La crise des subprimes n'était pas de son fait. Et il l'a bien réglée. On l'a échappée belle ! Un peu plus et tous nos comptes en banque explosaient. Heureusement que c'était Sarkozy et pas Ségolène qui était aux manettes.Azalee a écrit:A ma connaissance, Sarkozy ne s'est pris que la crise financière.Flavius a écrit:
Te rappelles-tu ce qu'à pris Sarkozy ? Moi je trouve qu'à Macron à été plutôt épargné. De plus en trois mois il a ouvert 52 fois le carnet de chèques. Je suppose que ceux qui en ont été les bénéficiaires ne devraient pas trop lui en vouloir...
Maintenant qu'est-ce qui te fait dire que les opposants ne veulent pas la place ? A droite, il est évident qu'ils se bâtent pour non. Demande donc à Mélenchon s'il ne veut pas la place.
En fait, la question que je poserais, c'est qui sera le pivot de la droite ? Qui va réunir les droites ? Marine joue gros, car si elle rate ces élections, politiquement, elle risque de ne plus exister.
La droite traditionnelle implosera. Les centristes se retrouveront chez Macron et les ciottistes, chez Zemmour/Maréchal.
Je constate que ce type d'élection se joue à trois bandes. L'élection présidentielle, les législatives et le parti. Maintenant, tout dépend le score que fera Marine le Pen et ce que donnera celui de Zemmour.
Pour l'heur, on peut avancer que Macron devrait l'emporter. C'est l'analyse que je fais.
Macron a les gilets jaunes, la pandémie, les complotistes, les antivax, les anti-tout...
J'ai dit que certains ne voulaient pas la place.
Ben les gilets jaunes, il en est à l'origine avec l'augmentation de l'essence à la pompe et l'argent distribué là où il ne fallait peut-être pas. Et je passe sur la façon dont ils ont été qualifiés : beaufs, arriérés, chemises brunes, etc..
La pandémie, il devrait la bénir. S'il est élu, ça sera grâce à elle. Sainte Covid,qui êtes aux cieux...
Ben oui, on peut toujours dire que celles et ceux qui sont à moins de 5%, ne veulent pas le pouvoir. Mais je n'en suis pas sûr. Selon moi, il n'y en a qu'un qui ne voulait pas le pouvoir c'est JMLP. D'ailleurs on le voit désemparé lorsqu'il arrive au deuxième tour des élections en virant Jospin.