Flavius a écrit:
Vous avez parfaitement raison. Vous savez ce que l'on dit ? Mettez deux juifs face à face et vous vous retrouvez avec trois opinions différentes.
Ces jours-ci c'est un peu pareil au PS, non?
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Flavius a écrit:
Vous avez parfaitement raison. Vous savez ce que l'on dit ? Mettez deux juifs face à face et vous vous retrouvez avec trois opinions différentes.
beced a écrit:
Ces jours-ci c'est un peu pareil au PS, non?
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beced a écrit:[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
30 militaires egyptiens tués dans le Sinai il y a 5 jours : les auteurs de l'attaque venaient de Gaza...
...L'Egypte a donné 48 heures à la ville de Rafah habitant le long de la frontière avec la bande de Gaza pour évacuer leurs maisons .. Les autorités égyptiennes ont prévu la mise en place d'une zone tampon. et ont prévu de creuser un canal le long de la frontière dans le cadre de la lutte contre les tunnels creusés depuis Gaza par les Palestiniens.
La mise en place d'une telle zone signifie que des dizaines de milliers d'Egyptiens vivant dans la région de Rafah seront forcés de quitter leurs maisons....
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Sauf erreur mes médias n'en ont pas parlé....
Ara a écrit:
Fiente de poulet (info # 010211/14) [Analyse]
Par Guy Millière © Metula News Agency
"L'administration Obama prépare-t-elle la reconnaissance par les Etats Unis d'un Etat palestinien ?
Un discours prononcé par John Kerry le soir de la fête musulmane de l'Aid al-Adha a particulièrement retenu mon attention à ce sujet ces dernières semaines.
Il incluait des éloges dithyrambiques de l'islam : ce genre d’éloges dithyrambiques de l'islam est chose courante depuis que Barack Hussein Obama se trouve à la Maison Blanche.
Ce discours n'a pas retenu mon attention parce qu'il comportait des critiques du gouvernement israélien : il est bien connu désormais que l'administration Obama est la plus inamicale à l’encontre d’Israël depuis 1948.
Non. Ce discours m’a interpelé parce que John Kerry a, une fois de plus, défini le « conflit israélo-palestinien » comme le conflit central du Proche Orient, et a ajouté qu'il était la « cause de tous les problèmes de la région », le « responsable de la montée en puissance de l'islam radical », et même, un « catalyseur de recrutement pour l'Etat Islamique ».
Kerry : des propos irresponsables cachant des intentions inavouables
Dans la foulée, John Kerry a laissé entendre que la création d'un Etat palestinien (conformément, bien sûr, aux lignes du plan de paix arabe, qui prévoit, entre autres, un retour aux « frontières de 1967 ») serait urgente et essentielle.
Que John Kerry voie dans le « conflit israélo-palestinien » le conflit central du Proche Orient et la cause de tous les problèmes de la région n'est pas surprenant ; cette vision myope et biaisée est celle de tous les gens de gens de gauche voire d'extrême gauche.
Qu'il attribue la montée en puissance de l'islam radical au « conflit israélo-palestinien » est plus inquiétant, et indique que l'administration Obama est décidément prête à accuser Israël de tous les péchés du monde (il est évident que la non résolution du conflit est, pour Kerry, le fait de la responsabilité d'Israël).
Qu'il attribue au « conflit israélo-palestinien » un rôle de catalyseur de recrutement pour l'Etat Islamique est plus inquiétant encore, et montre que l'administration Obama est prête à incriminer Israël pour les massacres commis en Syrie et en Irak, ainsi que pour les actes terroristes commis par des adeptes de l'Etat Islamique.
Qu'il insiste en filigrane sur l'urgence de la création d'un Etat palestinien doit être perçu comme un signal d'alarme.
De fait, plusieurs pays européens semblent enclins à reconnaître rapidement un Etat palestinien (la Suède vient de le faire, le Royaume Uni a des intentions qui viennent de s'afficher au Parlement à Londres). Une éventuelle reconnaissance d'un Etat palestinien par plusieurs pays européens pourrait
être utilisée comme un prétexte par l'administration Obama aux fins d'aller elle-même en direction de cette reconnaissance.
L'Autorité Palestinienne ne cache pas son intention de demander cette reconnaissance aux Nations Unies dans les prochaines semaines ou les prochains mois. Cette requête devrait, en toute logique, se heurter à un veto américain au Conseil de Sécurité. Des diplomates israéliens et divers commentateurs craignent cependant que les mots de John Kerry préparent une possible abstention, et non un veto.
Une abstention américaine entraînerait alors la reconnaissance d'un Etat palestinien par ce que d'aucuns nomment encore la « communauté internationale ».
Cela ne déboucherait pas sur la création effective et concrète d'un tel Etat, mais exacerberait les risques de sanctions diverses contre Israël, constituerait un carburant supplémentaire pour les campagnes de boycott d'Israël, et pourrait permettre à l'Autorité Palestinienne, en se proclamant Etat, de saisir la Cour pénale internationale pour accuser Israël de divers crimes imaginaires.
Ce serait, le cas échéant, une victoire majeure pour le Hamas, qui fait partie intégrante du gouvernement de l'Autorité Palestinienne.
Une victoire majeure aussi pour le terrorisme islamique et le terrorisme international.
Ce serait, le cas échéant encore, une victoire majeure pour l'islam radical et l'Etat islamique.
Le fait que le Congrès américain, lors des élections de ce mardi, puisse basculer entièrement du côté des Républicains n'empêchera en rien Obama de prendre des décisions majeures. Comme il l'a dit lui-même, il peut contourner le Congrès, utiliser son stylo pour signer des décrets (executive orders), et son téléphone pour donner des directives.
Samantha Power, qui représente les Etats Unis à l'ONU, dépend directement du Président, et peut agir sans l'aval du Congrès.
Un journaliste très proche d'Obama, Jeffrey Goldberg, de The Atlantic Monthly, a révélé ces derniers jours que des gens « très haut placés » dans l'administration Obama tiennent des propos insultants et méprisants, voire vulgaires, concernant Netanyahou (traité de chickenshit, littéralement, fiente de poulet) et le gouvernement israélien. La Maison Blanche n'a pas démenti.
Ces propos sont considérés par la presse américaine comme marquant la crise la plus grave entre Israël et les Etats Unis. Depuis 1948.
La crise est analysée par de nombreux journalistes à Washington comme ayant été provoquée délibérément par l'administration Obama qui, par ailleurs, accélère ses manœuvres de rapprochement, lourdes de conséquences potentielles, avec la République Islamique d'Iran."
:::::::::::::::::::::Ara a écrit:Et c'est reparti pour un tour !
Ensuite, ces minables iront chialer auprès de l'opinion internationale et toucher un peu plus de sous pour se consoler de n'avoir tué qu'un seul Juif ...!
Jérusalem secouée par un attentat meurtrier et des heurts sur l’esplanade
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beced a écrit:
:::::::::::::::::::::
Cet attentat a le même principe que celui qui a eu lieu récemment au Canada. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Alors que dans ce dernier cas le mot "terroriste" a été évoqué à plusieurs reprises, l'article de Libération sur Jérusalem ne l'utilise pas une seule fois....
Une grille de lecture parfaitement claire....
beced a écrit:
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Cet attentat a le même principe que celui qui a eu lieu récemment au Canada. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Alors que dans ce dernier cas le mot "terroriste" a été évoqué à plusieurs reprises, l'article de Libération sur Jérusalem ne l'utilise pas une seule fois....
Une grille de lecture parfaitement claire....
beced a écrit:
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Cet attentat a le même principe que celui qui a eu lieu récemment au Canada. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Alors que dans ce dernier cas le mot "terroriste" a été évoqué à plusieurs reprises, l'article de Libération sur Jérusalem ne l'utilise pas une seule fois....
Une grille de lecture parfaitement claire....
beced a écrit:
:::::::::::
A l’AFP, cela fait l’objet d’une circulaire interne, déjà ancienne, qui impose des "règles rédactionnelles pour le traitement de la copie sur le conflit israélo-palestinien".
Ainsi, dans cette directive on apprend pourquoi ce sont toujours les "voitures" et les "drames" qui tuent des Israéliens et des Juifs et jamais des Palestiniens ou des Arabes.
L’agence semi-publique AFP a faussé les propos du ministre israélien de la Sécurité Intérieure, Itzkhak Aharonovitch, tenus sur la scène de l’attentat (la semaine passée, celle qui causé la mort d'un bébé et d'une jeune personne) . M. Aharonovitch a déclaré : "Au demeurant nous parlons d’un "attentat par écrasement" (à l’aide d’un véhicule)", pigua drissa, en hébreu >>>> L’AFP a rapporté que M. Aharonovitch avait dit : "C'est un attentat à la voiture bélier selon les premiers éléments de l'enquête…", contrevérité aussitôt reprise par l’ensemble de ses perroquets suiveurs de la francocacophonie.
Une voiture bélier, ce n’est pas cela du tout ; c’est "une automobile qui est projetée sur la façade d’un établissement afin de la démolir pour y pénétrer et finalement commettre un cambriolage ou un braquage (…)" (Wikipédia).
Une attaque au bélier n’a donc pas pour finalité de tuer, tandis qu’un attentat par écrasement recèle pour unique objectif d’assassiner le plus d’êtres humains possible.
(d'après la Mena )
beced a écrit:La Suède reconnait l'Etat de Palestine. Et pourquoi pas.
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Ce qui est dommage c'est que c'est le genre de décision que devrait prendre de manière collective l'UE et pas un de ses membres de manière isolée. Donc ce qui pose question ici, ce n'est pas le fait que la Suède reconnait la Palestine, mais qu'elle ne reconnait pas ...l'UE (du moins sa raison d'être).....
Un "déjà-vu" du casse-tête causé par la reconnaissance d'un Etat ex membre de la Yougoslavie par l'Allemagne de manière isolée.
::
Pour en revenir à la décision de la Suède, il est ironique de voir que c'est depuis un pays scandinave (les "accords d'Oslo") qu'est né l'espoir d'une paix dans la région, et que c'est à nouveau depuis un pays scandinave que ces accords, donc ces espoirs, risquent de disparaître; en effet la pierre angulaire des accords d'Oslo était des négociations directes entre les deux bélligérants.
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La décision solitaire de la Suède présuppose qu'il n'y a plus rien à négocier. Et, donc de ce fait, d'une certaine manière entérine la situation sur le terrain, que l'on considère comme satisfaisante : ce qui est ironique...
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ps: D'un point de vue arithmétique pour la Suéde reconnaître la Palestine ne change rien à son calcul du nombre de nations dans le monde. En effet les Palestiniens, dans l'état actuel des choses (que reconnait donc la Suéde) n'acceptent pas l'existence d'Israel.
Donc reconnaître l'un, est de facto ne pas reconnaître l'autre.
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beced a écrit:
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A l’AFP, cela fait l’objet d’une circulaire interne, déjà ancienne, qui impose des "règles rédactionnelles pour le traitement de la copie sur le conflit israélo-palestinien".
Ainsi, dans cette directive on apprend pourquoi ce sont toujours les "voitures" et les "drames" qui tuent des Israéliens et des Juifs et jamais des Palestiniens ou des Arabes.
L’agence semi-publique AFP a faussé les propos du ministre israélien de la Sécurité Intérieure, Itzkhak Aharonovitch, tenus sur la scène de l’attentat (la semaine passée, celle qui causé la mort d'un bébé et d'une jeune personne) . M. Aharonovitch a déclaré : "Au demeurant nous parlons d’un "attentat par écrasement" (à l’aide d’un véhicule)", pigua drissa, en hébreu >>>> L’AFP a rapporté que M. Aharonovitch avait dit : "C'est un attentat à la voiture bélier selon les premiers éléments de l'enquête…", contrevérité aussitôt reprise par l’ensemble de ses perroquets suiveurs de la francocacophonie.
Une voiture bélier, ce n’est pas cela du tout ; c’est "une automobile qui est projetée sur la façade d’un établissement afin de la démolir pour y pénétrer et finalement commettre un cambriolage ou un braquage (…)" (Wikipédia).
Une attaque au bélier n’a donc pas pour finalité de tuer, tandis qu’un attentat par écrasement recèle pour unique objectif d’assassiner le plus d’êtres humains possible.
(d'après la Mena )