Il fut un temps où le monde était binaire : il y avait le jour et la nuit, les hommes et les femmes, les professeurs et les élèves, les innocents et les coupables, les citoyens et les étrangers. Les hommes plantaient la petite graine et les femmes la transformaient en bébés ; les professeurs enseignaient et les élèves apprenaient ; les innocents étaient protégés et les coupables punis.
Mais ça, c’était avant le progrès.
À l’ère progressiste, on casse la nuit ce que les contribuables payent le jour, les hommes prétendent faire pousser les bébés dans un organe qu’ils n’ont pas, les femmes peuvent exiger que l’on rende la langue incompréhensible sous prétexte de ne pas être exclues de la société, on marie les hommes avec les hommes et les femmes avec les femmes alors qu'on ne cesse de demander la mixité à tort et à travers.
Drôle de monde que notre monde.
Mais ça, c’était avant le progrès.
À l’ère progressiste, on casse la nuit ce que les contribuables payent le jour, les hommes prétendent faire pousser les bébés dans un organe qu’ils n’ont pas, les femmes peuvent exiger que l’on rende la langue incompréhensible sous prétexte de ne pas être exclues de la société, on marie les hommes avec les hommes et les femmes avec les femmes alors qu'on ne cesse de demander la mixité à tort et à travers.
Drôle de monde que notre monde.