[résolu]Topic des mauvaise nouvelles e

beced a écrit:Zut, il me manque une chaussette...
En voilà une mauvaise nouvelle qui est mauvaise....  

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L'autre, celle qui ne manque pas, on l'appelle chaussette orpheline.
C'est idiot parce que ce qui lui manque, c'est pas des parents mais une sœur, de toute évidence.
Moyennant quoi, je trouve qu'on devrait l'appeler chaussette fille unique.

La bonne nouvelle, c'est que tu vas pouvoir t'aérer un pied.

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
L'ignorer sur ce sujet et passer à autre chose.

On va faire ça.

Femme sage...ou sage-femme. C'est comme vous le souhaitez.

LV426 a écrit:
L'autre, celle qui ne manque pas, on l'appelle chaussette orpheline.
C'est idiot parce que ce qui lui manque, c'est pas des parents mais une sœur, de toute évidence.
Moyennant quoi, je trouve qu'on devrait l'appeler chaussette fille unique.

La bonne nouvelle, c'est que tu vas pouvoir t'aérer un pied.

  Bonne nouvelle qu'elle est bonne; cette dernière s'occupe de l'orpheline ...

On a donc les deux orphelines
Manque plus que le col roulé !

Mort de rire Beced.!!!  <(*v*)>

Flavius a écrit:
Femme sage...ou sage-femme. C'est comme vous le souhaitez.

... ne me prenez pas pour la mère de Socrate... je n'ai aucun talent pour la maïeutique !

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Femme sage...ou sage-femme. C'est comme vous le souhaitez.

... ne me prenez pas pour la mère de Socrate... je n'ai aucun talent pour la maïeutique !

Je ne me rappelai même pas que Socrate avait eu une mère. C'est curieux, il y a des hommes que l'on ne peut imaginer sur les genoux de leur mère.
Mais je ne suis pas sûr que Phénarete ait été très maternelle.

Galadriel a écrit:On a donc les  deux orphelines
Manque plus que le col roulé !

Et dire qu'ayant vu ce film très jeune, avec ma mère, j'en étais sorti bouleversé avec les yeux humides.
Aujourd'hui, c'est quand je regarde le col roulé que j'ai encore les yeux humides...

Flavius a écrit:
Je ne me rappelai même pas que Socrate avait eu une mère. C'est curieux, il y a des hommes que l'on ne peut imaginer sur les genoux de leur mère.
Mais je ne suis pas sûr que Phénarete ait été très maternelle.

Maternelle, je sais pas.
Mais Socrate l'évoque assez souvent : "Ma mère accouchait les corps, moi, j'accouche les esprits".

C'était d'après un papy russe, un drôle de cigue....


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On s'y attendait : les pulls de Noël de Lidl en sont déjà en rupture de stock en France, alors qu'ils avaient déjà connu un grand succès en Belgique. 


Entre habileté marketing et revanche du « schlag » , la ruée vers le pull de Noël Lidl
Par Nastasia Hadjadji - Le 10 décembre 2021
Accueil > Nouveaux usages > Entre habileté marketing et revanche du « schlag » , la ruée vers le pull de Noël Lidl

Vendu 9,99 euros, le pull de Noël 100 % acrylique de Lidl s’arrache depuis sa mise en vente en Belgique. Que nous dit cet emballement de l’époque et de la mutation de ses codes ?

Les couleurs sont criardes, le motif principal reprend le logo de l’enseigne Lidl et l’ensemble est de facture relativement médiocre. Pourtant, ce pull Lidl s’arrache. Il est même en rupture de stock depuis sa mise en vente fin novembre en Belgique. Un engouement qui laisse présager le même effet d’emballement en France, où il sera mis en vente dans moins d’une semaine. Cette nouvelle opération marketing reprend le principe des succès obtenus par l'enseigne avec les sneakers et les claquettes siglées du logo Lidl. L’enseigne allemande récidive donc, illustrant une nouvelle fois sa capacité à jouer avec les codes de l’époque, de la célébration du « goût du moche » jusqu'à l'exploitation des nouvelles pratiques numériques comme le conso’trading.
« Drop Culture »

Le modèle d’affaire qui consiste à mettre en vente un objet en quantité très limitée, tout en suscitant l’intérêt à grand renfort de communication porte un nom : la « drop culture » . Il a fait les beaux jours de certaines marques de streetwear ou de mode de luxe, comme Supreme et Balenciaga. Une fois le stock limité de produits écoulé, les exemplaires s’échangent sur des sites de revente beaucoup plus chers. Car en économie de marché, la rareté a un prix. Le pull Lidl n’est pas encore disponible en France, mais il se revend déjà sur eBay jusqu’à 50 euros, soit cinq fois son prix de vente initial. La « drop culture » fait ainsi le bonheur des conso’tradeurs, ces individus jeunes, voire très jeunes, qui se saisissent des objets de consommation (souvent les baskets ou les habits de marque) comme d’actifs sur lesquels spéculer. Un paradigme qui illustre les nouvelles pratiques de consommation propres au capitalisme numérique. En intégrant ces usages dans son marketing, l’enseigne allemande joue donc avec habileté avec les codes de l’époque, tout en s’assurant de solides retombées en termes de communication.
Tendance du « schlag »

De l’aveu même de l’enseigne, ce pull a été pensé pour jouer « sur les codes de l’extravagance et du kitsch » . Lidl a donc parfaitement intégré qu’aujourd’hui, le « schlag » est tendance et fait vendre. Une tendance qu’analyse parfaitement Alice Pfeiffer dans l’ouvrage Le goût du moche (Flammarion, 2021). Comme l’explique la journaliste, habituée à traquer le politique derrière l’anecdotique, ce retour d’une esthétique du mauvais est aussi un révélateur des tensions entre les classes sociales. Des codes esthétiques habituellement associés aux classes populaires entrent en concurrence avec les normes bourgeoises de la mode, comme c’est le cas par exemple avec la tendance Y2K. En l’espèce, Lidl, enseigne longtemps associée au cheap et aux fins de mois difficiles, réussit à se déporter sur le terrain très fermé de la hype et de la rareté habituellement associé au luxe. En ayant su se rendre désirable autrement que pour ses prix bas, l'enseigne opère un déplacement qui tient autant du coup marketing que de la revanche symbolique.
Revanche de classe

Ce déplacement peut être vu comme une forme de revanche de classe. « Lidl promet à sa clientèle la fin du déclassement et de la honte sociale. Elle n’est plus composée d’acheteurs lambda qui se rendent en loucedé dans un magasin froid, distant et avare en communication. Tel le Futé d’Agence tous risques, ils sont à l’affût des bons plans et font des achats tendance sans que leurs comptes en banque fassent des loopings » , analyse le journaliste Balla Fofana dans Libération. Il est d'ailleurs intéressant de remarquer que dans un contexte économique morose, marqué par l'inflation, la stagnation des salaires et donc la perte de pouvoir d'achat, les marques de hard-discount ont perdu leur caractère stigmatisant. Aldi, un concurrent de l'enseigne Lidl, a également gagné en popularité. Jusqu'à susciter aux États-Unis la formation d'une communauté et d'une subculture propres à la marque.

Le phénomène Lidl reste pourtant sujet à interprétations diverses. Certains y verront l’habileté stratégique d’une marque les deux pieds dans son époque, audacieuse dans sa capacité à parier sur une subversion esthétique bankable. D’autres tireront un plaisir ironique à contempler le triomphe d’une forme de vacuité, symptomatique du culte aveugle de la consommation. Et d’autres encore enchériront sur eBay.
Nastasia Hadjadji

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Vendus en édition limitée à 9,99 euros en Belgique fin novembre, ils se sont écoulés rapidement et sont déjà revendus sur Internet.
Disponibles en magasin en France depuis ce jeudi, c'est également la folie... Tout le monde se les arrache, comme chez nos voisins belges. Il aura fallu à peine deux heures après l’ouverture des portes pour que les tricots festifs jaune et bleu soient déjà en rupture de stock dans l'ensemble du pays.
De nombreux clients ont expliqué s’être levés de bonne heure pour se rendre dans leur magasin et être certains de ne pas passer à côté de l'offre, raconte Le HuffPost.

Pour les garder ou les revendre à prix d'or ? Jeudi, une annonce sur un site de revente proposait un des pulls pour... 500 euros, soit 50 fois plus cher que son prix d’origine.
Ce succès spectaculaire n'est pas dû au hasard : Lidl travaille son image depuis plusieurs années pour être plus populaire auprès des jeunes, notamment en commercialisant des produits en édition limitée, peu chers donc qui invitent à la spéculation, et en utilisant des influenceurs pour les mettre en avant.


 

PS. La réference reste cependant toujours la même ...  

Euh ....sans moi !!!

[b]LES TERRIBLES PRÉVISIONS POUR 2022 DE BABA VANGA, LA NOSTRADAMUS DES BALKANS[/b]



Pour l’année 2022, la voyante bulgare Baba Vanga, n’a pas prédit d’amélioration. Selon ses prédictions l’année risque d’être mouvementée.

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Elle est morte il y a 25 ans, mais tout de même...

Azalee a écrit:

Paulette a écrit:LES TERRIBLES PRÉVISIONS POUR 2022 DE BABA VANGA, LA NOSTRADAMUS DES BALKANS[/b]



Pour l’année 2022, la voyante bulgare Baba Vanga, n’a pas prédit d’amélioration. Selon ses prédictions l’année risque d’être mouvementée.

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Elle est morte il y a 25 ans, mais tout de même...

A h oui ! Elle est sympa. Elle est morte et nous porte la poisse ?
Je ne lui souhaite pas bonne année !

Excellentissime. Je me suis mis à rire tout seul.
En fait, elle l'a dans le baba.

Planète – L’homme produit plus que la nature [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] #SciencesetTechnos via @LePoint


…

Le Français est en forte régression dans la Belle Province
On vient de voir un reportage au JT de TF1 : le directeur d'une compagnie aérienne basée à Montréal ne parle pas un mot de français.

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Je ne me rappelai même pas que Socrate avait eu une mère. C'est curieux, il y a des hommes que l'on ne peut imaginer sur les genoux de leur mère.
Mais je ne suis pas sûr que Phénarete ait été très maternelle.

Maternelle, je sais pas.
Mais Socrate l'évoque assez souvent : "Ma mère accouchait les corps, moi, j'accouche les esprits".

Très belle phrase. Un des premiers thérapeutes.

Paulette a écrit:Le Français est en forte régression dans la Belle Province
On vient de voir un reportage au JT de TF1 : le directeur d'une compagnie aérienne basée à Montréal ne parle pas un mot de français.

Tout a été fait pour. Les Britanniques sont sortis de l'Europe et pourtant la langue dominante est l'anglais et ensuite l'allemand.

Vu aussi ce reportage et je trouve cela désespérant
Je partage donc vos avis !!!!

Here's to a long life and a merry one.  



Souhait irlandais .