Les voitures anciennes

La 403 ! Je ne connaissais pas la version "décapotable" !

cristaline a écrit:La 403 ! Je ne connaissais pas la version "décapotable" !

Columbo avait la même 

La Belle Époque

Mathis MY 1926


Obligation de la Mathis SA en date du 13 octobre 1931


Mathis EMY4S 1933 lors des journées du patrimoine 2012 à Blaye.


Mathis EMY4S 1933, vue arrière.
Émile Mathis fut d'abord distributeur d'automobiles de diverses marques à Strasbourg, ville alors annexée à l'Allemagne.
Il s'associa avec Ettore Bugatti pour construire des véhicules Mathis Hermès Simplex de 28, 40, 45, 50 et 90 HP à l'usine de Graffenstaden. En 1907, les associés se séparèrent et Mathis fit construire une vaste usine à Strasbourg. Bugatti se consacra alors aux voitures de sport et de prestige, tandis que Mathis se tourna vers des véhicules plus populaires.
Les véritables voitures Mathis sortirent en 1911, la production étant axée sur des modèles légers de 1 500 cm³. La grande époque de Mathis commença plus tard après la Première Guerre mondiale lors du retour de Strasbourg à la France. Il devint rapidement le quatrième constructeur français avec la 8/10 HP produite en série (à la chaîne) comme la Citroën 10 HP type A.



Mon père a eu aussi cette voiture, lorsqu'elle fut produite en série...

""Lors de sa création en 1803, Peugeot produisait alors des moulins à café et des pièces pour horlogerie. Il faudra attendre 1882 pour voir apparaître les premières voitures. C’est en 1889, lors de l’exposition universelle de Paris que l’entreprise, sous l’égide d’Armand Peugeot, présente son tout premier véhicule : un tricycle à vapeur. Modèle unique, il ne sera pas commercialisé.

Parmi l’ensemble des modèles Peugeot, certains sont aujourd’hui de vraies légendes aux yeux des passionnés d’anciennes. Il y a notamment la Peugeot 203, la première voiture d’après-guerre et qui relança la production automobile. En 1960, la Peugeot 404 fait sensation par son élégance et son modernisme et peut-être la plus mythique. La 504 aussi a connu un grand succès puisque produite jusqu’en 2006, avec 3 700 000 exemplaires en circulation.""



J'aborde le sujet Peugeot, parce que nous "sommes" Peugeot dans la famille depuis bien longtemps

Jaguar XK140 de 1950 revu et corrigé en voiture électrique pour le mariage du fils de Beckham pour la modeste somme de 418 000 E. 

l'Aston Martin de Lord Brett Sinclair, sa majesté...
Roger Moore
dans The Persuaders
Amicalement Vôtre



Dbs de 1970
vendue en 2014 pour 654 924 euros !

Fast and Furious en 2001, ça c'est aussi de la belle voiture

Du moment qu'il y a 4 pneus,  un moteur et que ça roule , je ne fais pas la difficile  

Dan22 a écrit:Du moment qu'il y a 4 pneus,  un moteur et que ça roule , je ne fais pas la difficile  

Alors cette Bugatti, rien que pour toi, cadeau  

Molsheim limitera à 500 exemplaires la production de la Bugatti Chiron dont 40 unités restent à vendre.

Depuis son lancement en 2017, les acquéreurs ont dépensé en moyenne 2,8 millions d'euros dont 300.000 euros d'options, hors taxes, pour la Chiron dont le moteur 16 cylindres développe entre 1.500 et 1.600 chevaux.

La Citroën ami 6, elle date, celle-là !

Simca Aronde Grand Large.
La voiture de mes parents entre 1956 et 1959.



Ensuite, ils ont eu celle-ci. Une P60. Encore Simca



Après, ils sont montés en gamme avec une Ford Taunus. C'est l'une de ses semblables qui nous a emmenés aux Baléares pour les vacances d'été 1962. (+ un bout de trajet en ferry, évidemment).

Oh je les aime, ces vieilles arondes ! La P60, le top du top du modernisme à l'époque !

Chez nous, ma soeur, qui conduisait avant moi, a eu, après sa deuche, une Ford fiesta, qu'elle m'avait prêtée dès que j'ai eu mon permis ; je me la pétais grave avec !!

J'ai appris à conduire avec le changement de vitesse au volant !

En plus, celle-là est immatriculée 39, Jura !

Dessin réalisé par mon frère passionné de voitures : il avait environ 18 ans

M'sieur Clémenceau,
Vos flics maintenant sont dev'nus des cerveaux
Incognito,
Ils ont laissé leurs vélos, leurs chevaux

Eh oui ce sont des «policiers en auto»: une par brigade à partir de 1912. Voici ce qu'écrit Le Journal amusant au début de l'automne 1911: «Depuis quelques jours, le service de la Sûreté générale possède quatre voitures automobiles. Ces véhicules, dont l'acquisition avait été jugée nécessaire lors de la réorganisation des brigades mobiles, sont du type landaulet et double phaéton. Elles sortent de la maison Dion-Bouton. Elles sont extrêmement rapides, ce qui n'enlève rien à leur confortable.» La commission de réception, […] vient de se réunir à l'effet de procéder à l'examen et à la réception de deux voitures: un landaulet et un double phaéton. Ces voitures ont effectué leurs essais de vitesse et de résistance. Parties à 7 heures du matin de la cour d'honneur du ministère de l'Intérieur, elles se sont rendues à Rouen. Elles étaient de retour à la place Beauvau, l'après-midi, à 4 heures un quart. À l'aller comme au retour, les deux autos se sont très vaillamment comportées, réalisant une vitesse moyenne de près de soixante à l'heure. L'une de ces voitures va être affectée à la direction de la Sûreté générale. Les trois autres seront mises à la disposition des brigades mobiles les plus chargées en affaires. Les chauffeurs chargés de piloter ces voitures ne sont pas, comme on pourrait le croire, des conducteurs d'autos ordinaires. Ce sont de véritables fonctionnaires. Ils sont assimilés aux inspecteurs de police mobile et assujettis aux mêmes obligations que ces derniers».



DE DION-BOUTON Phaëton affectée à la 14ème Brigade du Tigre en 1911.


et course :



Delauney-Belleville noire et verte semblable à celle de Jules Bonnot.


Meneur de "la Bande à Bonnot", Jules Bonnot a révolutionné les braquages. Chauffeur expérimenté et mécanicien émérite, il est l'un des premiers gangsters à utiliser l'automobile pour commettre ses larcins.
Pendant cinq mois entre 1911 et 1912, Jules Bonnot et ses complices anarchistes feront trembler les banques parisiennes. La presse les baptise alors "les bandits en auto".
Une voiture marquera leur épopée tragique, la limousine Delauney-Belleville 12 CV de 1910.

cristaline a écrit:Dessin réalisé par mon frère passionné de voitures : il avait environ 18 ans

Magnifique....  


.

beced a écrit:


Magnifique....  


.

Je vois seulement maintenant qu’il avait écrit, sur l'aile arrière droite de la  403 bleue, le nom de son amoureuse de l'époque !

Extrait du film "Les Tricheurs" de Marcel Carné (1958), il s'agit d'une XK 140 DHC (cabriolet) RHD (conduite à droite)....
 
.................................
Parmi les très nombreux acteurs il y avait :
Jacques Charrier : Bob (pour Robert Letellier), étudiant en Sciences
Pascale Petit : Mic (pour Michèle), une jeune fille de milieu modeste qui joue les affranchies
Laurent Terzieff : Alain, le mauvais génie de la bande
Jean-Paul Belmondo : Lou, un garçon de la bande d'oisifs
Pierre Brice : Bernard, un étudiant et le meilleur ami de Bob
Dany Saval : Nicole, une fille de la bande
Jacques Marin : Hippolyte Félix, l'intermédiaire d'une obscure et rocambolesque histoire de chantage
Jacques Perrin : un garçon (de la bande à Clo) qui prononce l'avant-dernière réplique du film
Guy Bedos : Claude, un garçon de la bande
Jacques Berger
Yves Boisset
...etc....

2 voitures qui manquent au paysage .....




NB.Pour cette dernière, un résurrection est possible...
https://insideevs.fr/news/405317/volkswagen-combi-e-bulli-electrique/
..                ..

Aujourd'hui, les fabricants sont capables de transformer n'importe quelle voiture thermique en électrique : on parle de retrofit. C'est ainsi que de nombreuses anciennes s'électrisent. Le dernier exemple en date est le Combi de Volkswagen, modèle ô combien emblématique. C'est Volkswagen Véhicules Utilitaires qui s'est rapproché de son partenaire, eClassics, pour réaliser ce concept.

Les ingénieurs des deux sociétés ont utilisé un T1 "Samba Bus" de 1966. Ils l'ont dépouillé de toute sa mécanique pour y loger une batterie et un moteur électrique. Le Combi s'est vu ainsi retirer son moteur quatre cylindres de 44 ch (102 Nm) pour recevoir un moteur électrique de 83 ch (212 Nm). Cette conversion permet à l'e-Bulli d'être le T1 le plus puissant jamais produit. En effet, et comme vous l'aurez remarqué, il développe deux fois plus de puissance qu'auparavant. De plus, sa vitesse maximale passe de 105 à 130 km/h.  

Le moteur est logé à l'arrière, et il est couplé à une boîte de vitesses à rapport unique. D'ailleurs, on remarque qu'à l'intérieur, les spécialistes ont ajouté un levier de vitesses permettant au conducteur de passer d'un mode de conduite à un autre (P, R, N, D, B). L'ensemble électrique est relié à une batterie de 45 kWh logée au centre du plancher pour abaisser le centre de gravité. Pour la recharger, il suffit simplement de brancher le véhicule à une prise d'une puissance de charge maximale de 50 kW. Dans ce cas, le constructeur allemand précise que le véhicule peut être chargé de 0 à 80 % en seulement 40 minutes. Une fois que la batterie est pleine (100 %), l'autonomie de l'e-Bulli est de 200 km.

Les ingénieurs ne se sont pas simplement contentés de changer le moteur, ils ont aussi travaillé sur le châssis pour améliorer le comportement routier du van. La suspension est désormais réglable (et multibras), une nouvelle direction à crémaillère a été ajoutée et quatre freins à disques ventilés s'ajoutent à la liste des modifications. Enfin, le style n'a pas été laissé de côté. Une finition bicolore a été apportée à l'extérieur, tout comme les feux à LED. Dans l'habitacle, l'e-Bulli adopte un style marin avec du bois massif et un grand toit panoramique. Cette conversion démarre tout de même à partir de 64 900 euros.

Je crois que la 4L a déjà été citée, mais pas le célèbre combi !!

La même marque mais différents stylistes...

Vu dans ma rue de Coxyde ....



..
Je suppose que le ''truc" arrière de la 2 CV, c'est pour servir le café en cas de panne...
.
.
PS. Bizarrement il y avait aussi dans la rue  une voiture immatriculée à Marseille... Sans doute un amateur de frites ..

.

Chitty, Chitty, Bang, Bang ...



du Comte ZBOROWSKY 1920


https://fr.wikipedia.org/wiki/Chitty_Bang_Bang

d'où le film

de 1968