Coronavirus , les questions a se poser ,les critiques

Superphelpsus a écrit:  Oui mais bon de toute façon qu est ce que ça coûte d écouter le prof  Raoul. On critique mais tout les politique ou les gens friquer sont les premiers à ce faire soigner par ce traitement. De toute façon ça fera pas plus de victime c est un médicament qui a été prit par dés milliard de personne en 50 ans

Tu parles de ce que tu ne connais pas.
Les milliards qui l'ont pris depuis 50 ans ne l'ont pas pris pour soigner le Covid mais une maladie pour laquelle il est conçu.

 Moi mon grand père il a eu une main arracher par une bombe allemand il a fallu lui couper Le Bras vivant pour pas attraper là grand grène sûrement je sais pas avec quoi peut-être une scie  mais à cette époque là y avait pas des trucs pour endormir les gens y avait pas de sale d opération les gens lui ont pas dit attend on va faire une étude on va attendre 50 ans l histoire d avoir des sale d opération. Les gens s adapte à la situation le temps c est un lux qu ils ont pas soit il suivent leur instinct sans perde de temps ta un prof réputer qui explique que ça rend les gens moins contagieux et que ça aide et en plus c est un médicament qui coûte rien à fabriquer et qui est connu et a été prit par dés milliard de gens, tu réfléchi même pas tu fais confiance d ailleurs y a plein pays au monde qui suivent l’es conseil et qu ils ont pas attendu. Moi je comprends pas cette attitude. Et même politique c est les premiers à suivre quand ils sont infectés

Azalee a écrit:
Tu parles de ce que tu ne connais pas.
Les milliards qui l'ont pris depuis 50 ans ne l'ont pas pris pour soigner le Covid mais une maladie pour laquelle il est conçu.

  Oui il en sont pas mort

Azalee a écrit:
Tu parles de ce que tu ne connais pas.
Les milliards qui l'ont pris depuis 50 ans ne l'ont pas pris pour soigner le Covid mais une maladie pour laquelle il est conçu.

 En tout cas si après une étude sérieuse c est prouver que le professeur Raoul avait raison , oufti y a des politiciens qui vont ce trouver en prison valet . Ça voudra dire qu ils ont aurontete complètement défaillant. Ne te dis pas la rage des gens

Superphelpsus a écrit: En tout cas si après une étude sérieuse c est prouver que le professeur Raoul avait raison , oufti y a des politiciens qui vont ce trouver en prison valet . Ça voudra dire qu ils ont aurontete complètement défaillant. Ne te dis pas la rage des gens

Ben voilà. Après une étude sérieuse et seulement après.

Azalee a écrit:
Ben voilà. Après une étude sérieuse et seulement après.

  Mais après quoi après  500 000 mort en Europe et des gens qui reste 3 mois chez eux et une faillite de nos pays . Ils diront oh flûte si on avait su on l aurait utilisé 3 mois avant . Tu crois que les gens vont pardonner ça   Pas moi en tout cas

Raoul a écrit:
Ne vous en faites pas les ami(e)s, j'ai assez de produit pour l'équipe du forum

Ouf, heureusement que tu ne nous as pas oublié....

Flavius a écrit:

Mon texte n'avait rien à voir avec cette malheureuse jeune fille de 16 ans. C'était évident. D'ailleurs comment aurai-je pu l'associer à mes récriminations, alors qu'hier, personne ne savait ce qui lui était arrivé avec précision. Aujourd'hui, on sait que c'est la seule de cet âge qui est morte du virus. Pas plus que je ne savais si elle habitait une cité sensible ou pas. Et de c'est bien de cela dont il était question. Comment aurai-je pu donc l'associer aux racailles auxquelles je fais allusion ? Un peu de jugeote quand même.
Et puis je ne compte pas me justifier plus que cela parce qu'une personne m'a mal compris. C'est trop grotesque.

Tellement évident !

   Plus les jours passent plus les avis se multiplient sur le professeur Raoult et surtout les critiques.

"""Sur LCI lors d’un débat sur l'hydroxychloroquine, Daniel Cohn-Bendit s’est emporté contre le professeur Raoult qui a mené un essai clinique sur 24 patients atteints par le coronavirus.

L'efficacité de ce médicament critiquée :

« Mais qu’il ferme sa gueule et qu’il soit médecin. Qu’il arrête de dire partout, je suis un génie ! Il y en a marre… Il y en a marre des gens comme lui… », a déclaré l’ancien eurodéputé. 

Le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU de Marseille, s’est attiré des critiques après avoir publié deux études confirmant selon lui l'« efficacité » de ce traitement contre le coronavirus.

Dans une deuxième étude portant sur 80 patients, publiée vendredi en ligne, le directeur du réputé Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Marseille, affirme que 80 % d’entre eux ont connu une « évolution favorable ».


Or nombre de scientifiques pointent les limites de ces études, car elles n’ont pas été menées selon les protocoles scientifiques standards.

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Je partage donc l'avis d'Azalée sur ce point, rien n'est fiable pour le moment, attendons donc ..... le suivi des ces études

Arlequine2 a écrit:    Plus les jours passent plus les avis se multiplient sur le professeur Raoult et surtout les critiques.

"""Sur LCI lors d’un débat sur l'hydroxychloroquine, Daniel Cohn-Bendit s’est emporté contre le professeur Raoult qui a mené un essai clinique sur 24 patients atteints par le coronavirus.

L'efficacité de ce médicament critiquée :

« Mais qu’il ferme sa gueule et qu’il soit médecin. Qu’il arrête de dire partout, je suis un génie ! Il y en a marre… Il y en a marre des gens comme lui… », a déclaré l’ancien eurodéputé. 

Le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU de Marseille, s’est attiré des critiques après avoir publié deux études confirmant selon lui l'« efficacité » de ce traitement contre le coronavirus.

Dans une deuxième étude portant sur 80 patients, publiée vendredi en ligne, le directeur du réputé Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Marseille, affirme que 80 % d’entre eux ont connu une « évolution favorable ».


Or nombre de scientifiques pointent les limites de ces études, car elles n’ont pas été menées selon les protocoles scientifiques standards.

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Je partage donc l'avis d'Azalée sur ce point, rien n'est fiable pour le moment, attendons donc ..... le suivi des ces études

  Qu est ce qui connaît le Cohn bendit ça a toujours été un policiticien médiocre.   Qu’états unis ils ont donner le feu vert pour en fabriquer en masse et en donner à tout le monde .

Arlequine2 a écrit:    Plus les jours passent plus les avis se multiplient sur le professeur Raoult et surtout les critiques.

"""Sur LCI lors d’un débat sur l'hydroxychloroquine, Daniel Cohn-Bendit s’est emporté contre le professeur Raoult qui a mené un essai clinique sur 24 patients atteints par le coronavirus.

L'efficacité de ce médicament critiquée :

« Mais qu’il ferme sa gueule et qu’il soit médecin. Qu’il arrête de dire partout, je suis un génie ! Il y en a marre… Il y en a marre des gens comme lui… », a déclaré l’ancien eurodéputé. 

Le professeur Didier Raoult, directeur de l’IHU de Marseille, s’est attiré des critiques après avoir publié deux études confirmant selon lui l'« efficacité » de ce traitement contre le coronavirus.

Dans une deuxième étude portant sur 80 patients, publiée vendredi en ligne, le directeur du réputé Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée Infection de Marseille, affirme que 80 % d’entre eux ont connu une « évolution favorable ».


Or nombre de scientifiques pointent les limites de ces études, car elles n’ont pas été menées selon les protocoles scientifiques standards.

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Je partage donc l'avis d'Azalée sur ce point, rien n'est fiable pour le moment, attendons donc ..... le suivi des ces études

En effet il ne peut y avoir deux génies en France. Cohn-Bendit et le Pr. Raoult. Pour ma part, je n'ai jamais entendu dire Raoult qu'il était un génie. Par contre je vois beaucoup, Cohn-Bendit jouer les divas sur LCI qui, comme d'autres chaînes, roule pour Macron.

Ainsi, le Pr. Cohn-bendit, génie des maladies infectieuses, qui s'est trompé pratiquement sur tout, jusqu'à vanter dans un livre, les délices de la pédophilie, somme le Pr. Raoult virologue de renommée internationale, et connu comme étant le virologue publiant le plus dans son domaine, de fermer sa gueule ? Et bien moi j'aurai plus tendance à mettre ma vie entre les mains du docteur Raoult qu'entre celles de ce pignouf de Cohn-Bendit qui ne sait plus quoi faire pour qu'on parle encore de lui et qui ne tire sa légitimité, que parce que les plateaux télé ne savent plus qui inviter pour changer de l'ineffable Goupil. Cette macronie commence vraiment à me gaver avec ses vedettes sur le retour. 
J'espère que si ce gros con de Cohn-Bendit est atteint du coronavirus, le professeur Raoult lui refusera la chloroquine afin qu'il ferme définitivement sa gueule.

Quand au fond, n'étant ni Cohn-Bendit, ni virologue, j' attendrai les résultats qui ne tarderont pas à être révélés, résultats relatifs à l'études européenne pour avoir un avis.

Je note qu'actuellement, bien des personnalités sont déjà soignées, avec succès, à la chloroquine. Reste à savoir si elles n'auraient pas été de toute façon guéries sans la chloroquine. Et là est toute la difficulté. L'incertitude.

Con bendit porte bien son nom, de même que sibeth, son prénom

Plus infatué, imbu de sa personne, que ce mec, tu meurs ! Grande gueule, et petit con....

Pour le reste, no comment...(je parle des commentaires sur le médicament, en général, où tout (et son contraire) a déjà été dit, relayé, brandi jusqu'à la nausée

Mon avis est inchangé...

Flavius, ok, comme d'hab'....

"Aujourd'hui, plus qu'hier, mais bien moins que demain"
Ce proverbe, un peu qq la praline, s'applique très bien au virus !

cristaline a écrit:Con bendit porte bien son nom, de même que sibeth, son prénom

Plus infatué de lui que ce mec, tu meurs !

Pour le reste, no comment...

Ils caractérisent bien la macronie : la prétention, le mépris du peuple et sa méconnaissance, l'incohérence produite par des affirmations démenties par les faits le lendemain, l'ignorance, la gouvernance au jour le jour, le manque d'anticipation pour des gains immédiats, en un mot une crasse bêtise qui nous conduit à nous demander comment ont-ils pu être recrutés par le pouvoir ?
Quant à Cohn-Bendit, c'est l'équipe de Attali et consort qui a placé Macron là où il est pour déconstruire l'ancien monde. Une seul conviction  : plus de convictions !

Très beau texte d'Annie Ernaux, un(e) écrivain(e) que j'adore !

Cergy, le 30 mars 2020

Monsieur le Président,

« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » -  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

Annie Ernaux

cristaline a écrit:Très beau texte d'Annie Ernaux, un(e) écrivain(e) que j'adore !

Cergy, le 30 mars 2020

Monsieur le Président,

« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » -  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

Annie Ernaux

Flavius a écrit:
En effet il ne peut y avoir deux génies en France. Cohn-Bendit et le Pr. Raoult. Pour ma part, je n'ai jamais entendu dire Raoult qu'il était un génie. Par contre je vois beaucoup, Cohn-Bendit jouer les divas sur LCI qui, comme d'autres chaînes, roule pour Macron.

Ainsi, le Pr. Cohn-bendit, génie des maladies infectieuses, qui s'est trompé pratiquement sur tout, jusqu'à vanter dans un livre, les délices de la pédophilie, somme le Pr. Raoult virologue de renommée internationale, et connu comme étant le virologue publiant le plus dans son domaine, de fermer sa gueule ? Et bien moi j'aurai plus tendance à mettre ma vie entre les mains du docteur Raoult qu'entre celles de ce pignouf de Cohn-Bendit qui ne sait plus quoi faire pour qu'on parle encore de lui et qui ne tire sa légitimité, que parce que les plateaux télé ne savent plus qui inviter pour changer de l'ineffable Goupil. Cette macronie commence vraiment à me gaver avec ses vedettes sur le retour. 
J'espère que si ce gros con de Cohn-Bendit est atteint du coronavirus, le professeur Raoult lui refusera la chloroquine afin qu'il ferme définitivement sa gueule.

Quand au fond, n'étant ni Cohn-Bendit, ni virologue, j'attendrai les résultats qui ne tarderont pas à être révélés, résultats relatifs à l'études européenne pour avoir un avis.

Je note qu'actuellement, bien des personnalités sont déjà soignées, avec succès, à la chloroquine. Reste à savoir si elles n'auraient pas été de toute façon guéries sans la chloroquine. Et là est toute la difficulté. L'incertitude.

Je partage et l'ai mentionné aussi dans mon post.
J'ai pris C.Bendit mais il y a pas mal d'autres avis controversés, donc c'était l'un parmi les autres

Arlequine a écrit:Je partage donc l'avis d'Azalée sur ce point, rien n'est fiable pour le moment, attendons donc ..... le suivi des ces études

"Aucune preuve formelle n’a été obtenue sur aucun médicament", rappelle Xavier Lescure, qui estime qu'on "pourra espérer de premiers résultats [des différents essais en cours] d’ici une quinzaine de jours."


Sur la chloroquine plus précisément, il ne cache pas son inquiétude : "Pour prendre une décision majeure il faut être plusieurs. On peut la prendre rapidement, mais il ne faut pas oublier que des cliniciens, des méthodologistes, des spécialistes de santé publique auront toujours une vision plus large qu’un clinicien.



Certes, ce dernier doit pouvoir prendre une décision, mais elle doit être entourée d’une intégrité scientifique sans faille, même dans l’urgence. Le point qui m’affecte, c’est la façon dont sont communiqués ces résultats. Et le fait que les gens croient que la chloroquine est efficace, ça entrave la réalisation rapide de la recherche clinique robuste pour pouvoir apporter une réponse la plus rapide possible."


Stéphane Gaudry, lui, assure même voir déjà des effets dévastateurs à cause de cette polémique : "En l’état actuel des choses, ce qu’on peut dire c’est que la chloroquine est peut-être efficace, peut-être inefficace, et peut-être dangereuse. Ce sont les trois possibilités et pour l’instant, on ne peut pas répondre à la question.



Quand on ne connaît pas le sujet, on peut avoir l’impression que “c’est pas grave, on va donner un peu de chloroquine et si ça marche pas tant pis” or ce n’est pas du tout comme ça que ça marche : nous, on a des malades qui sont arrivés avec de la chloroquine et qui avaient des effets secondaires cardiaques extrêmement graves : c’est un médicament qui est cardio-toxique."


"Il faut se méfier : c’est pas la première fois dans l’histoire de la santé publique qu’il y a un emballement autour d’un médicament", rappelle le médecin. "La chloroquine, c’était déjà arrivé sur d’autres coronavirus, et on en était revenu en disant que c’était inefficace. C’est pas la première fois qu’on voit un coronavirus…"


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Flavius a écrit:
En effet il ne peut y avoir deux génies en France. Cohn-Bendit et le Pr. Raoult. Pour ma part, je n'ai jamais entendu dire Raoult qu'il était un génie. Par contre je vois beaucoup, Cohn-Bendit jouer les divas sur LCI qui, comme d'autres chaînes, roule pour Macron.

Ainsi, le Pr. Cohn-bendit, génie des maladies infectieuses, qui s'est trompé pratiquement sur tout, jusqu'à vanter dans un livre, les délices de la pédophilie, somme le Pr. Raoult virologue de renommée internationale, et connu comme étant le virologue publiant le plus dans son domaine, de fermer sa gueule ? Et bien moi j'aurai plus tendance à mettre ma vie entre les mains du docteur Raoult qu'entre celles de ce pignouf de Cohn-Bendit qui ne sait plus quoi faire pour qu'on parle encore de lui et qui ne tire sa légitimité, que parce que les plateaux télé ne savent plus qui inviter pour changer de l'ineffable Goupil. Cette macronie commence vraiment à me gaver avec ses vedettes sur le retour. 
J'espère que si ce gros con de Cohn-Bendit est atteint du coronavirus, le professeur Raoult lui refusera la chloroquine afin qu'il ferme définitivement sa gueule.

Quand au fond, n'étant ni Cohn-Bendit, ni virologue, j' attendrai les résultats qui ne tarderont pas à être révélés, résultats relatifs à l'études européenne pour avoir un avis.

Je note qu'actuellement, bien des personnalités sont déjà soignées, avec succès, à la chloroquine. Reste à savoir si elles n'auraient pas été de toute façon guéries sans la chloroquine. Et là est toute la difficulté. L'incertitude.

  Si il était infecté ce serai le premiers à courir chez le prof raoult, tout ceux qui l ont critiqué était les premiers à suivre ces traitements   rompfyyy

Je partage ta conclusion

Rompfffff.....

cristaline a écrit:Très beau texte d'Annie Ernaux, un(e) écrivain(e) que j'adore !

Cergy, le 30 mars 2020

Monsieur le Président,

« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » -  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

Annie Ernaux

Merci, Moiself

Cette femme écrit admirablement, (j(adore ses livres) et résume tellement ce que l'on est en droit de penser.....

cristaline a écrit:Merci, Moiself

Cette femme écrit admirablement, (j(adore ses livres) et résume tellement ce que l'on est en droit de penser.....

Et ce qu'elle écrit est du bon sens tout simplement, et parvenir à traduire le bon sens d'une situation est, pour moi, un signe d'intelligence. (pas sûr que ma phrase soit intelligente, elle)

Moiself a écrit:
Et ce qu'elle écrit est du bon sens tout simplement, et parvenir à traduire le bon sens d'une situation est, pour moi, un signe d'intelligence. (pas sûr que ma phrase soit intelligente, elle)

Oh que si !

cristaline a écrit:Très beau texte d'Annie Ernaux, un(e) écrivain(e) que j'adore !

Cergy, le 30 mars 2020

Monsieur le Président,

« Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et  ce qu’on pouvait lire sur la  banderole  d’une manif  en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux,  tout ce jargon technocratique dépourvu de  chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays :  les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de  livrer des pizzas, de garantir  cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle,  la vie matérielle.  

Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas  là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps   pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent  déjà  sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde  dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde  où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie,  nous n’avons qu’elle, et  « rien ne vaut la vie » -  chanson, encore, d’Alain  Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui  permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale.

Annie Ernaux

 

cristaline a écrit:Con bendit porte bien son nom, de même que sibeth, son prénom

Plus infatué, imbu de sa personne, que ce mec, tu meurs ! Grande gueule, et petit con....

Pour le reste, no comment...(je parle des commentaires sur le médicament, en général, où tout (et son contraire) a déjà été dit, relayé, brandi jusqu'à la nausée

Mon avis est inchangé...

Flavius, ok, comme d'hab'....

D"accord avec toi et Flavius ,ce mec est imbuvable tout comme Goupil
Comment fait on pour autoriser un pédophile auto proclamé a être sur un plateau Tv ??