Flavius,
" A force de déresponsabiliser les gens et leur faire croire au risque zéro par un principe de précaution qui n'a jamais rien empêché, on aboutit à cet état d'esprit qui consiste penser que l'on peut tout se permettre. L'Etat y pourvoira ! "
J'ai copié votre texte car je suis on ne peu plus en accord avec mais, il faut bien un mais, pour moi en extrapolant la
faute principale est de se soumettre aux désirs et envies d'enfants et pour l'exemple, cela fera 53 ans que je skie et
ce ne fût qu'en troisième saison que la barre a été redressée avec une pré-ado qui s'autorisait bouderies et
inconvenances sur le domaine.
Je trouve hyper- malheureux ces parents en " embéoulade " (
extase )devant les exploits de leur progéniture
car ils apprécient que ceux-ci soient repris en main par autrui.
J'ai collé ma fille dans les mêmes années que moi à ce sport et je puis vous assurer que lorsque qu'elle m'a frôlé une barre rocheuse à Avoriaz je ne me suis pas handicapé d'amour pour lui exprimer mon mécontentement.
Alors le principe de précaution peut être vu de différentes manières :
- Concernant les enfants, il est du ressort des ascendants.
- Pour les pré-ados et ados, ils doivent respecter les consignes parentales.
- Pour les adultes, excusez moi mais je n'ai pas de condescendance car sinon ils ne sont pas ce dont ils se targuent.
Le principe de précaution n'est en fait que l'assurance pour le responsable de se dégager de responsabilités dont il n'est pas maître.
Et vos trois derniers mots sont la triste réalité.
Hymar