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Luiprésident sous qui la France ne cesse de rétrécir a dénoncé la France du déclin, du dépit et du repli.
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Luiprésident, dont on aurait pu penser que ses fonctions et les commémorations dont il s’est fait depuis des mois une spécialité l’avaient familiarisé avec notre histoire, a repris l’antienne de cette contre-vérité suivant laquelle notre pays serait « un vieux pays d’immigration ».
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Luiprésident que le hasard heureux d’une élection a fait l’héritier de plus de mille ans d’histoire nationale
s’est fait l’écho de l’amusant refrain selon lequel ce sont les immigrés qui ont bâti ou rebâti notre pays. -
Luiprésident, reprenant (sans le vouloir, sans que son « nègre » l’ait voulu, ou par un choix délibéré de l’un ou de l’autre ?) une formule célèbre du maréchal Pétain, s’est alarmé du « vent mauvais » que feraient souffler sur notre pays le renouveau de l’attachement des Français à leur passé, à leur histoire, à leur indépendance, à leur souveraineté et le réveil du peuple.
- Luiprésident, tel ce procureur du Tribunal révolutionnaire pour qui la République n’avait pas besoin de savants, pense que la France n’a pas besoin de frontières.
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Luiprésident, qui ne demeure pas plus à Mantes-la-Jolie qu’il ne réside à la Grande-Borne, ne semble pas considérer que se pose actuellement sur notre sol avec une certaine acuité le problème de l’intégration et de l’assimilation de certains des nouveaux venus aux anciens occupants du territoire.
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Luiprésident voit dans l’immigration une chance pour l’Europe, une chance pour la France et paraît oublier qu’elle est d’abord une chance pour les immigrés !!
- Luiprésident a rendu le plus justifié des hommages à ces immigrés qui, « français de préférence » et non français de papier, français par le sang versé plutôt que par les allocations reçues, ont donné leur vie pendant la dernière guerre pour que vive la France,
luiprésident a condamné en termes sévères l’intolérance et l’étroitesse d’esprit de ceux qui exploitent les peurs et enveniment les rapports entre les étrangers et les naturels de notre pays,
mais il n’a pas eu un mot pour mettre en garde ceux qui n’acceptent ni nos mœurs ni nos lois ou pour condamner ceux qui vont jusqu’à prendre les armes contre le pays qui a donné à leurs parents un asile, un toit, un métier, un travail, et qui est désormais leur patrie.Ayant dit, Hollande a regagné le palais, rue du Faubourg-Saint-Honoré,
qui le met à l’abri de la pluie, de la déception, de la colère, du désespoir ou de la révolte de l’immense majorité des Français. Ce n’est du reste pas à eux qu’il s’était adressé, mais aux électeurs de gauche que l’oubli de ses promesses et l’échec de sa politique ont éloignés de lui et aux électeurs musulmans que le Mariage pour tous et nos interventions militaires en Afrique et au Moyen-Orient ont détournés de lui. En dépit des apparences,
ce n’était pas le Président qui était de sortie mais, encore et déjà, le candidat.source net