par beced Jeu 26 Juin 2014 - 8:11
Il semblerait que la courbure particulière de la trajectoire du ballon lors d'un "coup franc" obéit aux principes de "l'invariance de jauge" par les frottements occasionnés dans l'air:C
hamps de jauge :Classe particulière de théories des champs reposant sur des principes de la théorie des groupes de symétries. La relativité générale d'Einstein en est un exemple mais jusqu'à présent personne n'en a fait une théorie quantique.
La QED est l'exemple type d'une théorie quantique des champs reposant sur une symétrie de jauge mais dite abélienne alors que la QCD utilise des symétrie dites non abéliennes caractérisées par la non-équivalence après permutation de l'action de deux opérations de symétries sur l'état d'un système décrit par ces théories quantiques, on parle de non commutativité.
On soupçonne que toutes les théories quantiques de champs relativistes cohérentes reposent sur l'existence de symétries dites d'invariance de jauge, ce qui permettrait de les unifier. Dit autrement : c'est une différence de vitesse balle / air qui entre en compte :
quand 2 personnes vont à la même vitesse V
dans la même direction, la vitesse relative est nulle. Quand ils vont en
sens opposé, la vitesse relative vaut 2V...ceci sans qu'aucun frottement
n'entre en jeu.
Dans l'équation de Bernoulli (équation fondamentale de l'effet Magnus), la
vitesse du fluide qui augmente crée une dépression : cette dépression n'est
liée en rien à un frottement du fluide contre les parois ou contre lui même.
Cependant il est vrai que les frottements créent une pertes de charge qui
modifie plus ou moins sensiblement la dépression précédente (dépression plus
faible que prévue), mais la dépression n'est pas due aux frottements !
(Internet )
Dernière édition par beced le Jeu 26 Juin 2014 - 12:18, édité 1 fois