[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]- "Refus obstiné de s’attaquer aux deux principales causes de l’insécurité : l’idéologie qui gangrène tout notre système judiciaire, et l’importation massive de populations dont le rapport à la violence et à la loi est radicalement différent de celui qui fut le nôtre."
- "Cette orientation (la gauche judiciaire) instrumentalise une « indépendance » de la justice totalement dévoyée : théoriquement garante d’indépendance, cette « indépendance » est devenue prétexte à une justice ouvertement militante, échappant à tout contrôle."
- " La question de la responsabilité personnelle des juges. Un médecin qui prescrit un mauvais traitement, un chirurgien qui « rate » son patient, un maçon dont le mur s’effondre, un restaurateur dont les clients ont une intoxication alimentaire, tous doivent rendre des comptes et peuvent être sanctionnés. De quel droit les juges seuls seraient-ils intouchables ?"
-" Mais puisque les magistrats sont attachés à leur propre liberté et ne veulent pas être seulement « la bouche de la loi », qu’ils assument la responsabilité qui accompagne cette liberté ! Si, donc, le juge décide de ne condamner qu’à cinq ans de prison au lieu des 10 possibles, il décide d’octroyer cinq ans de liberté au coupable. Ce faisant, il fait courir un risque à des victimes potentielles : qu’il assume lui-même ce risque, et soit personnellement responsable de tout crime ou délit que commettra le condamné entre la fin de sa peine"
-" dans de telles conditions, les juges ne prendront pas de risque et prononceront systématiquement les peines maximales pour se protéger. Vraiment ? C’est donc qu’ils ont conscience qu’il y a un risque à laisser ou remettre certains individus en liberté, et qu’ils sont prêts actuellement à faire courir ce risque à de futures victimes potentielles qui n’y sont pour rien, mais ne seraient pas prêts à assumer eux-mêmes ce risque !"
-" Gérald Darmanin et Emmanuel Macron eux-mêmes l’ont avoué : certaines nationalités étrangères sont sur-représentées dans la délinquance. Et encore n’est-ce là que la partie visible de l’iceberg, puisqu’aux étrangers « administratifs » il faudrait pouvoir ajouter les étrangers de culture et de mœurs."
-" Ajoutons la haine de la France, entretenue quotidiennement par la repentance, l’idéologie décoloniale et le soi-disant « antiracisme », mais aussi le « jihad d’atmosphère » qu’évoquent Gilles Kepel et Bernard Rougier, et on comprend que les « territoires perdus » et autres narco-califats ne sont pas des repaires de brigands, mais des enclaves étrangères, souvent de mœurs islamiques, pratiquant la razzia (la nationalité administrative n’ayant d’importance que pour percevoir aides, allocations, et autres milliards gaspillés de la « politique de la ville », lesquelles forment le « tribut versé aux barbares » – le cas du « gang Traoré » est symptomatique)."