Pas seulement, l'animal est un tout qui nous échappe, pas seulement par le haut?Paulette a écrit:
De l’esprit ?
Mais ce que j'en dit n'est pas très humain!!!
Pas seulement, l'animal est un tout qui nous échappe, pas seulement par le haut?Paulette a écrit:
De l’esprit ?
Flavius a écrit:
Je n'en ai aucun. Et pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'en manque...
C'est un peu comme celles qui prétendaient que je n'avais pas de cœur. Pourtant, le chirurgien lui m'assure que j'en ai un, même s'il ne bat pas encore dans le tempo.
C'est sûr !cristaline a écrit:Flavius a écrit:
Je n'en ai aucun. Et pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'en manque...
C'est un peu comme celles qui prétendaient que je n'avais pas de cœur. Pourtant, le chirurgien lui m'assure que j'en ai un, même s'il ne bat pas encore dans le tempo.
Pour le tempo je peux vous aider !
Mais j'ai voyagé à travers vous et vos photos admirables.Paulette a écrit:Eh bé vous n’avez qu’à venir faire un petit voyage 🧳Flavius a écrit:
Bonsoir,
Bises aussi à vous.
Curieux que l'on se retrouve tous sur le topic sexualité ! Une véritable orgie !
Mutine et msch aiment ce message
Mesure à 4 temps comme une valseFlavius a écrit:
C'est sûr
Pour être juste, on ne peut pas dire que je souffre ou j'ai souffert. Je suis simplement épuisé et ne peux pas faire grand chose de physique sans être rapidement essoufflé. Après la prochaine opération, j'aimerai bien reprendre mon entretien physique en reprenant le sport.Paulette a écrit:Drôlement sympa de le dire ! Ce que vous avez enduré a heureusement laissé votre courtoisie intacte.Flavius a écrit:
Mais j'ai voyagé à travers vous et vos photos admirables.
MrPhelps et msch aiment ce message
Je vais m'y employer.Paulette a écrit:Je m’en doutais.Flavius a écrit:
Pour être juste, on ne peut pas dire que je souffre ou j'ai souffert. Je suis simplement épuisé et ne peux pas faire grand chose de physique sans être rapidement essoufflé. Après la prochaine opération, j'aimerai bien reprendre mon entretien physique en reprenant le sport.
Le seul moment que je déteste, c'est quand on me place le cathéter juste avant l'anesthésie. Pour le reste, petite affaire.
Lorsqu'il m'arrive de ne pas être courtois, ça peut m'arriver lors d'une dispute, je finis toujours par m'en vouloir.
Sinon, ménage-toi un max.
Les résultats de ce soir et l'analyse sur Macron sont assez bien prévus et supputés dans le bouquin que je vous ai proposé à 18H52.Paulette a écrit:
Il me fait penser à Arturo Ui, ce Macron.
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Merci Beced de revenir à ce qui sert de fondement de ce topicbeced a écrit:Le string fait son grand retour sur les devants de la scène: «Une femme peut aussi désirer séduire» > Après le repli sur soi né de la crise sanitaire et la pudeur post-MeToo, l’ultra-sexy est de retour sur le tapis rouge et au salon international de la lingerie à Paris avec son incarnation ultime : le string.
Rihanna, enceinte, en nuisette transparente sur un string noir au défilé Dior à Paris cet hiver, l’actrice Megan Fox portant un string blanc sous une robe Mugler transparente aux MTV Music Awards en 2021… : les célébrités donnent le ton.
Et les marques de lingerie suivent, déployant en abondance ficelles, échancrures, jeux de transparence, pour des dessous qui se portent aussi à l’extérieur, comme vu au Salon international de la lingerie qui se tient jusqu’à lundi à Paris.
L’occasion pour la marque française Chantelle connue pour ses produits confortables de lancer une nouvelle ligne Chantelle X dédiée à l’ultra-sexy.
« C’est une tendance qu’on voit beaucoup dans la pop culture. Rihanna, Cardi B, Kim Kardashian se sont saisies de ces codes-là de manière très extravertie et avec une vraie dimension féministe. Notre objectif est d’accompagner ce mouvement » avec des produits haut de gamme, explique à l’AFP Renaud Cambuzat, directeur de la création et de l’image pour Chantelle.
Dévoilé sur Instagram, ce sexy décomplexé est « adopté à usage personnel par les générations plus jeunes et d’âge moyen. Je le vois dans les écoles où j’enseigne », déclare à l’AFP Jacqueline Quinn, créatrice et professeure à la Fashion Institute of Technology de New York.
La diversité est au centre des campagnes publicitaires qui misent désormais sur des mannequins avec des morphologies et des âges différents.
À l’instar de Victoria’s Secret qui a délaissé son slogan Un Corps parfait, incarné par des top-modèles (les « Anges » de la marque) au profit de mannequins plus rondes et de personnalités fortes, comme la footballeuse Megan Rapinoe, égérie LGBT.
Malgré un rapport au corps différent en Europe et aux Etats-Unis, le phénomène « s’internationalise » grâce aux réseaux sociaux, ce qui n’était pas le cas des générations précédentes, note Renaud Cambuzat.
« Il y a 4-5 ans, on était dans #MeToo, il y avait l’envie de fuir vers quelque chose de perçu comme plus respectueux. Le combat #MeToo n’est pas complètement gagné, néanmoins les champs se sont ouverts. Il y a des femmes et des marques qui sont légitimes pour réinvestir le territoire » de l’ultrasexy engagé, estime-t-il.
« Il ne faut pas confondre #MeToo et puritanisme. Une femme peut aussi désirer séduire, de sa propre conviction », déclare à l’AFP Samar Vignals, de chez Aubade, longtemps connu pour ses campagnes en noir et blanc montrant fesses et décolletés. Aujourd’hui, la marque française montre dans ses publicités des visages de femmes, qui regardent « parfois droit dans l’objectif », pour « une séduction affranchie ».
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Assurant que les clientes réclament « plus d’audace » après « le besoin de confort » lié à la pandémie, Aubade explore une nouvelle sensualité en travaillant le dos et en multipliant les découpes et les jeux de transparence.
Mais « le string ou le tanga, c’est notre meilleure vente dans la forme du bas », souligne Samar Vignals.
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« On assiste au retour de la sexualité débraillée des années 2000, des codes qui renvoient à l’archétype de la femme-objet mais qui n’ont plus le même sens (…) Il ne s’agit plus d’une injonction à la séduction mais d’une réappropriation féministe du vêtement sexualisé », souligne Benjamin Simmenauer, philosophe et professeur à l’Institut Français de la Mode.
Aline Tran, fondatrice de la boutique de la lingerie érotique multi-marques Les Rituelles parle de la « dédramatisation de la séduction ».
« On parle beaucoup plus de l’acceptation de soi, de son corps. (…) La séduction, c’est un super atout féministe, dans cette tendance de reprendre le contrôle sur son corps et par extension sur son esprit ».
PS. Sujet à ne pas confondre avec celui du passager expulsé d’un avion pour avoir porté un string en guise de masque...
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Non;Paulette a écrit:
Il me fait penser à Arturo Ui, ce Macron.
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beced a écrit:Le string fait son grand retour sur les devants de la scène: «Une femme peut aussi désirer séduire» > Après le repli sur soi né de la crise sanitaire et la pudeur post-MeToo, l’ultra-sexy est de retour sur le tapis rouge et au salon international de la lingerie à Paris avec son incarnation ultime : le string.
Rihanna, enceinte, en nuisette transparente sur un string noir au défilé Dior à Paris cet hiver, l’actrice Megan Fox portant un string blanc sous une robe Mugler transparente aux MTV Music Awards en 2021… : les célébrités donnent le ton.
Et les marques de lingerie suivent, déployant en abondance ficelles, échancrures, jeux de transparence, pour des dessous qui se portent aussi à l’extérieur, comme vu au Salon international de la lingerie qui se tient jusqu’à lundi à Paris.
L’occasion pour la marque française Chantelle connue pour ses produits confortables de lancer une nouvelle ligne Chantelle X dédiée à l’ultra-sexy.
« C’est une tendance qu’on voit beaucoup dans la pop culture. Rihanna, Cardi B, Kim Kardashian se sont saisies de ces codes-là de manière très extravertie et avec une vraie dimension féministe. Notre objectif est d’accompagner ce mouvement » avec des produits haut de gamme, explique à l’AFP Renaud Cambuzat, directeur de la création et de l’image pour Chantelle.
Dévoilé sur Instagram, ce sexy décomplexé est « adopté à usage personnel par les générations plus jeunes et d’âge moyen. Je le vois dans les écoles où j’enseigne », déclare à l’AFP Jacqueline Quinn, créatrice et professeure à la Fashion Institute of Technology de New York.
La diversité est au centre des campagnes publicitaires qui misent désormais sur des mannequins avec des morphologies et des âges différents.
À l’instar de Victoria’s Secret qui a délaissé son slogan Un Corps parfait, incarné par des top-modèles (les « Anges » de la marque) au profit de mannequins plus rondes et de personnalités fortes, comme la footballeuse Megan Rapinoe, égérie LGBT.
Malgré un rapport au corps différent en Europe et aux Etats-Unis, le phénomène « s’internationalise » grâce aux réseaux sociaux, ce qui n’était pas le cas des générations précédentes, note Renaud Cambuzat.
« Il y a 4-5 ans, on était dans #MeToo, il y avait l’envie de fuir vers quelque chose de perçu comme plus respectueux. Le combat #MeToo n’est pas complètement gagné, néanmoins les champs se sont ouverts. Il y a des femmes et des marques qui sont légitimes pour réinvestir le territoire » de l’ultrasexy engagé, estime-t-il.
« Il ne faut pas confondre #MeToo et puritanisme. Une femme peut aussi désirer séduire, de sa propre conviction », déclare à l’AFP Samar Vignals, de chez Aubade, longtemps connu pour ses campagnes en noir et blanc montrant fesses et décolletés. Aujourd’hui, la marque française montre dans ses publicités des visages de femmes, qui regardent « parfois droit dans l’objectif », pour « une séduction affranchie ».
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Assurant que les clientes réclament « plus d’audace » après « le besoin de confort » lié à la pandémie, Aubade explore une nouvelle sensualité en travaillant le dos et en multipliant les découpes et les jeux de transparence.
Mais « le string ou le tanga, c’est notre meilleure vente dans la forme du bas », souligne Samar Vignals.
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« On assiste au retour de la sexualité débraillée des années 2000, des codes qui renvoient à l’archétype de la femme-objet mais qui n’ont plus le même sens (…) Il ne s’agit plus d’une injonction à la séduction mais d’une réappropriation féministe du vêtement sexualisé », souligne Benjamin Simmenauer, philosophe et professeur à l’Institut Français de la Mode.
Aline Tran, fondatrice de la boutique de la lingerie érotique multi-marques Les Rituelles parle de la « dédramatisation de la séduction ».
« On parle beaucoup plus de l’acceptation de soi, de son corps. (…) La séduction, c’est un super atout féministe, dans cette tendance de reprendre le contrôle sur son corps et par extension sur son esprit ».
PS. Sujet à ne pas confondre avec celui du passager expulsé d’un avion pour avoir porté un string en guise de masque...
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