Gestion rigoureuse de la France

Flavius a écrit:
Voyez vous, l’économie est un tout et il n’y a pas 36 modèles. Il y en a deux : une économie étatique ou une économie du type capitaliste, devenue aujourd’hui libérale. La sociale-démocratie n’étant qu’un aménagement de l’économie libérale.. 
Aujourd’hui, pratiquement tous les pays ont le choix du libéralisme, y compris la Chine.
Les pays qui ont fait un autre choix que sont-ils devenus ? Des dictatures qui affament leu peuple.

Alors avec tous ses défauts, et ses injustices qui malgré tout se compensent peu à peu, il n’y a, pour les gens libres, d’autre issue que le libéralisme et ses règles sociales par la redistribution qui, en France, plus qu’ailleurs, en atténuent les effets négatifs.


Le reste n’est que verbiage idéologique et vue de l’esprit. En cela Jacot a parfaitement raison.

Azalee a écrit:
Non. Pas de privilèges payés avec l'argent du contribuable.

clymene3 a écrit:
Mais bon sang je me tur à te dire que tout le pognon que les patrons placent dans les paradis fiscaux, ça aussi ça coûte à la richesse nationale : il y a deux poids deux mesures ??

clymene3 a écrit:En effet, dans les tribunaux on ne juge pas sur des critères de morale, c’est pourquoi on ne pénalise pas lourdement les violeurs.

cristaline a écrit:Courage, Azalée, moi, j'ai parfaitement compris ce que tu soulignes, hélas, y'en a qui ont la caboche dure....


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cristaline a écrit:Chers Ymar(s), quand on voit qu'un simple qui se veut juste pacifique déclenche un torrent de venin, on se pose des questions car plus je veux l'ignorer, plus elle est dans mes pattes : à ce stade, seule l'abstention me semble logique

cristaline a écrit:Wouah on me cite ! 

Si vous me cherchez, je suis dans la Pléiade !

beced a écrit:

La sociale-démocratie peut aussi être vue comme un aménagement de l'économie étatique, non?

A noter que lors de la grande crise de 2008 (je crois ) le gouvernement américain est intervenu pour sauver les grandes institutions financières.
Alors que ....

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beced a écrit:

La sociale-démocratie peut aussi être vue comme un aménagement de l'économie étatique, non?

A noter que lors de la grande crise de 2008 (je crois ) le gouvernement américain est intervenu pour sauver les grandes institutions financières.
Alors que ....

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clymene3 a écrit:En effet, dans les tribunaux on ne juge pas sur des critères de morale, c’est pourquoi on ne pénalise pas lourdement les violeurs.

Flavius a écrit:
C’est bien ce que je dis. Le libéralisme pur et dur n’a jamais été appliqué. Je te rappelle que lors de cette même crise, le gouvernement de droite Sarkozy a prêté de l’argent aux banques françaises afin qu’elles ne s’effondrent pas. L’intervention de l’Etat dans un pays capitaliste sera toujours un moyen d’ordre écononomique. Pas une fin en soi comme c’était le cas des pays communistes se faisant appeler socialistes.

beced a écrit:

Exact.
En fait c'est la définition du capitalisme (en fait la caricature qu'on en fait) qui devrait être mieux définie.
Et sur un autre plan il semblerait aussi que le marxisme ne soit pas vraiment ce que Marx avait en tête ou mis sur le papier.
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jacot3 a écrit:
Le marxisme était dès le départ condamné parce qu'il ne prend pas en compte la nature humaine. L'état-nation n'est pas la priorité de l'homme. C'est d'abord sa famille, puis le groupe, le territoire et peut-être enfin l'intérêt commun. Tous les régimes communistes ou socialistes ont généré une nouvelle "nomenklatura". Le meilleur exemple pour ce qui concerne les français c'est sans doute les 14 ans de Mitterrandisme.

beced a écrit:

Comme disait je ne sais plus quel forumeur, je suis Marxiste tendance Groucho.

Cela dit Karl (je sais, je sais : je suis familier avec le kamarade ) avait un regard de scientifique sur la société, c'est à dire susceptible d'évoluer ou de s'adapter au changement, donc une approche empirique. 
Les Marxistes, eux, ont pris quelques idées et en ont fait une idéologie, pour ne pas dire une religion, et donc un concept fermée: et cela peut importe la réalité qui apporte toujours la contradiction lorsqu'on pousse une théorie humaine à son extrême.
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beced a écrit:

Comme disait je ne sais plus quel forumeur, je suis Marxiste tendance Groucho.

Cela dit Karl (je sais, je sais : je suis familier avec le kamarade ) avait un regard de scientifique sur la société, c'est à dire susceptible d'évoluer ou de s'adapter au changement, donc une approche empirique. 
Les Marxistes, eux, ont pris quelques idées et en ont fait une idéologie, pour ne pas dire une religion, et donc un concept fermée: et cela peut importe la réalité qui apporte toujours la contradiction lorsqu'on pousse une théorie humaine à son extrême.
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jacot3 a écrit:
Le marxisme était dès le départ condamné parce qu'il ne prend pas en compte la nature humaine. L'état-nation n'est pas la priorité de l'homme. C'est d'abord sa famille, puis le groupe, le territoire et peut-être enfin l'intérêt commun. Tous les régimes communistes ou socialistes ont généré une nouvelle "nomenklatura". Le meilleur exemple pour ce qui concerne les français c'est sans doute les 14 ans de Mitterrandisme.

clymene3 a écrit:Le totalitarisme est de toute façon anti-darwinien.

beced a écrit:

Comme disait je ne sais plus quel forumeur, je suis Marxiste tendance Groucho.

Cela dit Karl (je sais, je sais : je suis familier avec le kamarade ) avait un regard de scientifique sur la société, c'est à dire susceptible d'évoluer ou de s'adapter au changement, donc une approche empirique. 
Les Marxistes, eux, ont pris quelques idées et en ont fait une idéologie, pour ne pas dire une religion, et donc un concept fermée: et cela peut importe la réalité qui apporte toujours la contradiction lorsqu'on pousse une théorie humaine à son extrême.
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Azalee a écrit:
C'est pour cette raison que je ne crois que l'universalisme n'est qu'une abstraction.