Forum sur l'actualité et la culture
cristaline a écrit:
En lisant cet article, j'ai cru que c'était un poisson d'avril : hélas, il n'en est rien ; on en arrive à la requête actuelle, toujours de plus en plus en vogue : on "exige" des résultats, du fric, des beaux métiers, sans rien faire pour y accéder...
De toute façon, je crois que chaque époque a eu sa dose de chienlit depuis 68, il y a toujours une bonne raison !
le fric c est normal quand tu travailles tu fais pas du bénévolat 
J'ai entendu dans un débat que les étudiants n'allaient pas à l'université pour apprendre un métier et l’exercer plus tard mais pour s'épanouir intellectuellement.cristaline a écrit:
En lisant cet article, j'ai cru que c'était un poisson d'avril : hélas, il n'en est rien ; on en arrive à la requête actuelle, toujours de plus en plus en vogue : on "exige" des résultats, du fric, des beaux métiers, sans rien faire pour y accéder...
De toute façon, je crois que chaque époque a eu sa dose de chienlit depuis 68, il y a toujours une bonne raison !
PandaCoinCoin a écrit:
Azalee a écrit:
J'ai entendu dans un débat que les étudiants n'allaient pas à l'université pour apprendre un métier et l’exercer plus tard mais pour s'épanouir intellectuellement.
Pas étonnant qu'il refuse la sélection à l'entrée et la coopération avec les entreprises.
Et après, ils trouveront scandaleux de ne pas trouver de travail et se retourneront contre l'Etat qui tente de faire en sorte que ça change...
Il me semble que l'épanouissement intellectuel ne relève pas de l'instruction mais d'une démarche personnelle. Cet état d'esprit est-il un héritage de mai 68, c'est probable.
L'université doit d'bord être un lieu de formation qui permet d'assurer un avenir professionnel aux jeunes.
cristaline a écrit:
perso, tes conneries me passent dorénavant au dessus de la tête
Rompfff
a bon quand tu travaillais tu aimais travailler au rabais et être exploiter. , c est normal non que des personnes veullent un salaire justePandaCoinCoin a écrit:
Deux ans, tu es généreuse. Dans certaines filières, c'est 60% d'échec dès la première année.cristaline a écrit:
Que des jeunes qui ont eu difficilement 7 de moyenne au bac, et souvent à la repêche, puissent entrer à la fac comme ça, ça m'a toujours semblé débile ; au bout de deux ans, en général, ils se rendent compte qu'ils n'ont rien, pas de diplôme, et pour cause : il faut suivre, et il faut bosser ! Et 2 ans de fac, en général, ne donnent rien en terme de débouchés, alors, mécontents, ils abreuvent le "système" de leur rancoeur, s'apercevant trop tard qu'aller à la fac n'est pas suffisant pour avoir un métier....
Notre pays est de toute irréformable, on le sait
cristaline a écrit:
J'ai écrit "ils veulent du fric SANS TRAVAILLER"............
a oui ca je suis d accord , ils demande de trop et il me saoul aussi avec leur exigence clymene3 a écrit:
Quand on a un minimum de réflexion logique, on ne compare ni les pays de civilisations très différentes, ni les époques, ni les conditions de vie.
on fait quoi on accepte avec fatalisme on a pas le droit de vouloir mieuxAzalee a écrit:Je ne vois pas comment c'est possible et ça n'est pas souhaitable.
La société évolue et l'éducation n'est pas un îlot à part. Il y a des choses à réformer mais il faut faire avec son époque.
Par contre, que les meneurs de la grève à l'université demandent l'autogestion, je trouve ça absurde. Mais nous savons tous qui ils sont puisque que dans leur revendication, ils demandent aussi la démission de Macron.
J'ai peur que ça nuise à leur crédibilité.
Aza,
car moi je ne fais que le charrier sur son diplome obtenu !!!! PandaCoinCoin a écrit:Moi je suis pour une réforme de l enseignement, ca deviens n importe quoi quitte à diminuer les heures de cours mais que ce soit de qualité
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] déjà obliger les élèves à venir bien habiller costard cravate avec une belle tenu, remettre une discipline de fer avec des vrai prof et pas des soumis humaniste molason , remettre un enseignement comme en 1900
Mouais, mais peux vous dire que ça ne changera rien. Moi j'allais habillé sur mesure en costard trois pièces, chaussé Weston, ray ban posées sur le nez, marlboro au bec au volant de ma Lamborghini. Et je ne sais pas pourquoi, j'étais très mal vu...à Dauphine !Arlequine a écrit:
C'est au post de Panda.... que tu réponds, pas au mien ???? SINOn, je n'ai pas compris
C'est possible. C'est même probable.Arlequine a écrit:
C'est au post de Panda.... que tu réponds, pas au mien ???? SINOn, je n'ai pas compris
Tiens, moi aussi, je suis allé à Dauphine. Entre octobre 74 et juin 76.Flavius a écrit:
Mouais, mais peux vous dire que ça ne changera rien. Moi j'allais habillé sur mesure en costard trois pièces, chaussé Weston, ray ban posées sur le nez, marlboro au bec au volant de ma Lamborghini. Et je ne sais pas pourquoi, j'étais très mal vu...à Dauphine !
Normal. Je n'allais pas à Dauphine, mais à la Sorbonne, plus près de chez moi. J'ai dit Dauphine, pour éloigner ceux qui tenteraient de me pister...LV426 a écrit:
Tiens, moi aussi, je suis allé à Dauphine. Entre octobre 74 et juin 76.
Mais on n'a pas dû se croiser parce que je ne me souviens pas d'avoir vu une Lamborghini.
C'est pas la bonne couleur ?Flavius a écrit:
Mauvaise langue !
A cette époque que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, vous pensez bien que si j'avais demandé à mes parents qui se saignaient pour me payer des études, une voiture, je pense qu'ils ne se seraient contentés de m'envoyer un bon coup de pied au derrière. Il y avait peu d'argent qui rentrait ; il n'y avait que mon père qui travaillait, mais comme l'écrivait je crois Cristaline, nous étions très heureux et les rires fusaient à la maison. On ne demandait rien à l'Etat, conscients que ce dernier ne nous devait absolument rien.Azalee a écrit:
C'est pas la bonne couleur ?
Y'en a qui ont de la chance...Flavius a écrit:
A cette époque que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître, vous pensez bien que si j'avais demandé à mes parents qui se saignaient pour me payer des études, une voiture, je pense qu'ils ne se seraient contentés de m'envoyer un bon coup de pied au derrière. Il y avait peu d'argent qui rentrait ; il n'y avait que mon père qui travaillait, mais comme l'écrivait je crois Cristaline, nous étions très heureux et les rires fusaient à la maison. On ne demandait rien à l'Etat, conscients que ce dernier ne nous devait absolument rien.
Mais je m'en rends compte. Et pourtant notre éducation était plutôt stricte du côté de mon père, mais très adoucie par une mère compréhensive qui nous passait bien des choses. Les deux se complétaient à merveille dans une complicité que nous ne faisions, mon frère et moi, que soupçonner. C'est dire s'ils étaient très attentifs à ce que nous recevions tout le dosage nécessaire d'amour et de rigueur pour nous épanouir et pour nous préparer à ce que la vie nous réserverait.Azalee a écrit:
Y'en a qui ont de la chance...
Effectivement ,nous ne pouvons pas dire tous la même choseAzalee a écrit:
Y'en a qui ont de la chance...
clymene3 a écrit:Un des gros problèmes liés à mai 68 : l’intrusion progressive des parents dans le fonctionnement de l’école et la remise en question des décisions des conseils de classe sur l’orientation, les redoublements etc : comment les jeunes pouvaient-ils encore respecter des enseignants désavoués publiquement ?
La larbine. de service prendra sa serpillière à corriger les fautes, moi je suis sur la route de Saint Jacques et je me fous de tout !!!
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