infos diverses de société

Arrivé d’Ukraine il y a 3 mois, Nazar, scolarisé en Sarthe, maîtrise déjà très bien le français
Il est arrivé d’Ukraine en mars 2022 dans la petite école de Chantenay-Villedieu (Sarthe). Nazar ne parlait pas le français mais était déjà très fort en maths et en Rubik’s cube. Aujourd’hui, il fait du soutien en calcul et joue avec les mots.

Ben voilà, il est là, le modèle dont il serait urgent de s'inspirer...

Samy, l’usurpateur qui patrouillait avec de vrais policiers


Ce jeune de 21 ans, originaire du Val-d’Oise, est parvenu à patrouiller à une bonne demi-douzaine de reprises avec de vrais policiers à Paris avant d’être confondu la semaine dernière. Le mythomane, qui n’en est pas à son coup d’essai, a été écroué. Une enquête interne a également été ouverte pour comprendre comment il a pu berner les forces de l’ordre.

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Ce (vrai) gardien de la paix l’avoue un peu en rougissant : « Il n’était vraiment pas mauvais, limite meilleur que certains d’entre nous. » Gros embarras dans les rangs de la police, près d’une semaine après l’interpellation de Samy, un usurpateur qui a réussi l’exploit de participer dans Paris à une demi-douzaine de patrouilles.

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J'apprends qu'il manque pas mal de enseignants, notamment en mathématiques. J'apprends avec stupéfaction qu'au dernier concours de recrutement de professeurs, des centaines de candidats ont échoué à l'oral. Je vous invite à vous informer sur le pourquoi de cette affaire. Si c'est moi qui l'écrit, vous me traiteriez de fabulateur.

Flavius a écrit:J'apprends qu'il manque pas mal de enseignants, notamment en mathématiques. J'apprends avec stupéfaction qu'au dernier concours de recrutement de professeurs, des centaines de candidats ont échoué à l'oral. Je vous invite à vous informer sur le pourquoi de cette affaire. Si c'est moi qui l'écrit, vous me traiteriez de fabulateur.

Ce qui est surtout très frappant, c'est que le nombre des inscrits aux concours était très faible, à tel point que le ministère ne voulait pas publier les chiffres.
Les bons étudiants ne se présentent plus.
Dès l'école primaire, les enseignants sont insultés par des enfants que les parents défendent. Toutes origines confondues.
Au collège et au lycée, les parents enquiquineurs et persuadés que les "profs" ne savent pas évaluer correctement leur progéniture, viennent faire la loi dans les conseils de classe.
Comment voulez-vous...

Flavius a écrit:J'apprends qu'il manque pas mal de enseignants, notamment en mathématiques. J'apprends avec stupéfaction qu'au dernier concours de recrutement de professeurs, des centaines de candidats ont échoué à l'oral. Je vous invite à vous informer sur le pourquoi de cette affaire. Si c'est moi qui l'écrit, vous me traiteriez de fabulateur.

 En même temps s occuper des enfants de maintenant c est dure.  On a fait d eux des enfants roi l instituteur à meme plus le droit de les frapper avec une règle ou donner des cou de pieds comme autre fois . Un monsieur que j ai connu quand il était jeune il avait un prof qui donnait des coup de pieds avec sa pointe de pieds dans les fesse et ça faisait mal au élèves et il ce tenait bien mais bon je te parle de ça y a 50 ans le monsieur a 60 ans . 

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:J'apprends qu'il manque pas mal de enseignants, notamment en mathématiques. J'apprends avec stupéfaction qu'au dernier concours de recrutement de professeurs, des centaines de candidats ont échoué à l'oral. Je vous invite à vous informer sur le pourquoi de cette affaire. Si c'est moi qui l'écrit, vous me traiteriez de fabulateur.

Ce qui est surtout très frappant, c'est que le nombre des inscrits aux concours était très faible, à tel point que le ministère ne voulait pas publier les chiffres.
Les bons étudiants ne se présentent plus.
Dès l'école primaire, les enseignants sont insultés par des enfants que les parents défendent. Toutes origines confondues.
Au collège et au lycée, les parents enquiquineurs et persuadés que les "profs" ne savent pas évaluer correctement leur progéniture, viennent faire la loi dans les conseils de classe.
Comment voulez-vous...

Oui, certes. Mais pourquoi ces candidats ont-ils échoué à l'oral ? Quelles questions leur a-t-on posées ?

Flavius a écrit:
Oui, certes. Mais pourquoi ces candidats ont-ils échoué à l'oral ? Quelles questions leur a-t-on posées ?

Ah ça, je ne sais pas.
Mais je suis amie avec un professeur de mathématiques à l'Université de Lille 1 et il y a bien longtemps qu'il désespère du niveau de ses étudiants !
Et à quoi bon, pour un bon matheux, se destiner à l'enseignement, quand on peut avoir une profession beaucoup plus lucrative !

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Oui, certes. Mais pourquoi ces candidats ont-ils échoué à l'oral ? Quelles questions leur a-t-on posées ?

Ah ça, je ne sais pas.
Mais je suis amie avec un professeur de mathématiques à l'Université de Lille 1 et il y a bien longtemps qu'il désespère du niveau de ses étudiants !
Et à quoi bon, pour un bon matheux, se destiner à l'enseignement, quand on peut avoir une profession beaucoup plus lucrative !

En fait plus de cent ont échoué. Les questions à l'oral étaient du type : une petite élève musulmane pose ses mains sur ses oreilles parce qu'elle affirme que la musique mène à l'enfer et que c'est interdit. Que faites-vous dans ce cas précis ?  ; un élève interdit au professeur de parler du Coran parce qu'il n'est pas musulman. Que devez-vous faire ? Mais le plus cocasse : une petite fille vous dit qu'il faut l'appeler Louis parce qu'elle se sent comme un garçon. Mais elle ne veut veut pas que ses parents soient au courant. Que faites-vous ?
Rappelons que ces candidats n'ont jamais mis les pieds dans une classe. Ils n'ont donc aucune expérience...
Je suis sidéré par cette société.

Flavius a écrit:
En fait plus de cent ont échoué. Les questions à l'oral étaient du type : une petite élève musulmane pose ses mains sur ses oreilles parce qu'elle affirme que la musique mène à l'enfer et que c'est interdit. Que faites-vous dans ce cas précis ?  ; un élève interdit au professeur de parler du Coran parce qu'il n'est pas musulman. Que devez-vous faire ? Mais le plus cocasse : une petite fille vous dit qu'il faut l'appeler Louis parce qu'elle se sent comme un garçon. Mais elle ne veut veut pas que ses parents soient au courant. Que faites-vous ?
Rappelons que ces candidats n'ont jamais mis les pieds dans une classe. Ils n'ont donc aucune expérience...
Je suis sidéré par cette société.

Euh... ça m'a tout l'air d'un fake, ton truc...
De quel concours précis s'agissait-il ?
De quelle épreuve ?

Flavius a écrit:
En fait plus de cent ont échoué. Les questions à l'oral étaient du type : une petite élève musulmane pose ses mains sur ses oreilles parce qu'elle affirme que la musique mène à l'enfer et que c'est interdit. Que faites-vous dans ce cas précis ?  ; un élève interdit au professeur de parler du Coran parce qu'il n'est pas musulman. Que devez-vous faire ? Mais le plus cocasse : une petite fille vous dit qu'il faut l'appeler Louis parce qu'elle se sent comme un garçon. Mais elle ne veut veut pas que ses parents soient au courant. Que faites-vous ?
Rappelons que ces candidats n'ont jamais mis les pieds dans une classe. Ils n'ont donc aucune expérience...
Je suis sidéré par cette société.

  A oui quand j avais postuler plus jeune à la SNCB pour lés train j avais eux ce genre de question. Et ta dés psychologue qui regarde tes réaction. Moi c était voilà tu arrives au boulot tu vois ton chef qui bois un verre d alcool tu fais quoi. Tu fais comme si de rien était ou tu va le trouver et lui dire qu il est strictement interdit de boire pour la sécurité. Je savais vraiment pas quoi répondre 

Paulette a écrit:
Euh... ça m'a tout l'air d'un fake, ton truc...
De quel concours précis s'agissait-il ?
De quelle épreuve ?

Soyons un peu rigoureux !
Cela n'a rien à voir avec, par exemple, le CAPES ou l'AGRÉGATION de mathématiques.

MrPhelps a écrit:
  A oui quand j avais postuler plus jeune à la SNCB pour lés train j avais eux ce genre de question. Et ta dés psychologue qui regarde tes réaction. Moi c était voilà tu arrives au boulot tu vois ton chef qui bois un verre d alcool tu fais quoi. Tu fais comme si de rien était ou tu va le trouver et lui dire qu il est strictement interdit de boire pour la sécurité. Je savais vraiment pas quoi répondre 

  Je me dis si je dis je fais comme rien était c est pas bon comme réponse mais si je dis je vais le trouver et lui dire qu on peut pas boire si c est mon chef il risque d être fâcher. En plus j ai connu plein de gens qui travaille la il était tout le temps au café à boire  si tu dois dire ça à tout le monde tu t en sors pas. 

Paulette a écrit:

Paulette a écrit:
Euh... ça m'a tout l'air d'un fake, ton truc...
De quel concours précis s'agissait-il ?
De quelle épreuve ?

Soyons un peu rigoureux !
Cela n'a rien à voir avec, par exemple, le CAPES ou l'AGRÉGATION de mathématiques.

Ce n'est absolument pas un fake. Ils en ont parlé toute la matinée à la taloche.
Oral du CAPES d'histoire-géo.

Flavius a écrit:
Ce n'est absolument pas un fake. Ils en ont parlé toute la matinée à la taloche.
Oral du CAPES d'histoire-géo.

Je voudrais bien trouver un lien qui puisse me le confirmer, pour connaître les sources.
On parle peut-être de cela :

Épreuve d'entretien
Durée de l'épreuve : 35 minutes
Coefficient : 3
L'épreuve d'entretien avec le jury porte sur la motivation du candidat et son aptitude à se projeter dans le métier de professeur au sein du service public de l'éducation.

L'entretien comporte une première partie d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes maximum, par le candidat des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment ses travaux de recherche, les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury.

La deuxième partie de l'épreuve, d'une durée de vingt minutes, doit permettre au jury, au travers de deux mises en situation professionnelle, l'une d'enseignement, la seconde en lien avec la vie scolaire, d'apprécier l'aptitude du candidat à :

s'approprier les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons, etc.),
faire connaître et faire partager ces valeurs et exigences.

Cette épreuve a été créée pour remédier au fait que beaucoup de profs d'histoire-géo ont effectivement du mal face à certains publics (qu'on ne peut pas supprimer d'un coup de baguette magique). Alors, au lieu de les lâcher dans l'arène complètement démunis, on tente de voir s'ils sauront faire face à certaines situations.

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Ce n'est absolument pas un fake. Ils en ont parlé toute la matinée à la taloche.
Oral du CAPES d'histoire-géo.

Je voudrais bien trouver un lien qui puisse me le confirmer, pour connaître les sources.
On parle peut-être de cela :

Épreuve d'entretien
Durée de l'épreuve : 35 minutes
Coefficient : 3
L'épreuve d'entretien avec le jury porte sur la motivation du candidat et son aptitude à se projeter dans le métier de professeur au sein du service public de l'éducation.

L'entretien comporte une première partie d'une durée de quinze minutes débutant par une présentation, d'une durée de cinq minutes maximum, par le candidat des éléments de son parcours et des expériences qui l'ont conduit à se présenter au concours en valorisant notamment ses travaux de recherche, les enseignements suivis, les stages, l'engagement associatif ou les périodes de formation à l'étranger. Cette présentation donne lieu à un échange avec le jury.

La deuxième partie de l'épreuve, d'une durée de vingt minutes, doit permettre au jury, au travers de deux mises en situation professionnelle, l'une d'enseignement, la seconde en lien avec la vie scolaire, d'apprécier l'aptitude du candidat à :

s'approprier les valeurs de la République, dont la laïcité, et les exigences du service public (droits et obligations du fonctionnaire dont la neutralité, lutte contre les discriminations et stéréotypes, promotion de l'égalité, notamment entre les filles et les garçons, etc.),
faire connaître et faire partager ces valeurs et exigences.

Cette épreuve a été créée pour remédier au fait que beaucoup de profs d'histoire-géo ont effectivement du mal face à certains publics (qu'on ne peut pas supprimer d'un coup de baguette magique). Alors, au lieu de les lâcher dans l'arène complètement démunis, on tente de voir s'ils sauront faire face à certaines situations.

Sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais ce n'est pas complet. Ce matin, sur Cnews on a eu des témoignages de candidats plus précis.

Flavius a écrit:
Sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais ce n'est pas complet. Ce matin, sur Cnews on a eu des témoignages de candidats plus précis.

D'accord, mais je suppose, connaissant CNews, que ces commentaires avaient uniquement pour but de se lamenter que de telles questions soient posées aux candidats.
Tout cela est bel et beau, mais donc, ils préfèreraient que l'on ne vérifie pas du tout si les futurs professeurs, placés devant des situations critiques, seront capables d'y faire face ?
Dans un temps déjà lointain, aux Concours, on ne vérifiait que les connaissances théoriques des candidats dans leur matière. Et beaucoup de malheurex, arrivés devant les élèves, se faisaient bordéliser comme pas possible.

Paulette a écrit:Samy, l’usurpateur qui patrouillait avec de vrais policiers


Ce jeune de 21 ans, originaire du Val-d’Oise, est parvenu à patrouiller à une bonne demi-douzaine de reprises avec de vrais policiers à Paris avant d’être confondu la semaine dernière. Le mythomane, qui n’en est pas à son coup d’essai, a été écroué. Une enquête interne a également été ouverte pour comprendre comment il a pu berner les forces de l’ordre.

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Ce (vrai) gardien de la paix l’avoue un peu en rougissant : « Il n’était vraiment pas mauvais, limite meilleur que certains d’entre nous. » Gros embarras dans les rangs de la police, près d’une semaine après l’interpellation de Samy, un usurpateur qui a réussi l’exploit de participer dans Paris à une demi-douzaine de patrouilles.

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Ce genre "d'anecdote" me fait plutôt sourire ; cet usurpateur n'était pas très dangereux, mais heureusement pour lui qu'il ne se soit pas retrouvé dans une fusillade ! dommage que mon père ne soit plus là pour que je puisse le lui raconter ! 

Flavius a écrit:
Sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais ce n'est pas complet. Ce matin, sur Cnews on a eu des témoignages de candidats plus précis.

 C est quand même inquiétant quand on voit des gens qui refuse d écouter de la musique ou qui rentre dans une forme de sectarisme. Ou on peu plus rien dire on peu plus enseigner l science et la théorie de évolution…. On a l impression de revenir au moyen âge bientôt on va rétablir la lapidation si ça continue. Voilà y a trop de c,je te,is me et lacheter du monde politique c est mal saint

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Sur [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] mais ce n'est pas complet. Ce matin, sur Cnews on a eu des témoignages de candidats plus précis.

D'accord, mais je suppose, connaissant CNews, que ces commentaires avaient uniquement pour but de se lamenter que de telles questions soient posées aux candidats.
Tout cela est bel et beau, mais donc, ils préfèreraient que l'on ne vérifie pas du tout si les futurs professeurs, placés devant des situations critiques, seront capables d'y faire face ?
Dans un temps déjà lointain, aux Concours, on ne vérifiait que les connaissances théoriques des candidats dans leur matière. Et beaucoup de malheurex, arrivés devant les élèves, se faisaient bordéliser comme pas possible.

Oui bien sûr. Mais le journaliste n'a pas inventé ce que les candidats racontaient.
Oui, j'ai lu cela. Mais là on demande à des personnes sans expérience ce qu'ils feraient en pareil cas. 
Et si la réponse ne plaît pas, c'est l'élimination.
Ne serait-il pas plus judicieux de donner une formation à ces jeunes gens, formation qui leur serait dispensée lors de leur cursus ? Vous parler de connaissances théoriques qu'ils ne peuvent appréhender, et pour cause.
En l'occurrence, je suis resté très binaire, très pragmatique. Je n'ai pas évolué. L'école de la République c'est pour pour moi la transmission des savoirs et des savoirs culturels français. 
Ceux à qui cela dérangent, qu'ils aillent se faire pendre ailleurs.
Il appartient aux parents d'éduquer leurs enfants, afin qu'ils aient une attitude appropriée pour accepter l'enseignement français sans dérogations culturelles. 
Quant à l'élève qui veut être un garçon, ou un garçon une fille, que l'Education nationale réponde à ces revendications, c'est d'un ridicule consommé ! Et que l'on ne me parle pas d'évolution. L'évolution n'est pas une vertu. Elle peut-être pire que la stagnation voire la réaction. On a fait entrer les parents d'élèves à l'école. C'est selon moi une erreur. Maintenant on y fait entrer les LGTB.

Flavius a écrit:
Oui bien sûr. Mais le journaliste n'a pas inventé ce que les candidats racontaient.
Oui, j'ai lu cela. Mais là on demande à des personnes sans expérience ce qu'ils feraient en pareil cas. 
Et si la réponse ne plaît pas, c'est l'élimination.
Ne serait-il pas plus judicieux de donner une formation à ces jeunes gens, formation qui leur serait dispensée lors de leur cursus ? Vous parler de connaissances théoriques qu'ils ne peuvent appréhender, et pour cause.
En l'occurrence, je suis resté très binaire, très pragmatique. Je n'ai pas évolué. L'école de la République c'est pour pour moi la transmission des savoirs et des savoirs culturels français. 
Ceux à qui cela dérangent, qu'ils aillent se faire pendre ailleurs.
Il appartient aux parents d'éduquer leurs enfants, afin qu'ils aient une attitude appropriée pour accepter l'enseignement français sans dérogations culturelles. 
Quant à l'élève qui veut être un garçon, ou un garçon une fille, que l'Education nationale réponde à ces revendications, c'est d'un ridicule consommé ! Et que l'on ne me parle pas d'évolution. L'évolution n'est pas une vertu. Elle peut-être pire que la stagnation voire la réaction. On a fait entrer les parents d'élèves à l'école. C'est selon moi une erreur. Maintenant on y fait entrer les LGTB.

  On va rire quand certain demanderont pour être dés chien des chats des aliene…… des reptile   des requins , dés panda 

Flavius a écrit:
Oui bien sûr. Mais le journaliste n'a pas inventé ce que les candidats racontaient.
Oui, j'ai lu cela. Mais là on demande à des personnes sans expérience ce qu'ils feraient en pareil cas. 
Et si la réponse ne plaît pas, c'est l'élimination.
Ne serait-il pas plus judicieux de donner une formation à ces jeunes gens, formation qui leur serait dispensée lors de leur cursus ? Vous parler de connaissances théoriques qu'ils ne peuvent appréhender, et pour cause.
En l'occurrence, je suis resté très binaire, très pragmatique. Je n'ai pas évolué. L'école de la République c'est pour pour moi la transmission des savoirs et des savoirs culturels français. 
Ceux à qui cela dérangent, qu'ils aillent se faire pendre ailleurs.
Il appartient aux parents d'éduquer leurs enfants, afin qu'ils aient une attitude appropriée pour accepter l'enseignement français sans dérogations culturelles. 
Quant à l'élève qui veut être un garçon, ou un garçon une fille, que l'Education nationale réponde à ces revendications, c'est d'un ridicule consommé ! Et que l'on ne me parle pas d'évolution. L'évolution n'est pas une vertu. Elle peut-être pire que la stagnation voire la réaction. On a fait entrer les parents d'élèves à l'école. C'est selon moi une erreur. Maintenant on y fait entrer les LGTB.

D'abord, tu fais offense à l'honnêteté des jurés de concours, et donc à moi, puisque j'en ai été.
Ce n'est pas si la réponse ne plaît pas au jury que le candidat sera écarté, c'est surtout s'il ne sait pas quoi répondre, ou qu'il répond quelque chose qui créera une situation de conflit.
La classe n'est pas un endroit pour régler les conflits de société.
On fait appel à la réactivité d'un candidat : justement, on ne l'a pas "formé", c'est-à-dire "formaté" à telle ou telle réaction, ce à quoi tu t'opposerais, je suppose, mais on lui demande ce qu'il ferait, placé dans telle ou telle situation.
Après, on peut continuer à s'accrocher à un passé révolu, à dire qu'on refuse l'évolution de la société, que ce qui se passe, à l'école ou ailleurs, est totalement contraire à nos principes, on peut caricaturer, écrire n'importe quoi sur le sujet, mais ça n'aidera pas grand monde.
P.S. : je n'ai jamais dit que les candidats ne pouvaient pas appréhender les connaissances théoriques.

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Oui bien sûr. Mais le journaliste n'a pas inventé ce que les candidats racontaient.
Oui, j'ai lu cela. Mais là on demande à des personnes sans expérience ce qu'ils feraient en pareil cas. 
Et si la réponse ne plaît pas, c'est l'élimination.
Ne serait-il pas plus judicieux de donner une formation à ces jeunes gens, formation qui leur serait dispensée lors de leur cursus ? Vous parler de connaissances théoriques qu'ils ne peuvent appréhender, et pour cause.
En l'occurrence, je suis resté très binaire, très pragmatique. Je n'ai pas évolué. L'école de la République c'est pour pour moi la transmission des savoirs et des savoirs culturels français. 
Ceux à qui cela dérangent, qu'ils aillent se faire pendre ailleurs.
Il appartient aux parents d'éduquer leurs enfants, afin qu'ils aient une attitude appropriée pour accepter l'enseignement français sans dérogations culturelles. 
Quant à l'élève qui veut être un garçon, ou un garçon une fille, que l'Education nationale réponde à ces revendications, c'est d'un ridicule consommé ! Et que l'on ne me parle pas d'évolution. L'évolution n'est pas une vertu. Elle peut-être pire que la stagnation voire la réaction. On a fait entrer les parents d'élèves à l'école. C'est selon moi une erreur. Maintenant on y fait entrer les LGTB.

D'abord, tu fais offense à l'honnêteté des jurés de concours, et donc à moi, puisque j'en ai été.
Ce n'est pas si la réponse ne plaît pas au jury que le candidat sera écarté, c'est surtout s'il ne sait pas quoi répondre, ou qu'il répond quelque chose qui créera une situation de conflit.
La classe n'est pas un endroit pour régler les conflits de société.
On fait appel à la réactivité d'un candidat : justement, on ne l'a pas "formé", c'est-à-dire "formaté" à telle ou telle réaction, ce à quoi tu t'opposerais, je suppose, mais on lui demande ce qu'il ferait, placé dans telle ou telle situation.
Après, on peut continuer à s'accrocher à un passé révolu, à dire qu'on refuse l'évolution de la société, que ce qui se passe, à l'école ou ailleurs, est totalement contraire à nos principes, mais ça n'aidera pas grand monde.
P.S. : je n'ai jamais dit que les candidats ne pouvaient pas appréhender les connaissances théoriques.

Je vous répondrai plus tard parce que je suis sur une tablette. Ça me sera plus facile sur le PC pour répondre point par point. Autant  vous dire que ce n'est pas le jury que je critique, mais le système et la façon qu'il a de céder à tout ce qui lui ai demandé, notamment par les minorités agissantes.

  Oui j ai vu une américaine elle ce prend pour un chien elle marche  a 4 patte fait des truc de chien et est tenu en laisse par son compagnon. Bientôt tu fera tes course tu Véra le mec promener sa chienne en laisse et faudra trouver ça normal sinon on sera traiter de nazi et de haineux. Vers Quel beau monde on va   rompfyy

Flavius a écrit:
Je vous répondrai plus tard parce que je suis sur une tablette. Ça me sera plus facile sur le PC pour répondre point par point. Autant  vous dire que ce n'est pas le jury que je critique, mais le système et la façon qu'il a de céder à tout ce qui lui ai demandé, notamment par les minorités agissantes.

Ok.
Du coup, je vais faire comme BoJo, je vais aller promener le chien.
Qui est aussi une chienne, d'ailleurs, et qui ne m'a pas demandé (encore) de changer de sexe, ni de devenir un crocodile.

Paulette a écrit:
Ok.
Du coup, je vais faire comme BoJo, je vais aller promener le chien.
Qui est aussi une chienne, d'ailleurs, et qui ne m'a pas demandé (encore) de changer de sexe, ni de devenir un crocodile.

  Imagine que c est lui qui te promène