Bouteflika au Val-de-Grâce.
Et à Paris, on se demande aussi "qui va payer la note". Certaines sources radiophoniques [RMC] ont évoqué une ardoise de 600 millions d’€. La ministre, Marisol Touraine refuse en tout cas de répondre à la question.
L’hospitalisation du président algérien Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce, à Paris, à 48 heures de la convocation du corps électoral pour la présidentielle en Algérie, suscite de nouveau beaucoup d’interrogations en Algérie. La presse, la classe politique notamment l’opposition, s’interrogent sur son état de santé réel alors que ses partisans, le FLN en première ligne, veulent le voir briguer un quatrième mandat.
Agé de 76 ans, Bouteflika n’a fait aucune sortie publique depuis sa première hospitalisation fin avril 2013 au Val-de-Grâce. Rentré en Algérie mi-juillet, après trois mois de soins intensifs dont un en "convalescence" aux Invalides, il est apparu à deux reprises à la télévision mais très affaibli alors que le pouvoir réaffirme, sans démordre, qu’il dirige le pays et que son état s’est "nettement amélioré".
Et quand on sait combien cette marionnette dans les mains de l'armée adore la France, ça donne envie. Et puis lui n'est pas pour l'euthanasie, je vous prie de me croire. Allez savoir pourquoi ?
Et à Paris, on se demande aussi "qui va payer la note". Certaines sources radiophoniques [RMC] ont évoqué une ardoise de 600 millions d’€. La ministre, Marisol Touraine refuse en tout cas de répondre à la question.
L’hospitalisation du président algérien Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce, à Paris, à 48 heures de la convocation du corps électoral pour la présidentielle en Algérie, suscite de nouveau beaucoup d’interrogations en Algérie. La presse, la classe politique notamment l’opposition, s’interrogent sur son état de santé réel alors que ses partisans, le FLN en première ligne, veulent le voir briguer un quatrième mandat.
Agé de 76 ans, Bouteflika n’a fait aucune sortie publique depuis sa première hospitalisation fin avril 2013 au Val-de-Grâce. Rentré en Algérie mi-juillet, après trois mois de soins intensifs dont un en "convalescence" aux Invalides, il est apparu à deux reprises à la télévision mais très affaibli alors que le pouvoir réaffirme, sans démordre, qu’il dirige le pays et que son état s’est "nettement amélioré".
Et quand on sait combien cette marionnette dans les mains de l'armée adore la France, ça donne envie. Et puis lui n'est pas pour l'euthanasie, je vous prie de me croire. Allez savoir pourquoi ?