LV426 a écrit:Les Saoudiens font de l'entrisme et l'ONU du gâtisme précoce.
Au même moment Madame Faisal Trad se demande où est passé la nappe de la cuisine....
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LV426 a écrit:Les Saoudiens font de l'entrisme et l'ONU du gâtisme précoce.
Ce qui est lamentable dans cette histoire, c'est que la justice n'a rien fait pour la protéger elle et ses filles qui ont été brutalisées et violentées pendant des décennies.beced a écrit:
Dans l'affaire "Sauvage", soit les lois doivent être revisités, soit les juges qui ont condamné cette femme, ayant subi les violences que l'on sait, à 10 ans d'enfermement doivent être … jugés…
Surtout si l'on sait qu'il y eu des cas d'euthanasie où les personnes impliquées sont ressorties libres du tribunal, et cela bien que l'argument de la légitime défense n'a pas été évoqué.
La peine infligée à Jacqueline Sauvage, "ne doit pas être un permis de tuer", avait lancé l'avocat général Frédéric Chevallier
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Un Chevalier qui n'a plus rien à voir avec ceux dont la raison d'être était de défendre les faibles...
Azalee a écrit:
Ce qui est lamentable dans cette histoire, c'est que la justice n'a rien fait pour la protéger elle et ses filles qui ont été brutalisées et violentées pendant des décennies.
Sur ce coup là, c'est la justice qui devrait être jugée car c'est elle qui est la première responsable de la mort de cet horrible bonhomme.
Sainte Hollande pleine de grâces...beced a écrit:
S'il y a enquête le juge sera sans doute déplacé: et pi c'est tout...
C'est une histoire qui semble sortie d'un livre de Victor Hugo...
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beced a écrit:
S'il y a enquête le juge sera sans doute déplacé: et pi c'est tout...
C'est une histoire qui semble sortie d'un livre de Victor Hugo...
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Cet avocat devrait se demander comment il se fait que Bertrand Canta pour le meurtre de Marie Trintignan n'a pris que huit ans et alors que cette femme, après de nombreuses années de maltraitance en a pris dix.beced a écrit:
Tout en étant satisfait de la décision du Président Hollande, il n'en reste pas moins un mystère !
"....Quid du droit et de la justice? Comment comprendre qu’un minimum d’esprit critique n’ait pas amené à se demander pourquoi 21 citoyens jurés, 6 magistrats professionnels saisis d’un dossier ayant fait l’objet d’une instruction minutieuse et contradictoire où la défense a pu user de toutes ses prérogatives, aient pris une telle décision ?
Qui ne peut en aucun cas être la réponse judiciaire au récit que les médias nous racontent...."
(Régis de Castelnau - avocat )
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Azalee a écrit:
Cet avocat devrait se demander comment il se fait que Bertrand Canta pour le meurtre de Marie Trintignan n'a pris que huit ans et alors que cette femme, après de nombreuses années de maltraitance en a pris dix.
Rappelons qu'une femme meure tous les deux jours de violence conjugales et que les criminels reçoivent souvent des peines plus légères que cette personne.
Curieux, non ?
Je comprends que la décision (électoraliste?) de Hollande puisse être considérée comme étant une décision grave qui remet la justice en question mais je trouve ce genre d'indignation sélective.
Azalee a écrit:
Cet avocat devrait se demander comment il se fait que Bertrand Canta pour le meurtre de Marie Trintignan n'a pris que huit ans et alors que cette femme, après de nombreuses années de maltraitance en a pris dix.
Rappelons qu'une femme meure tous les deux jours de violence conjugales et que les criminels reçoivent souvent des peines plus légères que cette personne.
Curieux, non ?
Je comprends que la décision (électoraliste?) de Hollande puisse être considérée comme étant une décision grave qui remet la justice en question mais je trouve ce genre d'indignation sélective.
J'ai vu en partie cette émission. J'ai trouvé la représentante syndicale dans son rôle de syndicaliste en affirmant que les choses évoluaient, en contradiction avec les faits rapportées par l'autre juge.beced a écrit:
L'émission "C' Dans l'Air" portait sur cette triste affaire. Et effectivement les 2 juges (femmes ) reconnaissaient que dans l'ensemble les hommes recevaient des peines moins lourdes que celle des femmes....
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Azalee a écrit:
J'ai vu en partie cette émission. J'ai trouvé la représentante syndicale dans son rôle de syndicaliste en affirmant que les choses évoluaient, en contradiction avec les faits rapportées par l'autre juge.
La syndicaliste affirme que les magistrats font leur boulot. Certains, oui mais pas suffisamment. La justice n'aime pas les victimes.
Quand un homme violent est condamné, il est pris en charge psychologiquement, pas ses victimes.
Certains se demandent pourquoi les femmes ne partent pas. C'est simple, le conjoint violent en fait les responsables des violences qu'elles subissent parce qu'elles ne font pas les choses correctement selon lui et il les déshumanise.L'exemple cité par la juge était parlant. Quand elle a demandé à un mari violent pourquoi il maltraité un autre être humain, il lui a répondu que ça n'était pas un être humain mais sa femme. Tout est résumé.
Il a été dit aussi que les violences commençaient après la naissance du premier enfant. Et pour cause ! Il est plus difficile de partir quand on a des enfants, à fortiori quand on en a quatre et qu"on ne travaille pas.
En effet. C'était une erreur stratégique des avocates de la défense qui ont utilisé une stratégie qui avait déjà fonctionné pour une autre accusée avec succès. Mais là, trois balles dans le dos, ça ne pouvait marcher.beced a écrit:
Oui je me souviens: cela a été un des moments forts (ou démoralisants ) de l'émission...
Et aussi la description que tout le village (ou quartier ) "savait" et n'avait pas réagi pour venir en aide à l'épouse...
Si j'ai bien compris, d'après le chroniqueur "justice" du Figaro, l'erreur de l'avocat de la défense a été de baser sa plaidoire sur "la légitime défense" alors que ce point allait contre "les textes" juridiques. Et qu'il aurait donc dû construire sa plaidoire pour que le jury puisse être en empathie avec la "prémeditation" résultat des 45 années de souffrance de sa cliente.
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Aux assises, ce n'est pas les juges qui jugent mais un jury populaire. On peut même se demander pourquoi il fut si sévère...?beced a écrit:
Dans l'affaire "Sauvage", soit les lois doivent être revisités, soit les juges qui ont condamné cette femme, ayant subi les violences que l'on sait, à 10 ans d'enfermement doivent être … jugés…
Surtout si l'on sait qu'il y eu des cas d'euthanasie où les personnes impliquées sont ressorties libres du tribunal, et cela bien que l'argument de la légitime défense n'a pas été évoqué.
La peine infligée à Jacqueline Sauvage, "ne doit pas être un permis de tuer", avait lancé l'avocat général Frédéric Chevallier
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Un Chevalier qui n'a plus rien à voir avec ceux dont la raison d'être était de défendre les faibles...
En effet les avocats furent très médiocresAzalee a écrit:
En effet. C'était une erreur stratégique des avocates de la défense qui ont utilisé une stratégie qui avait déjà fonctionné pour une autre accusée avec succès. Mais là, trois balles dans le dos, ça ne pouvait marcher.
C'est leur cliente qui en a fait les frais.
On dirait du Elisabeth Lévybeced a écrit:
Fatiha Boudjahlat - Secrétaire Nationale du MRC et membre-fondateur du Printemps Républicain
"Les femmes qui n'aimaient pas la femme... sans voile" - Publication: 08/03/2016 Huffington
En cette journée internationale de la femme (1) , je voudrais parler ici des femmes actrices et transmettrices de la haine et du mépris des femmes. Plutôt que de pleurer sur le sort des femmes présentées trop souvent comme victimes, " je ne veux pas leur dresser un monument, car être victime n'est pas un honneur en soi" (2) . Je vais vous parler de ces femmes ennemies de la femme en général et de la femme occidentale en particulier.
Par quel vilain tour a-t-on pu voir Clémentine Autain tenir tribune commune avec Tariq Ramadan (3)? Clémentine Autain qui a fait du viol qu'elle a subi l'acte fondateur de son engagement politique et féministe, aux côtés de cet islamiste dont les amis rendent les femmes violées responsables du viol, dédouanent les violeurs, accusent et punissent leurs victimes.
Par quel vilain tour des féministes, défendant le droit des Femen de se présenter seins nus dans une église, gardent le silence sur les coups reçus à l'occasion d'un pareil happening au salon islamiste de Pontoise, et pis, défendent pour les autres le droit à l'ensevelissement sous une burqa? J'affirme que ces femmes enfermées dehors n'aiment pas la femme, mais ces féministes à géométrie variable non plus.
Leur argument? Celui de la liberté. Le voile islamique, la burqa sont acceptables parce que des femmes ont fait le choix de le porter. Une sorte d'argument d'autorité. Il ne s'agit pas d'un choix. Le libre-arbitre consiste à se déterminer "sans qu'aucune force extérieure nous y contraigne" selon Descartes. Il ne peut y avoir de choix sans éducation au choix, et surtout sans équivalence morale entre les différentes possibilités offertes.
Face au voile, ce n'est pas un choix qui est proposé, c'est l'alternative entre le vice et la vertu, c'est un conflit de loyautés qui est orchestré entre l'Occident et donc une horrible acculturation, et l'Orient et donc la fidélité aux siens et à ce soi stéréotypé. Il s'agit d'autant moins d'un choix que par l'effet cliquet d'habituation, dans certains quartiers et certaines familles, le voile est désormais la norme et le non-port du voile une anomalie, un isolement face à une communauté. Ainsi, dans un ouvrage d'une rare médiocrité, F.Durpaire et B.Mabilon-Bonfils (4) lient le voile aux "questions d'ethnicité".
Car le voile n'est pas l'expression d'un choix de piété, c'est d'abord un signe extérieur de vertu mais aussi un gilet jaune, une signalétique d'appartenance communautaire. Et ces drôles de féministes cautionnent une sorte de retour à l'état de nature, au vrai soi identitaire. Le voile est aussi un gilet pare-balles, une façon commode de se protéger des assauts des hommes dans l'espace public en général et dans les quartiers en particulier. Sans voile, vous êtes une pute. Tant que cette sentence sera partagée à la fois par les hommes qui n'aiment pas les femmes mais veulent les dominer et les baiser, et par les femmes voilées elles-mêmes, on ne pourra jamais parler de choix libre et éclairé.
Dans sa conférence Laïcité et religion dans la France d'aujourd'hui (5), Abdennour Bidar a parlé de "subjectivités aliénées" à propos "des femmes qui prétendent exercer leur libre-arbitre et leur liberté en portant ce voile". L'aliénation peut être volontaire, elle n'en pas moins aliénation. Vauvenargues avait évoqué la "servitude volontaire", cette servitude qui "avilit (...) au point de s'en faire aimer". Il en est du voile islamique comme des femmes battues qui restent loyales à l'homme les opprimant.
Quand elles portent le voile islamique en France, ces femmes mettent en danger toutes les femmes qui ne le portent pas. Elles valident la pensée islamique externalisant la vertu. Selon eux, ce n'est pas aux hommes d'être dans la maîtrise de soi, c'est aux femmes de ne pas les tenter. Ces féministes se sont dites choquées par les résultats du récent sondage réalisé pour francetvinfo.fr, dans lequel on apprenait que 27% des français pensaient que l'auteur d'un viol est moins responsable si la victime portait une tenue sexy.
Mais avec ce voile qui se généralise, c'est la tête nue des femmes qui les rendent sexy et donc coupables d'incitation à la débauche. La charge de la preuve et de la vertu est inversée. Ces féministes sont choquées ici, et étrangement complaisante ailleurs. Ce n'est pas un manque de cohérence, c'est l'acceptation que la tradition, si elle vient d'Orient et prend les atours de la victime coloniale, est supérieure au Droit. L'égalité dans l'entre-soi occidental, l'inégalité dans l'ailleurs.
Ces féministes se sont perdues dans le relativisme culturel. Elles défendent pour l'autre, l'orientale, ce qu'elles rejettent pour elles-mêmes. Le mode de vie occidental leur paraît être un instrument de domination masculine à l'encontre des femmes orientales. Ce faisant, elles jouent les idiotes utiles des radicaux. Et se retrouvent à fustiger la laïcité, que les gauchistes-culturalistes comme F.Durpaire, R.Liogier présentent comme un instrument de domination des blancs, tandis qu'elles en font un instrument de domination de l'homme blanc. Quant aux femmes voilées éduquées, à qui Libération a offert récemment une tribune, je ne peux que leur exprimer mon plus profond mépris.
Elles ont le voile sympathique, mais, en raison de conditions socio-économiques privilégiées, elles ne s'exposent pas à subir le reste de la panoplie: mariage arrangé, domination, restriction de circulation. Je me doute que les riches saoudiennes souffrent moins de leurs vêtements religieux couvrant des produits de luxe, que la femme afghane. Le voile marque l'infériorité en droit des femmes, il faut le dire et le reconnaître.
Autre cas de femmes qui n'aimaient pas la femme : J'entends souvent posée cette question: comment ces femmes qui ont souffert se retrouvent-t-elle à transmettre le même mode de fonctionnement à leurs enfants? Un proverbe américain dit que la main qui berce l'enfant gouverne le monde. Et en effet, la femme devenue mère est en charge de la transmission des traditions. C'est pourquoi alphabétiser et éduquer une femme est plus efficace que rendre le même service à un homme. La femme pourra éduquer ses enfants. Mais dans les pays d'Afrique et d'Orient, les femmes, dans leur majorité, sont les vecteurs de transmission et de perpétuation de leur aliénation.
Le seul statut confortable et reconnu pour la femme en Orient est celui de mère. Un hadith, parole attribuée au Prophète de l'Islam Mohamed, dit que le paradis se trouve aux pieds de la mère. La déférence envers la mère est totale, à l'inverse du traitement réservé à l'épouse, à la sœur, à la fille. Et il y a comme une vengeance dans la transmission aux fils de ce droit à dominer les femmes et dans la transmission aux filles de ce destin d'être dominées. Letty Cottin Pogrebin disait que "quand les hommes sont opprimés, c'est une tragédie. Quand les femmes sont opprimées, c'est la tradition".
Ces féministes du dimanche ne cessent de réclamer la parité dans la sémantique et dans les titres, demandent à ce que les réunions savantes ne soient plus appelées séminaires, terme trop masculin, mais ovarium. Par contre, elles ne trouvent rien à redire quand des petites filles portent le foulard islamique. L'ennemi est l'homme blanc dominateur, dont l'homme oriental dominateur est lui aussi une victime, comme les femmes. Elles en sont donc solidaires, d'où leur silence et leur comportement étrange lors des agressions sexuelles de masse de Cologne.
Ce différentialisme ethnique et culturel n'est que mépris et la condescendance. Ces femmes n'aiment pas plus la femme que les islamistes que j'évoquais mardi dernier.
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Flavius a écrit:
On dirait du Elisabeth Lévy
"Pour Hollande, « il n’y a de bonheur que dans l’égalité ». Rêverait-il de passer la serpillière, notre Président ? En outre, il déplore le nombre insuffisant « de jeunes femmes couvreurs ou chaudronniers »… Le rêve de toutes les petites filles, n’est-ce pas ?"stylo a écrit:il est vrai qu'en Russie - je ne parle pas d'union soviétique - la femme a toujours été le pivot centrale de la famille
comment voulez vous qu'en France à l'heure de la destruction de l'identité familiale l'on puisse célébrer dignement celles qui sont l'un des maillons de notre société, alors même qu'une nouvelle religion l'abat avec virulence, la fouette la décapite et que le même chef de l'état honore ceux là qui les persécutent!
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Ça ne s'appelle pas comme ça mais sa existe.stylo a écrit:ça existe un prof de religion (s) ?
Esther Benbassa me met hors de moi. Dès qu'elle l'ouvre, c'est pour dire une ineptie comme celle-là.beced a écrit:
.......Le voile, pas plus aliénant que la minijupe, par Esther Benbassa
Par Esther Benbassa, Sénatrice EE-LV du Val-de-Marne, prof des relgions, directrice d’études à l’EPHE (Sorbonne) — 5 avril........
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Débat hallucinant ce soir sur CANAL+ entre Benbassa et une Iranienne : cette dernière essayant vainement de convaincre "la directrice d'études à la Sorbonne" du grotesque scandaleux de cette comparaison.
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Entendre et/ou lire cela dans un journal de gauche, d'un prof, d'un prof de religion,
d'un Sénateur, et "last but not least" d'une femme: c'est à désespérer...
stylo a écrit:ça existe un prof de religion (s) ?