maadim27 a écrit:
Ils avaient du mordant.
Une dent contre Hollande, peut-être ?
Je dirais plutôt tout un dentier .
maadim27 a écrit:
Ils avaient du mordant.
Une dent contre Hollande, peut-être ?
aurore06 a écrit:Un p'tit tour et puis s'en va.........
Ymar a écrit:Finalement ce pourrait être notre panel politique
Pierre de Beau-Fixe alias
Rufus la Rondelle et Saucisson alias
Sergent Grosse Pomme et Soldat Petit Pois alias
Al Carbone et ... alias
Professeur Maboulette alias
Pénélope Jolie cœur alias
Roc et Gravillon alias
Pic et Colegram alias
Max Le Rouge alias
Malabille et Malabar alias
Satanas et Diabolo alias
Bien réfléchir aux compétences de nos élites quand on confie de tels engins
Merci pour ce moment.aurore06 a écrit:Partie de cartes à Bercy
La scène se passe à Bercy, au 6 ème étage, dans la salle de réunion « Léon Blum ». C’est l’ancienne salle « Bonaparte » inaugurée par Eric Woerth et Nicolas Sarkozy et débaptisée par Moscovoci dès son arrivée à Bercy.
Se trouvent déjà présents dans la salle :
Emmanuel Macron : ministre de l’économie,
Son directeur de cabinet, Alexis Kohler,
La directrice de cabinet de Michel Sapin, Claire Waysand,
son conseiller politique Jean-Christophe Toulon.
On attend plus que Michel Sapin, déjà en retard d’une vingtaine de minutes …
Son pas lourd se fait entendre dans le couloir. Il entre dans la salle, tout essoufflé, les bras pourtant vides de tout dossier et se lâche « Ras le bol du château (l’Elysée) !
« Qu’est-ce qu’il veut encore, Normal 1 er ? Un nouvel impôt ? » demande Emmanuel Macron ?
M. Sapin : « Non, ça c’était la semaine dernière ! Maintenant, il veut baisser les impôts ! »
E. Macron : « C’est pas vrai ! Mais il l’a bien vu le déficit ? »
M. Sapin : « Fais pas ch …, Emmanuel ! Le déficit, c’est foutu ! T’es nouveau ici, ou quoi ? T’as pas compris ça ? »
E. Macron : « OK, OK ! Donc il faut baisser les impôts … Dis-donc, Michel t’es monté sans les dossiers ? »
M. Sapin : « Les dossiers ? Quels dossiers ? »
E. Macron : « Bein, les chiffres dé l’économie, le déficit, la dette, la rentrée des impôts, tout ça quoi … »
M. Sapin : « Tu me cherches ce matin, Emmanuel ou quoi ? Tu veux rejoindre Montebourg ? Les dossiers, on s’en bat les bourses ! Au fait, qu’est-ce qu’elle dit ce matin la bourse ? »
Alexis Kohler, le directeur de cabinet de Macron, venant en aide à son patron : « C’est pas brillant ! Y’a des bruits comme quoi Moody’s va nous dégrader … »
M. Sapin : « J’emmerde Moody’s et toutes ces agences à la con ! Ils n’ont qu’à venir à Bercy, ces ronds de cuir. On les verra à l’oeuvre ! Ils tiendront pas une semaine avec Mol-hollande- fraise des bois – à la barre ! » Il éclate en sanglots convulsifs …
Son conseiller politique Jean-Christophe Toulon : « Faut pas pleurer monsieur Sapin ! Y’a plus que 2 ans et demi à tenir ! Il faut positiver : imaginez par exemple la tête du mec de droite qui va vous remplacer en 2017, ou avant, quand il va découvrir les vrais chiffres ! »
M. Sapin : « Vous avez raison, Marseille, Euh pardon Toulon ! Je me sens tout de suite mieux ! Bon faut qu’on avance … »
E. Macron, et les autres : » … »
Tout le monde baisse la tête et regarde ses chaussures en constatant qu’elles sont bien mal cirées ! Depuis le départ d’Aquilino Morelle, y’a du relâchement dans le cirage de pompes – enfin pas partout – dans les ministères !
Angoissée par le lourd silence, la directrice de cabinet de Michel Sapin, Claire Waysand, se lance : « Peu importe les chiffres, tout le monde sait qu’ils sont mauvais ! Pour savoir quel impôt réduire, on a qu’à faire ça aux cartes, à la bataille, par exemple … Chacun choisit un impôt, on joue et celui qui gagne, on chosit son impôt … Qu’en dites-vous ? »
M. Sapin : « on refait pas ça à picol’s-dames comme l’autre fois, pour l’augmentation de la TVA ? »
E. Macron : « Ah non, j’étais dans un état pas possible l’autre jour. J’ai même éraflé ma Porsche Cayenne en sortant du parking ! Ça m’a coûté un bras ! Et c’est pas déductible des impôts ! Chiotte ! »
M. Sapin : « Bon, OK pour la bataille ! »
Et c’est ainsi que la première tranche du barème de l’impôt sur le revenu est passée à la trappe !
NB : Je me demande si la politique fiscale du gouvernement n’apparaitrait pas comme plus logique et plus lisible, si elle se décidait par simple tirage au sort comme suggéré dans cet article
source net
aurore06 a écrit:Partie de cartes à Bercy
La scène se passe à Bercy, au 6 ème étage, dans la salle de réunion « Léon Blum ». C’est l’ancienne salle « Bonaparte » inaugurée par Eric Woerth et Nicolas Sarkozy et débaptisée par Moscovoci dès son arrivée à Bercy.
Se trouvent déjà présents dans la salle :
Emmanuel Macron : ministre de l’économie,
Son directeur de cabinet, Alexis Kohler,
La directrice de cabinet de Michel Sapin, Claire Waysand,
son conseiller politique Jean-Christophe Toulon.
On attend plus que Michel Sapin, déjà en retard d’une vingtaine de minutes …
Son pas lourd se fait entendre dans le couloir. Il entre dans la salle, tout essoufflé, les bras pourtant vides de tout dossier et se lâche « Ras le bol du château (l’Elysée) !
« Qu’est-ce qu’il veut encore, Normal 1 er ? Un nouvel impôt ? » demande Emmanuel Macron ?
M. Sapin : « Non, ça c’était la semaine dernière ! Maintenant, il veut baisser les impôts ! »
E. Macron : « C’est pas vrai ! Mais il l’a bien vu le déficit ? »
M. Sapin : « Fais pas ch …, Emmanuel ! Le déficit, c’est foutu ! T’es nouveau ici, ou quoi ? T’as pas compris ça ? »
E. Macron : « OK, OK ! Donc il faut baisser les impôts … Dis-donc, Michel t’es monté sans les dossiers ? »
M. Sapin : « Les dossiers ? Quels dossiers ? »
E. Macron : « Bein, les chiffres dé l’économie, le déficit, la dette, la rentrée des impôts, tout ça quoi … »
M. Sapin : « Tu me cherches ce matin, Emmanuel ou quoi ? Tu veux rejoindre Montebourg ? Les dossiers, on s’en bat les bourses ! Au fait, qu’est-ce qu’elle dit ce matin la bourse ? »
Alexis Kohler, le directeur de cabinet de Macron, venant en aide à son patron : « C’est pas brillant ! Y’a des bruits comme quoi Moody’s va nous dégrader … »
M. Sapin : « J’emmerde Moody’s et toutes ces agences à la con ! Ils n’ont qu’à venir à Bercy, ces ronds de cuir. On les verra à l’oeuvre ! Ils tiendront pas une semaine avec Mol-hollande- fraise des bois – à la barre ! » Il éclate en sanglots convulsifs …
Son conseiller politique Jean-Christophe Toulon : « Faut pas pleurer monsieur Sapin ! Y’a plus que 2 ans et demi à tenir ! Il faut positiver : imaginez par exemple la tête du mec de droite qui va vous remplacer en 2017, ou avant, quand il va découvrir les vrais chiffres ! »
M. Sapin : « Vous avez raison, Marseille, Euh pardon Toulon ! Je me sens tout de suite mieux ! Bon faut qu’on avance … »
E. Macron, et les autres : » … »
Tout le monde baisse la tête et regarde ses chaussures en constatant qu’elles sont bien mal cirées ! Depuis le départ d’Aquilino Morelle, y’a du relâchement dans le cirage de pompes – enfin pas partout – dans les ministères !
Angoissée par le lourd silence, la directrice de cabinet de Michel Sapin, Claire Waysand, se lance : « Peu importe les chiffres, tout le monde sait qu’ils sont mauvais ! Pour savoir quel impôt réduire, on a qu’à faire ça aux cartes, à la bataille, par exemple … Chacun choisit un impôt, on joue et celui qui gagne, on chosit son impôt … Qu’en dites-vous ? »
M. Sapin : « on refait pas ça à picol’s-dames comme l’autre fois, pour l’augmentation de la TVA ? »
E. Macron : « Ah non, j’étais dans un état pas possible l’autre jour. J’ai même éraflé ma Porsche Cayenne en sortant du parking ! Ça m’a coûté un bras ! Et c’est pas déductible des impôts ! Chiotte ! »
M. Sapin : « Bon, OK pour la bataille ! »
Et c’est ainsi que la première tranche du barème de l’impôt sur le revenu est passée à la trappe !
NB : Je me demande si la politique fiscale du gouvernement n’apparaitrait pas comme plus logique et plus lisible, si elle se décidait par simple tirage au sort comme suggéré dans cet article
source net
aurore06 a écrit:
aurore06 a écrit:
Suite aux informations de Médiapart selon lesquelles Cambadélis aurait soutenu sa thèse en 1984 sans avoir obtenu les diplômes précédents du parcours universitaire, celui-ci a présenté ses diplômes devant les journalistes et il s’avère qu’il a bien obtenu le brevet des collèges.
aurore06 a écrit: Beced
Où sont les djihadistes ? On ne sait pas !!!!!!!!!!!
aurore06 a écrit:
"L’enfoiré", l’appelle désormais Aquilino Morelle tant la colère le dévaste. L’ancien chef de la communication élyséenne laisse filer les mots, lui qui maîtrisait si bien son langage. Il veut tout contrôler mais ne contrôle plus rien. Il est délicieux, détestable, passe de l’analyse froide à la haine indomptable, d’une sagesse quasi orientale à la paranoïa la plus totale. Le passé, il veut y revenir mais il lui fait mal. Alors, dès qu’une question le gêne, il se cabre, éructe et clame, sombre, raide comme s’il affrontait le Politburo :
Voyageons tranquilles : le gouvernement nous protège. Les terroristes circulent dans les avions de lignes mais "c'est de la faute à Sarkozy" !
Ara a écrit: