Le nom de la voiture a été baptisée du nom de "Clitaurus" .
+14
Sator Arepo
palmier37
clymene3
Mutine
beced
Ymar
Ara
Vieux singe
Deborah Colt
Raoulkirit
cristaline
stylo
Flavius
Moiself
18 participants
BLAGUE A PART...
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°101
Re: BLAGUE A PART...
Renault et Ford ont décidé de faire une "joint-venture" pour créer une voiture spécialement conçue pour la clientèle féminine. Ce sont les départements de la Clio et Taurus qui ont été chargés de la réalisation.
Le nom de la voiture a été baptisée du nom de "Clitaurus" .
Le nom de la voiture a été baptisée du nom de "Clitaurus" .
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°103
Re: BLAGUE A PART...
Une histoire que l'on raconte parfois en Russie.
La Zykina se fait arrêter par la police. Elle a un gros diamant, un manteau de zibeline et une Mercedes.
L'inspecteur-: "D'où vient la Mercedes?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donnée!"
L'inspecteur-: "La zibeline?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donnée!"
L'inspecteur-: "Le diamant?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donné!"
L'inspecteur-: "Hum, hum: suspect tout cela: marché noir? Tu as le numéro de ce Titine?"
Zykina-: "Oui, le voilà.."
L'inspecteur-: "Hum, hum, certainement une petite frappe: on va bien voir!
Dring dring: allo? Titine c'est toi?"
Titine: "il y en a pour qui je suis Titine; mais pour les autres
je suis Vladimir Vladimirovitch Poutine. "
=
=
La Zykina se fait arrêter par la police. Elle a un gros diamant, un manteau de zibeline et une Mercedes.
L'inspecteur-: "D'où vient la Mercedes?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donnée!"
L'inspecteur-: "La zibeline?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donnée!"
L'inspecteur-: "Le diamant?"
Zykina-: "C'est Titine qui me l'a donné!"
L'inspecteur-: "Hum, hum: suspect tout cela: marché noir? Tu as le numéro de ce Titine?"
Zykina-: "Oui, le voilà.."
L'inspecteur-: "Hum, hum, certainement une petite frappe: on va bien voir!
Dring dring: allo? Titine c'est toi?"
Titine: "il y en a pour qui je suis Titine; mais pour les autres
je suis Vladimir Vladimirovitch Poutine. "
=
=
Invité- Invité
- Message n°104
Re: BLAGUE A PART...
beced a écrit:Il (regardant une vidéo): "Nooon, ne le fait pas! Je jure que tu vas le regretter pour le reste de ta vie. Idiot stupide! Non, non, recule..... Non! Non! NOOO! Aaaaaaw, le con, il l'a vraiment fait! Quel crétin des Alpes! "
Elle: "Chéri, pourquoi tu t'énerves? Qu'est-ce que tu regardes? "
Il : "Notre cérémonie de mariage. "
=
Pas du vécu quand mm ?
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°105
Re: BLAGUE A PART...
berthus a écrit:
Pas du vécu quand mm ?
== >>
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°107
Re: BLAGUE A PART...
"Voulez-vous être ma première femme?"
(Sacha Guitry)
(Sacha Guitry)
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°112
Re: BLAGUE A PART...
A l'occasion de la fête des mamies, une histoire sur le petit chaperon rouge politiquement correcte
Jim Garner
Il était une fois une jeune personne appelée le Petit Chaperon Rouge, qui vivait à la lisière d’une énorme forêt, remplie de hiboux menacés de disparition et de plantes rares qui pourraient probablement fournir des médicaments contre le cancer, si seulement quelqu’un prenait le temps de les étudier.
Le Petit Chaperon Rouge vivait avec un distributeur de nourriture, qu’elle appelait parfois “mère”, terme qui n’impliquait nullement qu’elle aurait moins pensé à cette personne si un lien héréditaire n’avait pas existé entre elles.
Elle ne voulait surtout pas non plus dénigrer les foyers “différents” (ou non traditionnels), bien qu’elle fut désolée d’avoir pu laisser une telle impression.
Un jour, sa mère lui demanda d’apporter un panier de fruits biologiques de saison, produits localement et achetés à l’AMAP du village et de l’eau minérale dans une bouteille, en verre recyclable, à la maison de sa grand-mère.
« Mais, mère, ne serait-ce pas prendre le travail des gens syndiqués qui ont combattu des années pour gagner le droit de transporter toutes sortes de paquets de par les bois ? »
La mère du Petit Chaperon Rouge la rassura en montrant qu’elle avait appelé le responsable syndical et qu’elle avait obtenu une dérogation spéciale et compatissante signée par ses soins, après une discussion en commission spéciale.
« Mais, mère, ne m’opprimes-tu pas en m’ordonnant de faire cela ? »
La mère du Petit Chaperon Rouge lui démontra qu’il était impossible pour une faômme (Womyn) d’opprimer une autre faômme, puisque toutes les faômmes sont également opprimées jusqu’à ce qu’elles soient toutes libérées.
« Mais, mère, ne serait-ce pas mieux que mon frère porte ce panier, puisqu’il est un oppresseur, et qu’il devrait apprendre ce que c’est que d’être opprimé ? »
Et la mère du Petit Chaperon Rouge expliqua que son frère était à un rassemblement éco-festif pour les droits des animaux, et de plus, ce n’était pas un travail typiquement féminin, mais un travail libérateur du carcan machiste et qui lui permettra de se sentir pleinement intégrée dans la communauté.
« Mais ne vais-je pas opprimer Mère Grand, en insinuant ainsi qu’elle est malade et qu’elle ne peut plus s’occuper d’elle de manière autonome ? »
Mais la mère du Petit Chaperon Rouge expliqua que sa grand-mère n’était en fait ni malade ni diminuée, ni handicapée mentale d’aucune manière, bien que ces conditions ne soient, en aucune manière, inférieures à celles des personnes en « bonne santé ».
Ainsi, le Petit Chaperon Rouge ressentit qu’elle pouvait se laisser aller à livrer ce panier à sa Mère Grand, et elle se mit en route.
Beaucoup de gens pensaient, de manière irrationnelle, que la forêt était dangereuse. Mais le Petit Chaperon Rouge savait que cette peur irrationnelle était basée sur un paradigme culturel développé par une société patriarcale, qui considérait la nature comme une ressource à exploiter, voyant dans les prédateurs naturels des concurrents inacceptables.
Les autres évitaient de se rendre dans les bois, par peur d’y rencontrer des pervers et des voleurs, mais pour le Petit Chaperon Rouge dans une vraie société sans classe tous les marginaux pourraient « sortir du bois » et être acceptés comme des modèles valides de style de vie.
Sur le chemin de la maison de Mère Grand, le Petit Chaperon Rouge passa à côté d’un bûcheron et elle s’éloigna du sentier pour cueillir quelques fleurs.
Elle fut très surprise de se trouver en face du Loup, qui lui demanda ce qu’il y avait dans son panier.
Le professeur du Petit Chaperon Rouge l’avait prévenue de ne jamais parler aux étrangers, mais elle avait confiance dans sa maîtrise de sa sexualité bourgeonnante, et décida de discuter avec le Loup.
Elle répondit : « J’emmène à Mère Grand des collations, sans matières grasses ajoutées, et ce dans un geste de solidarité. »
Le Loup dit : « Tu sais, ma chérie, il est dangereux pour une petite fille de traverser ces bois seule. »
Le Petit Chaperon Rouge répliqua : « Je trouve votre remarque sexiste extrêmement grossière, mais je vais l’ignorer parce que le stress d’être considéré comme un paria vous a obligé à développer une autre façon de voir le monde, bien que votre opinion soit valide. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, je vais reprendre ma route. »
Le Petit Chaperon Rouge retourna sur le sentier principal, et poursuivit son trajet vers la maison de Mère Grand.
Mais parce que son statut de marginal lui avait permis de se libérer du mode de pensée occidental, avilissant et linéaire, le Loup connaissait un raccourci vers la maison de Mère Grand. Il entra de force dans la maison et mangea Mère Grand, un comportement bien affirmatif de sa nature profonde de prédateur.
Ensuite, sans être gêné par des conceptions rigides et traditionalistes sur le rôle des genres, il s’habilla des vêtements de Mère Grand, se glissa sous les draps, pour attendre la suite des événements.
Le Petit Chaperon Rouge entra dans la maison et dit :
« Mère Grand, je vous ai amené quelques encas fabriqués sans avoir torturé d’animaux pour vous saluer en tant que mère nourricière emplie de sagesse. »
Le Loup dit doucement : « Approche-toi mon enfant que je puisse te voir. »
Le Petit Chaperon Rouge dit, « Déesse! Mère Grand, que de grands yeux vous avez ! »
« Tu oublies que je suis un peu déficiente visuel. »
« Et Mère Grand, quel long et fin nez vous avez. »
« Bien sûr, j’aurais pu me le faire refaire pour avoir une carrière d’actrice, mais je ne suis pas sensible à ce genre de pressions sociales, mon enfant. »
« Et Mère Grand, que de pointues et longues dents vous avez ! »
Le Loup ne pouvait plus supporter ces insultes, et, dans une réaction appropriée de son milieu habituel, il bondit hors du lit, saisit le Petit Chaperon Rouge et il ouvrit ses mâchoires si largement qu’elle put voir sa pauvre Mère Grand recroquevillée dans le ventre du Loup.
« N’oublies-tu pas quelque chose ? » cria courageusement le Petit Chaperon Rouge. « Tu dois me demander la permission avant d’aller plus loin dans mon intimité ! »
Le Loup fut si surpris de ces paroles qu’il lâcha sa prise. Au même moment, le bûcheron entra dans la maison, brandissant sa hache.
« Bas les pattes ! » cria-t-il.
« Et que crois-tu donc que tu es en train de faire ? » s’écria le Petit Chaperon Rouge. « Si je te laisse m’aider maintenant, cela montrerait un manque de confiance dans mes propres capacités, entraînant une baisse d’estime de soi et donc un risque de louper mes examens d’entrée à la faculté ! »
« Dernière chance, ma sœur ! Enlève tes mains de cette espèce protégée ! C’est un ordre du FBI ! » cria le bûcheron ; et quand le Petit Chaperon Rouge fit un petit mouvement, il lui coupa soudain la tête.
« Dieu Merci vous êtes arrivés à temps », dit le Loup. « La gosse et la Grand-Mère m’ont attiré par la ruse, j’ai cru que j’étais fichu. »
« Non, je crois que je suis la seule victime ici », dit le bûcheron. « J’ai dû gérer ma colère depuis que je l’ai vue ramasser des fleurs protégées un peu plus tôt. Et maintenant, je vais être totalement traumatisé. N’auriez-vous pas un peu d’aspirine ? »
« Bien sûr », dit le Loup.
« Merci. »
« Je comprends votre souffrance », dit le Loup, et il tapota sur l’épaule bien rembourrée du bûcheron, rota un petit coup, et dit « Vous n’auriez pas du Maalox ? »
Traduit du texte original en anglais de Jim Garner par Nicolas B pour Contrepoints.
Jim Garner
Il était une fois une jeune personne appelée le Petit Chaperon Rouge, qui vivait à la lisière d’une énorme forêt, remplie de hiboux menacés de disparition et de plantes rares qui pourraient probablement fournir des médicaments contre le cancer, si seulement quelqu’un prenait le temps de les étudier.
Le Petit Chaperon Rouge vivait avec un distributeur de nourriture, qu’elle appelait parfois “mère”, terme qui n’impliquait nullement qu’elle aurait moins pensé à cette personne si un lien héréditaire n’avait pas existé entre elles.
Elle ne voulait surtout pas non plus dénigrer les foyers “différents” (ou non traditionnels), bien qu’elle fut désolée d’avoir pu laisser une telle impression.
Un jour, sa mère lui demanda d’apporter un panier de fruits biologiques de saison, produits localement et achetés à l’AMAP du village et de l’eau minérale dans une bouteille, en verre recyclable, à la maison de sa grand-mère.
« Mais, mère, ne serait-ce pas prendre le travail des gens syndiqués qui ont combattu des années pour gagner le droit de transporter toutes sortes de paquets de par les bois ? »
La mère du Petit Chaperon Rouge la rassura en montrant qu’elle avait appelé le responsable syndical et qu’elle avait obtenu une dérogation spéciale et compatissante signée par ses soins, après une discussion en commission spéciale.
« Mais, mère, ne m’opprimes-tu pas en m’ordonnant de faire cela ? »
La mère du Petit Chaperon Rouge lui démontra qu’il était impossible pour une faômme (Womyn) d’opprimer une autre faômme, puisque toutes les faômmes sont également opprimées jusqu’à ce qu’elles soient toutes libérées.
« Mais, mère, ne serait-ce pas mieux que mon frère porte ce panier, puisqu’il est un oppresseur, et qu’il devrait apprendre ce que c’est que d’être opprimé ? »
Et la mère du Petit Chaperon Rouge expliqua que son frère était à un rassemblement éco-festif pour les droits des animaux, et de plus, ce n’était pas un travail typiquement féminin, mais un travail libérateur du carcan machiste et qui lui permettra de se sentir pleinement intégrée dans la communauté.
« Mais ne vais-je pas opprimer Mère Grand, en insinuant ainsi qu’elle est malade et qu’elle ne peut plus s’occuper d’elle de manière autonome ? »
Mais la mère du Petit Chaperon Rouge expliqua que sa grand-mère n’était en fait ni malade ni diminuée, ni handicapée mentale d’aucune manière, bien que ces conditions ne soient, en aucune manière, inférieures à celles des personnes en « bonne santé ».
Ainsi, le Petit Chaperon Rouge ressentit qu’elle pouvait se laisser aller à livrer ce panier à sa Mère Grand, et elle se mit en route.
Beaucoup de gens pensaient, de manière irrationnelle, que la forêt était dangereuse. Mais le Petit Chaperon Rouge savait que cette peur irrationnelle était basée sur un paradigme culturel développé par une société patriarcale, qui considérait la nature comme une ressource à exploiter, voyant dans les prédateurs naturels des concurrents inacceptables.
Les autres évitaient de se rendre dans les bois, par peur d’y rencontrer des pervers et des voleurs, mais pour le Petit Chaperon Rouge dans une vraie société sans classe tous les marginaux pourraient « sortir du bois » et être acceptés comme des modèles valides de style de vie.
Sur le chemin de la maison de Mère Grand, le Petit Chaperon Rouge passa à côté d’un bûcheron et elle s’éloigna du sentier pour cueillir quelques fleurs.
Elle fut très surprise de se trouver en face du Loup, qui lui demanda ce qu’il y avait dans son panier.
Le professeur du Petit Chaperon Rouge l’avait prévenue de ne jamais parler aux étrangers, mais elle avait confiance dans sa maîtrise de sa sexualité bourgeonnante, et décida de discuter avec le Loup.
Elle répondit : « J’emmène à Mère Grand des collations, sans matières grasses ajoutées, et ce dans un geste de solidarité. »
Le Loup dit : « Tu sais, ma chérie, il est dangereux pour une petite fille de traverser ces bois seule. »
Le Petit Chaperon Rouge répliqua : « Je trouve votre remarque sexiste extrêmement grossière, mais je vais l’ignorer parce que le stress d’être considéré comme un paria vous a obligé à développer une autre façon de voir le monde, bien que votre opinion soit valide. Maintenant, si vous voulez bien m’excuser, je vais reprendre ma route. »
Le Petit Chaperon Rouge retourna sur le sentier principal, et poursuivit son trajet vers la maison de Mère Grand.
Mais parce que son statut de marginal lui avait permis de se libérer du mode de pensée occidental, avilissant et linéaire, le Loup connaissait un raccourci vers la maison de Mère Grand. Il entra de force dans la maison et mangea Mère Grand, un comportement bien affirmatif de sa nature profonde de prédateur.
Ensuite, sans être gêné par des conceptions rigides et traditionalistes sur le rôle des genres, il s’habilla des vêtements de Mère Grand, se glissa sous les draps, pour attendre la suite des événements.
Le Petit Chaperon Rouge entra dans la maison et dit :
« Mère Grand, je vous ai amené quelques encas fabriqués sans avoir torturé d’animaux pour vous saluer en tant que mère nourricière emplie de sagesse. »
Le Loup dit doucement : « Approche-toi mon enfant que je puisse te voir. »
Le Petit Chaperon Rouge dit, « Déesse! Mère Grand, que de grands yeux vous avez ! »
« Tu oublies que je suis un peu déficiente visuel. »
« Et Mère Grand, quel long et fin nez vous avez. »
« Bien sûr, j’aurais pu me le faire refaire pour avoir une carrière d’actrice, mais je ne suis pas sensible à ce genre de pressions sociales, mon enfant. »
« Et Mère Grand, que de pointues et longues dents vous avez ! »
Le Loup ne pouvait plus supporter ces insultes, et, dans une réaction appropriée de son milieu habituel, il bondit hors du lit, saisit le Petit Chaperon Rouge et il ouvrit ses mâchoires si largement qu’elle put voir sa pauvre Mère Grand recroquevillée dans le ventre du Loup.
« N’oublies-tu pas quelque chose ? » cria courageusement le Petit Chaperon Rouge. « Tu dois me demander la permission avant d’aller plus loin dans mon intimité ! »
Le Loup fut si surpris de ces paroles qu’il lâcha sa prise. Au même moment, le bûcheron entra dans la maison, brandissant sa hache.
« Bas les pattes ! » cria-t-il.
« Et que crois-tu donc que tu es en train de faire ? » s’écria le Petit Chaperon Rouge. « Si je te laisse m’aider maintenant, cela montrerait un manque de confiance dans mes propres capacités, entraînant une baisse d’estime de soi et donc un risque de louper mes examens d’entrée à la faculté ! »
« Dernière chance, ma sœur ! Enlève tes mains de cette espèce protégée ! C’est un ordre du FBI ! » cria le bûcheron ; et quand le Petit Chaperon Rouge fit un petit mouvement, il lui coupa soudain la tête.
« Dieu Merci vous êtes arrivés à temps », dit le Loup. « La gosse et la Grand-Mère m’ont attiré par la ruse, j’ai cru que j’étais fichu. »
« Non, je crois que je suis la seule victime ici », dit le bûcheron. « J’ai dû gérer ma colère depuis que je l’ai vue ramasser des fleurs protégées un peu plus tôt. Et maintenant, je vais être totalement traumatisé. N’auriez-vous pas un peu d’aspirine ? »
« Bien sûr », dit le Loup.
« Merci. »
« Je comprends votre souffrance », dit le Loup, et il tapota sur l’épaule bien rembourrée du bûcheron, rota un petit coup, et dit « Vous n’auriez pas du Maalox ? »
Traduit du texte original en anglais de Jim Garner par Nicolas B pour Contrepoints.
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°113
Re: BLAGUE A PART...
Voix d'un ado: - Allo le "110 Urgence": j'ai besoin de vous de toute urgence!
Le 110: - Oui, quel est le problème?
Voix d'un ado: - Deux femmes sont en train de se batte à mon sujet!!
Le 110: - OK: mais en quoi est-ce urgent?
Voix d'un ado: - C'est la moche qui est en train de gagner...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°114
Re: BLAGUE A PART...
C'est l'histoire d'un myope qui rentre dans un bar, .. et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, et dans un autre client, et dans une chaise, et dans une table, .....
=
=
Invité- Invité
- Message n°115
Re: BLAGUE A PART...
beced a écrit:
Voix d'un ado: - Allo le "110 Urgence": j'ai besoin de vous de toute urgence!
Le 110: - Oui, quel est le problème?
Voix d'un ado: - Deux femmes sont en train de se batte à mon sujet!!
Le 110: - OK: mais en quoi est-ce urgent?
Voix d'un ado: - C'est la moche qui est en train de gagner...
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°116
Re: BLAGUE A PART...
berthus a écrit:
`
`
cristaline- Messages : 27131
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°117
Re: BLAGUE A PART...
Moiself, je découvre ce fil seulement aujourd'hui !!!!
Non mé o !!!!
Non mé o !!!!
Moiself- Messages : 22569
Date d'inscription : 17/12/2013
Age : 106
- Message n°118
Re: BLAGUE A PART...
cristonne a écrit:Moiself, je découvre ce fil seulement aujourd'hui !!!!
Non mé o !!!!
C'te bonne blague Chris, l'était temps didon !
Oui mais ah !
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°119
Re: BLAGUE A PART...
Une des blagues absurdes les plus courtes que je connaisse:
Deux ministres se rencontrent dans le métro.
Deux ministres se rencontrent dans le métro.
Invité- Invité
- Message n°120
Re: BLAGUE A PART...
beced a écrit:Une des blagues absurdes les plus courtes que je connaisse:
Deux ministres se rencontrent dans le métro.
Extra .
Du rabe :
Ce que j'aime chez vous ,c'est que vous n'abusez pas de votre intelligence .
T'auras pas raison avec moi quand j'ai bu !
Un alcoolique à un autre ,"Vous n'avez pas monsieur le monopole du foie "!
Réduire le taux d'alcoolémie de 0,7 à 0,5 , je ne vois pas ce que ça change pour moi ,j'ai tjrs 2 !
Mon fils dés qu'il a pu parler ,il a refusé les suppositoires
Pour une F , c'est quoi ,une feuille de papier déchiré ? Un puzzle !
La maitresse à l'école :Combien ça fait 12 bouteilles de vin à 2euros ? Tintin : "Chez nous 2 jours"!
Le couple dort .En pleine nuit le tel sonne .La femme va répondre le mari l'arrête "Si c'est pour moi ,je suis pas là "Elle décroche écoute et répond :"Il est là " . "Qu 'est ce que je t'avais dit ?"C'était pour moi "!
La mm maitresse cherche à vendre ses photos de classe "Mais si c'est utile ,plutard, vous direz en regardant ces photos : Tiens ça c'est Pierre il est mèdecin ,et là c'est Lucie elle est informaticienne ," Toto : "Et ça ,c'est la maitresse ,elle est morte !!
Un H semble perdu dans un super marché .En fait il cherche quelqu'un.Il est si préoccupé qu'il entre en collision avec un autre H ayant le mm comportement.Le premier dit "Excusez moi ,Monsieur j'ai la tête ailleurs ,je cherche ma F".Le second lui répond " Moi aussi ,je cherche ma F ,de quoi à l'air la vôtre ?" "Elle s'appelle Emmanuelle ,c'est une belle blonde aux bleus ,1m75, cheveux en dessous de l'épaule , vétue d'une courte jupe et d'une blouse un peu trasparente qui laisse voir un soutien gorge en dentelle .Et la vôtre ,de quoi elle a l'air ? Laissez tomber la mienne ,on va chercher la vôtre ensemble "!
J'ai divorcé à cause de ma belle mère .Un jour ,ma F est rentrée + tôt et nous a surpris au lit ensemble !
Le plat le + dangereux ? Un gateau de mariage !
Enfin
Une F arrive chez le médecin avecdes dents cassées,un coquard ,le nez en sang et le visage tuméfié .
-Mais qui vous a fait ça ?
-C'est mon mari répond elle .
-Mais je croyais qu'il était en voyage !
-Moi aussi !
Invité- Invité
- Message n°121
Re: BLAGUE A PART...
La dernière blague me fait penser au début d'un film avec Michèle Laroque, pas spécialement fameux par ailleurs et dont j'ai d'ailleurs oublié le titre.
Son mari est pilote. Il dessine des textes publicitaire dans le ciel en faisant des acrobaties.
Elle croit son mari au travail (en réalité, il s'est fait remplacer) et elle est avec son amant.
L'avion de son mari passe dans le ciel. Elle court à la fenêtre.
Soudain, affolée : "C'est pas son écriture !!"
Son mari est pilote. Il dessine des textes publicitaire dans le ciel en faisant des acrobaties.
Elle croit son mari au travail (en réalité, il s'est fait remplacer) et elle est avec son amant.
L'avion de son mari passe dans le ciel. Elle court à la fenêtre.
Soudain, affolée : "C'est pas son écriture !!"
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°122
Re: BLAGUE A PART...
LV426 a écrit:La dernière blague me fait penser au début d'un film avec Michèle Laroque, pas spécialement fameux par ailleurs et dont j'ai d'ailleurs oublié le titre.
Son mari est pilote. Il dessine des textes publicitaire dans le ciel en faisant des acrobaties.
Elle croit son mari au travail (en réalité, il s'est fait remplacer) et elle est avec son amant.
L'avion de son mari passe dans le ciel. Elle court à la fenêtre.
Soudain, affolée : "C'est pas son écriture !!"
Il s'agit du film "Tango" - Sa répartie me fait penser à une blague de l'ère Clinton:
Il a neigé toute la veille sur Washington.
Bill Clinton se lève, s'étire et regarde par la fenêtre du bureau ovale et - horreur ! - remarque qu'on a écrit dans la neige, visiblement avec un jet d'urine : "Bill est un enfoiré !"
Furieux, il contacte les services secrets et demande une enquête urgente.
En milieu d'après midi, le chef du secret service entre dans le bureau, ferme la porte et lui annonce.
- "Mr President, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
- Allez-y, la bonne en premier.
- La bonne nouvelle : on sait de qui est l'urine, on a fait une analyse : c'est celle de Al Gore
- La mauvaise ?
- La mauvaise, c'est que d'après l'analyse graphologique, l'écriture est celle d'Hillary."
Invité- Invité
- Message n°123
Re: BLAGUE A PART...
beced a écrit:
Il s'agit du film "Tango" - Sa répartie me fait penser à une blague de l'ère Clinton:
Il a neigé toute la veille sur Washington.
Bill Clinton se lève, s'étire et regarde par la fenêtre du bureau ovale et - horreur ! - remarque qu'on a écrit dans la neige, visiblement avec un jet d'urine : "Bill est un enfoiré !"
Furieux, il contacte les services secrets et demande une enquête urgente.
En milieu d'après midi, le chef du secret service entre dans le bureau, ferme la porte et lui annonce.
- "Mr President, j'ai une bonne et une mauvaise nouvelle.
- Allez-y, la bonne en premier.
- La bonne nouvelle : on sait de qui est l'urine, on a fait une analyse : c'est celle de Al Gore
- La mauvaise ?
- La mauvaise, c'est que d'après l'analyse graphologique, l'écriture est celle d'Hillary."
Excellente !!!!
Et qui a, en effet, un ressort commun avec la mienne.
beced- Messages : 53839
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°124
Re: BLAGUE A PART...
LV426 a écrit:
Excellente !!!!
Et qui a, en effet, un ressort commun avec la mienne.
J'imagine la scène avec Hilary....
=
=
Invité- Invité
- Message n°125
Re: BLAGUE A PART...
Moiself a écrit:L'histoire de Christone à l'hospice(Fiction bien sûr !)
A l'hospice, Christone est la reine de la chaise roulante, catégorie plus de 85 ans.
Elle adore foncer dans les couloirs, prendre un maximum de vitesse et les virages sur une roue.
Parce qu'elle n'a plus toute sa tête, les autres pensionnaires tolèrent ses frasques.
Certains, même, participent à son délire de reine de la route et de la vitesse.
Un jour, alors que Christone fonce dans le couloir, une porte s'ouvre et son copain Pasta s'avance vers elle, le bras tendu en criant :
« Stop ! Rangez votre véhicule sur le côté et arrêtez le moteur ! »
Christone s'arrête immédiatement et Pasta s'approche :
« Bonjour, Madame, pouvez vous me présenter votre permis et les papiers du véhicule ? »
Christone farfouille dans son sac, sort un emballage de gâteau, un vieux ticket de métro et les tend à Pasta.
« OK ! C'est en ordre, dit celui-ci, vous pouvez circuler ! »
Aussitôt, Christone repart en trombe sur sa chaise roulante....
Plus loin, alors qu'elle prend son virage sur une roue, Jacot, un autre copain, se plante devant elle et demande :
« Avez vous l'attestation d'assurance de ce véhicule ? »
Christone regarde de nouveau dans son sac et tend à Jacot une feuille de salade.
Celui-ci fait semblant d'examiner la feuille et dit :
« C'est bon ! Vous pouvez reprendre la route, Madame. »
Christone repart, tourne au bout du couloir et tombe sur Moiself, planté au milieu du couloir. II est nu et semble en très bonne forme.
« Oh non ! dit Christone . Pas encore l'Alcotest ! »