Julia Stanley et la chanson Julia qu'elle a inspirée à John.
Julia Stanley est la mère de John Lennon. Celui-ci n'a habité avec elle que jusqu'à l'âge de 5 ans, au moment où il a été confié à la garde de sa tante Mimi. Julia Stanley est décédée en 1958, renversée par une voiture. John dira plus tard qu'il l'a perdue deux fois.
Son fils lui dédiera une chanson qu'il a composée pendant le séjour du groupe en Inde et qui paraîtra en 1968 sur l'album The Beatles (plus connu sous le nom d'Album Blanc). Pour la première fois, elle y est chantée et accompagnée à la guitare par le seul John Lennon. Dans son esprit, le personnage évoqué est une sorte de "synthèse" de sa mère et de Yoko Ono, avec qui il avait entamé une liaison.
La jeune secrétaire de 16 ans, née à Liverpool, est déjà dactylographe le jour où elle entre dans le Cavern Club où se produisent les Beatles, groupe encore inconnu, et reste volontiers après le spectacle pour discuter avec Paul McCartney, John Lennon, Georges Harrison et Pete Best, le batteur de l’époque (remplacé en 1962 par Ringo Starr). De concert en concert, elle se lie d’amitié avec ses idoles et, en 1962, leur manager lui offre le poste de ses rêves : secrétaire à plein temps de ce quatuor extraordinaire.
Elle supervise l’organisation du fan-club qui, rapidement, compte plus de soixante-dix mille membres et veille jusqu’au petit matin pour répondre au courrier des admiratrices du monde entier, tout en rédigeant un texte destiné au magazine "The Beatles Book". Ce mensuel, créé en 1963, est la source d’information la plus complète sur tous les faits et gestes des quatre membres du groupe tout en préservant leur vie privée. Elle fut une des passagères de l’autocar dans "Magical Mystery Tour", téléfilm musical britannique réalisé pour la BBC, avec la participation des Beatles, diffusé en 1967. Lors de la séparation définitive des Beatles, elle prévient les fans à travers une lettre d’adieu publiée dans son magazine, et mettra trois ans à répondre à tous les admirateurs, attristés, tout comme elle, par la disparition du groupe.
Sir James Paul McCartney, né le 18 juin 1942 à Liverpool, est un auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste britannique.
Il est le bassiste du groupe The Beatles, qui connaît un succès planétaire au cours des années 1960. Après sa participation aux Beatles, McCartney enregistre deux albums solo puis fonde le groupe Wings, rencontrant également le succès au cours des années 1970, avant de continuer de nouveau en solo par la suite. Nommé membre de l'ordre de l'Empire britannique en 1964, il est anobli le 31 décembre 1996 par la reine Élisabeth II au sein du même ordre de chevalerie, puis fait compagnon d'honneur en 2017 pour services rendus aux arts. En 2010, il reçoit également les Kennedy Center Honors.
J'ai toujours pensé que Lennon/McCartney et Harrison avaient fondé ensemble les Beatles...après the Quarrymen et autres groupes...????
En mai 1960, Lennon, McCartney et Harrison (alors sous le nom « The Silver Beetles ») furent rejoints par Stuart Sutcliffe, un ami de Lennon qui fréquentait lui aussi les Beaux-Arts, et le fils de Mona Best, Pete Best, batteur. Ils essayèrent plusieurs autres noms avant de rester sur The Beatles, pour leurs représentations à Hambourg en août 1960. Quand le groupe revint à Liverpool, Stuart Sutcliffe préféra les quitter et rester à Hambourg. Il restera en contact avec Lennon jusqu'à sa mort en 1962.
Galadriel a écrit:J'ai toujours pensé que Lennon/McCartney et Harrison avaient fondé ensemble les Beatles...après the Quarrymen et autres groupes...????
En mai 1960, Lennon, McCartney et Harrison (alors sous le nom « The Silver Beetles ») furent rejoints par Stuart Sutcliffe, un ami de Lennon qui fréquentait lui aussi les Beaux-Arts, et le fils de Mona Best, Pete Best, batteur. Ils essayèrent plusieurs autres noms avant de rester sur The Beatles, pour leurs représentations à Hambourg en août 1960. Quand le groupe revint à Liverpool, Stuart Sutcliffe préféra les quitter et rester à Hambourg. Il restera en contact avec Lennon jusqu'à sa mort en 1962.
Galadriel a écrit:J'ai toujours pensé que Lennon/McCartney et Harrison avaient fondé ensemble les Beatles...après the Quarrymen et autres groupes...????
En mai 1960, Lennon, McCartney et Harrison (alors sous le nom « The Silver Beetles ») furent rejoints par Stuart Sutcliffe, un ami de Lennon qui fréquentait lui aussi les Beaux-Arts, et le fils de Mona Best, Pete Best, batteur. Ils essayèrent plusieurs autres noms avant de rester sur The Beatles, pour leurs représentations à Hambourg en août 1960. Quand le groupe revint à Liverpool, Stuart Sutcliffe préféra les quitter et rester à Hambourg. Il restera en contact avec Lennon jusqu'à sa mort en 1962.
Peut-on dire qu'il est "le" fondateur des Beateuls ? lol ! cofondateur ?
Hi Elvé !
Hi Gala.
Je suis un peu perdu, je ne sais plus de qui tu parles.
Les fondateurs des Beatles sont John, Paul, George, Stuart Sutcliffe et Pete Best....si on tient compte du fait qu'ils étaient présents au moment du dernier changement de nom.
Le véritable fondateur est John, si l'on tient compte du fait - qu'il a fondé les Quarrymen - qu'il était le seul membre restant des Quarrymen "d'origine" au moment où ils ont changé de noms. - que Paul et George sont arrivés dans les Quarrymen parce que John les a recrutés. - qu'il était, à tous égards, le leader du groupe entre 1956 et 1966/1967 (après la mort de leur manager, Brian Epstein, le leadership a plus ou moins basculé vers Paul).
Bref, tout dépend si on considère que les Quarrymen et les Beatles (+ les Silver Beatles, Johnny and the Moondogs, ...) sont des groupes séparés et indépendants ou si on estime qu'il existe une continuité entre eux.
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Galadriel a écrit:J'ai toujours pensé que Lennon/McCartney et Harrison avaient fondé ensemble les Beatles...après the Quarrymen et autres groupes...????
En mai 1960, Lennon, McCartney et Harrison (alors sous le nom « The Silver Beetles ») furent rejoints par Stuart Sutcliffe, un ami de Lennon qui fréquentait lui aussi les Beaux-Arts, et le fils de Mona Best, Pete Best, batteur. Ils essayèrent plusieurs autres noms avant de rester sur The Beatles, pour leurs représentations à Hambourg en août 1960. Quand le groupe revint à Liverpool, Stuart Sutcliffe préféra les quitter et rester à Hambourg. Il restera en contact avec Lennon jusqu'à sa mort en 1962.
Dans sa biographie il est précisé que Lennon est le fondateur des Beatles. Après, à savoir si c'est exact, ou pas...
Beaucoup affirment que c'est à cause d'elle que le groupe a éclaté. George Harrison la détestait cordialement, au moins au début. Quand elle est entrée dans la vie de John Lennon, elle était présente dans le studio pendant les enregistrements. John lui avait même fait installer un lit dans le studio après son accident de voiture.
Paul avait un avis plus nuancé que celui de George. Dans le film Get Back, au cours d'une conversation avec l'équipe technique mais en l'absence de John et Yoko, il dit. "Quand même, ça va faire rigoler quand, dans 50 ans, les gens diront que les Beatles se sont séparés parce que Yoko s'est assise sur un ampli" Prophétique, le gars Paulo.
Par ailleurs, aucun des quatre membres du groupe ne lui a, par la suite, imputé la faillite des Beatles.
Sinon, c'est une artiste, elle aussi. Elle peint et elle chante.
Allez, une blague au sujet de sa carrière de chanteuse. Une fête chez un couple. Il est très tard. - Dis-donc, les invités s'incrustent. Je voudrais bien aller me coucher. Si on passait un CD de Yoko Ono ?
Brian Epstein, Klaus Voormann, Pete Best, Billy Preston... tous ont participé durant les années 60 et 70 à la mythification du groupe. Manager, pianiste ou encore footballeur, chacun de ces hommes a incarné durant un temps le nom de la légendaire formation Brit pop.
George Martin le producteur Stuart Sutcliffe bassiste 6o à 61
etc.
................
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Bon, entre les "oui" pour O et les quid pour le cul je sais plus bien où en en est.
A tout hasard
The Quarrymen (parfois écrit The Quarry Men) est un groupe de skiffle et de rock 'n' roll formé à Liverpool par John Lennon, pendant l'été 1956, avec plusieurs amis d'école. Les Quarrymen se sont baptisés d'après la Quarry Bank Grammar School, à laquelle Lennon et la plupart des autres membres du groupe étaient inscrits. Paul McCartney (en 1957) puis George Harrison (en 1958) rejoignent le groupe, qui évoluera pour devenir les Beatles.
Rien à jeter (enfin, bon, pour Yellow Submarine, je sais pas...) Le tremplin pour Sergeant Pepper's.
Et comme c'est le R, on va mettre Eleanor Rigby. D'aurant que c'était ma préférée quand l'album est sorti. Avec les beaux arrangements de cordes de George Martin, le 5° Beatle (ça, c'est pour Gala )
L’hypothèse la plus probable vient du fait que Paul et Mal Evans dînaient souvent ensemble. Il y avait en permanence deux petites boites estampillées » S » et » P » sur la table, signifiant » Salt and Pepper « . De fil en aiguille, et de part la ressemblance phonétique certaine, cela serait devenu » Sgt Pepper » … A l’origine, » Sergeant Pepper » et » Lonely hearts club band » étaient deux enchaînements d’idées différents dans l’esprit de Paul, jusqu’à ce qu’il eut l’idée de les rapprocher, amusé par l’opposition qui existait entres elles. En effet, un » Sgt Pepper « , avec tous l’esprit militaire que cela représente, est difficilement associable à la notion de » cur solitaire « … Paul : » Je me suis dit : » Bon, on a ce Sergeant Pepper, il a appris à ses musiciens à jouer, et ils sont arrivés à jouer un morceau ensemble. Dune certaine façon, c’est une fanfare, mais c’est aussi un groupe de rock parce qu’ils sont imprégnés du mouvement hippy de San Francisco « . C’est comme ça que tout est venu, dans notre volonté de produire du pur spectacle « . C’est donc de ce concept que découle l’intégralité de l’album. Il est amusant de noter que le premier titre de l’album était » One down, six to go » (un de moins, il en reste six), clin d’il au lien contractuel les unissant avec EMI. A l’origine, » Sgt Pepper » devait s’organiser autour de l’enfance Liverpudlienne des Beatles.
L’année précédant l’abandon de Pete Best par Ringo, les Beatles comptent encore un cinquième membre dans le groupe. Il s’agit du bassiste Stuart Sutcliffe, un type dont le style impressionne bien plus que ses capacités musicales. Lorsque les Beatles se rendent pour la première fois à Hambourg en 1960, Sutcliffe joue de la basse. Plus tard, après avoir trouvé une petite amie (qui est rapidement devenue sa fiancée), Sutcliffe a défini le look des premiers Beatles, même s’il n’est pas resté avec le groupe. En fait, il a été le premier à enfiler un costume en cuir et à se faire couper les cheveux à la manière des Beatles. Mais Sutcliffe avait de sérieux problèmes de santé qui ont tourné à la mort en 62. Lorsqu’il est tombé malade et est décédé soudainement, les Beatles ont vécu ce que Paul McCartney a décrit comme “un véritable choc”.
1969. Les Beatles sont réunis aux studios de cinéma de Twickenham en vue d'enregistrer un album et de préparer un concert public, le premier depuis leur dernière tournée aux USA en 1966, au terme de laquelle ils avaient décidé d'arrêter de jouer sur une scène.
Ils travaillent sur une nouvelle chanson de McCartney, Two of Us, et George Harrison se la joue victime passive-agressive. - Je peux ne jouer que les accords si tu veux. Ou même ne pas jouer du tout, si tu me le demandes. Tout ce qui peut t'être agréable, je suis disposé à le faire. - Non mais c'est terrible parce que j'ai toujours l'impression de te contrarier alors que j'essaie simplement de t'aider. - Tu ne me contraries pas. Tu ne me contraries plus.
En fait, comme toujours dans les rapports humains, ça vient de bien plus loin. George a accumulé des tonnes de ressentiment à force de se sentir la dernière roue du carosse derrière le duo d'auteur-compositeurs prolifique Lennon/McCartney.
Quelques jours plus tard, il annonce qu'il quitte les Beatles. Il finira par revenir. Tout s'arrangera avec l'arrivée de Billy Preston aux claviers qui transcende les arrangements par son jeu et ses idées musicales. De plus, sa présence atténue la trop grande intimité, l'entre-soi qui régnait jusque là au sein du quatuor, comme chez les vieux couples.
C'est John qui, comme souvent, raconte des andouilleries au début de la prise. Il a été décidé de les garder.
PS : De son côté, Ringo, qui avait également démissioné provisoirement pendant les enregistrements de l'Album Blanc, sera, cette fois, impeccable tout du long, réussissant à ne pas s'impliquer du tout dans les bisbilles.
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L’histoire d’amour entre les Beatles et les États-Unis, où ils enchaînent les no 1 en 1964 et 1965, trouve un point d’orgue le 15 août 1965 en ouverture de leur seconde tournée de ce côté de l’Atlantique. Ce jour-là, ils sont le premier groupe de rock à se produire dans un stade, le Shea Stadium de New York, devant 56 000 fans déchaînés et dans des conditions singulières pour ce genre de spectacle, dans une telle arène, sous les hurlements de la foule. Les Beatles se produisent munis seulement de leurs amplis Vox, et sont repris par la sono du stade, c’est-à-dire les haut-parleurs utilisés par les « speakers » des matches de baseball. Il en résulte que ni eux ni le public n'entendent clairement une note de cette prestation historique. Les documents filmés ce jour-là montrent cependant que les Beatles arrivent à jouer, et que c’est John Lennon qui empêche ses partenaires de se retrouver paralysés par l’événement, en multipliant les pitreries, comme parler façon charabia en agitant ses bras pour annoncer un titre en se rendant compte que personne ne peut l’entendre, ou maltraiter un clavier avec ses coudes lors de l’interprétation de I'm Down.
C’est la question la plus ancienne de l’histoire du rock : es-tu Stones ou Beatles ?
Perso j'étais Stones !!!! Mais aujourd'hui les deux...
Pourquoi vouloir toujours opposer ces 2 monstres sacrés qui ont chacun tant apporté à la musique ? Leurs discographies prouvent qu’ils ont toujours été complémentaires, et pas si rivaux que ça…
Ennemis les Beatles et les Stones ? Ce serait oublier plusieurs faits qui ont émaillé leur carrières parallèles et ont fait se croiser les deux groupes à plusieurs reprises, et dans un esprit tout sauf belliqueux : -Un des premiers tubes des Pierres qui roulent leur a été offert par le duo Lennon-McCartney : il s’agit de I wanna be your man, que les Stones sortent en single début 64 et que les Beatles enregistrent pour leur album With the Beatles, fin 63.
-En 1967, les Beatles affichent « welcome good guys the Rolling Stones » sur la pochette de Sergent Pepper's et les Stones leur retournent la pareille en insérant les visages des Fab Four dans l’image 3D de Their Satanic Majesties Request. Cet échange de civilités est l’idée du photographe Michael Cooper qui justement voulait mettre fin à l’antagonisme médiatique entre les deux groupes
-Mick Jagger invite John Lennon à participer au Rock'n'Roll Circus en décembre 1968. Le Beatle joue même avec Keith Richards (ainsi qu’Eric Clapton et Mitch Mitchell) dans un supergroupe éphémère monté pour l’occasion : The Dirty Mac, qui interprète Yer blues. Jagger et Lennon semblent visiblement bons amis, et le Beatle se prête de bon cœur au jeu des intermèdes introduisant les groupes invités. C’est ainsi qu’on peut entendre et voir John Lennon annoncer la prestation des Rolling Stones !
-En 1988, c’est Mick Jagger qui prononce le discours d’intronisation des Beatles au Rock’n’Roll Hall of Fame. Parmi les morceaux joués, on note un des Beatles I Saw Her Standing There, et un des Rolling Stones (I Can’t Get No) Satisfaction. Mick Jagger partage ainsi la scène avec, entre autres, George Harrison et Ringo Starr (Paul McCartney n’est pas venu à la cérémonie).
Alors pourquoi cette image communément admise de rivalité ? Tout simplement la conséquence d’une démarche purement marketing.
Andrew Loog Oldham, manager des Rolling Stones, a immédiatement compris le pouvoir de la communication par l’image. Et devant l’immense succès des Beatles, il a su proposer une alternative, afin de positionner les Stones comme challengers. Brian Epstein avait transformé les quatre de Liverpool en jeunes gens bien proprets et apparaissant comme les gendres idéaux aux yeux des familles traditionnelles anglaises. Andrew Loog Oldham prend le contrepied et forge une image de voyous à ses poulains. La presse se frotte les mains et en fait ses choux gras :