hégémonie américaine

Flavius a écrit:
J'aimerai bien connaître leur handicap respectif...

beced a écrit:A propos du boycott ou exclusion de Trump de la plupart des réseaux sociaux, il me semble qu'il aurait été "fair" aussi, d'agir de même avec tous les messages anti-Trump.

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FLASH! "No way! You must be joking Mister Beced"  @twiit..  

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beced a écrit:A propos du boycott ou exclusion de Trump de la plupart des réseaux sociaux, il me semble qu'il aurait été "fair" aussi, d'agir de même avec tous les messages anti-Trump.

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FLASH! "No way! You must be joking Mister Beced"  @twiit..  

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beced a écrit:
Investiture de Joe Biden : un champ de 191.500 drapeaux pour compenser l'absence de foule....
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Trump pourra donc dire qu'il y avait plus de monde pour son investiture que pour celle de successeur...
 

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LV426 a écrit:
C'est pour ça qu'il ne vient pas : ça ferait une personne de plus.

LV426 a écrit:
C'est pour ça qu'il ne vient pas : ça ferait une personne de plus.

Arlequine2 a écrit:
Il aura été kh.... jusqu'au bout

LV426 a écrit:
Cette connerie-là, on ne peut pas la lui imputer puisque je viens de l'inventer.

beced a écrit:

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D'aussi loin que me porte ma mémoire, l'Europe  et d'autres ont toujours moqué ou critiqué +- à mots couverts les USA pour leur hégémonie ou ingérence : suivant sans doute le principe de la rancune que l'on a envers de ses sauveurs. Certains jusqu'à même préférer l'URSS...

L'arrivée absurde du peu sympathique Trump, d'une certaine manière,  a permis aux critiques de faire leur "coming-out". Et donc de faire, à leur tour, de l'ingérence dans la politique américaine. Au point de ne pas remarquer que les Démocrates ont littéralement saboté  (la liste est trop longue) sa présidence et le programme pour lequel il a été élu.
Un des  moment le plus absurde a été  lorsqu'il a semblé que son dialogue avec la Corée du Nord allait réussir, est qu'on a pu lire dans certains médias que certains étaient surtout affolés que Trump ne deviennent un Nobel de la Paix. On imagine le soulagement pour ces derniers quand ce rapprochement a finalement échoué.
Pour synthétiser tout cela, ce qui est anormal n'est pas vraiment Trump, mais que durant ces derniers  1540 jours les journaux de mes médias du matin au soir lui avaient consacré une place dans leurs unes.
L'arrivé logique du sympathique Biden à la Maison Blanche est dans un certain sens absurde aussi, vu que, toutes choses étant égale, il traîne les mêmes casseroles que Trump.

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beced a écrit:
Investiture de Joe Biden : un champ de 191.500 drapeaux pour compenser l'absence de foule....
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Trump pourra donc dire qu'il y avait plus de monde pour son investiture que pour celle de successeur...
 

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LV426 a écrit:
Une partie substantielle de l'anti-américanisme provient des marxistes dont les deux cibles favorites sont le capitalisme et l'impérialisme. Question impérialisme, ils trouve ou trouvaient, à tort ou à raison, un modèle de choix dans les USA.

Mais on n'a jamais bien défini ce qu'était l'anti-américanisme : est-ce l'hostilité envers les gouvernants, les présidents, le système économico-politique, le peuple américain ? C'est comme pour l'islamophobie, chacun prend la définition qui l'arrange en fonction de ce qu'il a à dire.

Pour moi, l'hostilité envers un peuple n'a pas de sens. C'est une démarche essentialiste, ce que je ne suis pas. On ne m'entendra jamais adhérer aux stéréotypes courants, dire que les Français sont râleurs, les Ecossais avares, les Italiens dragueurs, les Belges idiots ou les Allemands disciplinés. Enfin, c'est toujours pareil : quand le pluriel est transformé en singulier, quand on vole sa singularité à l'Individu, je renâcle. Pas plus que les Français, les Américains ne sont des clones les uns des autres.
Et, comme à tout peuple, je considère que je me dois de leur faire l'honneur de considérer que chacun des individus qui compose le peuple amércain a une conscience, un  libre-arbitre et une identité spécifique.

C'est également pourquoi l'argument selon lequel les Américains nous ont "sauvés" ne me parle pas : ce qui nous ont effectivement sauvés ne sont plus là ou alors, ils représentent un pourcentage inférieur à 1 de la population. De plus, ce nous (de nous ont sauvés) me dérange. Mais bon, je crois que ceux qui me connaissent un peu savent désormais que je suis un infirme du patriotisme.

Je me souviens que je n'aimais pas beaucoup George Bush junior. A un certain stade de son mandat, il n'avait plus qu'un tiers d'opinions favorables. Pouvait-on me considérer comme anti-américain alors que j'étais d'accord avec les 2/3 du peuple américain et que, à la limite, je souffrais pour eux ?

beced a écrit:Politique fiction : Trump n'a aucune chance de revenir dans 4 ans à la Présidence ....
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Sauf si par malheur Biden ne serait plus capable de faire le job (décès, maladie,âge..) et que c'est  Kamala Harris qui se (re)présente, les Républicains pourraient (si les sondages lui sont favorables) le choisir comme candidat.
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Beced, expert bullshit....  

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LV426 a écrit:
Une partie substantielle de l'anti-américanisme provient des marxistes dont les deux cibles favorites sont le capitalisme et l'impérialisme. Question impérialisme, ils trouve ou trouvaient, à tort ou à raison, un modèle de choix dans les USA.

Mais on n'a jamais bien défini ce qu'était l'anti-américanisme : est-ce l'hostilité envers les gouvernants, les présidents, le système économico-politique, le peuple américain ? C'est comme pour l'islamophobie, chacun prend la définition qui l'arrange en fonction de ce qu'il a à dire.

Pour moi, l'hostilité envers un peuple n'a pas de sens. C'est une démarche essentialiste, ce que je ne suis pas. On ne m'entendra jamais adhérer aux stéréotypes courants, dire que les Français sont râleurs, les Ecossais avares, les Italiens dragueurs, les Belges idiots ou les Allemands disciplinés. Enfin, c'est toujours pareil : quand le pluriel est transformé en singulier, quand on vole sa singularité à l'Individu, je renâcle. Pas plus que les Français, les Américains ne sont des clones les uns des autres.
Et, comme à tout peuple, je considère que je me dois de leur faire l'honneur de considérer que chacun des individus qui compose le peuple amércain a une conscience, un  libre-arbitre et une identité spécifique.

C'est également pourquoi l'argument selon lequel les Américains nous ont "sauvés" ne me parle pas : ce qui nous ont effectivement sauvés ne sont plus là ou alors, ils représentent un pourcentage inférieur à 1 de la population. De plus, ce nous (de nous ont sauvés) me dérange. Mais bon, je crois que ceux qui me connaissent un peu savent désormais que je suis un infirme du patriotisme.

Je me souviens que je n'aimais pas beaucoup George Bush junior. A un certain stade de son mandat, il n'avait plus qu'un tiers d'opinions favorables. Pouvait-on me considérer comme anti-américain alors que j'étais d'accord avec les 2/3 du peuple américain et que, à la limite, je souffrais pour eux ?

LV426 a écrit:
Cette connerie-là, on ne peut pas la lui imputer puisque je viens de l'inventer.

Arlequine2 a écrit:
NON, ce n'est pas ce que je voulais laisser entendre, mais qu'il aura été stupide (voire kh...) jusqu'au bout en refusant de venir à l'investiture de son successeur, de ne pas admettre sa défaite, de s'envoler vers sa magnifique maison en Californie (???) en un mot de se comporter comme un kh

Je me suis mal exprimée, pas assez argumenté

ps : de toutes les façons, on n'a pas fini d'entendre parler de lui car il a des casseroles au c...l

Arlequine2 a écrit:NON, ce n'est pas ce que je voulais laisser entendre, mais qu'il aura été stupide (voire kh...) jusqu'au bout en refusant de venir à l'investiture de son successeur, de ne pas admettre sa défaite, de s'envoler vers sa magnifique maison en Californie (???) en un mot de se comporter comme un kh

Je me suis mal exprimée, pas assez argumenté

ps : de toutes les façons, on n'a pas fini d'entendre parler de lui car il a des casseroles au c...l

Azalee a écrit:
En Floride la maison.  Les golfs sont meilleurs la-bas.

beced a écrit:

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D'aussi loin que me porte ma mémoire, l'Europe  et d'autres ont toujours moqué ou critiqué +- à mots couverts les USA pour leur hégémonie ou ingérence : suivant sans doute le principe de la rancune que l'on a envers de ses sauveurs. Certains jusqu'à même préférer l'URSS...

En fait, après guerre, c'est la guerre froide. Et deux idéologies s'affrontent : le communisme et pour faire vite le capitalisme. les pays du rideau de fer et les pays occidentaux. Et pour aller plus vite encore, l'Est et l'Ouest. Et les gens vont se positionner en fonction de ces deux idéologies.

Les communistes affirmeront que ce sont les Russes qui ont gagné la guerre. Et ils ont raison. Il est évident que sans les Russes et le sacrifice humain accepté, la guerre n'aurait pu être gagnée. Les communistes feront passer cette idée dans toutes les institutions et les élites. Il ne faut pas oublier que les communistes font à cette époque 25% des votants. Tous les mouvements pacifiques sont financés par l'URSS, comme les syndicats du type CGT.  Et la propagande fonctionne à merveille.
Et puis pour peu que l'on connaisse un l'histoire de cette période, il est historique que les Américains ne voulaient absolument pas entrer dans cette guerre, malgré les pressions françaises et surtout Britanniques. Le conflit débutera en 1939. Ils entreront en guerre le 7 décembre 1941. Il faudra attendre l'attaque-surprise du Port de Pearl Harbor par l'aviation japonaise, pour que les Etats-Unis déclarent, dès le lendemain, la guerre au Japon et aux puissances de l'Axe. 

L'Ouest, a aussi ces arguments : Pacte germano-soviétique d'août 1939. Ensuite les Américains établiront un crédit-bail aux soviétiques afin qu'ils puissent s'armer. Sans l'argent - les armes -Et les G.I., l'Europe serait devenus ou Allemands ou un bloc satellite de l'URSS.

L'arrivée absurde du peu sympathique Trump, d'une certaine manière,  a permis aux critiques de faire leur "coming-out". Et donc de faire, à leur tour, de l'ingérence dans la politique américaine. Au point de ne pas remarquer que les Démocrates ont littéralement saboté  (la liste est trop longue) sa présidence et le programme pour lequel il a été élu.

Les Français ont toujours rêvé de pouvoir élire le président des USA. La France étant de Centre gauche, elle se sent plus près des démocrates. Or les présidents républicains ont toujours été meilleurs que les démocrates. D'où, une frustration qui prend source dans notre volonté de voir ces présidents, prendre soins de notre pays ; alors que les présidents américains, républicains, comme démocrates, s'efforcent avant tout de défendre les intérêts américains, ce pourquoi ils sont élus. Nous sommes présidés avant tout par nos émotions, alors que nous devrions l'être par nos intérêts nationaux. On a pas pour mission de sauver la planète.
Nos dirigeants n'ont toujours pas compris que la vie s'est fondée sur un rapport de force, et non sur l'altruisme et l'émotion. Alors ça sera toujours America first.
 
Un des  moment le plus absurde a été  lorsqu'il a semblé que son dialogue avec la Corée du Nord allait réussir, est qu'on a pu lire dans certains médias que certains étaient surtout affolés que Trump ne deviennent un Nobel de la Paix. On imagine le soulagement pour ces derniers quand ce rapprochement a finalement échoué.

Les démocrates, comme la gauche chez nous est toujours dans la revanche. Mais aux USA, c'est je crois un phénomène nouveau. Curieusement les Américains sont devenus politiques, ce qu'ils n'étaient pas. L'idéologie wok et la cancel culture règnent dans les universités. 

Pour synthétiser tout cela, ce qui est anormal n'est pas vraiment Trump, mais que durant ces derniers  1540 jours les journaux de mes médias du matin au soir lui avaient consacré une place dans leurs unes.
L'arrivé logique du sympathique Biden à la Maison Blanche est dans un certain sens absurde aussi, vu que, toutes choses étant égale, il traîne les mêmes casseroles que Trump.

Tout à fait d'accord.
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LV426 a écrit:
Principe de précaution. J'ai hésité mais, même s'il n'y avait qu'une chance sur 100 que mon interprétation de ta réponse soit la bonne, je ne voulais pas risquer de laisser passer un malentendu.

Ça m'a amusé un temps de me moquer de Donald Trump -- faut dire que le personnage de manque pas d'angles pour ça -- mais ça a fini par me lasser de hurler avec les loups. Je suis trop anticonformiste.

Mais, quand même, rien que pour embêter ceux que l'anti-trompettisme primaire énerve, je balance, une fois encore, ma dernière cartouche en forme de fugue... pour la route. Que voulez-vous, on ne se refait pas : je suis né sale gosse. 

La démarche (la mienne et celle de l'auteur) est d'une puérilité inimaginable  mais la musique -- à la manière de JS Bach -- est chouette.



Y'a pas vraiment de quoi exulter. Je crains fort que Joe Biden....ça ne soit pas terrible. 

LV426 a écrit:J'espère qu'il pourra continuer à tweeter, qu'on rigole un peu.

Zut, vla qu'ça m'reprend !
Docteur, y'a pas un vaccin contre le virus anti-Trump ?

Azalee a écrit:
Il pourra pas, son compte est fermé définitivement.