cristaline a écrit:Flavius a écrit:
Et en plus ça fait d'excellents castrats
C'est une légende !
Quand la légende est plus originale que la réalité, on retient la légende. Encore que Farinelli...
cristaline a écrit:Flavius a écrit:
Et en plus ça fait d'excellents castrats
C'est une légende !
Flavius a écrit:
Quand la légende est plus originale que la réalité, on retient la légende. Encore que Farinelli...
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Paulette a écrit:L'histoire ne le dit pas.Flavius a écrit:
Elle a été virée ?
P't'ête qu'un syndicat l'a prise sous son aile ?
cristaline a écrit:Flavius a écrit:
Quand la légende est plus originale que la réalité, on retient la légende. Encore que Farinelli...
Le phénomène des castrats a fait couler beaucoup....d'encre !
Et l'imagination s'est emballée ; imaginez en plus qu'un chanteur comme Jarrousky, que j'adore, est homo ; vous avez la recette de la légende !
Paulette a écrit:Le secrétaire du syndicat avait une grosse cylindrée dans son garage.Flavius a écrit:
Avec contrepartie ?
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Paulette a écrit:Jarousski (un seul r, deux s) est un contreténor.
« On parle de haute-contre pour la musique baroque française : Lully, Rameau… La voix de haute contre, proche du registre très haut du fausset, s’apparente à une voix de ténor léger, aux aigus puissants. En revanche, un contreténor peut chanter Bach, Vivaldi, ou Purcell »
Exact.Paulette a écrit:
En voix de poitrine, il est baryton. Selon son propre aveu : « J'ai une voix de baryton très commune sans graves et sans aigus ! » Même s'il se sent moins à l'aise dans cette tessiture, Philippe Jaroussky interprète parfois sur scène certains passages en voix de poitrine, comme Sombrero de Cécile Chaminade, ou Ohimè ch'io cado de Claudio Monteverdi avec L'Arpeggiata. Il joue alors de son agilité pour passer de sa voix de tête à sa voix de poitrine pour produire un effet comique (il se risque à ce genre d'effet plutôt lors des rappels, en fin de récitals).
La voix du castrat possédait une tessiture, généralement très étendue, s'apparentant plus ou moins à celle d'un mezzo-soprano coloratura, mais dont le timbre était, dit-on, tout à fait incomparable. Selon la hauteur relative de son ambitus vocal, un castrat pouvait cependant être classé soprano ou contralto.
Paulette a écrit:
Paulette a écrit:Jarousski (un seul r, deux s) est un contreténor.
« On parle de haute-contre pour la musique baroque française : Lully, Rameau… La voix de haute contre, proche du registre très haut du fausset, s’apparente à une voix de ténor léger, aux aigus puissants. En revanche, un contreténor peut chanter Bach, Vivaldi, ou Purcell »
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J'ignorais qu'il y avait un sonnet pour ct'endroit là amusant ma foi !!!!!Mutine a écrit:Le Sonnet du trou du cul, écrit en octobre 1871, commence par deux quatrains de la plume de Verlaine, et s’achève par deux tercets de celle de Rimbaud.Voici in extenso ce complément osé à L’Idole, qui fut par la suite inclus dans l’Album zutique :Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet.
Des filaments pareils à des larmes de lait
Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse,
À travers de petits caillots de marne rousse
Pour s’aller perdre où la pente les appelait.
Mon Rêve s’aboucha souvent à sa ventouse ;
Mon âme, du coït matériel jalouse,
En fit son larmier fauve et son nid de sanglots.
C’est l’olive pâmée, et la flûte câline ;
C’est le tube où descend la céleste praline :
Chanaan féminin dans les moiteurs enclos !
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