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Mensonges climatiques.
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beced- Messages : 49375
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- Message n°501
Re: Mensonges climatiques.
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Flavius- Modérateur
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- Message n°502
Re: Mensonges climatiques.
Pour ceux qui confondent climat et météo, je conseille deux livres :
Celui de François Gervais "L'impasse climatique "
Celui de Yves Roucaute "L'obscurantisme vert"
Une autre parole sur l'écologie.
Yves Roucaute : Auteur de nombreux ouvrages, docteur d'Etat en science politique, docteur en philosophie et des sciences, professeur des universités à la faculté de droit et de sciences politique à Paris X de Nanterre.
François Gervais : Il rédige un ouvrage consacré aux supraconducteurs.
Ce physicien est lauréat du prix Ivan Peychès de l'académie des sciences, titulaire de la médaille de bronze du CNRS (thermodynamique) et officier dans l'ordre des Palmes académiques. Il a aussi travaillé au GIEC où, contrairement à ce que l'on entend, il y a peu de scientifiques du climat. En fait le GIEC reprend surtout les rapports de scientifiques qu'il interprète comme ça l'arrange.
Je suis bien entendu parfaitement incompétent en la matière. Toutefois, j'aime bien aussi entendre un autre discours que celui qu'on nous sert en permanence. D'autant que ces scientifiques, sont suivis de mille autres, jamais invités sur le service public.
Celui de François Gervais "L'impasse climatique "
Celui de Yves Roucaute "L'obscurantisme vert"
Une autre parole sur l'écologie.
Yves Roucaute : Auteur de nombreux ouvrages, docteur d'Etat en science politique, docteur en philosophie et des sciences, professeur des universités à la faculté de droit et de sciences politique à Paris X de Nanterre.
François Gervais : Il rédige un ouvrage consacré aux supraconducteurs.
Ce physicien est lauréat du prix Ivan Peychès de l'académie des sciences, titulaire de la médaille de bronze du CNRS (thermodynamique) et officier dans l'ordre des Palmes académiques. Il a aussi travaillé au GIEC où, contrairement à ce que l'on entend, il y a peu de scientifiques du climat. En fait le GIEC reprend surtout les rapports de scientifiques qu'il interprète comme ça l'arrange.
Je suis bien entendu parfaitement incompétent en la matière. Toutefois, j'aime bien aussi entendre un autre discours que celui qu'on nous sert en permanence. D'autant que ces scientifiques, sont suivis de mille autres, jamais invités sur le service public.
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beced- Messages : 49375
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- Message n°503
Re: Mensonges climatiques.
Il y a +- une dizaine d'années le nouveau présentateur météo de France2 a terminé "brusquement" sa carrière après la sortie de son livre sur les changements climatiques qui proposait une explication différente que celle de la COP21...
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Dernière édition par beced le Ven 1 Juil 2022 - 23:34, édité 1 fois
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Flavius- Modérateur
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- Message n°505
Re: Mensonges climatiques.
Et vous avez raison de vous poser cette question. Je n'aurai pas l'outrecuidance de prendre parti dans un domaine qui m'est tout à fait étranger. Simplement j'essaye de ne pas me satisfaire du discours majoritaire. Ce que je suis sûr, c'est que son livre n'est que scientifique et qu'il n'est pas le seul à dénoncer l'urgence climatique.Paulette a écrit:Je pose juste une question : ce monsieur Roucaute s'avère un climatosceptique convaincu, mais sait-il bien de quoi il parle, étant donné qu'il n'a aucune formation scientifique ? En revanche, c'est un vrai navigateur en politique !
Un vrai navigateur politique, c'est vrai. Et j'aime bien la formule. Mais qui n'a pas changé d'idée, surtout en fonction de son âge ?
On a pas tous la sagesse de feu Antoine Blondin qui disait de mémoire : "Jeune, je n'ai pas été de gauche de peur de me retrouver vieux à droite."
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Flavius- Modérateur
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- Message n°508
Re: Mensonges climatiques.
Alors pour l'avoir entendu à la téloche, il revendique plusieurs années d'études scientifiques, notamment en physique.Paulette a écrit:Ta réponse est très intéressante, mais me questionne à nouveau : comment peut-il parler "d'obscurantisme vert" sans avoir aucune formation scientifique , uniquement sur des bases de "philosophie politique" ? Et comment peut-il "dénoncer l'urgence climatique", s'il conteste le rôle de l'homme dans le dérèglement climatique ?Flavius a écrit:
Et vous avez raison de vous poser cette question. Je n'aurai pas l'outrecuidance de prendre parti dans un domaine qui m'est tout à fait étranger. Simplement j'essaye de ne pas me satisfaire du discours majoritaire. Ce que je suis sûr, c'est que son livre n'est que scientifique et qu'il n'est pas le seul à dénoncer l'urgence climatique.
Un vrai navigateur politique, c'est vrai. Et j'aime bien la formule. Mais qui n'a pas changé d'idée, surtout en fonction de son âge ?
On a pas tous la sagesse de feu Antoine Blondin qui disait de mémoire : "Jeune, je n'ai pas été de gauche de peur de me retrouver vieux à droite."
D'ailleurs, il s'est intéressé à la philosophie des sciences. Maintenant, je ne connais pas plus que ça ce monsieur. Mais il a manifestement un discours de scientifique.
Ce n'est pas l'unique cas de philosophes qui est aussi scientifique. Comment développer des thèses philosophiques sans disposer d'un minimum de connaissances scientifiques, notamment sur la matière ?
Les physiciens se sont toujours intéressés à la physique et lycée de Versailles.
Et depuis quelque temps, je note un courant non négligeable en nombre, mais aussi en qualité, de scientifiques qui relativisent "l'urgence climatique" en faisant remarquer que certains amènent volontairement le public néophyte à confondre météo et climat. C'est d'autant plus facile, que les événements météorologiques (qui ont toujours existé à travers les âges le conforte dans cet état d'esprit... A une certaine époque, les Vikings ont fait pousser de la vigne au Danemark et ailleurs ; peut-être même au Groenland).
A l'époque de l'homme de Cro-Magnon, le climat s'est déréglé et l'effet de serre dont on parle tant, était plus haut qu'aujourd'hui. Et pourtant, on ne peut pas dire que l'Homme peuplait abondamment la planète... et les usines étaient, me semble-t-il, plutôt rares.
Les premiers témoignages de la présence de l'homme de Cro-Magnon tels qu'ils sont perçus coïncident en Europe avec un évènement climatique majeur caractérisé par une importante élévation de la température et une augmentation considérable de l'humidité. Ça c'est de la climatologie...pas de la météo.
Alors, les dérèglements seraient-ils des événements naturels attachés à notre planète ?
Malheureusement je suis très ignorant en ce domaine. Je ne fais que rapporter, ce que j'ai lu et entendu. Et autant dire que je n'ai aucun apriori en la matière.
Mes connaissances sont trop limitées.
Doit-on cataloguer les gens qui s'interrogent sur le sujet de climato-septiques, comme on a traité les personnes qui questionnaient les autorités sur l'efficacité du vaccin, d'antivax, avant que l'on constate que le vaccin anti-Covid relevait plus du remède que du vaccin, ce qu'aujourd'hui tous les scientifique s'accordent à dire ? Rappelons nous tout ce qui a été écrit sur le sujet sur ce même forum...
nangiam33 aime ce message
beced- Messages : 49375
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- Message n°511
Re: Mensonges climatiques.
N'étant pas scientifique, concernant "le climat", je ne me sens pas capable de critiquer de manière pertinente une théorie ou celle qui va dans un autre sens.
Mais par simple principe de précaution je favorise ce qui est prescrit dans les conclusions des COP21,22,23,...
.
Cela étant il est troublant que l'on n'y aborde pas ou si peu les conséquences sur le climat de 7 ou 8 milliards en 2023.
Comme il est troublant qu'il n'est pas rappelé les changements climatiques reconnus du passé sans la présence humaine, lorsque l'on parle de ceux qui ont lieu actuellement.
.
.
Mais par simple principe de précaution je favorise ce qui est prescrit dans les conclusions des COP21,22,23,...
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Cela étant il est troublant que l'on n'y aborde pas ou si peu les conséquences sur le climat de 7 ou 8 milliards en 2023.
Comme il est troublant qu'il n'est pas rappelé les changements climatiques reconnus du passé sans la présence humaine, lorsque l'on parle de ceux qui ont lieu actuellement.
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Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
- Message n°513
Re: Mensonges climatiques.
Voila ce que j'ai lu s'agissant du CO2Paulette a écrit:Sauf que les changements climatiques du passé n'étaient pas provoqués par le CO2 !
Le dérèglement climatique s'est clairement accentué depuis la révolution industrielle du XIXe siècle.
Si le Groenland était vert, c'était parce que la calotte polaire était encore très épaisse et grâce au phénomène de l'albédo.
Les 420 000 ans d’archives du climat et de la composition de l’atmosphère, constituées par la carotte de Vostok, offrent la possibilité unique de reconstruire l’évolution de la teneur en dioxyde de carbone (CO2) de l’atmosphère au cours des 4 derniers cycles glaciaire interglaciaires. La représentativité atmosphérique de la teneur en CO2 de cette carotte est discutée en tenant compte des processus physiques susceptibles d’altérer l’information et de la mesure du rapport O2/N2 mise au point au cours de ce travail. La représentativité de l’enregistrement CO2 de Vostok est aussi discutée à partir de sa comparaison avec différents enregistrements glaciaires antarctiques. On constate que la teneur en CO2 de l’atmosphère pendant les interglaciaires est de 280 à 300 ppmv (partie par million en volume) hors de l’influence anthropique, alors que la concentration caractérisant les périodes glaciaires est d’environ 180 ppmv. Ces variations sont à mettre en parallèle à celles de la température en Antarctique qui présente des oscillations d’environ 10°C. Les causes des changements climatiques sont encore mal comprises. En comparant l’évolution temporelle du CO2 à celle des températures aux hautes latitudes Sud et Nord, du niveau des mers et de la quantité de poussières continentales parvenant à Vostok, ce travail met en évidence des liens de causalité possibles entre les variations de ces différentes paramètres. Par confrontation avec d’autres enregistrements climatiques (Groenland, enregistrements marins), nous proposons également des mécanismes susceptibles d’expliquer les changements glaciaire-interglaciaires de la teneur en CO2 de l’atmosphère, ainsi que l’enchaînement des évènements caractérisant les oscillations climatiques. Il ressort de cette étude que le rôle de l’hémisphère Sud semble prépondérant et que l’étendue de la glace de mer, en Atlantique Sud en particulier, pourrait jouer un rôle clef dans la genèse des changements climatiques glaciaire-interglaciaires.
Thèse de doctorat Laurence PEPIN
François Gervais :
L'homme est professeur émérite à l'université François Rabelais. Il est aussi chercheur au CNRS. Depuis 2008, François Gervais axe ses recherches sur le climat et pointe les idées reçues sur le réchauffement climatique. En somme, il se retrouve dans les idées minoritaires des « climato-sceptiques »La Banque mondiale – grande spécialiste du climat comme chacun sait – a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre Planète par effet de serre en dessous du seuil de 2°C.
Le CO2 n’est pas responsable du réchauffement climatique et c’est ce que j’ai prouvé grâce à mes recherches. De ce fait, vouloir le diminuer ne fait pas avancer les choses. On présente le CO2 comme un polluant. Ce n’est pas vrai. Il est bénéfique à la végétation puisque c’est sa nourriture.
Prendre la voiture, c’est donc un bon comportement ?
Évidemment ! Pour les plantes, c’est une bonne chose ! Et j’ai prouvé que même si les émissions de CO2 ont augmenté de 40 % depuis 23 ans, cela n’a pas eu d’impact significatif sur la température de la planète. Ce n’est pas une idéologie, mais juste le résultat de recherches scientifiques.
Vous niez donc l’existence d’un quelconque réchauffement de la planète ?
Non, il y a bien un réchauffement climatique mais il est tout petit. La hausse de la température moyenne de la planète pourrait être seulement de 0,1 degré d’ici 2100. Cette minuscule hausse est surtout le résultat d’un mécanisme de cycles naturels de baisses et de hausses successives de la température depuis plus de 250 années. Le CO2 n’est en rien le responsable de cela. Il y a même une tendance à un refroidissement de la planète depuis 2002. D’ailleurs, la superficie de la banquise est redevenue excédentaire par rapport à sa moyenne en 2013. Sans les gaz à effet de serre, la température moyenne de la terre serait de moins 15 degrés en permanence. Ce serait invivable. C’est une imposture de montrer que la terre voit sa température augmenter en permanence.
Si le CO2 n’est pas dangereux pour la planète, pourquoi se priver d’en émettre encore plus qu’aujourd’hui ?
C’est là qu’il ne faut pas se tromper. Il ne s’agit pas de faire tout et n’importe quoi malgré les conclusions de mes recherches. Préserver les ressources pour les générations futures est un impératif primordial. Il ne faut absolument pas capitaliser sur le fait que le réchauffement climatique soit minime. Ce serait encore plus dangereux.
Pourquoi laisser croire que le CO2 est dangereux pour la planète ?
Ce ne sont plus mes recherches scientifiques qui me permettent de dire cela, mais je suis persuadé que la soit disant lutte contre les émissions de CO2 est un formidable buisines, avec des chiffres qui donnent le vertige. Lors du protocole de Kyoto de 1997, les pays ont débloqué 45 000 milliards pour lutter contre les émissions de CO2. Dans le même temps, les dettes cumulées de tous les Etats du monde équivalaient à 55 000 milliards d’euros. C’est une aberration. Pour résoudre les maux de l’humanité, il y aurait tellement d’autres manières d’utiliser l’argent, plutôt que de combattre un réchauffement climatique quasiment inexistant…
La Banque mondiale – grande spécialiste du climat comme chacun sait – a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre Planète par effet de serre en dessous du seuil de 2°C.
Face à un tel enjeu, une première démarche toute simple consiste à vérifier si dans un passé récent, les émissions de CO2 ont bien provoqué une hausse de la température. La corrélation est loin d’être évidente puisque la température baissait lorsque les émissions ont commencé à accélérer et que la température montait tout autant de 1910 à 1945, de 0,6°C, alors que les émissions étaient encore faibles, autant donc que de 1970 à 1998 alors que les émissions étaient alors 6 fois plus élevées. La corrélation est ainsi loin d’être frappante.
Quels sont les gaz à effet de serre dans l’air ?
La réponse est simple : ceux dont la molécule est constituée d’au moins deux atomes différents. Le principal est la vapeur d’eau. Arrive loin derrière le CO2. Sa concentration dans l’air est passée en un siècle de 0,03 % à 0,04 %. Quel peut être l’impact de cette augmentation sur la température de la Terre ?
Plus précisément, quel en a été l’impact sur la température ici mesurée par satellite vers 17 km d’altitude ? Pourquoi à cette altitude ? Parce que c’est dans la partie haute de l’atmosphère, dans la basse stratosphère, là où la pression atmosphérique est plus faible, que la théorie de l’effet de serre prévoit la signature la plus nette. En revanche, à la surface de la Terre, la pression est plus élevée et l’effet est déjà presque saturé. De fait, la température n’augmente plus de façon significative ou mesurable dans les limites de l’incertitude expérimentale depuis presque 20 ans.
Plus précisément, quel en a été l’impact sur la température ici mesurée par satellite vers 17 km d’altitude ? Pourquoi à cette altitude ? Parce que c’est dans la partie haute de l’atmosphère, dans la basse stratosphère, là où la pression atmosphérique est plus faible, que la théorie de l’effet de serre prévoit la signature la plus nette. En revanche, à la surface de la Terre, la pression est plus élevée et l’effet est déjà presque saturé. De fait, la température n’augmente plus de façon significative ou mesurable dans les limites de l’incertitude expérimentale depuis presque 20 ans.
Dans la période de 1993 à 2015, le taux de CO2 dans l’air est passé de 355 millionièmes, ou ppm, pour « parties par million », à 400 ppm, soit presque la moitié du total des émissions depuis le début de l’ère industrielle. Quel en a été l’impact sur la température ? Nul ! Aucune évolution mesurable n’est constatée.
Conclusion : la théorie de l’effet de serre atmosphérique n’est pas vérifiée par les mesures. Et c’est sur cette théorie, non validée, que sont basés les modèles de climat qui prévoient un réchauffement de la planète. Comme le disait le Prix Nobel de Physique Richard Feynman, si une théorie n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse. Peut importe qui l’a proposée. Si elle n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse.
Un réchauffement a-t-il été observé à la surface de la Terre ? Oui. Mais il est pour partie dû à une composante cyclique. On a passé le dernier sommet d’un cycle de 60 ans et maintenant la température commence à légèrement redescendre.
Vous comprendrez aisément, qu'il m'est difficile de m'immiscer dans ce débat, si ce n'est que pour poser des questions, et me poser des questions. Un beau débat contradictoire de scientifiques en perspective.
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Flavius- Modérateur
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- Message n°514
Re: Mensonges climatiques.
Ce n'est pas impossible. Mais très honnêtement je n'y connais rien.Paulette a écrit:Sauf que les changements climatiques du passé n'étaient pas provoqués par le CO2 !
Le dérèglement climatique s'est clairement accentué depuis la révolution industrielle du XIXe siècle.
Si le Groenland était vert, c'était parce que la calotte polaire était encore très épaisse et grâce au phénomène de l'albédo.
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- Message n°516
Re: Mensonges climatiques.
Merci. C'est gentil de votre part.MrPhelps a écrit:Oui moi aussi beaucoup de courage. J ai été opérer qu une fois quand j ai fait ma péritonites c est jamais dés moment facile Desfois on doit supporter dés épreuve pas très agréable un jours c’est sera sans doute notre tours aussi. C est important de ce soutenirPaulette a écrit:Flavius, puisque tu viens sur ce topic, j'en profite pour te souhaiter le meilleur qui puisse arriver dans les jours à venir. Je penserai à toi.
J'ai encore tellement de livres que je souhaiterai lire et tant de choses à découvrir ! Je serai assez heureux de me réveiller...!
Réponse à Paulette et Phelps.
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- Message n°517
Re: Mensonges climatiques.
Je vous le souhaite !Flavius a écrit:
Merci. C'est gentil de votre part.
J'ai encore tellement de livres que je souhaiterai lire et tant de choses à découvrir ! Je serai assez heureux de me réveiller...!
Réponse à Paulette et Phelps.
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beced- Messages : 49375
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- Message n°518
Re: Mensonges climatiques.
Flavius a écrit:
Ce n'est pas impossible. Mais très honnêtement je n'y connais rien.
L'argumentation de Paulette est sans doute exact, mais il évacue le fait qu'il n'y aurait plus, bizarrement, de changements climatiques "naturels" ou "classiques".
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Dans ce tableau, il est curieux de noter que les "facteurs naturels seuls" semblent faire du "sur place" depuis 1960...
Flavius- Modérateur
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- Message n°521
Re: Mensonges climatiques.
J'avoue ne pas avoir d'avis définitif sur la question. Je ne suis pas en mesure de juger vu l'état de mes connaissances sur le sujet. Mais ouvrir son esprit à d'autres idées c'est dans ma nature.Paulette a écrit:Je constate que ce monsieur ne parla que de "réchauffement", là où il faudrait parler de "dérèglement".Flavius a écrit:
Voila ce que j'ai lu s'agissant du CO2
Les 420 000 ans d’archives du climat et de la composition de l’atmosphère, constituées par la carotte de Vostok, offrent la possibilité unique de reconstruire l’évolution de la teneur en dioxyde de carbone (CO2) de l’atmosphère au cours des 4 derniers cycles glaciaire interglaciaires. La représentativité atmosphérique de la teneur en CO2 de cette carotte est discutée en tenant compte des processus physiques susceptibles d’altérer l’information et de la mesure du rapport O2/N2 mise au point au cours de ce travail. La représentativité de l’enregistrement CO2 de Vostok est aussi discutée à partir de sa comparaison avec différents enregistrements glaciaires antarctiques. On constate que la teneur en CO2 de l’atmosphère pendant les interglaciaires est de 280 à 300 ppmv (partie par million en volume) hors de l’influence anthropique, alors que la concentration caractérisant les périodes glaciaires est d’environ 180 ppmv. Ces variations sont à mettre en parallèle à celles de la température en Antarctique qui présente des oscillations d’environ 10°C. Les causes des changements climatiques sont encore mal comprises. En comparant l’évolution temporelle du CO2 à celle des températures aux hautes latitudes Sud et Nord, du niveau des mers et de la quantité de poussières continentales parvenant à Vostok, ce travail met en évidence des liens de causalité possibles entre les variations de ces différentes paramètres. Par confrontation avec d’autres enregistrements climatiques (Groenland, enregistrements marins), nous proposons également des mécanismes susceptibles d’expliquer les changements glaciaire-interglaciaires de la teneur en CO2 de l’atmosphère, ainsi que l’enchaînement des évènements caractérisant les oscillations climatiques. Il ressort de cette étude que le rôle de l’hémisphère Sud semble prépondérant et que l’étendue de la glace de mer, en Atlantique Sud en particulier, pourrait jouer un rôle clef dans la genèse des changements climatiques glaciaire-interglaciaires.
Thèse de doctorat Laurence PEPIN
François Gervais :L'homme est professeur émérite à l'université François Rabelais. Il est aussi chercheur au CNRS. Depuis 2008, François Gervais axe ses recherches sur le climat et pointe les idées reçues sur le réchauffement climatique. En somme, il se retrouve dans les idées minoritaires des « climato-sceptiques »La Banque mondiale – grande spécialiste du climat comme chacun sait – a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre Planète par effet de serre en dessous du seuil de 2°C.Le CO2 n’est pas responsable du réchauffement climatique et c’est ce que j’ai prouvé grâce à mes recherches. De ce fait, vouloir le diminuer ne fait pas avancer les choses. On présente le CO2 comme un polluant. Ce n’est pas vrai. Il est bénéfique à la végétation puisque c’est sa nourriture.
Prendre la voiture, c’est donc un bon comportement ?
Évidemment ! Pour les plantes, c’est une bonne chose ! Et j’ai prouvé que même si les émissions de CO2 ont augmenté de 40 % depuis 23 ans, cela n’a pas eu d’impact significatif sur la température de la planète. Ce n’est pas une idéologie, mais juste le résultat de recherches scientifiques.Vous niez donc l’existence d’un quelconque réchauffement de la planète ?
Non, il y a bien un réchauffement climatique mais il est tout petit. La hausse de la température moyenne de la planète pourrait être seulement de 0,1 degré d’ici 2100. Cette minuscule hausse est surtout le résultat d’un mécanisme de cycles naturels de baisses et de hausses successives de la température depuis plus de 250 années. Le CO2 n’est en rien le responsable de cela. Il y a même une tendance à un refroidissement de la planète depuis 2002. D’ailleurs, la superficie de la banquise est redevenue excédentaire par rapport à sa moyenne en 2013. Sans les gaz à effet de serre, la température moyenne de la terre serait de moins 15 degrés en permanence. Ce serait invivable. C’est une imposture de montrer que la terre voit sa température augmenter en permanence.Si le CO2 n’est pas dangereux pour la planète, pourquoi se priver d’en émettre encore plus qu’aujourd’hui ?C’est là qu’il ne faut pas se tromper. Il ne s’agit pas de faire tout et n’importe quoi malgré les conclusions de mes recherches. Préserver les ressources pour les générations futures est un impératif primordial. Il ne faut absolument pas capitaliser sur le fait que le réchauffement climatique soit minime. Ce serait encore plus dangereux.Pourquoi laisser croire que le CO2 est dangereux pour la planète ?Ce ne sont plus mes recherches scientifiques qui me permettent de dire cela, mais je suis persuadé que la soit disant lutte contre les émissions de CO2 est un formidable buisines, avec des chiffres qui donnent le vertige. Lors du protocole de Kyoto de 1997, les pays ont débloqué 45 000 milliards pour lutter contre les émissions de CO2. Dans le même temps, les dettes cumulées de tous les Etats du monde équivalaient à 55 000 milliards d’euros. C’est une aberration. Pour résoudre les maux de l’humanité, il y aurait tellement d’autres manières d’utiliser l’argent, plutôt que de combattre un réchauffement climatique quasiment inexistant…La Banque mondiale – grande spécialiste du climat comme chacun sait – a récemment chiffré le coût de la lutte contre les émissions de dioxyde de carbone, le CO2, émis par combustion des ressources fossiles, charbon, pétrole, gaz naturel ou gaz de schiste. Le coût de cette lutte atteindrait 89 000 milliards de dollars, autrement dit 16 milliards par jour d’ici 2030. Cet effort considérable est censé contenir un réchauffement de notre Planète par effet de serre en dessous du seuil de 2°C.Face à un tel enjeu, une première démarche toute simple consiste à vérifier si dans un passé récent, les émissions de CO2 ont bien provoqué une hausse de la température. La corrélation est loin d’être évidente puisque la température baissait lorsque les émissions ont commencé à accélérer et que la température montait tout autant de 1910 à 1945, de 0,6°C, alors que les émissions étaient encore faibles, autant donc que de 1970 à 1998 alors que les émissions étaient alors 6 fois plus élevées. La corrélation est ainsi loin d’être frappante.
Quels sont les gaz à effet de serre dans l’air ?La réponse est simple : ceux dont la molécule est constituée d’au moins deux atomes différents. Le principal est la vapeur d’eau. Arrive loin derrière le CO2. Sa concentration dans l’air est passée en un siècle de 0,03 % à 0,04 %. Quel peut être l’impact de cette augmentation sur la température de la Terre ?
Plus précisément, quel en a été l’impact sur la température ici mesurée par satellite vers 17 km d’altitude ? Pourquoi à cette altitude ? Parce que c’est dans la partie haute de l’atmosphère, dans la basse stratosphère, là où la pression atmosphérique est plus faible, que la théorie de l’effet de serre prévoit la signature la plus nette. En revanche, à la surface de la Terre, la pression est plus élevée et l’effet est déjà presque saturé. De fait, la température n’augmente plus de façon significative ou mesurable dans les limites de l’incertitude expérimentale depuis presque 20 ans.Dans la période de 1993 à 2015, le taux de CO2 dans l’air est passé de 355 millionièmes, ou ppm, pour « parties par million », à 400 ppm, soit presque la moitié du total des émissions depuis le début de l’ère industrielle. Quel en a été l’impact sur la température ? Nul ! Aucune évolution mesurable n’est constatée.
Conclusion : la théorie de l’effet de serre atmosphérique n’est pas vérifiée par les mesures. Et c’est sur cette théorie, non validée, que sont basés les modèles de climat qui prévoient un réchauffement de la planète. Comme le disait le Prix Nobel de Physique Richard Feynman, si une théorie n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse. Peut importe qui l’a proposée. Si elle n’est pas vérifiée par l’expérience, elle est fausse.
Un réchauffement a-t-il été observé à la surface de la Terre ? Oui. Mais il est pour partie dû à une composante cyclique. On a passé le dernier sommet d’un cycle de 60 ans et maintenant la température commence à légèrement redescendre.Vous comprendrez aisément, qu'il m'est difficile de m'immiscer dans ce débat, si ce n'est que pour poser des questions, et me poser des questions. Un beau débat contradictoire de scientifiques en perspective.
Et son "soiT disant" m'écorche les yeux.
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Flavius- Modérateur
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Re: Mensonges climatiques.
Je crains toujours que les contradictions des scientifiques ne soient parasitées par une quelconque idéologie. On a vu cela lors de la pandémie du Covid. Il nous faut prendre du recul sur tous les sujets.Paulette a écrit:C'est pour cette raison aussi que je lis attentivement tous les documents que tu me proposes.Flavius a écrit:
J'avoue ne pas avoir d'avis définitif sur la question. Je ne suis pas en mesure de juger vu l'état de mes connaissances sur le sujet. Mais ouvrir son esprit à d'autres idées c'est dans ma nature.
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msch- Messages : 1200
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Re: Mensonges climatiques.
Flavius a écrit:
Merci. C'est gentil de votre part.
J'ai encore tellement de livres que je souhaiterai lire et tant de choses à découvrir ! Je serai assez heureux de me réveiller...!
Réponse à Paulette et Phelps.
Montpellier est le berceau de la Médecine et d'excellents chirurgiens y exercent leur vocation.
Je vous écris donc....à très bientôt.
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Flavius- Modérateur
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- Message n°525
Re: Mensonges climatiques.
Merci pour vos encouragements.msch a écrit:Flavius a écrit:
Merci. C'est gentil de votre part.
J'ai encore tellement de livres que je souhaiterai lire et tant de choses à découvrir ! Je serai assez heureux de me réveiller...!
Réponse à Paulette et Phelps.
Montpellier est le berceau de la Médecine et d'excellents chirurgiens y exercent leur vocation.
Je vous écris donc....à très bientôt.
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