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C C N (( Curiosities & Catastrophies News ))
Galadriel
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- Message n°201
Re: C C N (( Curiosities & Catastrophies News ))
par Galadriel Mar 30 Nov 2021 - 10:43
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beced- Messages : 49646
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beced- Messages : 49646
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....01/12/2021 à 02h59
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D'après l’étude annuelle de The Economist, révélé mardi 30 novembre, Tel Aviv a supplanté Paris et Singapour comme ville la plus chère du monde.
Le classement du journal britannique souligne que les problèmes de chaîne d'approvisionnement ont fait grimper les prix dans de nombreuses villes. L'indice mondial du coût de la vie, publié par The Economist Intelligence Unit (EIU), classe 173 villes en fonction des prix d'après un panier de plus de 200 produits et services.
En 5e position l'année dernière, Tel Aviv devient la ville la plus chère du monde pour la première fois. Selon l’étude, cette position reflète la vigueur de la devise israélienne, le shekel, face au dollar, car l'indice prend pour base de comparaison les prix à New York.
Après avoir partagé la première place avec Zurich et Hong Kong en 2020, Paris recule à la deuxième position, qu'elle occupe avec Singapour dans cette nouvelle édition. L'augmentation des prix mesurée est la plus rapide enregistrée depuis cinq ans, à 3,5 %. « Les problèmes de chaîne d'approvisionnement ont contribué à la montée des prix, le Covid-19 et les restrictions sociales pesant toujours sur la production et le commerce à travers le monde », note The Economist.
La forte avancée de Téhéran ; Damas reste la ville la moins chère du monde en raison d'une devise qui s'écroule face au dollar et par conséquent des prix en billets verts qui plongent, la guerre civile continuant de décimer l'économie locale. La capitale syrienne subit une très forte inflation tout comme Caracas, Buenos Aires et Téhéran, cette dernière ayant enregistré la plus forte avancée au classement, de la 79e à la 29e place, les sanctions américaines entraînant des pénuries et hausses de prix. « En général, le haut du classement reste dominé par les villes européennes et les villes asiatiques développées tandis que les villes nord-américaines et chinoises gardent des prix relativement modérés », précise l'étude.
Les villes les moins chères - en dollars - se trouvent essentiellement au Moyen-Orient, en Afrique ou dans les parties les plus pauvres d'Asie. Les coûts du transport se sont envolés dans la foulée des prix de l'essence, mais le tabac ou les divertissements ont également enregistré de fortes hausses de prix. « Pendant l'année qui vient, nous nous attendons à voir le coût de la vie augmenter plus encore dans de nombreuses villes à mesure que les salaires augmentent dans plusieurs secteurs »’, relève Upasana Dutt, directrice de l'étude. « Nous anticipons toutefois que les banques centrales relèvent les taux directeurs, prudemment, pour freiner l'inflation. Les hausses de prix devraient donc commencer à s'atténuer », ajoute-t-elle.
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D'après l’étude annuelle de The Economist, révélé mardi 30 novembre, Tel Aviv a supplanté Paris et Singapour comme ville la plus chère du monde.
Le classement du journal britannique souligne que les problèmes de chaîne d'approvisionnement ont fait grimper les prix dans de nombreuses villes. L'indice mondial du coût de la vie, publié par The Economist Intelligence Unit (EIU), classe 173 villes en fonction des prix d'après un panier de plus de 200 produits et services.
En 5e position l'année dernière, Tel Aviv devient la ville la plus chère du monde pour la première fois. Selon l’étude, cette position reflète la vigueur de la devise israélienne, le shekel, face au dollar, car l'indice prend pour base de comparaison les prix à New York.
Après avoir partagé la première place avec Zurich et Hong Kong en 2020, Paris recule à la deuxième position, qu'elle occupe avec Singapour dans cette nouvelle édition. L'augmentation des prix mesurée est la plus rapide enregistrée depuis cinq ans, à 3,5 %. « Les problèmes de chaîne d'approvisionnement ont contribué à la montée des prix, le Covid-19 et les restrictions sociales pesant toujours sur la production et le commerce à travers le monde », note The Economist.
La forte avancée de Téhéran ; Damas reste la ville la moins chère du monde en raison d'une devise qui s'écroule face au dollar et par conséquent des prix en billets verts qui plongent, la guerre civile continuant de décimer l'économie locale. La capitale syrienne subit une très forte inflation tout comme Caracas, Buenos Aires et Téhéran, cette dernière ayant enregistré la plus forte avancée au classement, de la 79e à la 29e place, les sanctions américaines entraînant des pénuries et hausses de prix. « En général, le haut du classement reste dominé par les villes européennes et les villes asiatiques développées tandis que les villes nord-américaines et chinoises gardent des prix relativement modérés », précise l'étude.
Les villes les moins chères - en dollars - se trouvent essentiellement au Moyen-Orient, en Afrique ou dans les parties les plus pauvres d'Asie. Les coûts du transport se sont envolés dans la foulée des prix de l'essence, mais le tabac ou les divertissements ont également enregistré de fortes hausses de prix. « Pendant l'année qui vient, nous nous attendons à voir le coût de la vie augmenter plus encore dans de nombreuses villes à mesure que les salaires augmentent dans plusieurs secteurs »’, relève Upasana Dutt, directrice de l'étude. « Nous anticipons toutefois que les banques centrales relèvent les taux directeurs, prudemment, pour freiner l'inflation. Les hausses de prix devraient donc commencer à s'atténuer », ajoute-t-elle.
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
.....
Un jeune homme a délibérément poussé une femme sur les rails du métro, vendredi 14 janvier, à Bruxelles.
L'auteur des faits, un jeune homme français né en 1998, a poussé cette femme - qu'il ne connaissait pas - dans le dos alors qu'un métro était en approche, rapporte le quotidien belge Le Soir. Le suspect s'est ensuite enfui en courant.
NB. La vidéo est assez troublante à regarder....
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Tentative de meurtre dans le métro: une femme poussée sur les rails, le suspect sous mandat d'arrêt
Un jeune homme a délibérément poussé une femme sur les rails vendredi vers 19h45 dans la station Rogier à Bruxelles, alors qu’une rame de métro arrivait dans la station.
Le conducteur a eu des réflexes très rapides et est parvenu à arrêter le véhicule à quelques centimètres de la victime.
La scène a été filmée par des caméras de surveillance. Aidée par d’autres voyageurs, la dame a pu être remontée sur le quai rapidement. Le jeune homme a pris la fuite, mais a pu être interpellé peu après, en soirée. Le parquet de Bruxelles a indiqué ce samedi après-midi que l'homme, majeur, a été placé sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction et inculpé de tentative de meurtre.
La porte-parole de la Stib, An Van Hamme, confirme que "le conducteur a freiné en voyant la personne sur les voies et s'est arrêté à temps". "Le conducteur a très bien réagi, mais il est quand même sous le choc et la personne également". La victime ne serait a priori pas blessée, mais cela reste à confirmer.
Les images de surveillance montrent comment l'auteur, un jeune homme majeur, a poussé la femme dans le dos alors qu'un métro était en approche. Il s'est ensuite enfui en courant dans le sens opposé, passant sur des rails de métro. La femme est brutalement tombée sur les rails. Le conducteur du métro a effectué un freinage d'urgence. Il n'a pas heurté la victime. Et aucun passager du métro n'a été blessé par l'arrêt brusque.
...
Le tourisme n'est plus ce qu'il était.....
Un jeune homme a délibérément poussé une femme sur les rails du métro, vendredi 14 janvier, à Bruxelles.
L'auteur des faits, un jeune homme français né en 1998, a poussé cette femme - qu'il ne connaissait pas - dans le dos alors qu'un métro était en approche, rapporte le quotidien belge Le Soir. Le suspect s'est ensuite enfui en courant.
NB. La vidéo est assez troublante à regarder....
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Tentative de meurtre dans le métro: une femme poussée sur les rails, le suspect sous mandat d'arrêt
Un jeune homme a délibérément poussé une femme sur les rails vendredi vers 19h45 dans la station Rogier à Bruxelles, alors qu’une rame de métro arrivait dans la station.
Le conducteur a eu des réflexes très rapides et est parvenu à arrêter le véhicule à quelques centimètres de la victime.
La scène a été filmée par des caméras de surveillance. Aidée par d’autres voyageurs, la dame a pu être remontée sur le quai rapidement. Le jeune homme a pris la fuite, mais a pu être interpellé peu après, en soirée. Le parquet de Bruxelles a indiqué ce samedi après-midi que l'homme, majeur, a été placé sous mandat d'arrêt par le juge d'instruction et inculpé de tentative de meurtre.
La porte-parole de la Stib, An Van Hamme, confirme que "le conducteur a freiné en voyant la personne sur les voies et s'est arrêté à temps". "Le conducteur a très bien réagi, mais il est quand même sous le choc et la personne également". La victime ne serait a priori pas blessée, mais cela reste à confirmer.
Les images de surveillance montrent comment l'auteur, un jeune homme majeur, a poussé la femme dans le dos alors qu'un métro était en approche. Il s'est ensuite enfui en courant dans le sens opposé, passant sur des rails de métro. La femme est brutalement tombée sur les rails. Le conducteur du métro a effectué un freinage d'urgence. Il n'a pas heurté la victime. Et aucun passager du métro n'a été blessé par l'arrêt brusque.
...
Le tourisme n'est plus ce qu'il était.....
Invité- Invité
Félicitons le conducteur du métro
...et le concepteur de ses freins.
Ça me rappelle la phrase d'un ami avec qui j'allais à la fac, qui s'étais mis au bord du quai et m'avait dit en souriant "c'est là qu'il y a un schizophrène qui arrive derrière moi et me pousse sur les rails".
...et le concepteur de ses freins.
Ça me rappelle la phrase d'un ami avec qui j'allais à la fac, qui s'étais mis au bord du quai et m'avait dit en souriant "c'est là qu'il y a un schizophrène qui arrive derrière moi et me pousse sur les rails".
Mutine- Messages : 15151
Date d'inscription : 31/05/2017
Age : 104
Localisation : région des Gones !
Ce suspect est curieux.... il est en tee-shirt et il ne porte pas de masque.... 
Invité- Invité
Il faut aussi féliciter les formateurs des conducteurs.
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
Mutine a écrit:Ce suspect est curieux.... il est en tee-shirt et il ne porte pas de masque....
C'est surtout sur ce point qu'il risque la plus lourde peine.....
PS. LV, d'après un reportage, le système des freins est prévu pour stopper le métro sur/entre 4 et 40 mètres... Dans ce cas précis le conducteur a réussi à stopper son "engin" en moins de 4 mètres...
Bravo à lui , et comme tu dis, aux ingénieurs...
PPS. Cet acte incompréhensible m'a fait penser au type à Paris, qui a couru après une jeune dame pour la gifler : scène qui, elle aussi, a été filmé par les caméras de surveillance....
.
.
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
Paulette a écrit:
Je croyais que quand on tombait sur les rails on était électrocuté ?
Encore un projet qui tombe à l'eau?
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Ça dépend du rail. Ne mettez pas le doigt sur le rail du milieu dans le métro ou le RER.Paulette a écrit:Je croyais que quand on tombait sur les rails on était électrocuté ?beced a écrit:
C'est surtout sur ce point qu'il risque la plus lourde peine.....
PS. LV, d'après un reportage, le système des freins est prévu pour stopper le métro sur/entre 4 et 40 mètres... Dans ce cas précis le conducteur a réussi à stopper son "engin" en moins de 4 mètres...
Bravo à lui , et comme tu dis, aux ingénieurs...
PPS. Cet acte incompréhensible m'a fait penser au type à Paris, qui a couru après une jeune dame pour la gifler : scène qui, elle aussi, a été filmé par les caméras de surveillance....
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Paulette aime ce message
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
Paulette a écrit:
Je croyais que quand on tombait sur les rails on était électrocuté ?
En attendant que le potage me soit servi, j'ai regardé sur Wikipédia pour répondre à cette très bonne remarque. On peut y lire ceci:
....Dans beaucoup de cas, un système de couverture isolante est fixé au-dessus du rail pour protéger le personnel travaillant près des voies ; dans certains cas, le patin frotte sur le côté ou sur le dessous du rail, permettant ainsi de monter la protection directement sur le sommet du rail. Lorsque le patin glisse sur la face inférieure du rail, cela présente en outre l'avantage de ne pas être gêné par la présence de neige ou de feuilles mortes.
Le sectionnement électrique est réalisé par le biais de rampes permettant aux collecteurs des trains de quitter un rail d'alimentation et de s'engager doucement sur le suivant. Ces rampes, dont l'angle d'attaque est défini en fonction de la vitesse du train, permettent également le franchissement d'appareils de voie et les interruptions aux niveaux des passages pour piétons.
Sur certains réseaux, le troisième rail est recouvert d'un système de capotage, anciennement réalisé en bois, et de nos jours en matières plastiques et composites.
Le troisième rail est une alternative au système d'électrification par caténaire qui transmet le courant au train par l'intermédiaire de pantographes fixés sur le toit des véhicules. Le troisième rail, ainsi que son homologue aérienne la caténaire rigide, peuvent être logés dans des tunnels de petite taille de par leur faible encombrement.
Dans certains cas, métros ou lignes régionales, le système d'alimentation est mixte, partie par troisième rail et partie par caténaires, les véhicules devant être équipés des deux systèmes de captage de courant.
Sécurité : un rail électrifié non gardé présente un risque important. De nombreuses personnes ont été électrisées, voire électrocutées, pour avoir touché ce type de rail ou avoir marché dessus en tentant par exemple de traverser les voies. La règlementation SNCF précise même, à la suite d'incidents intervenus lors des premières électrifications au début du XXe siècle, qu'il est interdit d'uriner sur le troisième rail [réf. nécessaire].
Un nouveau système d'alimentation de tramway, mis au point à Bordeaux, a résolu ce problème de sécurité en utilisant un troisième rail fractionné en sections isolées, l'APS. Chaque section n'est mise sous tension que lorsqu'elle se trouve couverte par la rame de tramway, si bien qu'il n'y a plus de risque qu'une personne ou un animal entre en contact avec le rail électrifié......
Paulette aime ce message
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
....Décidement......
Closson and Andy Newman / Jan. 15, 2022
In a horrifying instant, a man walked up to a 40-year-old woman waiting for the subway in Times Square on Saturday morning and shoved her to the tracks as a train screeched into the station, killing her, the police said.
Une femme est décédée après avoir été poussée sur les rails du métro de New York par un homme, rapportent les médias américains dimanche.
AFP
Un homme s’est approché d’une femme de 40 ans qui attendait le métro à Times Square, au centre-ville samedi matin. Il l’a poussée sur les rails juste au moment où un métro approchait, a rapporté le New York Times. La femme a été percutée et est décédée.
L’attaque semble aléatoire. L’agresseur est un homme de 61 ans qui souffre de troubles mentaux et qui est peut-être sans-abri. Il a déjà eu affaire à la justice dans le passé. La victime était d’origine asiatique. Le journal souligne qu’il y a eu une forte augmentation des actes de haine contre les Asiatiques depuis le début de la pandémie de coronavirus. Cependant, selon la police, rien n’indique que la femme ait été agressée en raison de son origine.
L’histoire n’est pas sans rappeler l’incident de vendredi soir à la station de métro Rogier à Bruxelles. Un homme a également poussé une femme sur les rails à l’arrivée d’une rame. Le conducteur du métro a pu freiner à temps et la femme n’a subi que des blessures mineures. L’agresseur a été arrêté.
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Closson and Andy Newman / Jan. 15, 2022
In a horrifying instant, a man walked up to a 40-year-old woman waiting for the subway in Times Square on Saturday morning and shoved her to the tracks as a train screeched into the station, killing her, the police said.
Une femme est décédée après avoir été poussée sur les rails du métro de New York par un homme, rapportent les médias américains dimanche.
AFP
Un homme s’est approché d’une femme de 40 ans qui attendait le métro à Times Square, au centre-ville samedi matin. Il l’a poussée sur les rails juste au moment où un métro approchait, a rapporté le New York Times. La femme a été percutée et est décédée.
L’attaque semble aléatoire. L’agresseur est un homme de 61 ans qui souffre de troubles mentaux et qui est peut-être sans-abri. Il a déjà eu affaire à la justice dans le passé. La victime était d’origine asiatique. Le journal souligne qu’il y a eu une forte augmentation des actes de haine contre les Asiatiques depuis le début de la pandémie de coronavirus. Cependant, selon la police, rien n’indique que la femme ait été agressée en raison de son origine.
L’histoire n’est pas sans rappeler l’incident de vendredi soir à la station de métro Rogier à Bruxelles. Un homme a également poussé une femme sur les rails à l’arrivée d’une rame. Le conducteur du métro a pu freiner à temps et la femme n’a subi que des blessures mineures. L’agresseur a été arrêté.
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beced- Messages : 49646
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8 June 2020
Edward Colston: Bristol slave trader statue 'was an affront'
Protesters in Bristol pull down a statue of slave trader Edward Colston
A statue of a slave trader which was torn down during an anti-racism protest in Bristol was "an affront", the city's mayor has said.
Mayor Marvin Rees said he felt no "sense of loss" after the controversial bronze statue of Edward Colston was pulled down and thrown into the harbour by protesters on Sunday.
But Prime Minister Boris Johnson described it as a "criminal act".
Avon and Somerset Police said a decision was taken not to intervene.
Mr Johnson's official spokesman said: "The PM's view is that in this country, where there is strong opinion, there is a democratic process which should be followed.
"People can campaign for the removal of a statue but what happened yesterday was a criminal act and when the criminal law is broken that is unacceptable and the police will want to hold to account those responsible.
"The PM absolutely understands the strength of feeling, but in this country we settle our differences democratically and if people wanted the removal of the statue there are democratic routes which can be followed."
Colston was a member of the Royal African Company, which transported about 80,000 men, women and children from Africa to the Americas.
On his death in 1721, he bequeathed his wealth to charities and his legacy can still be seen on Bristol's streets, memorials and buildings.
After the statue was toppled, a protester was pictured with his knee on the figure's neck - reminiscent of the video showing George Floyd, the black man who died while being restrained by a white Minnesota police officer.
But leader of the Conservative group on Bristol City Council, Mark Weston, said the "perpetrators should be prosecuted for a wanton act of criminal damage".
"I do not believe that anyone has the right to deface or destroy public property, no matter how warranted they believe their actions or motivation to be," he said.
..
Edward Colston : La statue du marchand d'esclaves de Bristol « était un affront »
Des manifestants à Bristol abattent une statue du marchand d'esclaves Edward Colston
La statue d'un marchand d'esclaves qui a été démolie lors d'une manifestation contre le racisme à Bristol était "un affront", a déclaré le maire de la ville.
Le maire Marvin Rees a déclaré qu'il ne ressentait aucun "sentiment de perte" après que la statue de bronze controversée d'Edward Colston a été abattue et jetée dans le port par des manifestants dimanche.
Mais le Premier ministre Boris Johnson l'a qualifié d'"acte criminel".
Avon et la police de Somerset ont déclaré qu'une décision avait été prise de ne pas intervenir.
Le porte-parole officiel de M. Johnson a déclaré: "Le point de vue du Premier ministre est que dans ce pays, où l'opinion est forte, il existe un processus démocratique qui doit être suivi.
"Les gens peuvent faire campagne pour le retrait d'une statue, mais ce qui s'est passé hier était un acte criminel et lorsque la loi pénale est enfreinte, c'est inacceptable et la police voudra demander des comptes aux responsables.
"Le Premier ministre comprend parfaitement la force des sentiments, mais dans ce pays, nous réglons nos différends démocratiquement et si les gens voulaient le retrait de la statue, il existe des voies démocratiques qui peuvent être suivies."
Colston était membre de la Royal African Company, qui a transporté environ 80 000 hommes, femmes et enfants d'Afrique vers les Amériques.
À sa mort en 1721, il légua sa richesse à des œuvres caritatives et son héritage est toujours visible dans les rues, les monuments et les bâtiments de Bristol.
Après le renversement de la statue, un manifestant a été photographié avec son genou sur le cou de la figure – rappelant la vidéo montrant George Floyd, l'homme noir décédé alors qu'il était retenu par un policier blanc du Minnesota.
Mais le chef du groupe conservateur au conseil municipal de Bristol, Mark Weston, a déclaré que "les auteurs devraient être poursuivis pour un acte criminel gratuit".
"Je ne crois pas que quiconque ait le droit de défigurer ou de détruire des biens publics, quelle que soit la justification de ses actions ou de sa motivation", a-t-il déclaré
.
Salma Omar said she would tell her children about the day Edward Colston's statue fell
........................
Ten thousand people are estimated to have take part in the Bristol protest on Sunday
..............
Placards left at the site where Colston's statue stood will go on display at Bristol's M Shed museum
..........................................
2022
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The judge in the "Colston statue case" feared undue pressure was being placed on the jury by rhetoric from defence barristers urging them to ensure they were on the “right side of history”.
Judge Peter Blair QC, sitting at Bristol crown court, expressed concern that claims about the impact the jury’s decision would have on the world stage would place an additional burden on their shoulders.
..
Le juge dans l'"affaire de la statue de Colston" craignait que des pressions excessives ne soient exercées sur le jury par la rhétorique des avocats de la défense les exhortant à s'assurer qu'ils étaient du "bon côté de l'histoire".
Le juge Peter Blair QC, siégeant au tribunal de la Couronne de Bristol, s'est dit préoccupé par le fait que les allégations concernant l'impact que la décision du jury aurait sur la scène mondiale imposeraient un fardeau supplémentaire sur leurs épaules.
..
The statue of Edward Colston was thrown into Bristol harbour on June 7, 2020
...
PS. Être du "bon côté" de l'histoire ne voulant rien dire, puisque l'histoire est un tout en devenir.
PPS. A noter quand dans le cas d'une statue de Christophe Colomb en Amérique du Sud, la statue qui avait été enlévé pour entretien ou réparation, a été réinstallée dans un endroit moins central, suite à la demande populaire.
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Edward Colston: Bristol slave trader statue 'was an affront'
Protesters in Bristol pull down a statue of slave trader Edward Colston
A statue of a slave trader which was torn down during an anti-racism protest in Bristol was "an affront", the city's mayor has said.
Mayor Marvin Rees said he felt no "sense of loss" after the controversial bronze statue of Edward Colston was pulled down and thrown into the harbour by protesters on Sunday.
But Prime Minister Boris Johnson described it as a "criminal act".
Avon and Somerset Police said a decision was taken not to intervene.
Mr Johnson's official spokesman said: "The PM's view is that in this country, where there is strong opinion, there is a democratic process which should be followed.
"People can campaign for the removal of a statue but what happened yesterday was a criminal act and when the criminal law is broken that is unacceptable and the police will want to hold to account those responsible.
"The PM absolutely understands the strength of feeling, but in this country we settle our differences democratically and if people wanted the removal of the statue there are democratic routes which can be followed."
Colston was a member of the Royal African Company, which transported about 80,000 men, women and children from Africa to the Americas.
On his death in 1721, he bequeathed his wealth to charities and his legacy can still be seen on Bristol's streets, memorials and buildings.
After the statue was toppled, a protester was pictured with his knee on the figure's neck - reminiscent of the video showing George Floyd, the black man who died while being restrained by a white Minnesota police officer.
But leader of the Conservative group on Bristol City Council, Mark Weston, said the "perpetrators should be prosecuted for a wanton act of criminal damage".
"I do not believe that anyone has the right to deface or destroy public property, no matter how warranted they believe their actions or motivation to be," he said.
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Edward Colston : La statue du marchand d'esclaves de Bristol « était un affront »
Des manifestants à Bristol abattent une statue du marchand d'esclaves Edward Colston
La statue d'un marchand d'esclaves qui a été démolie lors d'une manifestation contre le racisme à Bristol était "un affront", a déclaré le maire de la ville.
Le maire Marvin Rees a déclaré qu'il ne ressentait aucun "sentiment de perte" après que la statue de bronze controversée d'Edward Colston a été abattue et jetée dans le port par des manifestants dimanche.
Mais le Premier ministre Boris Johnson l'a qualifié d'"acte criminel".
Avon et la police de Somerset ont déclaré qu'une décision avait été prise de ne pas intervenir.
Le porte-parole officiel de M. Johnson a déclaré: "Le point de vue du Premier ministre est que dans ce pays, où l'opinion est forte, il existe un processus démocratique qui doit être suivi.
"Les gens peuvent faire campagne pour le retrait d'une statue, mais ce qui s'est passé hier était un acte criminel et lorsque la loi pénale est enfreinte, c'est inacceptable et la police voudra demander des comptes aux responsables.
"Le Premier ministre comprend parfaitement la force des sentiments, mais dans ce pays, nous réglons nos différends démocratiquement et si les gens voulaient le retrait de la statue, il existe des voies démocratiques qui peuvent être suivies."
Colston était membre de la Royal African Company, qui a transporté environ 80 000 hommes, femmes et enfants d'Afrique vers les Amériques.
À sa mort en 1721, il légua sa richesse à des œuvres caritatives et son héritage est toujours visible dans les rues, les monuments et les bâtiments de Bristol.
Après le renversement de la statue, un manifestant a été photographié avec son genou sur le cou de la figure – rappelant la vidéo montrant George Floyd, l'homme noir décédé alors qu'il était retenu par un policier blanc du Minnesota.
Mais le chef du groupe conservateur au conseil municipal de Bristol, Mark Weston, a déclaré que "les auteurs devraient être poursuivis pour un acte criminel gratuit".
"Je ne crois pas que quiconque ait le droit de défigurer ou de détruire des biens publics, quelle que soit la justification de ses actions ou de sa motivation", a-t-il déclaré
.
Salma Omar said she would tell her children about the day Edward Colston's statue fell
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Ten thousand people are estimated to have take part in the Bristol protest on Sunday
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Placards left at the site where Colston's statue stood will go on display at Bristol's M Shed museum
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2022
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The judge in the "Colston statue case" feared undue pressure was being placed on the jury by rhetoric from defence barristers urging them to ensure they were on the “right side of history”.
Judge Peter Blair QC, sitting at Bristol crown court, expressed concern that claims about the impact the jury’s decision would have on the world stage would place an additional burden on their shoulders.
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Le juge dans l'"affaire de la statue de Colston" craignait que des pressions excessives ne soient exercées sur le jury par la rhétorique des avocats de la défense les exhortant à s'assurer qu'ils étaient du "bon côté de l'histoire".
Le juge Peter Blair QC, siégeant au tribunal de la Couronne de Bristol, s'est dit préoccupé par le fait que les allégations concernant l'impact que la décision du jury aurait sur la scène mondiale imposeraient un fardeau supplémentaire sur leurs épaules.
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The statue of Edward Colston was thrown into Bristol harbour on June 7, 2020
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PS. Être du "bon côté" de l'histoire ne voulant rien dire, puisque l'histoire est un tout en devenir.
PPS. A noter quand dans le cas d'une statue de Christophe Colomb en Amérique du Sud, la statue qui avait été enlévé pour entretien ou réparation, a été réinstallée dans un endroit moins central, suite à la demande populaire.
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beced- Messages : 49646
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Et pendant ce temps, on tue aussi ailleurs qu'en Europe... :'
- Mali: 27 soldats tués dans une attaque jihadiste dans le centre
- L'EI revendique l'attentat suicide contre une mosquée au Pakistan
- Mali: 27 soldats tués dans une attaque jihadiste dans le centre
- L'EI revendique l'attentat suicide contre une mosquée au Pakistan
beced- Messages : 49646
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Ferrero rappelle en France certains lots de produits chocolatés Kinder fabriqués en Belgique en raison d'un lien «potentiel» avec des cas de salmonelle, a indiqué lundi le groupe italien.
Prudence les amatrices et amateurs des oeufs de Pâques ....
Prudence les amatrices et amateurs des oeufs de Pâques ....
beced- Messages : 49646
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Un squatteur a mis le feu à la maison qu’il occupait depuis plusieurs semaines, au sud-est de Toulouse.
04/05/22, 06:00
En plus d’être occupée illégalement, une maison, située à Castanet-Tolosan, au sud-est de Toulouse (31), a pris feu samedi dernier, rapporte La Dépêche du Midi . L’incendie a été maîtrisé mais les dégâts sont importants.
Selon les investigations menées par les gendarmes de la brigade de Castanet, le squatteur aurait lui même mis le feu à la maison.
Cet individu est décrit comme fragile psychologiquement et aurait incendié la maison «parce qu’on lui aurait dérobé des affaires personnelles». Il est actuellement hospitalisé dans un établissement spécialisé en psychiatrie et sera placé en garde à vue pour être auditionné sur les circonstances de l’incendie quand son état se sera stabilisé.
Dès lors, plusieurs questions se posent: qui est considéré comme responsable des dégradations provoquées par l’incendie, le squatteur ou le propriétaire? Qui est censé financer les réparations? Il paraîtrait aberrant que ce soit au propriétaire de payer mais dans les affaires de squat les aberrations sont légion.
«En théorie, c’est bien au squatteur de payer la réparation des dégâts», assure Maître Romain Rossi-Landi, avocat en droit immobilier. Le squatteur est en effet à l’origine de l’incendie, c’est lui qui a commis la faute, en droit de la responsabilité civile. Le lien de causalité est donc établi. Sauf que, et c’est là que le bât blesse, le squatteur «est probablement insolvable et pas assuré, a fortiori si c’est un incendie volontaire», comme le fait remarquer à juste titre Me Romain Rossi-Landi.
Le propriétaire, s’il veut retrouver son bien dans son état d’origine, devra donc prendre en charge les travaux de rénovation, en tant que seule personne solvable. Et devra faire jouer son assurance.
Encore faut-il que son assureur accepte de payer les travaux de réparation. Dans l’affaire d’un squat de Saint-Honoré-les-Bains, dans la Nièvre (58), en 2020, où il n’était pas question d’incendie cette fois mais d’une occupation illégale de la maison d’une octogénaire, «les assureurs avaient refusé de prendre en charge les dégradations de la maison car il s’agissait d’un squat qui est un cas d’exclusion», explique l’avocat en droit immobilier.
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04/05/22, 06:00
En plus d’être occupée illégalement, une maison, située à Castanet-Tolosan, au sud-est de Toulouse (31), a pris feu samedi dernier, rapporte La Dépêche du Midi . L’incendie a été maîtrisé mais les dégâts sont importants.
Selon les investigations menées par les gendarmes de la brigade de Castanet, le squatteur aurait lui même mis le feu à la maison.
Cet individu est décrit comme fragile psychologiquement et aurait incendié la maison «parce qu’on lui aurait dérobé des affaires personnelles». Il est actuellement hospitalisé dans un établissement spécialisé en psychiatrie et sera placé en garde à vue pour être auditionné sur les circonstances de l’incendie quand son état se sera stabilisé.
Dès lors, plusieurs questions se posent: qui est considéré comme responsable des dégradations provoquées par l’incendie, le squatteur ou le propriétaire? Qui est censé financer les réparations? Il paraîtrait aberrant que ce soit au propriétaire de payer mais dans les affaires de squat les aberrations sont légion.
«En théorie, c’est bien au squatteur de payer la réparation des dégâts», assure Maître Romain Rossi-Landi, avocat en droit immobilier. Le squatteur est en effet à l’origine de l’incendie, c’est lui qui a commis la faute, en droit de la responsabilité civile. Le lien de causalité est donc établi. Sauf que, et c’est là que le bât blesse, le squatteur «est probablement insolvable et pas assuré, a fortiori si c’est un incendie volontaire», comme le fait remarquer à juste titre Me Romain Rossi-Landi.
Le propriétaire, s’il veut retrouver son bien dans son état d’origine, devra donc prendre en charge les travaux de rénovation, en tant que seule personne solvable. Et devra faire jouer son assurance.
Encore faut-il que son assureur accepte de payer les travaux de réparation. Dans l’affaire d’un squat de Saint-Honoré-les-Bains, dans la Nièvre (58), en 2020, où il n’était pas question d’incendie cette fois mais d’une occupation illégale de la maison d’une octogénaire, «les assureurs avaient refusé de prendre en charge les dégradations de la maison car il s’agissait d’un squat qui est un cas d’exclusion», explique l’avocat en droit immobilier.
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beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
Un assassin meurt en enterrant sa victime dans son jardin>> Un homme est mort d’une crise cardiaque dans son jardin en Caroline du Sud, où il était en train d’enterrer une femme qu’il avait étranglée, ont annoncé mardi les autorités locales.
« Joseph McKinnon, 60 ans, a été retrouvé mort dans son jardin » samedi matin et son corps « ne présentait aucun signe de traumatismes, sa mort semblant naturelle », ont indiqué la shérif et le responsable médico-légal du comté d’Edgefield dans un communiqué, diffusé par la presse locale.
En enquêtant sur ce décès, la police a découvert sur les lieux un autre cadavre, celui de Patricia Dent, 65 ans, dans une tombe qui venait d’être creusée.
Les autopsies réalisées lundi ont conclu que M. McKinnon était mort d’une crise cardiaque tandis que Mme Dent avait été assassinée par strangulation.
Selon les autorités M. McKinnon a attaqué Mme Dent à l’intérieur de la maison, puis il l’a ligotée et enveloppée de sacs-poubelle avant de la placer dans la tombe qu’il venait de creuser.
C’est en recouvrant la tombe de terre que M. McKinnon a eu une attaque cardiaque.
Les motifs du meurtre restent pour le moment inconnus.
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PS. Une sorte de vengeance posthume donc ...
« Joseph McKinnon, 60 ans, a été retrouvé mort dans son jardin » samedi matin et son corps « ne présentait aucun signe de traumatismes, sa mort semblant naturelle », ont indiqué la shérif et le responsable médico-légal du comté d’Edgefield dans un communiqué, diffusé par la presse locale.
En enquêtant sur ce décès, la police a découvert sur les lieux un autre cadavre, celui de Patricia Dent, 65 ans, dans une tombe qui venait d’être creusée.
Les autopsies réalisées lundi ont conclu que M. McKinnon était mort d’une crise cardiaque tandis que Mme Dent avait été assassinée par strangulation.
Selon les autorités M. McKinnon a attaqué Mme Dent à l’intérieur de la maison, puis il l’a ligotée et enveloppée de sacs-poubelle avant de la placer dans la tombe qu’il venait de creuser.
C’est en recouvrant la tombe de terre que M. McKinnon a eu une attaque cardiaque.
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cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°222
Re: C C N (( Curiosities & Catastrophies News ))
par cristaline Jeu 12 Mai 2022 - 11:06
beced a écrit:Un squatteur a mis le feu à la maison qu’il occupait depuis plusieurs semaines, au sud-est de Toulouse.
04/05/22, 06:00
En plus d’être occupée illégalement, une maison, située à Castanet-Tolosan, au sud-est de Toulouse (31), a pris feu samedi dernier, rapporte La Dépêche du Midi . L’incendie a été maîtrisé mais les dégâts sont importants.
Selon les investigations menées par les gendarmes de la brigade de Castanet, le squatteur aurait lui même mis le feu à la maison.
Cet individu est décrit comme fragile psychologiquement et aurait incendié la maison «parce qu’on lui aurait dérobé des affaires personnelles». Il est actuellement hospitalisé dans un établissement spécialisé en psychiatrie et sera placé en garde à vue pour être auditionné sur les circonstances de l’incendie quand son état se sera stabilisé.
Dès lors, plusieurs questions se posent: qui est considéré comme responsable des dégradations provoquées par l’incendie, le squatteur ou le propriétaire? Qui est censé financer les réparations? Il paraîtrait aberrant que ce soit au propriétaire de payer mais dans les affaires de squat les aberrations sont légion.
«En théorie, c’est bien au squatteur de payer la réparation des dégâts», assure Maître Romain Rossi-Landi, avocat en droit immobilier. Le squatteur est en effet à l’origine de l’incendie, c’est lui qui a commis la faute, en droit de la responsabilité civile. Le lien de causalité est donc établi. Sauf que, et c’est là que le bât blesse, le squatteur «est probablement insolvable et pas assuré, a fortiori si c’est un incendie volontaire», comme le fait remarquer à juste titre Me Romain Rossi-Landi.
Le propriétaire, s’il veut retrouver son bien dans son état d’origine, devra donc prendre en charge les travaux de rénovation, en tant que seule personne solvable. Et devra faire jouer son assurance.
Encore faut-il que son assureur accepte de payer les travaux de réparation. Dans l’affaire d’un squat de Saint-Honoré-les-Bains, dans la Nièvre (58), en 2020, où il n’était pas question d’incendie cette fois mais d’une occupation illégale de la maison d’une octogénaire, «les assureurs avaient refusé de prendre en charge les dégradations de la maison car il s’agissait d’un squat qui est un cas d’exclusion», explique l’avocat en droit immobilier.
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Les lois sont insupportables et injustes ; le "fragile psychologiquement" revenant maintenant à chaque acte grave, attaque de biens ou de personnes, c'est un peu trop facile d'exonérer le fauteur de troubles ; ou alors, on détecte les troubles avant - il devait bien y avoir des signes, non ? - et on le colle en psychiatrie ; en surveillant qu'il ne se fasse pas la malle
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Invité- Invité
Après s'être donné tout ce mal, c'est vraiment pas de bol.beced a écrit:Un assassin meurt en enterrant sa victime dans son jardin>> Un homme est mort d’une crise cardiaque dans son jardin en Caroline du Sud, où il était en train d’enterrer une femme qu’il avait étranglée, ont annoncé mardi les autorités locales.
« Joseph McKinnon, 60 ans, a été retrouvé mort dans son jardin » samedi matin et son corps « ne présentait aucun signe de traumatismes, sa mort semblant naturelle », ont indiqué la shérif et le responsable médico-légal du comté d’Edgefield dans un communiqué, diffusé par la presse locale.
En enquêtant sur ce décès, la police a découvert sur les lieux un autre cadavre, celui de Patricia Dent, 65 ans, dans une tombe qui venait d’être creusée.
Les autopsies réalisées lundi ont conclu que M. McKinnon était mort d’une crise cardiaque tandis que Mme Dent avait été assassinée par strangulation.
Selon les autorités M. McKinnon a attaqué Mme Dent à l’intérieur de la maison, puis il l’a ligotée et enveloppée de sacs-poubelle avant de la placer dans la tombe qu’il venait de creuser.
C’est en recouvrant la tombe de terre que M. McKinnon a eu une attaque cardiaque.
Les motifs du meurtre restent pour le moment inconnus.
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PS. Une sorte de vengeance posthume donc ...
beced- Messages : 49646
Date d'inscription : 31/12/2013
Sanjeev et Sadhana Prasad disent avoir épuisé leurs économies pour élever et éduquer leur fils aujourd’hui pilote et lui offrir un mariage somptueux. Ils veulent maintenant un petit-fils ou être remboursés de leurs investissements. "Mon fils est marié depuis six ans, mais [son couple] ne prévoit toujours pas de bébé. Au moins, si nous avions un petit-enfant avec qui passer du temps, notre douleur deviendrait supportable", a déclaré le couple dans sa plainte déposée auprès d’un tribunal de Haridwar la semaine dernière.
Des parents veulent attaquer leur fils en justice car il ne leur donne pas de petit-enfant>> Si il n’a pas d’enfant d’ici un an, ils comptent lui réclamer plus de 600.000 €.
En Inde, un couple a bien l’intention d’attaquer leur enfant en justice. La raison ? Il n’a pas d’enfant. Sanjeev et Sadhana Prasad disent avoir épuisé leurs économies pour élever et éduquer leur fils aujourd’hui pilote et lui offrir un mariage somptueux. Ils veulent maintenant un petit-fils ou être remboursés de leurs investissements, écrivent nos confrères de La Voix du Nord.
Ils lui réclament plus de 600.000 €....
« Mon fils est marié depuis six ans mais (son couple) ne prévoit toujours pas de bébé. Au moins, si nous avions un petit-enfant avec qui passer du temps, notre douleur deviendrait supportable », a déclaré le couple dans sa plainte déposée auprès d’un tribunal de Haridwar la semaine dernière.
La compensation de 50 millions de roupies (615.000 euros) réclamée comprend le coût d’une réception de mariage dans un hôtel cinq étoiles, une voiture de luxe d’une valeur de 76.000 euros et le paiement de la lune de miel du couple à l’étranger, a rapporté jeudi le quotidien Times of India.
Les parents ajoutent avoir déboursé 62 000 dollars pour que leur fils bénéficie d’une formation de pilote aux États-Unis, avant qu’il ne revienne en Inde sans emploi, précise le journal.
« Nous sommes perturbés psychologiquement car nous vivons seuls »>> « Nous avons également dû contracter un prêt pour construire notre maison et nous traversons maintenant de nombreuses difficultés financières », déplore le couple dans sa plainte, « nous sommes également perturbés psychologiquement car nous vivons seuls », peut-on lire sur Sudinfo.
Selon Arvind Kumar, l’avocat du couple, la plainte sera examinée par un tribunal du nord de l’Inde le 17 mai.
En Inde, plusieurs générations, dont les grands-parents, tantes, oncles, neveux et nièces vivent souvent sous le même toit. Mais, ces dernières années, la tendance a changé, les jeunes couples préférant s’éloigner de leurs familles, tandis que de nombreuses femmes, comme la belle-fille dans cette affaire, préfèrent s’émanciper et embrasser des carrières professionnelles plutôt que devenir des mères au foyer.
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PS. A tput hasard, j'ai envoyé un mail disant que je voulais bien être adopté (avec ma photo)
Des parents veulent attaquer leur fils en justice car il ne leur donne pas de petit-enfant>> Si il n’a pas d’enfant d’ici un an, ils comptent lui réclamer plus de 600.000 €.
En Inde, un couple a bien l’intention d’attaquer leur enfant en justice. La raison ? Il n’a pas d’enfant. Sanjeev et Sadhana Prasad disent avoir épuisé leurs économies pour élever et éduquer leur fils aujourd’hui pilote et lui offrir un mariage somptueux. Ils veulent maintenant un petit-fils ou être remboursés de leurs investissements, écrivent nos confrères de La Voix du Nord.
Ils lui réclament plus de 600.000 €....
« Mon fils est marié depuis six ans mais (son couple) ne prévoit toujours pas de bébé. Au moins, si nous avions un petit-enfant avec qui passer du temps, notre douleur deviendrait supportable », a déclaré le couple dans sa plainte déposée auprès d’un tribunal de Haridwar la semaine dernière.
La compensation de 50 millions de roupies (615.000 euros) réclamée comprend le coût d’une réception de mariage dans un hôtel cinq étoiles, une voiture de luxe d’une valeur de 76.000 euros et le paiement de la lune de miel du couple à l’étranger, a rapporté jeudi le quotidien Times of India.
Les parents ajoutent avoir déboursé 62 000 dollars pour que leur fils bénéficie d’une formation de pilote aux États-Unis, avant qu’il ne revienne en Inde sans emploi, précise le journal.
« Nous sommes perturbés psychologiquement car nous vivons seuls »>> « Nous avons également dû contracter un prêt pour construire notre maison et nous traversons maintenant de nombreuses difficultés financières », déplore le couple dans sa plainte, « nous sommes également perturbés psychologiquement car nous vivons seuls », peut-on lire sur Sudinfo.
Selon Arvind Kumar, l’avocat du couple, la plainte sera examinée par un tribunal du nord de l’Inde le 17 mai.
En Inde, plusieurs générations, dont les grands-parents, tantes, oncles, neveux et nièces vivent souvent sous le même toit. Mais, ces dernières années, la tendance a changé, les jeunes couples préférant s’éloigner de leurs familles, tandis que de nombreuses femmes, comme la belle-fille dans cette affaire, préfèrent s’émanciper et embrasser des carrières professionnelles plutôt que devenir des mères au foyer.
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