cristaline a écrit:
Moi aussi
Il doit se remettre au théâtre !
Je me demande si au contraire, il n'en a pas sans doute trop fait avec son professeur !
cristaline a écrit:
Moi aussi
Il doit se remettre au théâtre !
LV426 a écrit:
Dans toute prise de parole politique, il y a des effets de com. Que ce soit pour tenter de régler une crise qui affecte le pays ou pour préserver l'image de l'élu.
Il y a effectivement de bonnes chances que des spin doctors soient à l'œuvre derrière les propos d'Emmanuel Macron.
Pour ceux qui ont déjà une mauvaise image de l'élu en question, rien de ce qu'il pourra dire ne conviendra.
- s'il se défausse, on le lui reprochera
- si, au contraire, il assume ses responsabilités, on le lui reprochera aussi.
Mana9 a écrit:
Je me demande si au contraire, il n'en a pas sans doute trop fait avec son professeur !
Mana9 a écrit:
Personnellement, je n'arrive pas à comprendre comment un personnage qui avait déjà un pedigree ( cf, son accident avec Montebourg et sans doutes d'autres "débordements dus à sa jeunesse" dixit un responsable devant la commission du Sénat a pu être choisi et conservé dans des fonctions qui le font évoluer au plus près du chef de l'Etat et de son épouse. C'est sans doute faire preuve de naïveté. Le pouvoir politique donne un sentiment de toute puissance qui ajouté à un ego surdéveloppé comme le sien lui font perdre ainsi qu'à sa femme le sens de la mesure et les a empêché de percevoir le danger qu'il y avait à se commettre avec un individu pareil. Lui confier les clés de leur résidence personnelle montre en tout cas la proximité incongrue qu'ils avaient l'un et l'autre avec ce séide.
Il est tout à fait possible d'imaginer que le président s'amusait de voir un homme qui lui devait tout et ne tenait son petit pouvoir que de lui, humilier les fonctionnaires au service de l'Etat comme lui-même l'avait fait par exemple avec le chef d'état-major des Armées.
Je suis votre chef.....
Sauf s'ils craignaient des poursuites pour avoir lancer des projectiles sur les flics...Arlequine a écrit:
Le couple aurait dû porter plainte, nous n'en serions pas là et cette affaire serait peut-être déjà bien avancée, judiciairement parlant ???!!
OUI, j'ai lu aussi cela dans dans l'article suite au lien mis par LV.Azalee a écrit:
Sauf s'ils craignaient des poursuites pour avoir lancer des projectiles sur les flics...
Ils se manifestent parce que la situation fait d'eux des victimes.
En effet. N'oublions pas que, jusqu'à récemment, ils pensaient avoir eu affaire à un authentique représentant de l'ordre.Azalee a écrit:
Sauf s'ils craignaient des poursuites pour avoir lancer des projectiles sur les flics...
Ils se manifestent parce que la situation fait d'eux des victimes.
Pour le coup, le fait d'être devenus victimes ne les exonère pas d'avoir lancé les projectiles...LV426 a écrit:
En effet. N'oublions pas que, jusqu'à récemment, ils pensaient avoir eu affaire à un authentique représentant de l'ordre.
Or (c'est moi qui souligne),
Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises :
[...] sur un fonctionnaire de la police nationale [...]
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]beced a écrit:
Merci pour l'info LV
.....
On lit dans l'article de la journaliste Pauline Moullot que : "....On sait donc que les deux personnes ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre avant leur interpellation. Même si ces gestes sont répréhensibles par la loi, cela ne justifie pas la violence ensuite exercée à leur encontre....".
La journaliste juge donc la scène en isolant du contexte les deux personnes appréhendées (dont elle semble minimiser l'attitude), sans tenir compte de la violence du moment à l'égard des forces de l'ordre. Le point de vue de ces derniers auraient pu (dû?) être proposé aussi, me semble-t'il.
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Le jugement de la journaliste ne semble même pas tenir compte du témoignage de son enquêteur qui indique cette situation de violence sur le terrain : " Ce couple... jette alors violemment trois objets sur la ligne de CRS, qui est à quelques mètres d’eux. Juste avant que la jeune femme leur fasse un bras d’honneur".
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Azalee a écrit:
Pour le coup, le fait d'être devenus victimes ne les exonère pas d'avoir lancé les projectiles...
Même si ces gestes sont répréhensibles par la loi, cela ne justifie pas la violence ensuite exercée à leur encontre....".beced a écrit:
Merci pour l'info LV
.....
On lit dans l'article de la journaliste Pauline Moullot que : "....On sait donc que les deux personnes ont jeté des projectiles sur les forces de l’ordre avant leur interpellation. Même si ces gestes sont répréhensibles par la loi, cela ne justifie pas la violence ensuite exercée à leur encontre....".
La journaliste juge donc la scène en isolant du contexte les deux personnes appréhendées (dont elle semble minimiser l'attitude), sans tenir compte de la violence du moment à l'égard des forces de l'ordre. Le point de vue de ces derniers auraient pu (dû?) être proposé aussi, me semble-t'il.
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Le jugement de la journaliste ne semble même pas tenir compte du témoignage de son enquêteur qui indique cette situation de violence sur le terrain : " Ce couple... jette alors violemment trois objets sur la ligne de CRS, qui est à quelques mètres d’eux. Juste avant que la jeune femme leur fasse un bras d’honneur".
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L'intervention de benalla est totalement injustifiée.beced a écrit:
Edifiant en effet!
Mais qui ne justifie pas et ne doit pas faire oublier l'attitude violente des 2 personnes appréhendées.
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jacot3 a écrit:
L'intervention de benalla est totalement injustifiée.
Il n'avait rien à faire là et il y avait suffisamment de forces de l'ordre sur la place pour régler le problème.
Le cas Benalla nous montre surtout que l'on ne sait pas grand chose de ce qui a emmené là le lieutenant colonel Benalla.Moiself a écrit:
Comment doit-on définir Benalla ? Séïde, sbire ou truand mensualisé par l'Elysée ?
Vu le passé de l'individu, et un professionnalisme sanctionné par aucun diplôme pouvant donner accès à une telle fiche de poste, je trouve que l'affaire est à son zénith, lorsque le Président Macron dit être fier d'avoir recruté Benalla. Il a donc été recruté par le patron himself ? Alors je considère que tout est dit.jacot3 a écrit:
L'intervention de benalla est totalement injustifiée.
Il n'avait rien à faire là et il y avait suffisamment de forces de l'ordre sur la place pour régler le problème.
jacot3 a écrit:
L'intervention de benalla est totalement injustifiée.
Il n'avait rien à faire là et il y avait suffisamment de forces de l'ordre sur la place pour régler le problème.
Pourquoi Macron veut il minimiser ce fait, répréhensible il y a aucun doute là dessus !!!! il y a beaucoup trop de questions qui restent pour moi sans réponses PRECISES car tous se contredisent :jacot3 a écrit:
Le cas Benalla nous montre surtout que l'on ne sait pas grand chose de ce qui a emmené là le lieutenant colonel Benalla.
Effectivement, même là-dessus, ils ne sont arrivés à préciser sa fiche de poste. En auraient-ils honte aujourd'hui ?Arlequine a écrit:
Pourquoi Macron veut il minimiser ce fait, répréhensible il y a aucun doute là dessus !!!! il y a beaucoup trop de questions qui restent pour moi sans réponses PRECISES car tous se contredisent :
- Avant le 1er mai : qui était au courant de la venue de Benalla en tant qu'obervateur ?
- Quelles sont les véritables prérogatives de Benalla dans le cabinet de Macron ?
- Pourquoi Benalla disposait-il d'un permis de port d'arme ?
- Comment Benalla a-t-il pu arborer un brassard police ?