hégémonie américaine

Ara a écrit:
Si peu ...

On apprend que D.Trump vient d'être relaxé du dernier  procès aussi .
Les médias n'en parlent pas trop non plus .

C'était couru d'avance. Je ne sais pas pour les autres mais mon media (comme dirait beced) a toujours dit qu'il serait acquitté.

LV426 a écrit:
C'était couru d'avance. Je ne sais pas pour les autres mais mon media (comme dirait beced) a toujours dit qu'il serait acquitté.

Puisque la Maison Blanche il a quitté,
C'est assez normal qu'il soit acquitté..

''Beced , powètte à ses heures''

beced a écrit:

Puisque la Maison Blanche il a quitté,
C'est assez normal qu'il soit acquitté..

''Beced , powètte à ses heures''

Bouge pas, je mets ton poème en musique.

LV426 a écrit:
Bouge pas, je mets ton poème en musique.

Et comme interprète, puis-je suggérer?? ....


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Joe Biden estime que les violences de la Chine envers les Ouïghours sont dues à des «normes culturelles» différentes  ...

Questionné sur CNN ce mardi 16 février sur sa récente conversation avec son homologue chinois Xi Jinping, le président américain Joe Biden a eu des propos controversés sur la répression exercée par la Chine sur la communauté Ouighour. Il a notamment affirmé que chaque pays avait des «normes culturelles» différentes, et donc différentes façons de gouverner.

Selon le compte rendu officiel de la Maison blanche, Joe Biden avait exprimé ses «préoccupations fondamentales concernant les pratiques économiques coercitives de Pékin, la répression à Hong Kong, et la violation des droits humains dans le Xinjiang», lors de son entretien avec le président chinois Xi Jinping la semaine dernière.

Cependant, lors d’une séance de questions de la population ce mardi 16 février, diffusé sur CNN, nommé le «CNN Town Hall», Joe Biden a eu un discours plus nuancé sur les actions menées par le gouvernement chinois sur les Ouighours. «Je lui ai fait remarquer qu'aucun président américain ne peut être soutenu en tant que président s'il ne reflète pas les valeurs des États-Unis, et donc l'idée que je ne vais pas m'exprimer contre ce qu'il fait à Hong Kong, ce qu'il fait avec les Ouïghours dans les montagnes occidentales de la Chine, il l’a comprise, a-t-il raconté. Culturellement, il y a différentes normes que chaque pays et ses dirigeants sont censés suivre.»

Des déclarations qui ont beaucoup fait réagir, dans la mesure où de nombreuses associations de défense des droits de l’homme et médias, notamment une récente enquête de la BBC, indiquent des faits de tortures et de violences sexuelles sur cette communauté musulmane dans des camps chinois. Certains témoins affirment au média britannique que des femmes sont victimes de viols collectifs et de stérilisation forcée. Sur Twitter, plusieurs internautes et personnalités politiques ont jugé «honteuse» cette déclaration du président américain, comme Steve Guest, conseiller de communication du sénateur républicain Ted Cruz.
La position de l’administration américaine, que ce soit sous Donald Trump ou maintenant sous Joe Biden, a cependant toujours été de dénoncer ces faits et d’exhorter la Chine de mettre fin à ces violences. À la suite de la publication de l’enquête de la BBC, un porte-parole du Département d’État américain avait déclaré : «Ces atrocités heurtent la conscience et doivent avoir de graves conséquences.»  Sous l’ère de Donald Trump, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait notamment accusé la Chine de commettre un «génocide».

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PS.  https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/frank-james-et-hunter-biden-les-trois-boulets-du-president_2144748.html
"Frank, James et Hunter Biden, les trois boulets du président ..." (Quand Joe Biden était Vice-président, son fils a obtenu des postes bien payés dans des compagnies ukrainiennes et  chinoises: en 2020 il a démissionné .... en partie).
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beced a écrit:Joe Biden estime que les violences de la Chine envers les Ouïghours sont dues à des «normes culturelles» différentes  ...

Questionné sur CNN ce mardi 16 février sur sa récente conversation avec son homologue chinois Xi Jinping, le président américain Joe Biden a eu des propos controversés sur la répression exercée par la Chine sur la communauté Ouighour. Il a notamment affirmé que chaque pays avait des «normes culturelles» différentes, et donc différentes façons de gouverner.

Selon le compte rendu officiel de la Maison blanche, Joe Biden avait exprimé ses «préoccupations fondamentales concernant les pratiques économiques coercitives de Pékin, la répression à Hong Kong, et la violation des droits humains dans le Xinjiang», lors de son entretien avec le président chinois Xi Jinping la semaine dernière.

Cependant, lors d’une séance de questions de la population ce mardi 16 février, diffusé sur CNN, nommé le «CNN Town Hall», Joe Biden a eu un discours plus nuancé sur les actions menées par le gouvernement chinois sur les Ouighours. «Je lui ai fait remarquer qu'aucun président américain ne peut être soutenu en tant que président s'il ne reflète pas les valeurs des États-Unis, et donc l'idée que je ne vais pas m'exprimer contre ce qu'il fait à Hong Kong, ce qu'il fait avec les Ouïghours dans les montagnes occidentales de la Chine, il l’a comprise, a-t-il raconté. Culturellement, il y a différentes normes que chaque pays et ses dirigeants sont censés suivre.»

Des déclarations qui ont beaucoup fait réagir, dans la mesure où de nombreuses associations de défense des droits de l’homme et médias, notamment une récente enquête de la BBC, indiquent des faits de tortures et de violences sexuelles sur cette communauté musulmane dans des camps chinois. Certains témoins affirment au média britannique que des femmes sont victimes de viols collectifs et de stérilisation forcée. Sur Twitter, plusieurs internautes et personnalités politiques ont jugé «honteuse» cette déclaration du président américain, comme Steve Guest, conseiller de communication du sénateur républicain Ted Cruz.
La position de l’administration américaine, que ce soit sous Donald Trump ou maintenant sous Joe Biden, a cependant toujours été de dénoncer ces faits et d’exhorter la Chine de mettre fin à ces violences. À la suite de la publication de l’enquête de la BBC, un porte-parole du Département d’État américain avait déclaré : «Ces atrocités heurtent la conscience et doivent avoir de graves conséquences.»  Sous l’ère de Donald Trump, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo avait notamment accusé la Chine de commettre un «génocide».

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PS.  https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/frank-james-et-hunter-biden-les-trois-boulets-du-president_2144748.html
"Frank, James et Hunter Biden, les trois boulets du président ..." (Quand Joe Biden était Vice-président, son fils a obtenu des postes bien payés dans des compagnies ukrainiennes et  chinoises: en 2020 il a démissionné .... en partie).
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Ok. Mais il ne s'appelle pas Trump, lui.

USA-Le Sénat confirme la nomination de Thomas-Greenfield comme ambassadrice à l'Onu ..
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Un parcours impressionnant...
Née à Baker en Louisiane, à l'époque de la ségrégation et du racisme violent (elle se souvient encore des croix enflammées dans les maisons de ses voisins), Linda Thomas-Greenfield a grandi dans une famille de huit enfants. Son père ne savait ni lire ni écrire et sa mère avait le niveau de l’école primaire. Son parcours a été celui de millions de jeunes Noirs américains dans les années 1950 et 1960 qui ont dû lutter pour se réaliser1.

Linda Thomas-Greenfield obtient un baccalauréat universitaire de l'université d'État de Louisiane, suivi d'un master en administration publique de l'université du Wisconsin à Madison. (Wikipedia)

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Thomas-Greenfield taught political science at Bucknell University before joining the Foreign Service in 1982 ..
Deputy Assistant Secretary, Bureau of Population, Refugees and Migration (2004–2006),
Principal Deputy Assistant Secretary for African Affairs (2006-2008), Ambassador to Liberia (2008–2012),
Director General of the Foreign Service and concurrently as the Director of Human Resources (2012–2013)
Foreign postings in Switzerland (at the United States Mission to the United Nations), Pakistan, Kenya, The Gambia, Nigeria, and Jamaica ..
From 2013 to 2017, she served as the Assistant Secretary of State for African Affairs in the United States Department of State's Bureau of African Affairs.
Thomas-Greenfield is a non-resident fellow at Georgetown University, having been the distinguished resident fellow in African Studies from fall 2017 to spring 2019.

Sanction américaine contre l'Arabie Saoudite suite au meurtre de l'opposant Kashoggi ayant eu lieu en Turquie (c'est une des infos du jour).

Mais la mort de Ben Laden (télévisée en direct devant Obama, Joe Biden et Hilary Clinton )ayant eu lieu au Pakistan durant son sommeil, entouré de ses femmes ou filles, devrait être aussi considérée comme un meurtre puisque pas sanctionnée par un tribunal.

Cela est évidemment absurde de comparer Kashoggi avec Ben Laden, mais dans les 2 cas il s'agit de personnes considérées par des Etats comme un risque potentiel.
Et donc lorsque l'état américain condamne sur ce sujet l'état saoudien, c'est un peu l'hôpital qui se moque de la charité....
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Joe Biden a décidé au nom de droits de l'homme déclassifier les documents prouvant la responsabilité des dirigeants saoudiens dans la mort horrible de l'opposant Kashoggi dans leur ambassade en Turquie.

Curieusement cela ne l'empêche pas de vouloir renouer avec l'Iran. D'autant plus qu'un procès en Belgique vient de condamner un diplomate iranien coupable d'avoir voulu organiser l'assassinat d'opposants iraniens vivant en France.

Tout aussi curieusement, et en contradiction avec ce qui précède, répondant a une question concernant les persécutions  des Ouïghours par la  Chine, Joe Biden avait répondu qu'il s'agissait d'une affaire culturel...

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'Confused' Joe Biden Says 'What Am I Doing Here?' in Viral Video; Mispronounces Names

   By Parwinder Sandhu //    March 1, 2021  

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Un Joe Biden désorienté rend perplexe son entourage après avoir
dans un meeting s'être demandé "ce qu'il faisait ici?"

 

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18:07:52

beced a écrit:'Confused' Joe Biden Says 'What Am I Doing Here?' in Viral Video; Mispronounces Names

   By Parwinder Sandhu //    March 1, 2021  

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Un Joe Biden désorienté rend perplexe son entourage après avoir
dans un meeting s'être demandé "ce qu'il faisait ici?"

 

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Ben on se le demande ?

beced a écrit:'Confused' Joe Biden Says 'What Am I Doing Here?' in Viral Video; Mispronounces Names

   By Parwinder Sandhu //    March 1, 2021  

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Un Joe Biden désorienté rend perplexe son entourage après avoir
dans un meeting s'être demandé "ce qu'il faisait ici?"

 

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Qu'est-ce que je fais ici ? est une des traductions possibles. Mais, si j'avais été son interprète, j'aurais traduit par "qu'est-ce que je raconte ?" ou "qu'est-ce qui m'arrive ?" C'est ce qu'on dit généralement dans ce genre de situation.
En traduction, on doit toujours tenir compte du contexte.

Pour rappel :

wordreference dictionary. a écrit:here /hɪr/  
adv. [...]
at this point in an action, speech, etc.:
Here the speaker paused.

in this instance or case; under consideration:
The matter here is of grave concern.

On a d'ailleurs un usage similaire en français :
Ici, il s'interrompit.

LV426 a écrit:
Qu'est-ce que je fais ici ? est une des traductions possibles. Mais, si j'avais été son interprète, j'aurais traduit par "qu'est-ce que je raconte ?" ou "qu'est-ce qui m'arrive ?" C'est ce qu'on dit généralement dans ce genre de situation.
En traduction, on doit toujours tenir compte du contexte.

Pour rappel :

On a d'ailleurs un usage similaire en français :
Ici, il s'interrompit.

C'est une option à considérer.
En fait personne n'aurait rien à trouver à redire s'il avait dit   'What the f... am I Doing Here?'.

beced a écrit:

C'est une option à considérer.
En fait personne n'aurait rien à trouver à redire s'il avait dit   'What the f... am I Doing Here?'.

Dans les retransmissions en différé, ça donne
What the beeeeeeeeep am I doing here?
(aux USA, on est chatouilleux sur les gros mots, en particulier sur le F-word).

Quote La famille de George Floyd obtient 27 millions de dollars de dédommagement  (avant le procès des policiers inculpés).... unquote
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Pas mal pour la famille d'une personne qui a fait plusieurs fois de la prison, menacé une femme afro-américaine enceinte en lui mettant son revolver sur le ventre, afin qu'elle lui refile ses économie; et qui le jour de son arrestation venait de refiler de la fausse monnaie à commerçant, et qui en résistant violemment à la police a laissé tombé un sachet contenant de la drogue.
Et dont la cause de la mort peut être la brutalité policière due au fait de sa résistance à l'arrestation, mais pas seulement (drogue, médicaments, état de santé,...).
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PS. Dans le même genre, un "van" dans lequel se trouvait une famille d'illégaux qui sur les routes belges il y a quelques mois, venant de Calais,  essayait d'échapper à la police. Un policier a sorti son arme et a tiré en visant les pneux pour essayer d'arrêter le véhicule qui roulait à toute allure. Malheureusement le policier a mal visé et une balle a traversé la porte masquée arrière du van tuant ainsi la petite fille de cette famille.
Le tribunal a accordé une forte somme d'argent à la famille et condamné avec sursis le policier de plusieurs années de prison: ce dernier a fait appel.  
Que le policier ait bien ou mal réagi lors de la course poursuite est une chose. Mais ce qui est désolant dans cette affaire, selon moi, est que la famille qui a pris la décision d'émigrer de manière illégale dans les conditions que l'on sait,  n'a jamais exprimé de remords ou des regrets à propos de leur décisions...


PPS. Foxnew et  The Daily Mail,    et l'analyse d'une vidéo
La vidéo montre des policiers essayant pendant environ 20 minutes pour tenter de détenir un homme qui  venait  de passer un faux billet de 20 dollars, un homme qui avait clairement perdu tout sens de la réalité. Les images montraient George Floyd suppliant les agents de rester avec lui. Il souffrait clairement.
L'incident a commencé vers 20 heures. le 24 mai, lorsqu'un commis d'épicerie a appelé la police pour signaler que George Floyd avait tenté de faire un achat en utilisant un faux billet. Les agents ont trouvé George Floyd dans une voiture à proximité. Immédiatement, il était très évident que quelque chose n'allait vraiment pas chez lui.
George Floyd était émotionnellement hors de contrôle, et  hystérique.
Pour les policiers ce n'était pas  la première rencontre de George Floyd avec les forces de l’ordre. Entre 1997 et 2007, la police du Texas a arrêté Floyd neuf fois au total, sur des accusations allant de la possession de drogue au vol. Puis, le 9 août 2007, George Floyd a fait irruption dans la maison d'une femme enceint et a tenu une arme à feu sur son abdomen devant son gosse. Pour cette affaire George Floyd avait écopé de cinq ans de prison .

S'il avait déjà été détenu, pourquoi George Floyd était-il au bord de l'hystérie? Les policiers se sont demandé la même chose. «Vous avez de la mousse autour de la bouche», dit l’un d’eux. Un spectateur dit à Floyd: "Tu vas mourir d'une crise cardiaque."
"Êtes-vous sur quelque chose en ce moment?" demande un policier.
«Non», dit George Floyd.
Alors qu'en fait  lors de l'autopsie, le bureau du médecin légiste du comté de Hennepin  a trouvé que George Floyd avait une dose mortelle de fentanyl dans son système, en plus de la méthamphétamine. Le rapport d'autopsie a montré que Floyd avait 11 nanogrammes de fentanyl par millilitre de sang dans son système lorsqu'il a été testé à l'hôpita:  plus de trois fois la quantité de fentanyl qui peut tuer une personne en bonne santé. Le rapport indique que : "Les signes associés à la toxicité du fentanyl comprennent une dépression respiratoire sévère, des convulsions, une hypotension, un coma et la mort. Dans les décès dus au fentanyl, les concentrations sanguines sont variables et ont été rapportées aussi bas que 3 nanogrammes de fentanyl par millilitre de sang."

Même le propre avocat de la famille Floyd admet que c’est vrai. Il est «vrai que l’autopsie du bureau du médecin légiste du comté de Hennepin a montré que Floyd avait du fentanyl dans son système», a-t-il concédé, mais il a ensuite insisté sur le fait que George Floyd avait en fait été tué par racisme.

Le médecin légiste a constaté que le cœur de George Floyd était malade... Selon un communiqué de presse du bureau du médecin légiste, la cause du décès de Floyd était «un arrêt cardio-pulmonaire compliquant l'application de la loi subdual, la contention et la compression du cou». . " Selon le rapport, George Floyd était également infecté par le COVID.  

Des documents relatifs à l'autopsie ont été rendus publics. L'une était une note détaillant une conversation que le bureau du procureur avait eue avec Andrew Baker, le médecin légiste en chef du comté de Hennepin. Andrew Baker a déclaré aux procureurs que «si M. Floyd avait été retrouvé mort chez lui (ou ailleurs) et qu'il n'y avait aucun autre facteur contributif, il aurait conclu qu'il s'agissait d'une mort par surdose». Le mémo notait que Baker disait que les niveaux de fentanyl de Floyd étaient «assez élevés» et qu'il s'agissait d'un «niveau fatal de fentanyl dans des circonstances normales».
Dans une note distincte, Baker a annoncé que «l'autopsie n'a révélé aucune preuve physique suggérant que M. Floyd est mort d'asphyxie».

Pourquoi George Floyd a-t-il dit aux officiers "Je ne peux pas respirer?" La réponse se trouve peut-être dans le rapport de l'autopsie et pas dans la séquence vidéo qui tourne en boucle.
(Traduction Google d'un article de Foxnews)
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Dans la vidéo Georges Floyd exprime déjà le fait qu'il a du mal à respirer alors que les policiers ne l'ont pas encore touché...
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Le Président Biden a traité Poutine de "killer", annonce mon journal. Avec pour résultat immédiat le rappel de l'ambassadeur russe aux Etats-Unis.
Ce qui n'est pas été précisé est que c'était une réponse pratiquement automatique lors d'une conversation avec un journaliste, et que c'est ce dernier qui lui avait posé (ou glissé) la question.
Et il est donc dommage que mon journal n'ait pas précisé pour quelle raison, ou faisant réference à quel évenement, le journaliste avait posé la question. Et même si cela avait été fait (l'affaire du dissident empoisonné), Biden aurait probablement choisi un autre terme pour qualifier le dirigeant russe.
Biden qui était présent avec Obama, Hilary Clinton dans la salle d'où était filmé en direct l'assassinat dans son sommeil de Ben Laden par les soldats américains.

Ce n'est pas en fait la première fois qu'un dirigeant politiques se trouve ainsi +- manipulé par un journaliste, provoquant ainsi parfois des situations dont il ne devra pas gérer les conséquences... 
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États-Unis: Joe Biden face à la crise des migrants ...Le président démocrate, qui avait critiqué les mesures «inhumaines» de son prédécesseur, est à son tour mis en cause, alors que des dizaines de milliers de personnes se pressent à la frontière sud des États-Unis.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Situation prévisible ....


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Un passeur jette deux jeunes enfants d’un mur de 4m de haut >>  Deux fillettes équatoriennes de trois et cinq ans ont été jetées en pleine nuit du haut d’un mur de quatre mètres de hauteur à la frontière entre le Mexique et les Etats-Unis, a rapporté mercredi le service américain des Douanes et de la Protection des frontières (CBP).

Un opérateur de caméras de surveillance a alerté des agents d’un poste de contrôle qui se sont alors rendus dans cette zone reculée de l’Etat du Nouveau-Mexique. « Mardi soir, un agent de Santa Teresa chargé de l’utilisation de caméras a vu un passeur lâcher deux jeunes enfants du haut d’un mur frontalier d’une hauteur de 14 pieds (environ quatre mètres, ndlr) », a indiqué le CBP dans un communiqué.
Les fillettes ont été accueillies dans une station du CBP à Santa Teresa, au Nouveau Mexique, afin d’y subir des examens médicaux puis ont été transportées dans un hôpital local par précaution. « Je suis sidérée par la manière inhumaine dont ces passeurs ont jeté la nuit dernière du haut d’un mur de 14 pieds d’innocentes enfants », a déclaré dans un communiqué la cheffe de patrouille Gloria I. Chavez.

    Smugglers drop two young girls from border wall into New Mexico desert. The children, ages 3 & 5, were rescued by US Border Patrol Agents. pic.twitter.com/cF43v9iI5M
    — Breaking911 (@Breaki

Mme Chavez a précisé que les gardes-frontières américains travaillaient avec les autorités mexicaines afin d’identifier les coupables. « Sans la vigilance de nos agents avec l’aide de technologies mobiles, ces deux toutes jeunes sœurs auraient été soumises pendant des heures aux rigueurs du désert », a-t-elle ajouté. Les Etats-Unis font face à une forte augmentation des arrivées à la frontière: plus de 100.000 migrants en situation irrégulière ont été arrêtés en février à la frontière sud, dont près de 20.000 personnes en famille et 10.000 mineurs isolés.
SOURCE
AFP 
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PS. Juste une hypothèse, mais il me semble que si cela s'était passé durant la présidence de Trump, le sujet aurait fait la Une des JT ou d'autres médias...
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beced a écrit:Le Président Biden a traité Poutine de "killer", annonce mon journal. Avec pour résultat immédiat le rappel de l'ambassadeur russe aux Etats-Unis.
Ce qui n'est pas été précisé est que c'était une réponse pratiquement automatique lors d'une conversation avec un journaliste, et que c'est ce dernier qui lui avait posé (ou glissé) la question.
Et il est donc dommage que mon journal n'ait pas précisé pour quelle raison, ou faisant réference à quel évenement, le journaliste avait posé la question. Et même si cela avait été fait (l'affaire du dissident empoisonné), Biden aurait probablement choisi un autre terme pour qualifier le dirigeant russe.
Biden qui était présent avec Obama, Hilary Clinton dans la salle d'où était filmé en direct l'assassinat dans son sommeil de Ben Laden par les soldats américains.

Ce n'est pas en fait la première fois qu'un dirigeant politiques se trouve ainsi +- manipulé par un journaliste, provoquant ainsi parfois des situations dont il ne devra pas gérer les conséquences... 
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La question qui se pose c'est de savoir si Joe Biden à toute sa raison ?

beced a écrit: États-Unis: Joe Biden face à la crise des migrants ...Le président démocrate, qui avait critiqué les mesures «inhumaines» de son prédécesseur, est à son tour mis en cause, alors que des dizaines de milliers de personnes se pressent à la frontière sud des États-Unis.
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Situation prévisible ....


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  Oui c est comme en Europe ou on prefers rien faire résultat t’a dés million de gens qui rêvent de partir risque leurs vie pour aller dans des pays ou c est déjà la galère. On dirai le jeux de la chaise musicale parce que après c est les européen qui voudront partir ailleurs pour 1000 raison du au mauvaise gestion de nos politique et une imigration incontrôlée ....

beced a écrit:
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Si le footage est fake, c'est un footage de gueule.
(je pose, a priori, qu'il ne l'est pas, c'est juste pour le jeu de mots translingue).

L'Etat américain de Géorgie va rendre obligatoire la présentation d'un carte d'idendité pour tous les votans. Et cela après la quantité de votes suspects (ou contreversés) lors des dernières élections.
Le Parti Démocratiques estime qu'il s'agit d'un décision raciste.
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LV426 a écrit:
Si le footage est fake, c'est un footage de gueule.
(je pose, a priori, qu'il ne l'est pas, c'est juste pour le jeu de mots translingue).

J'avais déjà vu une vidéo semblable (probablement identique) montrant Georges Floyd dans sa voiture et 2 policiers en train de l'interpeller.
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Une autre vidéo montre aussi un petit sac supposé contenir de la coke sortir de sa poche quand le policier Chauvin (curieux nom, isn't it?) essaye de la maîtriser....



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beced a écrit:L'Etat américain de Géorgie va rendre obligatoire la présentation d'un carte d'idendité pour tous les votans. Et cela après la quantité de  votes suspects (ou contreversés) lors des dernières élections.
Le Parti Démocratiques estime qu'il s'agit d'un décision raciste.
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Je ne suis pas qualifié pour dire si des votes étaient suspects. Donc, je choisis controversés.
Merci de m'avoir laissé le choix.