Forum sur l'actualité et la culture
Moi non plus. Je n’ai jamais trouvé un curé disposant de suffisamment de temps ou assez jeune pour écouter mes péchés. Deux sont déjà morts avant que je n’ai terminé d’énoncer tous mes péchés...Azalee a écrit:
Mouais. Je ne sais pas je ne suis jamais allée à confesse.
L'odeur des maisons de la presse. L'odeur de papier des magazines. A chaque fois que j'y mets les pieds, je me retrouve en train d'aller acheter mon Tintin ou d'autres BD avec les sous de grand-mère.Azalee a écrit:
L'odeur de la confiture de groseilles ou de framboises sur le feu... hmmmm
LV426 a écrit:
L'odeur des maisons de la presse. L'odeur de papier des magazines. A chaque fois que j'y mets les pieds, je me retrouve en train d'aller acheter mon Tintin ou d'autres BD avec les sous de grand-mère.
Pour les souvenirs, ça commence autour de 4 ans en ce qui me concerne. Et les plus vivaces coïncident avec les moments où j'ai appris des mots nouveaux ou des expressions nouvelles. C'est marrant, un souvenir qui ressort, très aigu, au milieu d'un océan de flou.
Souvenirs d'enfance, pour moi cela commence dès 4 ans, lorsqu'à la campagne je donnais à manger aux poules et aux oies, mais là, un jars avait été bien agressif, et j'en ai eu une peur bleue, purée sale bête, quelle trouille j'ai eu Et vous aviez la chance de vivre à la campagne, ce moi enfant de la cité, en rêvait dès l'âge de 6 ans.Arlequine a écrit:
Sinon, aussi les confitures d'une grand-mère qui me récupérait de la maternelle, framboises, groseilles : après quelques mauvais souvenirs, mais c'est la Vie, hélas !!!!
Bien vu l'odeur du papier..enfin bien senti. Mon père m'accompagnait à l'école et je me souviens de ma menotte, dans sa main longue et puissante. Il faisait 1,85 m. Mais avant d'entrer dans la cour de l'école, il m'emmenait dans une petite maison de la presse où il me ravitaillait en cochonneries dont j'étais si friand, comme les rouleaux de réglisse et autres roudoudous, guimauve et tout ce qui se faisait à l'époque dans le genre. Les mistrals gagnants sont venus un peu plus tard je crois. C'était un moment délicieux pour moi, mais trop fugace. Mon père m'impressionnait, mais je me sentais en sécurité avec lui.LV426 a écrit:
L'odeur des maisons de la presse. L'odeur de papier des magazines. A chaque fois que j'y mets les pieds, je me retrouve en train d'aller acheter mon Tintin ou d'autres BD avec les sous de grand-mère.
Pour les souvenirs, ça commence autour de 4 ans en ce qui me concerne. Et les plus vivaces coïncident avec les moments où j'ai appris des mots nouveaux ou des expressions nouvelles. C'est marrant, un souvenir qui ressort, très aigu, au milieu d'un océan de flou.
On donnait à manger aux poules et ensuite on cueillait les cerises (confitures à faire) mais avec la copine on en mangeait la moitiéFlavius a écrit:
Et vous aviez la chance de vivre à la campagne, ce moi enfant de la cité, en rêvait dès l'âge de 6 ans.
Vous savez que tous les petits citadins rêvaient de donner à manger aux bêtes de la ferme... C'est vers 14 ans, qu'avec un copains nous sommes montés aux lilas qui représentait encore la plus proche des campagnes. On 'y trouvait que des chiens, des chats et des lapins, mais déjà plus de vaches. Mais cela nous permettait de rêver...Nous arrachions maladroitement des branches de lilas et bien sûr nous nous nous faisons courser par les propriétaires en furie. Ce lilas était notre billet retour pour la ville, car nous le vendions ensuite à des gens que nous croisions dans la rue.
Azalee a écrit:
Mouais. Je ne sais pas je ne suis jamais allée à confesse.
Tu iras en enfer ! 
Qui te dit qu'elle n'y est pas déjà ?Moiself a écrit:
On se donne rendez-vous ?Moiself a écrit:
Et je l'attends de pied ferme.Flavius a écrit:
Qui te dit qu'elle n'y est pas déjà ?
Flavius a écrit:
Qui te dit qu'elle n'y est pas déjà ?
C'est le petit démon de Moiself qui la ramène ? Il se prend déjà pour Lucifer alors qu'il a peur de traverser une forêt dès la nuit tombéeAzalee a écrit:
Et je l'attends de pied ferme.
Azalee a écrit:
On se donne rendez-vous ?
Ben là, c'est seulement le purgatoire. Avec Nivololo, on change de level. On passe aux choses sérieuses.Moiself a écrit:
C'est bien possible, à voir l'ardeur avec laquelle elle me punit avec ses fessées.
J'aimerai pas être à sa place...Azalee a écrit:
Et je l'attends de pied ferme.
J'allais le dire...Flavius a écrit:
Ben là, c'est seulement le purgatoire. Avec Nivololo, on change de level. On passe aux choses sérieuses.
Flavius a écrit:
C'est le petit démon de Moiself qui la ramène ? Il se prend déjà pour Lucifer alors qu'il a peur de traverser une forêt dès la nuit tombée
Qu'est-ce que le chef de la CGT ferait avec une horloge sur le dos ?Moiself a écrit:
Tu dis cela, pcq un jour j'ai dit que si je rencontrais le chef de la CGT avec une horloge sur le dos au coin d'un bois, je ne lui demanderais pas l'heure.
Ben oui. Le moustachu doit être traité avec respect, mais sans compassion aucune. Et puis, ce n'est pas un homme sandwich comme vous le suggérait.Moiself a écrit:
Tu dis cela, pcq un jour j'ai dit que si je rencontrais le chef de la CGT avec une horloge sur le dos au coin d'un bois, je ne lui demanderais pas l'heure.
Ben oui c'est vrai cela !Azalee a écrit:
Qu'est-ce que le chef de la CGT ferait avec une horloge sur le dos ?
Il déraille le Moiself. Le Martinez a plus une tête de Dupont qu'une ressemblance avec l'horloge de la gare de Lyon.Il confond Martinez avec l'horloge parlante ?Flavius a écrit:
Ben oui c'est vrai cela !
Ben pour tout te dire, s'il n'y a aucune ressemblance avec une horloge, je dois dire que ses discours sont aussi dignes d'intérêt que ceux délivrés par l'horloge parlante. Encore que, elle au moins change toute les secondes...Azalee a écrit:
Il confond Martinez avec l'horloge parlante ?
Flavius a écrit:
Vous savez que tous les petits citadins rêvaient de donner à manger aux bêtes de la ferme... C'est vers 14 ans, qu'avec un copains nous sommes montés aux lilas qui représentait encore la plus proche des campagnes. On 'y trouvait que des chiens, des chats et des lapins, mais déjà plus de vaches. Mais cela nous permettait de rêver...Nous arrachions maladroitement des branches de lilas et bien sûr nous nous nous faisons courser par les propriétaires en furie. Ce lilas était notre billet retour pour la ville, car nous le vendions ensuite à des gens que nous croisions dans la rue.
Vous êtes une petite fille charmante sur la photo.
Que vous n’ayez pas changé, j’en suis persuadé. Juste pris quelques centimètres. J’espère pour vous en tout cas...Arlequine a écrit:
Déjà la bosse du commerce à l'époque ????!!!!
merci pour le compliment, les années ont passé, mais "non, je n'ai pas changé, je suis toujours.............."" Julio Iglesias
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