Je ne pense pas que ces personnes qui s'insinuent de la sorte dans la religion, les médias, les partis politiques, la société française, parmi les intellectuels, mêmes ceux qui dénoncent l'islamisme, soient des abrutis. Leur objectif inavoué, consiste, selon moi en tout cas, à occuper peu à peu des positions stratégiques pour préparer l'avenir. Et lorsque le moment sera venu, ils n'hésiteront pas à se débarrasser les idiots utiles qui leur auront servi la soupe. Cette histoire on la connaît. Elle existe depuis la nuit des temps. Malheureusement on ne sait pas tirer les leçons de l'histoire, par paresse et par confort, parfois même pour un intérêt de éphémère.
De toute façon, je considère que c'est trop tard pour réagir car les méthodes qu'il faudrait utiliser ne feront jamais consensus à moins de considérer qu'une dictature éclairée soit une solution. Je ne vois même pas Marine le Pen engager des mesures si contraignantes, qui demanderaient de revenir sur de multiples traités, et par dessus le marché très onéreuses. La "remigration" que préconise Renaud Camus, je n'y crois pas pour toutes ces raisons. C'est une utopie.
Je rêve simplement que tous les prédécesseurs de Marcron qui nous ont conduit à cette situation, par intérêt, paresse, dilettantisme, lâcheté, soient jugés, y compris par contumace, ne serait-ce que pour satisfaire à l'esprit. Pourtant ce ne sont pas les lanceurs d'alerte qui ont manqué. Mais au lieu de les écouter, on les menait devant les juges, après les avoir insultés et traités de racistes et de fascistes. Aujourd'hui, ces mêmes censeurs, gardiens de la pensée unique, n'hésitent pas, sans honte aucune, à reprendre la sémantique de ceux qu'ils conduisaient hier à la potence. Ils méritent tous nos crachats. Est-ce un hasard si nos médias serviles sont aussi détestés que nos lâches girouettes de politiques ? Bien sûr que non !
La violence explose un peu partout dans notre pays et on ne veut toujours pas y voir un lien avec les flux migratoires actuels, alors que les faits le démontrent chaque jour. La lâcheté continue à habiter nos dirigeants. Ces mêmes dirigeants qui ont choisi d'abandonner la notion de nation à la quelle ils ont substitué celle de consommation. Que la société soit devenue arabisante, que les valeurs qui ont construit notre pays, nos religions ancestrales, de notre culture, dont le président lui-même disait encore il y a peu, qu'elle n'existait pas, ils s'en balancent. Ce qu'ils veulent avant tout, c'est un gouvernement mondial, cher à Soros et Attali, un immense marché, et des consommateurs. Plus de politique, mais de l'économie ; plus d'individu, mais des masses ; plus de culture caractérisant un pays, mais une culture globale ; plus de nations, plus de pays, plus de frontières mais une planète uniformisée et ennuyeuse comme la mort.
Que la paix soit avec vous.