Macky2 a écrit:
Si il y aune personne qui dit ce qu'elle pense, c'est bien moi et je le dirai en temps voulu
Je ne sais pas si l'on va pouvoir tenir jusqu'à là. En tout cas, pour ce qui me concerne, je peux vous dire que cela m'angoisse...
Macky2 a écrit:
Si il y aune personne qui dit ce qu'elle pense, c'est bien moi et je le dirai en temps voulu
Azhalee a écrit:
Qui n'a pas traité un autre conducteur d'en****, de sal **, d'em****** de ***** et sale fils de **** !![]()
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Figure toi que de temps en. Des fois, je fais même ça avec mon mari ! On se marre comme des tordus !Moiself a écrit:
Rhoooo Mâme Azhalée,châtiez un peu votre langage, mordel de Berthe !
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Azhalee a écrit:
Figure toi que de temps en ??????. Des fois, je fais même ça avec mon mari ! On se marre comme des tordus !
Ça m'embête beaucoup de dire ça mais....Azhalee a écrit:
Qui n'a pas traité un autre conducteur d'en****, de sal **, d'em****** de ***** et sale fils de **** !![]()
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aurore06 a écrit:Quand le PS comparait Sarkozy à Hitler !:
Les socialistes n'ont pas de mots assez durs pour dénoncer l'emploi du mot Stasi par l'ex-président. En 2011, ils l'assimilaient pourtant au Führer.
L'indignation est un sentiment à géométrie variable.La gauche n'a pas de mots assez durs pour dénoncer l'allusion à la stasi, dans la tribune de N. Sarkozy parue vendredi dans Le Figaro. Mais le Parti socialiste oublie qu'en 2011 peu de temps après le discours de Grenoble prononcé par le président d'alors, le Mouvement des jeunes socialistes (MJS) du département de la Vienne avait placardé une affiche qui avait déclenché la polémique !
La caricature de N. Sarkosy en Adolf Hitler ne relève pas d'un acte républicain estimable... Le représenter la main droite levée comme s'il exécutait le salut nazi, n'est-ce pas hystériser le débat politique ? N'est-ce pas fouler aux pieds la démocratie et la République ? On attend encore la "condamnation" sans appel des hiérarques du Parti socialiste... Rappelons qu'à l'époque, la première secrétaire du PS Martine Aubry ne s'était pas exprimée publiquement sur ce dérapage alors que l'affiche incriminée portait la marque et l'adresse du Parti socialiste rue de Solférino à Paris...
les donneurs de leçon de Solférino auraient du protester du caractère inacceptable de cette affiche.
Le PS est comme le poisson rouge IL N'A PAS DE MEMOIRE !!!![]()
Hello MackyMacky2 a écrit:
Si il y aune personne qui dit ce qu'elle pense, c'est bien moi et je le dirai en temps voulu
Tu ne conduis pas ?LV426 a écrit:
Ça m'embête beaucoup de dire ça mais....
....MOI.
Si si.Azhalee a écrit:
Tu ne conduis pas ?
beced a écrit:
Hello Aurore et DL&DN![]()
J'ai peut-être mal lu la "tribune" qui a choqué le Président de la République et ses Ministres, mais Sarkozy ne fait aucune comparaison avec la Stasi, car au contraire il attire l'attention du lecteur (distrait ) que les faits qu'il dénonce ne se passent pas dans une dictature.
On comprend donc mal pour quelle raison le Gouvernement se sent concerné. On pense à l'expression "qui se sent morveux, qu'il se mouche".
=
La précaution de langage que Sarkozy utilise est d'ailleurs beaucoup plus soucieuse que celles de ceux qui lancent des accusations au conditionnel (il "aurait" commis... ), en terminant pas le "présumé innocent".
aurore06 a écrit:De vraies questions ont été posées par Nicolas Sarkozy dans sa tribune :
- Le droit à la vie privé n’a t-il pas été bafoué par une écoute de plus de 8 mois ?
- Le droit de la défense n’a t-il pas été foulé au pied quand on écoute un avocat parler à son client et qu’on lui saisit ses téléphones ?
- La proportionnalité de la réponse pénale, au regard de la qualité des faits supposés, n’a t-elle pas été violée ?
- La présomption d’innocence n’a t-elle pas été ignorée ?
- La justice de la République n’a t-elle pas été instrumentalisée par des fuites opportunément manipulées ?
- Un ministre de la justice peut-il rester à son poste après plusieurs mensonges proférés à la télévision devant des millions de Français ?
- Pourquoi, le ministre de l’intérieur, s’entête t-il, contre toute évidence, à nier avoir été informé des écoutes de Nicolas Sarkozy ?
- Pourquoi, alors que l’ancien président est accusé de violation du secret de l’instruction dans l’affaire Karachi, pourquoi une enquête n’est-elle pas diligentée pour trouver l’origine des fuites sur les écoutes dont a bénéficié Mediapart ?
- et bien d’autres …
Mais au lieu de répondre à ces multiples questions, la gauche préfère ne retenir qu’un seul mot de la tribune :
« Stasi » ! On peut la comprendre, tellement les réponses à ces questions sont embarrassantes pour elle !
Pour en revenir à la Stasi, compilons quelques déclarations de la gauche au cours des dernières semaines sous la forme d’un petit quizz :
- Qui a dit : « Mais les affaires de Nicolas Sarkozy, on va s’en occuper … » ? C’est ce bon gros lourdeau de Michel sapin !
- Qui a dit : « Ce n’est pas grave d’écouter les gens quand ils n’ont rien à se reprocher » ? C’est ce démocrate éclairé de Benoit Hamon !
- Qui a dit : « Je ne sais rien des écoutes car je n’ai pas à en connaître … » C’est Christiane Taubira, convaincue de mensonges quelques heures après !
- Qui a dit « Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait« ? C’est le chef de toute cette clique : François Hollande !
Toutes ces déclarations sont-elles dignes d’une démocratie « exemplaire » comme nous l’avait promise le candidat Hollande ?
Rapprochées, ces déclarations ne font-elles pas penser à des pratiques policières condamnables telles celles propres à la Stasi ?
Soyons précis, Sarkozy n’a pas assimilé la police, la justice et le gouvernement à cette police politique, il a seulement rapproché les pratiques dont il a été victime, des activités de la Stasi. Il y a une nuance qui échappe à la gauche.
Mais quand bien même on pourrait juger la référence à la stasi exagérée, on doit se mettre dans le contexte d’un homme qui a subi durant son quinquennat un véritable lynchage médiatique et qui maintenant est la victime d’un acharnement judiciaire, dont tout laisse à penser qu’il est piloté par l’Elysée. Ce contexte peut expliquer et même excuser un écart de langage.
Mais nous n’avons nul besoin de nous excuser devant une gauche qui n’a jamais eu aucun scrupule à utiliser l’invective et même l’insulte à l’encontre de Nicolas Sarkozy.
On a encore en tête toutes ces unes de la presse de gauche :
Pour terminer, rappelez-vous ces affiche créées par les Jeunes socialistes, émanation officielle du PS :Hitler … Stasi … Hitler … Stasi …A tout prendre, beaucoup choisirait la Stasi, non ?Alors messieurs les socialistes, un peu de pudeur. Bientôt le rideau de fumée que vous avez soulevé autour du mot stasi va se dissiper, vous laissant, seuls et nus devant les questions que vous posent Nicolas Sarkozy …Questions auxquelles, j’espère, les Français vont commencer à répondre, demain, dans les urnes !Les lecteurs du Figaro se sont déjà exprimés sur le sujet :et pour ceux qui vont s'offusquer en prétextant "oui mais c'est le Figaro"résultat du même sondagesource net
aurore06 a écrit:De vraies questions ont été posées par Nicolas Sarkozy dans sa tribune :
- Le droit à la vie privé n’a t-il pas été bafoué par une écoute de plus de 8 mois ?
- Le droit de la défense n’a t-il pas été foulé au pied quand on écoute un avocat parler à son client et qu’on lui saisit ses téléphones ?
- La proportionnalité de la réponse pénale, au regard de la qualité des faits supposés, n’a t-elle pas été violée ?
- La présomption d’innocence n’a t-elle pas été ignorée ?
- La justice de la République n’a t-elle pas été instrumentalisée par des fuites opportunément manipulées ?
- Un ministre de la justice peut-il rester à son poste après plusieurs mensonges proférés à la télévision devant des millions de Français ?
- Pourquoi, le ministre de l’intérieur, s’entête t-il, contre toute évidence, à nier avoir été informé des écoutes de Nicolas Sarkozy ?
- Pourquoi, alors que l’ancien président est accusé de violation du secret de l’instruction dans l’affaire Karachi, pourquoi une enquête n’est-elle pas diligentée pour trouver l’origine des fuites sur les écoutes dont a bénéficié Mediapart ?
- et bien d’autres …
Mais au lieu de répondre à ces multiples questions, la gauche préfère ne retenir qu’un seul mot de la tribune :
« Stasi » ! On peut la comprendre, tellement les réponses à ces questions sont embarrassantes pour elle !
Pour en revenir à la Stasi, compilons quelques déclarations de la gauche au cours des dernières semaines sous la forme d’un petit quizz :
- Qui a dit : « Mais les affaires de Nicolas Sarkozy, on va s’en occuper … » ? C’est ce bon gros lourdeau de Michel sapin !
- Qui a dit : « Ce n’est pas grave d’écouter les gens quand ils n’ont rien à se reprocher » ? C’est ce démocrate éclairé de Benoit Hamon !
- Qui a dit : « Je ne sais rien des écoutes car je n’ai pas à en connaître … » C’est Christiane Taubira, convaincue de mensonges quelques heures après !
- Qui a dit « Sarkozy, je le surveille, je sais tout ce qu’il fait« ? C’est le chef de toute cette clique : François Hollande !
Toutes ces déclarations sont-elles dignes d’une démocratie « exemplaire » comme nous l’avait promise le candidat Hollande ?
Rapprochées, ces déclarations ne font-elles pas penser à des pratiques policières condamnables telles celles propres à la Stasi ?
Soyons précis, Sarkozy n’a pas assimilé la police, la justice et le gouvernement à cette police politique, il a seulement rapproché les pratiques dont il a été victime, des activités de la Stasi. Il y a une nuance qui échappe à la gauche.
Mais quand bien même on pourrait juger la référence à la stasi exagérée, on doit se mettre dans le contexte d’un homme qui a subi durant son quinquennat un véritable lynchage médiatique et qui maintenant est la victime d’un acharnement judiciaire, dont tout laisse à penser qu’il est piloté par l’Elysée. Ce contexte peut expliquer et même excuser un écart de langage.
Mais nous n’avons nul besoin de nous excuser devant une gauche qui n’a jamais eu aucun scrupule à utiliser l’invective et même l’insulte à l’encontre de Nicolas Sarkozy.
On a encore en tête toutes ces unes de la presse de gauche :
Pour terminer, rappelez-vous ces affiche créées par les Jeunes socialistes, émanation officielle du PS :Hitler … Stasi … Hitler … Stasi …A tout prendre, beaucoup choisirait la Stasi, non ?Alors messieurs les socialistes, un peu de pudeur. Bientôt le rideau de fumée que vous avez soulevé autour du mot stasi va se dissiper, vous laissant, seuls et nus devant les questions que vous posent Nicolas Sarkozy …Questions auxquelles, j’espère, les Français vont commencer à répondre, demain, dans les urnes !Les lecteurs du Figaro se sont déjà exprimés sur le sujet :et pour ceux qui vont s'offusquer en prétextant "oui mais c'est le Figaro"résultat du même sondagesource net
Macky2 a écrit:JE VOIS QUE CELA NE FAIT RIRE QUE MOI
catart a écrit:
hola,
non non ne crois pas cela je suis aussi plié en 4 ...mais pour l'acteur nous le savions déjà dans le registre comique...
elle aurait du dire "comme chanteur" et là .... en 5 ans il a perdu tout son orchestre pour manque de voix ...
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AAA +
Macky2 a écrit:JE VOIS QUE CELA NE FAIT RIRE QUE MOI
VIVIVIFlavius a écrit:
Ben moi ça m'a fait sourire parce que je me dis que devant des journalistes, personne n'est à l'abri de dire une connerie..Vous y êtes même encouragé.
Bon puis il y a ceux comme Harlem Désir qui n'ont pas besoin d'être encouragé pour se distinguer.
Mais il est normal que cela nous fasse rire...Ces gens se croient si supérieurs au bon peuple !
Donc, Nicolas Sarkozy brûle de revenir en politique. Il est apparemment persuadé être celui qui sortira la France de son déclin. A lire les journaux, l’ancien président battu pourrait déclarer sa candidature à la présidence de l’UMP à la rentrée. Dès à présent, l’antisarkozysme a d‘ailleurs changé de camp : longtemps porté par le PS en guise de programme, il habite désormais un certain nombre de barons de l’UMP, François Fillon en tête. Il faut faire confiance à la droite, déjà empêtrée dans ses magouilles financières avec l’affaire Bygmalion, pour étaler ses querelles et ses inimitiés. Alors qu’elle devrait être le point de convergence de l’opposition au hollandisme et à ses balivernes (on apprend ce mercredi que le "retournement économique" annoncé par le chef de l’Etat devrait se solder par une croissance de 0,7% en 2014), elle a laissé ce rôle en or au FN. L’UMP tente de se rassurer du fait que ce parti n’a pu constituer un groupe au Parlement européen. Elle croit y voir un affaiblissement de Marine Le Pen. En réalité, son refus de faire alliance avec des organisations d’extrême droite comme le Jobbik hongrois ou l’Aube dorée grecque consolide au contraire, et au prix fort, sa quête de respectabilité. Une marginalisation accrue de Jean-Marie Le Pen, dont la sortie sur la "fournée" a découragé les démocrates suédois et le parti lituanien Ordre et Justice à rejoindre le FN dans un même groupe, clarifierait l’indiscutable mutation de cette formation. Le FN n’en reste pas moins, au royaume des aveugles, le mouvement le plus dynamique.