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Bonne ou mauvaise ??????????Flavius a écrit:
Mouais, encore que maintenant, la surprise en est pas rarement une non ?
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12 participants
Topic des bonnes nouvelles
Invité- Invité
Invité- Invité
Comme dit un ami à moi : faut voir !Arlequine a écrit:
Bonne ou mauvaise ??????????
Invité- Invité
Azalee a écrit:
Comme dit un ami à moi : faut voir !
Moi aussi, je verrais bien, mais j'peux pointtsoin, tsoin
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Ça, il n’ y a que la dame qui puisse le dire !Arlequine a écrit:
Bonne ou mauvaise ??????????
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Faut porter des lunettes alors !Arlequine a écrit:
tsoin, tsoin
beced
- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Azalee a écrit:
Mieux vaut la chaussette que le slip !
Chaque chose en son temps!
..
.
Mutine- Messages : 15150
Date d'inscription : 31/05/2017
Age : 104
Localisation : région des Gones !
beced a écrit:
Chaque chose en son temps!
..
.
..... et chaque "chose" à sa place !
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Ame lutine a écrit:
..... et chaque "chose" à sa place !
Voilà !
Invité- Invité
Ne me cachez donc pas ce sein que je saurais voir !beced a écrit:
Voilà !
Moiself- Messages : 22569
Date d'inscription : 17/12/2013
Age : 105
Magnifique ce sein.beced a écrit:
Voilà !
c'était à une Nichon-party ?
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Moiself a écrit:
Magnifique ce sein.
Nichon, ni soumise!!
Mutine- Messages : 15150
Date d'inscription : 31/05/2017
Age : 104
Localisation : région des Gones !
Parité oblige........
quoi, une simple pub !
quoi, une simple pub !
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Ou une exagération permettant de vendre l'habitacle trois pièces tout confort !Ame lutine a écrit:Parité oblige........
quoi, une simple pub !
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Doña Guadalupe Palacios García , à 96 ans, réalise son rêve d’entrer au lycée.
Guadalupe Palacios, une Mexicaine de 96 ans, a réalisé son rêve cette semaine en entrant au lycée après avoir appris à écrire il y a quatre ans seulement.
Pour son premier jour de classe lundi dans une école de l’État pauvre du Chiapas (sud), elle a détonné parmi les élèves, qui pourraient bien être ses arrière-petits-enfants, se faisant remarquer non seulement par ses cheveux blancs mais aussi par son enthousiasme.
« Je me sens prête à tout donner. Aujourd’hui, c’est un jour merveilleux », a déclaré la nouvelle lycéenne, vêtue de l’uniforme de l’école, une jupe noire et un polo blanc, auquel elle a ajouté sa touche personnelle: un pull rose avec des perles.
« Doña Lupita », comme elle est surnommée affectueusement, a été accueillie par une ovation dans l’école numéro deux de Tuxla Gutiérrez, capitale de l’État.
Guadalupe a grandi dans la pauvreté, dans un village indigène, et a passé son enfance à aider sa famille à cultiver du maïs et des haricots au lieu d’aller à l’école. Devenue ensuite vendeuse de poulets sur les marchés, elle s’est mariée deux fois et a eu six enfants. Pour la vieille dame, le déclic s’est produit quand elle a fêté ses 92 ans. Elle a alors décidé d’enfin apprendre à lire grâce à un programme d’alphabétisation.
Rieuse, elle raconte: « Maintenant je peux écrire une lettre à mes petits amis ». En 2015, elle est entrée à l’école primaire et a suivi le programme en accéléré. Son rêve est de terminer le lycée avant ses 100 ans et de devenir institutrice de crèche. « Ils m’ont demandé si je voulais poursuivre jusqu’à la fac et j’ai dit non, parce que je ne peux plus vraiment marcher par moi-même », a-t-elle confié.
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Guadalupe Palacios, une Mexicaine de 96 ans, a réalisé son rêve cette semaine en entrant au lycée après avoir appris à écrire il y a quatre ans seulement.
Pour son premier jour de classe lundi dans une école de l’État pauvre du Chiapas (sud), elle a détonné parmi les élèves, qui pourraient bien être ses arrière-petits-enfants, se faisant remarquer non seulement par ses cheveux blancs mais aussi par son enthousiasme.
« Je me sens prête à tout donner. Aujourd’hui, c’est un jour merveilleux », a déclaré la nouvelle lycéenne, vêtue de l’uniforme de l’école, une jupe noire et un polo blanc, auquel elle a ajouté sa touche personnelle: un pull rose avec des perles.
« Doña Lupita », comme elle est surnommée affectueusement, a été accueillie par une ovation dans l’école numéro deux de Tuxla Gutiérrez, capitale de l’État.
Guadalupe a grandi dans la pauvreté, dans un village indigène, et a passé son enfance à aider sa famille à cultiver du maïs et des haricots au lieu d’aller à l’école. Devenue ensuite vendeuse de poulets sur les marchés, elle s’est mariée deux fois et a eu six enfants. Pour la vieille dame, le déclic s’est produit quand elle a fêté ses 92 ans. Elle a alors décidé d’enfin apprendre à lire grâce à un programme d’alphabétisation.
Rieuse, elle raconte: « Maintenant je peux écrire une lettre à mes petits amis ». En 2015, elle est entrée à l’école primaire et a suivi le programme en accéléré. Son rêve est de terminer le lycée avant ses 100 ans et de devenir institutrice de crèche. « Ils m’ont demandé si je voulais poursuivre jusqu’à la fac et j’ai dit non, parce que je ne peux plus vraiment marcher par moi-même », a-t-elle confié.
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Les fermes urbaines Peas & Love s’étendent à Paris
250 parcelles de potagers individuels ouvriront le 1er mai sur le toit de l’hôtel Yooma, dans le 15ème arrondissement de Paris. Les locataires, même ceux qui n’ont pas la main verte, pourront récolter leurs propres fruits et légumes de saison.
Les fermes urbaines Peas & Love débarquent à Paris. Le concept a été inauguré en 2016 avec un tout premier potager à Bruxelles. 200 parcelles, agrandies depuis par une soixantaine supplémentaires, ont pris place sur le toit d’un centre commercial de la capitale. Le concept s’exporte désormais auprès des riverains du 15ème arrondissement de Paris.
Sur le principe d’un abonnement annuel, les Parisiens ont accès à un espace individuel où sont plantés fruits et légumes de saison, mais aussi herbes aromatiques et fleurs. Sur une même parcelle, plus de 71 variétés de produits peuvent être cultivées. Chaque année, ce sont les abonnés qui votent pour définir, à l’unanimité, quels seront les fruits et légumes qui prendront place lors de la prochaine saison. Au fil des mois, les riverains ont à disposition tomates, salades, ainsi que des variétés moins courantes comme la tétragone ou la plante huître. Le potager est entretenu par un ingénieur agronome, qui a imaginé au préalable la répartition des parcelles. Ce « community farmer » s’occupe de la culture tout au long de l’année, ce qui rassurera ceux qui n’ont pas la main verte. Les abonnés peuvent aussi venir donner un coup de bêche de manière ponctuelle, ou se contenter de récolter leurs fruits et légumes.
Les Parisiens devront compter 38 € par mois pour louer une parcelle de 3m². Les locataires s’engagent pour douze mois afin de respecter le rythme de saisons. Selon Peas & Love, cette surface permettrait de récolter 30 kg de fruits et légumes par an. L’abonnement donne aussi accès à des ateliers, en lien avec l’alimentation positive. Les abonnés apprendront par exemple à cuisiner les produits de saison, sinon à conserver les aliments.
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A quand des tracteurs sur les toits ???
...
A Bruxelles aussi....
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Un enfant de cinq ans a sauvé son père d'un coma diabétique, dimanche 13 mai, dans l'Orne. Il a guidé les secours jusqu'à leur domicile.
Âgé de cinq ans, un petit garçon originaire de Glos-la-Ferrière (Orne), a composé le 17, dimanche soir dernier, aux alentours de 23 heures.
Il s'inquiétait que son père "était dans son lit, faisait des bulles et ne répondait pas", selon le journal "L'Orne Hebdo".
L'appel de l'enfant a été pris en charge par le Centre d'opération et de resneignements (CORG) de la gendarmerie du département. Problème : l'enfant ne connaissait pas son adresse exacte.
Les forces de l'ordre ont demandé au petit garçon de se placer sur le seuil de sa maison, et de leur faire signe lorsqu'il verrait les gyrophares des secours. Pendant ce temps, les gendarmes ont contacté l'opérateur téléphonique pour localiser l'appel et trouver les lieux.
L'enfant et son père ont été retrouvés après 40 minutes de patrouille. La victime a été transférée, consciente, vers le centre hospitalier de l'Aigle. Le père de l'enfant souffrait d'un coma diabétique.
===============================
Heureusement qu'il n'avait pas au bout du fil cette personne du Samu, celle qui a causé la mort de Naomi Musenga, 22 ans
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.
. :ouch:
Âgé de cinq ans, un petit garçon originaire de Glos-la-Ferrière (Orne), a composé le 17, dimanche soir dernier, aux alentours de 23 heures.
Il s'inquiétait que son père "était dans son lit, faisait des bulles et ne répondait pas", selon le journal "L'Orne Hebdo".
L'appel de l'enfant a été pris en charge par le Centre d'opération et de resneignements (CORG) de la gendarmerie du département. Problème : l'enfant ne connaissait pas son adresse exacte.
Les forces de l'ordre ont demandé au petit garçon de se placer sur le seuil de sa maison, et de leur faire signe lorsqu'il verrait les gyrophares des secours. Pendant ce temps, les gendarmes ont contacté l'opérateur téléphonique pour localiser l'appel et trouver les lieux.
L'enfant et son père ont été retrouvés après 40 minutes de patrouille. La victime a été transférée, consciente, vers le centre hospitalier de l'Aigle. Le père de l'enfant souffrait d'un coma diabétique.
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Heureusement qu'il n'avait pas au bout du fil cette personne du Samu, celle qui a causé la mort de Naomi Musenga, 22 ans
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. :ouch:
Invité- Invité
beced a écrit: Un enfant de cinq ans a sauvé son père d'un coma diabétique, dimanche 13 mai, dans l'Orne. Il a guidé les secours jusqu'à leur domicile.
Âgé de cinq ans, un petit garçon originaire de Glos-la-Ferrière (Orne), a composé le 17, dimanche soir dernier, aux alentours de 23 heures.
Il s'inquiétait que son père "était dans son lit, faisait des bulles et ne répondait pas", selon le journal "L'Orne Hebdo".
L'appel de l'enfant a été pris en charge par le Centre d'opération et de resneignements (CORG) de la gendarmerie du département. Problème : l'enfant ne connaissait pas son adresse exacte.
Les forces de l'ordre ont demandé au petit garçon de se placer sur le seuil de sa maison, et de leur faire signe lorsqu'il verrait les gyrophares des secours. Pendant ce temps, les gendarmes ont contacté l'opérateur téléphonique pour localiser l'appel et trouver les lieux.
L'enfant et son père ont été retrouvés après 40 minutes de patrouille. La victime a été transférée, consciente, vers le centre hospitalier de l'Aigle. Le père de l'enfant souffrait d'un coma diabétique.
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Heureusement qu'il n'avait pas au bout du fil cette personne du Samu, celle qui a causé la mort de Naomi Musenga, 22 ans
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. :ouch:
C'est super en effet, quelle débrouillardise ce petit gamin !!! Il y a eu aussi des ratés de la régulation du SAMU en Lorraine
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Invité- Invité
ni voyez aucune jalousie de ma part ,mais je pense que c'est un photoshop ,ils ont oublié les douillettesAme lutine a écrit:Parité oblige........
quoi, une simple pub !
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Une envie pressante de demande en mariage, et une envie pressante pendant la demande en mariage ..
La séquence fait le buzz depuis qu’elle a été diffusée sur YouTube. Alors qu’un couple vit le moment le plus romantique de leurs vies, leur bambin décide de soulager une envie pressante. C’est ce qu’on appelle un « fail » (échec), mais de ceux que l’on est ravi de se rappeler.
La scène était visiblement bien préparée et se devait d’être la plus romantique possible. Tout y était : la fameuse petite boîte carrée contenant la bague, le genou à terre, le baiser amoureux… Le tout filmé par une amie. Mais le jeune enfant, qui n’était visiblement pas particulièrement ému par la demande de son papa, a décidé de se soulager exactement au même moment.
La camerawoman ne peut réprimer son fou rire et après plusieurs « oh my god » (mon dieu), elle finit par interpeler le couple qui ne s’était rendu compte de rien. « Il est sérieux ? », s’exclame alors le père.
Ils ont quand même posté la séquence sur YouTube. Elle a rapidement fait le buzz et a accumulé presque 900.000 vues en trois jours.
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
En France, des navetteurs peuvent profiter d’un potager partagé avant d’aller travailler
Arroser des salades avant de prendre le train ou cueillir quelques tomates en rentrant du boulot, c’est une réalité pour les navetteurs à Aix en Provence, dans le sud de la France, qui ont accès à un jardin partagé à côté de la gare.
Cela fait désormais quatre ans que le Gar’den est installé à quelques mètres de la gare d’Aix-en-Provence, dans le sud de la France. À l’heure actuelle, ce jardin partagé ouvert aux voyageurs et aux navetteurs reste en initiative unique en France.
Le projet de deux étudiantes >> Ce projet a été initié par deux étudiantes de l’Institut d’études politiques (IEP) dans le cadre de leur Master. Séduite par l’idée, la SNCF a mis à disposition une parcelle de 100 m² juste à côté de la gare d’Aix-en-Provence, au bout du quai n°1. Baptisé Gar’den, ce jardin partagé est géré par les bénévoles de l’association « Pays d’Aix en transition ». Il comporte un jardin provençal, un potager permaculture et un espace détente pour attendre son train au milieu de la verdure.
Rapidement, la nature a repris ses droits sur ce petit bout de terre entretenu par des jardiniers bénévoles et adaptes de la permaculture. « Dès le début, notre idée a été de permettre à tout le monde de se servir, voyageurs, personnels de la gare… Nous l’avons d’ailleurs affiché à l’entrée du jardin! », a expliqué un membre de l’association au journal local La Marseillaise.
Dans la pratique, peu de navetteurs osent franchir le cap et se servir gratuitement en fruits et en légumes. Cependant, le gaspillage n’a pas sa place dans ce projet 100 % écologique : le bénévoles récoltent les fruits et les légumes qui n’ont pas trouvé preneurs et organisent des repas entre eux....
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Arroser des salades avant de prendre le train ou cueillir quelques tomates en rentrant du boulot, c’est une réalité pour les navetteurs à Aix en Provence, dans le sud de la France, qui ont accès à un jardin partagé à côté de la gare.
Cela fait désormais quatre ans que le Gar’den est installé à quelques mètres de la gare d’Aix-en-Provence, dans le sud de la France. À l’heure actuelle, ce jardin partagé ouvert aux voyageurs et aux navetteurs reste en initiative unique en France.
Le projet de deux étudiantes >> Ce projet a été initié par deux étudiantes de l’Institut d’études politiques (IEP) dans le cadre de leur Master. Séduite par l’idée, la SNCF a mis à disposition une parcelle de 100 m² juste à côté de la gare d’Aix-en-Provence, au bout du quai n°1. Baptisé Gar’den, ce jardin partagé est géré par les bénévoles de l’association « Pays d’Aix en transition ». Il comporte un jardin provençal, un potager permaculture et un espace détente pour attendre son train au milieu de la verdure.
Rapidement, la nature a repris ses droits sur ce petit bout de terre entretenu par des jardiniers bénévoles et adaptes de la permaculture. « Dès le début, notre idée a été de permettre à tout le monde de se servir, voyageurs, personnels de la gare… Nous l’avons d’ailleurs affiché à l’entrée du jardin! », a expliqué un membre de l’association au journal local La Marseillaise.
Dans la pratique, peu de navetteurs osent franchir le cap et se servir gratuitement en fruits et en légumes. Cependant, le gaspillage n’a pas sa place dans ce projet 100 % écologique : le bénévoles récoltent les fruits et les légumes qui n’ont pas trouvé preneurs et organisent des repas entre eux....
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Un couple reçoit une lettre d’amour 60 ans après l’avoir écrite 
Incroyable histoire que celle de cette lettre retrouvée dans un sucrier en Angleterre. Lizzie Dixon avait reçu le récipient en cadeau et l’a malencontreusement laissé tomber peu après. Un mal pour un bien comme on dit. Elle trouve à l’intérieur une lettre romantique et un certificat de mariage vieux de 60 ans.
C’est le genre d’histoire qui donne tout son sens à l’utilisation des réseaux sociaux. Après avoir trouvé les documents cachés dans le sucrier, la jeune fille en fait part à son amie Cathy Davies, qui lui avait offert l’objet. Ensemble, elles décident de se mettre en quête de la famille de Louie Blight et Derek Edyvean, les deux amants de la lettre.
Le couple retrouvé grâce à Facebook
Surprises et touchées par ce message d’amour et le certificat de mariage, daté du 8 janvier 1958, qui l’accompagne, les jeunes filles se lancent dans une quête incertaine. Elles publient les documents sur Facebook, en espérant recevoir une réponse d’un membre de la famille. En quelques heures seulement, les jeunes filles reçoivent un message de la belle-fille du couple, qui leur apprend qu’ils sont toujours en vie, et toujours ensemble.
Sur la lettre écrite à la main, on peut lire : « Mon cher Derek, désolée, mon chéri, mais j’ai oublié que je travaillais jeudi après-midi, donc je ne pourrai pas venir avant 6 heures au bus, à Roche. Tu viendras me chercher chez Joan, veux-tu bien, ou bien au bus à 6 heures moins dix. Désolée chéri, mais ne m’oublie pas, veux-tu. Ta future femme aimante, Louie. »
Une belle histoire d’amour
Le couple habite toujours la région. Lizzie prend la route et se rend chez eux pour leur restituer le joli message, 60 ans plus tard. Elle confie à la BBC : « Je leur ai donné la lettre, et ils n’arrêtaient pas de me remercier. Quand je suis repartie, j’ai pleuré durant tout le trajet. C’est le plus mignon des couples. »
Tout est bien qui finit bien. Louie et Derek ont ainsi pu récupérer un témoignage du commencement de leur histoire, qui a vu naître deux enfants et continue aujourd’hui. Ils ont fêté cette année leurs noces de diamant.
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
En Inde, une gare qui fonctionne exclusivement à l’énergie solaire
Il s’agit d’une première mondiale. La gare de Guwahati, située dans le nord-ouest de l’Inde, fonctionne uniquement grâce à l’énergie solaire. Il s’agit d’une des gares les plus importantes du pays. Environ 20.000 voyageurs y passent quotidiennement.
Située dans la plus grande ville de l’Etat d’Assam, dans le nord-est de l’Inde, la gare de Guwahati fonctionne désormais entièrement à l’énergie solaire. Ses toits ont été équipés de panneaux photovoltaïques d’une puissance de 700 kilowatt. Ceux-ci permettent d’alimenter tout le réseau ferroviaire, ainsi que les différents services de la structure.
L’impact environnemental s’annonce considérable, puisque l’énergie solaire remplace les 21.000 litres de diesel que consomme chaque train. Mais les économies sont aussi financières. Selon les estimations, ces infrastructures permettraient d’économiser 67,7 millions de roupies chaque année, soit l’équivalent de 85.000 €.
En Inde, le plus grand poste de dépense en électricité & diesel est occupé par le réseau ferroviaire.
Cette transition énergétique commence à payer puisque la gare de #Guwahati tourne entièrement à l'énergie solaire.
En Inde, cette gare est la première du pays à fonctionner entièrement >> Sur les toits de la gare de Guwahati, en Inde, des panneaux photovoltaïques d'une puissance de 700 kilowatt ont été installés. C'est assez d'électricité pour subvenir aux besoins du site entier.
Si certaines gares indiennes fonctionnent déjà partiellement à l’énergie solaire et éolienne, la gare de Guwahati est la première à ne dépendre que de l’énergie solaire.
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beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Deux dealers livrent par erreur 67 kilos de cannabis à des policiers
Ils étaient venus livrer une commande de près de 67 kg de résine de cannabis, mais l’ont proposée par erreur à des policiers.
Deux hommes ont été arrêtés mercredi soir en banlieue de Paris après une méprise « burlesque », a-t-on appris jeudi de sources policières.
Il est environ 20h30 quand des policiers en civil de la brigade anticriminalité de Bondy (nord de Paris), « en surveillance discrète d’une voiture volée », sont abordés par « deux vendeurs vraisemblablement peu chevronnés » qui leur demandent si « la marchandise est pour eux », relate l’une de ces sources. Les fonctionnaires répondent par l’affirmative avant de les interpeller.
Dans leur véhicule, ils découvrent alors 66,8 kilos de résine de cannabis.
Selon Le Parisien, les fonctionnaires ont dû employer leur pistolet à impulsion électrique pour maîtriser l’un des dealers. L’enquête a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.
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Stupéfiant, non?
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