Flavius a écrit:Mais c'est toujours pareil, les uns, par leurs actes ou leurs propos, poussent les autres à se marginaliser malgré eux. Mais l'invasion islamiste, qu'on la considère comme agressive ou pas, c'est un fait. Quand Onfray écrit que les civilisations sont appelées à naître et à mourir, ce n'est pas discutable. Il en va ainsi de notre histoire. après que l'on s'en félicite où au contraire qu'on le déplore, c'est une autre affaire. L'invasion a commencé depuis longtemps, depuis que les bords de la Mare nostrum, la Méditerranée, n'est plus le centre de la chrétienté mais est devenue une frontière abritant deux civilisations hostiles et qui se font face.
S'agissant de l'islam qui, je vous le rappelle n'est pas qu'une religion, produit une démographie bien plus importante que la nôtre, on peut considérer que ce dernier peut conquérir l'Europe sans coup férir. Et si, comme vous le dites certains leaders politiques placent en tête de gondole dans leur programme l'immigration, c'est tout simplement d'une part parce que c'est un des enjeux principal d'aujourd'hui et encore plus de demain et d'autre part, parce qu'il conditionne tous les autres sujets, comme par exemple, l'économie, la santé, l'Education, la sécurité, etc.
A mon avis vous nous décrivez la planète bisounours. Personne ne partira.
Heu, non ceux qui arrivent ne sont pas Français. A moins que vous parliez de ceux qui les aident et aident les passeurs. Mais là encore j'ai des doutes. Disons qu'ils sont Occidentaux.
Il n'est pas question de laisser les gens mourir en mer. Il est question qu'ils ne partent pas de chez eux. C'est chez eux qu'ils doivent demander le droit d'asile. Lorsqu'ils sont ici c'est trop tard. Vous savez très bien qu'ils ne repartent lorsqu'ils sont déboutés. En plus s'ils sont avec des enfants...
Blanquer est pratiquement le seul ministre qui soit à sa place.
La tolérance, comme disait l'autre, il y a des maisons pour ça. Plus sérieusement, la tolérance zéro ce n'est pas un concept qui peut s'adapter à notre culture française. Donc je n'y crois pas un instant.
Beaucoup de professeurs enseignant dans les territoires perdus de la république vous diront que beaucoup de ce que l'on appelle pudiquement ces jeunes, refusent d'apprendre et de considérer les établissements scolaires comme "sacrés", alors que d'autres, NE PEUVENT PAS APPRENDRE. Il en sont incapables. Et je ne parle même pas de la désocialisation.
Et puis une question à laquelle on ne répond JAMAIS, ou sont les PARENTS ? Mais là j'ai la réponse. Ils sont, pour des raisons multiples et diverses inexistants.
Et quid des mineurs immigrés sur notre territoire que le Maroc et l'Algérie nous ont généreusement offerts et qui agressent les gens dans les rues ? Je crains que tout cela finisse très mal du fait d'un laxisme et un discours jouant sur l'émotion qui dure depuis une bonne trentaine d'années, sinon plus.
Bonjour Flavius,
alors pour commencer, non, personne n'est poussé à se marginaliser.
Je ne vous parle pas d'émotions mais de faits; regardez les gens dont vous parlez, ce qu'ils font, ce qu'ils disent, leurs actes, leurs accointances, et si ensuite, vous considérez que ce sont des personnes fréquentables, alors nous n'avons pas la même définition de ce que sont le bien commun, une vision à long terme et la civilisation.
Mais ce n'est pas un drame que de n'être pas d'accord, n'est-ce pas, le monde n'est pas uniforme et monocolore ?
L'islam n'est pas une religion ?! Ah ben, si déjà vous réécrivez les définitions, on va passer au paragraphe suivant
Je ne parle pas de gens qui arrivent mais de ceux qui sont là; l'immigration est un autre sujet, lui-même divisé entre les arrivées légales et les clandestines (d'ailleurs on dit "migrants" pour "clandestins" par une sorte de stupide pudeur). Alors soit, c'est du bisounoursisme que de constater qu'on ne peut pas refouler nos compatriotes, quand bien même ils sont infoutus de s'adapter.
Après tout, vous êtes chez vous, sur ce site, vous savez mieux que moi comment on dit les choses sur ce forum.
Ailleurs, on parlerait de réalisme et de droit.
Tout le monde peut apprendre. Absolument TOUT le monde.
Mais pas à la même vitesse, pas aussi facilement les mêmes matières, et bien entendu, d'un âne, on ne fera jamais un cheval de course.
Je viens de lire les interventions en marge, et je confirme, on se sent aussi à l'aise ici que doit l'être un immigré qui débarque en fraude en Sicile ou un touriste chrétien qui cherche une église à Ryad
(Je vous aurais bien répondu plus longuement, Flavius, mais il y a des personnes ici qui ont, semble-t-il, du mal avec une certaine concentration mots formant des phrases, eux-mêmes composant des paragraphes, etc... Comme l'accueil n'est pas des plus favorables, je n'en remets pas une couche leur brouillant l'écoute)