigounette présidentielle alimente les chroniques c'est soit que l'on ne croit plus mais plus du tout en la politique, soit les médias choisissent d' abaisser le débat, au détriment de nous tous.
Etat des lieux pitoyables -- on patauge en pleine gadoue. Et ça semble faire recette.
J'ajouterais volontiers qq considération sur Mme de Sarnez mais elles pourraient être mal comprises ... aussi malgré tout, je me tais. méképitié.