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C'est notre Obélisque à nous.LV426 a écrit:La bonne nouvelle, c'est que Paulette a réussi à déplacer une harde entière de sangliers à elle toute seule.
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Topic des bonnes nouvelles
Flavius- Modérateur
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en plus notre pays copie souvent la France vous avez dés radar on nous met des radar vous avez des permis à point on veut nous mettre des permis à point , vous avez des migrant on en a aussi. Vous avez dés dette nous aussi …..Nos autorités vous singe tout le temps
C est un phelpsounet 
Galadriel
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Localisation : Carry-le-Rouet 13
U
et accessoirement à dézinguer quelques Romains !
...faut encore qu'elle arrive à en manger autantFlavius a écrit:
C'est notre Obélisque à nous.
et accessoirement à dézinguer quelques Romains !
Flavius- Modérateur
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Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Vous ne savez pas de quoi est capable dame Tartine...Galadriel a écrit:U...faut encore qu'elle arrive à en manger autantFlavius a écrit:
C'est notre Obélisque à nous.
et accessoirement à dézinguer quelques Romains !
Galadriel aime ce message
Je comprend ça. 
Invité- Invité
N'oublie pas ta bouée !
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Il est désormais possible de louer une demeure d’Elizabeth II sur Airbnb> Vous rêviez de goûter au luxe de la royauté et dormir dans l’une des maisons de la Reine Elizabeth II ? C’est désormais possible.
La plateforme de location AirBnb a mis en location une des maisons ayant appartenu à la défunte monarque britannique. Située sur le domaine Sandringham, dans le comté de Norfolk en Angleterre, cette demeure peut accueillir jusqu’à huit convives. La maison s’étend sur deux étages et abrite une collection de meubles et tableaux royaux. Prix de la location : entre 237 et 354 £ par nuit, soit de 272 à 406 €.
Le domaine de Sandringham, qui comporte l’une des résidences de la famille royale (Sandringham House), appartient aux Windsor depuis la moitié du 19e siècle. Ce n’est bien entendu pas le palais qui est mis en location, mais l’une des maisons situées dans le domaine, la « Garden House ». C’est dans ce charmant cottage que vivait le jardinier en chef de la Reine.
« Ce cottage pittoresque, situé dans le parc de l'un des plus beaux domaines de la Reine, est le refuge idéal pour les voyageurs en quête d'un séjour unique », commente Amanda Cupples, Directrice générale d'Europe du nord chez Airbnb.
Malheureusement, il faudra s’armer de patience si vous voulez séjourner dans ce prestigieux cottage chargé d’histoire. En effet, la plateforme n’enregistre que les réservations pour les deux prochaines années à venir, et il ne reste plus aucune disponibilité avant 2024.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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PS. Les corgis ne sont pas inclus dans le "deal".
La plateforme de location AirBnb a mis en location une des maisons ayant appartenu à la défunte monarque britannique. Située sur le domaine Sandringham, dans le comté de Norfolk en Angleterre, cette demeure peut accueillir jusqu’à huit convives. La maison s’étend sur deux étages et abrite une collection de meubles et tableaux royaux. Prix de la location : entre 237 et 354 £ par nuit, soit de 272 à 406 €.
Le domaine de Sandringham, qui comporte l’une des résidences de la famille royale (Sandringham House), appartient aux Windsor depuis la moitié du 19e siècle. Ce n’est bien entendu pas le palais qui est mis en location, mais l’une des maisons situées dans le domaine, la « Garden House ». C’est dans ce charmant cottage que vivait le jardinier en chef de la Reine.
« Ce cottage pittoresque, situé dans le parc de l'un des plus beaux domaines de la Reine, est le refuge idéal pour les voyageurs en quête d'un séjour unique », commente Amanda Cupples, Directrice générale d'Europe du nord chez Airbnb.
Malheureusement, il faudra s’armer de patience si vous voulez séjourner dans ce prestigieux cottage chargé d’histoire. En effet, la plateforme n’enregistre que les réservations pour les deux prochaines années à venir, et il ne reste plus aucune disponibilité avant 2024.
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PS. Les corgis ne sont pas inclus dans le "deal".
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Après la mise à jour des magnifiques mosaïques à Gaza, autre découvetre du côté israélien... 
Incroyable découverte en Israël: un caveau de l’époque de Ramsès II trouvé par hasard par des archéologues
Les autorités archéologiques israéliennes ont annoncé dimanche la découverte d’un caveau funéraire « unique » datant de l’époque du pharaon Ramsès II et rempli de dizaines de poteries, d’objets en bronze et d’ossements.
Incroyable découverte en Israël: un caveau de l’époque de Ramsès II trouvé par hasard par des archéologues...
Par AFP
Le caveau a été découvert accidentellement le 13 septembre dans le parc national de Palmahim, au sud de la métropole Tel-Aviv, lorsqu’une machine d’excavation a buté sur un morceau de pierre qui s’est avéré être le toit de cette voûte funéraire.
Une vidéo diffusée par l’Autorité israélienne des antiquités (IAA) montre des archéologues ébahis éclairant à la lampe de poche des dizaines de poteries de formes et de tailles diverses, datant du règne de l’ancien roi égyptien, mort en 1213 avant Jésus-Christ.
Des bols – certains peints en rouge, d’autres contenant des os – des calices, des marmites, des bocaux, des lampes et des pointes de flèches ou de lances en bronze se trouvaient dans la sépulture.
Ces objets étaient des offrandes funéraires destinées à accompagner les défunts dans leur dernier voyage vers l’au-delà. Ils ont été retrouvés intacts depuis qu’ils y ont été placés il y a environ 3.300 ans.
Dans un coin de la sépulture, au moins un squelette relativement intact a été trouvé.
« Ce caveau pourrait nous fournir une image plus complète des rites funéraires de la fin de l’âge de bronze », a déclaré dans un communiqué Eli Yannai, spécialiste de cette période au sein de l’IAA, évoquant une découverte « extrêmement rare ».
« Lorsque j’ai vu les objets dans la grotte de la plage de Palmahim, mes yeux se sont aussitôt mis à briller, une découverte de la sorte n’arrive qu’une fois dans une vie. Et trouver des objets intacts, qui n’ont jamais été touchés depuis leur premier usage est incroyable », s’est enthousiasmé David Gelman, archéologue à l’IAA.
Ils datent de la période de Ramsès II, qui régna sur l’Egypte entre 1279 et 1213 avant Jésus-Christ et contrôla aussi Canaan, un territoire qui comprenait l’équivalent d’Israël moderne, des Territoires palestiniens et des pans du Liban, de la Jordanie et de la Syrie, selon l’autorité des antiquités.
Une activité commerciale intense> La provenance des poteries – Chypre, Liban, nord de la Syrie, Gaza et Jaffa – témoigne de « l’activité commerciale intense qu’il y avait le long de la côte », a déclaré M. Yannai dans un communiqué.
M. Gelman, a émis une hypothèse quant à l’identité des squelettes qui étaient dans ce caveau située dans ce qui est aujourd’hui une plage populaire.
« Le fait que ces personnes aient été enterrées avec des armes, y compris des flèches entières, montre qu’il s’agissait peut-être de guerriers ou de gardes sur des navires ».
Le caveau a été scellé et des gardes placés aux alentours en attendant de formuler un plan de fouille plus poussé sur ce site où « quelques objets » ont déjà été pillés dans la courte période, la semaine dernière, allant de la découverte à la fermeture du site, a précisé l’IAA.
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Incroyable découverte en Israël: un caveau de l’époque de Ramsès II trouvé par hasard par des archéologues
Les autorités archéologiques israéliennes ont annoncé dimanche la découverte d’un caveau funéraire « unique » datant de l’époque du pharaon Ramsès II et rempli de dizaines de poteries, d’objets en bronze et d’ossements.
Incroyable découverte en Israël: un caveau de l’époque de Ramsès II trouvé par hasard par des archéologues...
Par AFP
Le caveau a été découvert accidentellement le 13 septembre dans le parc national de Palmahim, au sud de la métropole Tel-Aviv, lorsqu’une machine d’excavation a buté sur un morceau de pierre qui s’est avéré être le toit de cette voûte funéraire.
Une vidéo diffusée par l’Autorité israélienne des antiquités (IAA) montre des archéologues ébahis éclairant à la lampe de poche des dizaines de poteries de formes et de tailles diverses, datant du règne de l’ancien roi égyptien, mort en 1213 avant Jésus-Christ.
Des bols – certains peints en rouge, d’autres contenant des os – des calices, des marmites, des bocaux, des lampes et des pointes de flèches ou de lances en bronze se trouvaient dans la sépulture.
Ces objets étaient des offrandes funéraires destinées à accompagner les défunts dans leur dernier voyage vers l’au-delà. Ils ont été retrouvés intacts depuis qu’ils y ont été placés il y a environ 3.300 ans.
Dans un coin de la sépulture, au moins un squelette relativement intact a été trouvé.
« Ce caveau pourrait nous fournir une image plus complète des rites funéraires de la fin de l’âge de bronze », a déclaré dans un communiqué Eli Yannai, spécialiste de cette période au sein de l’IAA, évoquant une découverte « extrêmement rare ».
« Lorsque j’ai vu les objets dans la grotte de la plage de Palmahim, mes yeux se sont aussitôt mis à briller, une découverte de la sorte n’arrive qu’une fois dans une vie. Et trouver des objets intacts, qui n’ont jamais été touchés depuis leur premier usage est incroyable », s’est enthousiasmé David Gelman, archéologue à l’IAA.
Ils datent de la période de Ramsès II, qui régna sur l’Egypte entre 1279 et 1213 avant Jésus-Christ et contrôla aussi Canaan, un territoire qui comprenait l’équivalent d’Israël moderne, des Territoires palestiniens et des pans du Liban, de la Jordanie et de la Syrie, selon l’autorité des antiquités.
Une activité commerciale intense> La provenance des poteries – Chypre, Liban, nord de la Syrie, Gaza et Jaffa – témoigne de « l’activité commerciale intense qu’il y avait le long de la côte », a déclaré M. Yannai dans un communiqué.
M. Gelman, a émis une hypothèse quant à l’identité des squelettes qui étaient dans ce caveau située dans ce qui est aujourd’hui une plage populaire.
« Le fait que ces personnes aient été enterrées avec des armes, y compris des flèches entières, montre qu’il s’agissait peut-être de guerriers ou de gardes sur des navires ».
Le caveau a été scellé et des gardes placés aux alentours en attendant de formuler un plan de fouille plus poussé sur ce site où « quelques objets » ont déjà été pillés dans la courte période, la semaine dernière, allant de la découverte à la fermeture du site, a précisé l’IAA.
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Flavius, Galadriel et Dan22 aiment ce message
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Shana Tova à tous mes amis...et aux autres.
Galadriel aime ce message
Dan22- Messages : 5545
Date d'inscription : 17/04/2020
Flavius a écrit: Shana Tova à tous mes amis...et aux autres.
J'ai pensé à vous tous sur "Bonjour"
Bonne fête
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
C'est gentil.Dan22 a écrit:Flavius a écrit: Shana Tova à tous mes amis...et aux autres.
J'ai pensé à vous tous sur "Bonjour"
Bonne fête
Dan22 aime ce message
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Bientôt une giga-usine de batteries électriques en Wallonie .... Le complexe de Seneffe-Manage (sud de la Belgique) aura une capacité de 3 GWh par an...
BATTERIES ABEE
Après la décision de l’Europe d’interdire la vente des moteurs thermiques pour 2035 la semaine passée, se posait la question des giga-usines qu’il faut construire pour produire des batteries à une très large échelle et réaliser la transition vers d’autres énergies comme l’électrique. Une première réponse est apportée par la branche belge du groupe ABEE. Elle annonce la construction d’une giga-usine en Belgique, à Seneffe-Manage où l’on produira des milliers de batteries chaque année.
"À Seneffe-Manage, il y aura la première giga-usine du Benelux. Elle aura une capacité de 3GWh par an. Nous produirons des batteries pour le secteur automobile et d’autres applications d’énergies renouvelables", précise le Pr. Noshin Omar, directeur général d’Avesta Battery & Energy Engineering (ABEE) BELGIUM.
Le groupe envisage de lancer une première activité dès 2023 et une unité de production entièrement belge dès 2025.
Pour répondre aux exigences européennes en la matière, ABEE prévoit également de recycler ses batteries
Ce qui lui permettrait d’amplement réaliser son objectif de giga-usine.
"Notre entreprise se concentre sur le lithium-fer-phosphate, qui ne contient pas de nickel et pas de cobalt. Cela nous permettra de les recycler et d’atteindre les objectifs fixés par la Commission européenne. C’est donc possible de recycler des batteries et de le faire en Belgique", ajoute le Pr. Noshin Omar.
"La plupart des batteries viennent d’Asie et principalement de Chine. Notre dépendance doit être réduite le plus vite possible, car on ne sait pas de quoi l’avenir sera fait. Il faut que les Etats reprennent le contrôle. Le contexte international aujourd’hui nous montre qu’il faut développer une autonomie à ce niveau-là. D’autant plus que les batteries, selon de nombreux experts, c’est la solution pour transiter vers des énergies plus propres", conclut Frédéric John, co-fondateur de D-Carbonize.
La première giga-usine de production de batteries en Belgique pourrait générer jusqu’à 500 emplois.
i les premières unités apportent des résultats concluants, le groupe ABEE envisage d’étendre son projet ailleurs sur le territoire wallon.
....
PS. A ne pas confondre avec Abée (Liège), le château (XVIIIe siècle).
BATTERIES ABEE
Après la décision de l’Europe d’interdire la vente des moteurs thermiques pour 2035 la semaine passée, se posait la question des giga-usines qu’il faut construire pour produire des batteries à une très large échelle et réaliser la transition vers d’autres énergies comme l’électrique. Une première réponse est apportée par la branche belge du groupe ABEE. Elle annonce la construction d’une giga-usine en Belgique, à Seneffe-Manage où l’on produira des milliers de batteries chaque année.
"À Seneffe-Manage, il y aura la première giga-usine du Benelux. Elle aura une capacité de 3GWh par an. Nous produirons des batteries pour le secteur automobile et d’autres applications d’énergies renouvelables", précise le Pr. Noshin Omar, directeur général d’Avesta Battery & Energy Engineering (ABEE) BELGIUM.
Le groupe envisage de lancer une première activité dès 2023 et une unité de production entièrement belge dès 2025.
Pour répondre aux exigences européennes en la matière, ABEE prévoit également de recycler ses batteries
Ce qui lui permettrait d’amplement réaliser son objectif de giga-usine.
"Notre entreprise se concentre sur le lithium-fer-phosphate, qui ne contient pas de nickel et pas de cobalt. Cela nous permettra de les recycler et d’atteindre les objectifs fixés par la Commission européenne. C’est donc possible de recycler des batteries et de le faire en Belgique", ajoute le Pr. Noshin Omar.
"La plupart des batteries viennent d’Asie et principalement de Chine. Notre dépendance doit être réduite le plus vite possible, car on ne sait pas de quoi l’avenir sera fait. Il faut que les Etats reprennent le contrôle. Le contexte international aujourd’hui nous montre qu’il faut développer une autonomie à ce niveau-là. D’autant plus que les batteries, selon de nombreux experts, c’est la solution pour transiter vers des énergies plus propres", conclut Frédéric John, co-fondateur de D-Carbonize.
La première giga-usine de production de batteries en Belgique pourrait générer jusqu’à 500 emplois.
i les premières unités apportent des résultats concluants, le groupe ABEE envisage d’étendre son projet ailleurs sur le territoire wallon.
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PS. A ne pas confondre avec Abée (Liège), le château (XVIIIe siècle).
beced- Messages : 49330
Date d'inscription : 31/12/2013
Au JT belge on n'a pas insisté sur ce sujet. Selon moi le lithium devrait venir du Portugal.Paulette a écrit:Je n'ai peut-être pas bien tout suivi, mais le lithium, ils l'auront où ?
Ce truc des voitures électriques est une vraie catastrophe pour l'humanité.
..
Ça ressemble à l abbay de val dieu là où on fait des biere la bière de val dieu.j aime bien me balader dans le parc
Flavius- Modérateur
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Date d'inscription : 17/12/2013
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Quand vous pensez que certains de nos médicaments dépendent de la bonne volonté de la Chine...!Paulette a écrit:NON !!!MrPhelps a écrit:En France ils ont des réserve aussi
Les réserves mondiales prouvées de lithium sont estimées par l'USGS, à la fin de 2021, à 22 Mt (millions de tonnes), dont 42 % au Chili, 26 % en Australie, 10 % en Argentine, 7 % en Chine et 3,4 % aux États-Unis ; l'ensemble des ressources identifiées est estimé à 89 millions de tonnes, dont 24 % en Bolivie, 21 % en Argentine, 11 % au Chili, 10 % aux États-Unis, 8 % en Australie et 6 % en Chine. La production mondiale, quant à elle, s'est élevée à 100 000 tonnes en 2021, assurée essentiellement par l'Australie (55 %), le Chili (26 %), la Chine (14 %) et l'Argentine (6 %).
Pour l'instant, nous sommes dépendants de la Chine, ce qui est une horreur !