Ame lutine a écrit:bon ben je regarde pas ce soir ! pas envie d'avoir les yeux gonflés demain ! !
Chiche!
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Ame lutine a écrit:bon ben je regarde pas ce soir ! pas envie d'avoir les yeux gonflés demain ! !
Ymar a écrit:Beced,
Il me semble que j'en avais parlé il y a quelques temps ce qui avait eu
pour conséquence de rapatrier sur Winnipeg plus de mille personnes
des premières nations.
Et déjà c'était problématique car impossibilité de faire atterrir de gros porteurs
donc un transfert via l'Ontario tout proche avait été nécessaire.
Je suis d'accord sur le fait que les animaux soient aussi aidés et sauvés
mais il faut aussi savoir établir les priorités.
Je suis assez proche des animaux et je sais que tout est et sera mis en œuvre
par le provincial et le fédéral pour en sauver le maximum.
Certes ! Mais ce monsieur devrait savoir que la zoophilie est un acte délictueux...Et le fait d'aimer les sacs, n'est pas une excuse.beced a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Danse avec les crocos >> Dans le village de Bazoulé, plus d’une centaine de sauriens vivent en harmonie avec les habitants.
Même pas peur ! Bien nourris, les sauriens sont inoffensifs. A priori.
« Quan d on était petits, on s’est habitués à nager dans l’eau avec eux », raconte Pierre Kaboré. Il a grandi à Bazoulé, le village où les crocodiles, nourris par la population, sont pour ainsi dire domestiqués.
« On peut les toucher, s’asseoir dessus, s’allonger dessus. Ce sont des crocodiles sacrés, ils ne font de mal à personne », assure Pierre. A quelques mètres, un saurien ne fait qu’une bouchée du poulet vivant qu’il lui a tendu.
Totems et augures >> Selon la légende, au XIVe ou XVe siècle, des crocodiles auraient guidé les villageois vers une source. « Les femmes faisaient des dizaines de kilomètres pour aller chercher de l’eau. Un jour, elles ont vu deux crocodiles, elles les ont suivis et ils leur ont montré un étang », raconte Pierre.
Fin octobre, la fête de Koom Lakré est dédiée aux crocodiles. Les habitants font des sacrifices et demandent aux animaux d’exaucer leurs vœux de santé et prospérité.
L’animal est devenu le totem du village, le protecteur. « S’ils meurent, on les enterre et on fait des funérailles. » En récompense de leurs services : « Quand un malheur va frapper le village, les crocodiles poussent des cris. Les vieux sages interprètent ces cris et conjurent le sort ».
Les bienfaits ne s’arrêtent pas là. L’Association Tourisme et développement de Bazoulé accueille des visiteurs venus de loin. Ils sont invités à acheter des poulets qui, suspendus à un bâton tenu par un guide, attirent (bien malgré eux) les sauriens hors de la mare pour la photo. Les plus audacieux (touristes, pas poulets) s’assoient sur le croco.
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Des nuages planent pourtant sur cette idylle. D’une part les attentats au Burkina ont porté un rude coup au tourisme dans la région. D’autre part, la pluviométrie étant globalement en baisse, la mare rétrécit.
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PS. Le moment ou jamais pour cette devinette : quelle est la différence entre un crocodile et un alligator? C'est caïman la même chose.. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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Flavius a écrit:
Certes ! Mais ce monsieur devrait savoir que la zoophilie est un acte délictueux...Et le fait d'aimer les sacs, n'est pas une excuse.
beced a écrit:
Et maintenant, de la nourriture vegan pour animaux de compagnie? - Repéré par Nina Pareja — 26 juin 2018 / The Guardian
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Un quart de l'impact environnemental de la production de viande vient de l'industrie de la nourriture pour animaux –en termes d'usage de la terre, d'eau, d'énergies fossiles, phosphates et pesticides.
Holly Grantz est une microbiologiste pour animaux. Elle travaille à réduire l'empreinte carbone de nos quadrupèdes préférés avec l'entreprise Wild Earth, basée en Californie, qui produit de la nourriture vegan pour animaux. La société utilise notamment un ancien champignon asiatique, le kojii (variété de fungi) pour créer une friandise pour chien qui «aide à combattre les inflammations et maintient un système de digestion sain et nutritif», explique-t-elle.
En 2017, le marché de l'alimentation pour animaux de compagnie s'élevait à plus 80 milliards d'euros. Et ce n'est qu'un début. En Chine, où les animaux de compagnie sont plus rares, le marché a été multiplié par deux l'année dernière. Si le pays continue sur cette lancée, ce sont des millions de compagnons à quatre pattes qu'il faudra bientôt alimenter. C'est pourquoi Wild Earth réfléchit à des moyens durables de les sustenter avec des protéines végétales contenues dans les koji mais aussi de la viande de laboratoire, des viandes in vitro –tout cela sans élever ou tuer plus de bêtes. L'entreprise est aussi en train de créer un prototype de souris pour chat en viande de synthèse.
En attendant, il est difficile pour les animaux d'être vegan: les chats sont obligatoirement carnivores; les chiens, eux, ont une plus grande capacité d'adaptation. «En théorie, on peut nourrir un chien de manière végétarienne, mais ce n'est pas à prendre à la légère et il faut se faire aider d'un nutritionniste, justifie le vétérinaire Gudrun Ravetz. La plupart des choses dont les chats ont besoin se trouvent dans les protéines animales. Ça peut être dans un champignon, mais je veux en avoir la preuve.»
Le président de Wild Earth explique qu'il faut simplement ajouter quelques compléments pour que le koji soit optimal. Pour les chats, plus «difficiles» que les chiens dit-il, il faut faire encore plus de modifications pour être sûr que toutes les protéines nécessaires soient contenues dans l'alimentation.
Vous reprendrez bien un petit peu d'insectes? >> Chipper Pets, une entreprise née à Philadelphie, s'est lancée dans la nourriture pour animaux de compagnie à base d'insectes. Les quadrupèdes ne s'en plaignent pas, contrairement à certains humains. Les insectes contiennent suffisamment d'acides aminés indispensables à la santé du meilleur ami de l'homme. L'entreprise a démarré sa production avec une friandise saveur «cacahuète, citrouille et criquet». Pour le moment, l'équivalent pour les félins n'est pas disponible.
«C'est complet pour les protéines animales donc il n'y a pas de carences», assure le fondateur. Encore faut-il convaincre les propriétaires. Autre contrainte: que suffisamment d'élevages d’insectes se lancent.
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Simon's cat l'est aussi (génial)Ara a écrit:
La dernière image est géniale !
Un petit du chat de Simon :
beced a écrit:... Au Gabon, des crocodiles oranges uniques au monde vivent dans les grottes ...
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Au Gabon, connu pour sa diversité géologique et sa faune, des scientifiques ont eu l’incroyable surprise de découvrir des crocodiles de couleur orange, uniques au monde, vivant au milieu d’excréments de chauves-souris dans des grottes obscures.
« Quand je me suis approché avec la lampe torche dans la grotte, j’ai vu des yeux rouges… de crocodiles! C’était en 2008. Deux ans plus tard, nous avons sorti un premier spécimen de la grotte et nous avons remarqué qu’il était orange », se souvient le géoarchéologue (spécialiste des sédiments archéologiques) Richard Oslisly.
Une double découverte exceptionnelle faite alors qu’avec une équipe de chercheurs, il essayait de trouver des restes de traces humaines, dans les grottes d’Abanda (sud).
Ce crocodile orange vit uniquement dans les grottes d’Abanda >> Ce « crocodile orange cavernicole », qui peut atteindre 1m70, est unique au monde et n’a été observé que dans ces grottes du Gabon, selon M. Oslisly.
« Au début, nous avions pensé que la couleur pouvait venir de leur alimentation, car nous avons remarqué que ces reptiles mangent des chauves-souris oranges », explique le chercheur français.
Mais après des études plus poussées, les chercheurs ont avancé d’autres hypothèses: une « dépigmentation » due au manque de lumière dans ces grottes ou encore la nocivité du « guano », une substance faite d’excréments de chauves-souris dans laquelle ces animaux marinent tout au long de leur vie souterraine.
« L’urine des chauves-souris a commencé à attaquer leur peau et transformé leur couleur », explique Olivier Testa, spéléologue et membre de l’équipe scientifique.
Depuis 2010, Richard Oslisly, Olivier Testa et le chercheur américain Matthew Shirley ont multiplié les expéditions scientifiques pour en savoir plus sur ces crocodiles hors du commun.
En cartographiant les grottes, ils ont à ce jour recensé quatre crocodiles oranges sur une quarantaine de cette espèce « cavernicole ».
Des dizaines de crocodiles avec une coloration « normale » vivent dans des grottes voisines connectées à la surface, explique M. Testa, alors que les crocodiles oranges croupissent dans des grottes accessibles uniquement par des puits verticaux.
Ils se nourrissent de chauves-souris, de criquets, de grillons
« On pense que ces dizaines de crocodiles se seraient installés dans les grottes d’Abanda il y a environ 3.000 ans, ce qui correspond relativement bien avec une période où le niveau de la mer avait baissé et où cette zone côtière est redevenue terrestre », explique M. Shirley. Les crocodiles oranges, bloqués dans la grotte, se seraient « retrouvés piégés après être entrés par des couloirs quand ils étaient petits, puis ils ont grossi », selon Richard Oslisly.
Plusieurs couloirs plus ou moins étroits et interconnectés forment un réseau de grottes à Abanda où ils se bouchent parfois avec la montée de la nappe phréatique. Selon Matthew Shirley, les crocodiles se sont installés dans leur grotte parce qu’ils y trouvent leur compte et ils n’y sont peut-être pas tous bloqués depuis 3.000 ans.
Dans le noir absolu, ces animaux survivent avec un régime alimentaire particulier. Dans les grottes, pas de poissons ni de crustacés. Ils se nourrissent de chauves-souris, de criquets, de grillons. « C’est un environnement particulièrement exigeant », indique M. Shirley.
Leur propre « signature génétique »>> Selon les chercheurs, cette population cavernicole – animaux oranges et de couleur normale – appartient au groupe des crocodiles nains Osteolaemus tetraspis et est « en mutation ». L’ADN de cette population cavernicole n’est pas assez différent de son cousin nain de la surface pour en faire une nouvelle espèce, explique Matthew Shirley, mais ces animaux ont développé leur propre « signature génétique ».
Les crocodiles des grottes sont en effet dotés d’un groupe de gènes unique transmis de génération en génération, ont constaté les chercheurs, après comparaison de leur ADN avec celui de leurs cousins nains vivant exclusivement en surface au Gabon.
Bien que le crocodile soit déjà une espèce protégée au Gabon, Richard Oslisly plaide pour que le site des grottes d’Abanda devienne un « sanctuaire », « intégralement protégé ». « Il reste encore beaucoup à découvrir dans les grottes d’Abanda », estime le géoarchéologue qui espère y développer le « tourisme scientifique ».
((AFP PHOTO / OLIVIER TESTA- SOURCE AFP ))
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Et après quelques manipulations génétiques, voilà le résultat ...
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Ara a écrit:
Ils sont jolis, en plus !
Comme il faut s'y prendre bien à l'avance pour faire bouger un poil, je propose cette pétition à signer.
À chacune de ces images, je suis malade et j'ai un mal de chien (le cas de le dire) à la sortir de ma tête .
Pas de festival Yulin en 2019
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