Non je me souviens d un marcel donc j ai pas un très bon souvenir donc si vous pouviez eviter de dire ce prénom je préféraisPaulette a écrit:
Vous ne devez pas lire Marcel, alors !
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Un programme pour la France ; un président pour l'appliquer.
Ymar- Messages : 17672
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MrPhelps a écrit:
Drôle de monde le show business j ai vu le témoignage de celle qui joue Caroline ingals dans la petite maison dans la praire, il parait que celui qui faissait Charles ïngals c’est était un gars audieu sexiste alcolique il faissait des blague sur le sex tout le temps il humiliait celle qui joue Caroline la rabaissait tout le temps et a l écran
Heureusement ils ne sont pas en majorité ainsi, j'ai travaillé pas mal avec A.Plasshaert pour les shows télévisés et il faisait très
attention à ce qu'il pouvait se passer en coulisses, il n'admettait pas les écarts.
Les plus pénibles sont souvent les assistants, pas tous, qui se sentent investis de pouvoir ou autorité et pour qui les nouvelles
étaient des proies, du butin comme le pensent certain. mais nos agences nous prévenaient et une simple remarque émise en
présence d'autres personnes les calmait vite fait bien fait!
PA
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Eh ben, moi, c'est Damien qui me fait cet effet.MrPhelps a écrit:
Non je me souviens d un marcel donc j ai pas un très bon souvenir donc si vous pouviez eviter de dire ce prénom je préférais
Ah, zut, je l'ai dit, je vais encore me gratter pendant une semaine.
(mes excuses si quelqu'un s'appelle comme ça en vrai).
Invité- Invité
Faites gaffe ! Marcel c'était mon beau-père et Damien, c'est mon fillot.
Pas touche !
Pas touche !
cristaline- Messages : 27107
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Un nouveau révolutionnaire en marche !
Après le facteur, on demande le cheminot ! Dans le grand jeu des sept familles de l’extrême gauche, est apparu un nouveau personnage : Anasse Kazib, 34 ans, aiguilleur, père de deux enfants, gagnant 1 700 euros par mois et… candidat annoncé à la présidentielle, revendiquant déjà 150 parrainages. Doté d’un vrai franc-parler et d’un sens certain de la polémique, le syndicaliste SUD-Rail Anasse Kazib affirme faire souffler un « vent de fraîcheur » sur une extrême gauche un peu poussiéreuse, mais, en dépit sa jeunesse, son discours fleure bon le marxisme des années 1960 : refus des étiquettes politiques, vocabulaire au classicisme suranné – « lutte des classes », « impérialisme », « oppressions »… Tout y est.
Seule vraie nouveauté, l’usage intensif des réseaux sociaux et l’intégration des marqueurs d’une pensée clairement intersectionnelle et décoloniale (tout en prétendant ne pas voir de quoi il s’agit, sacrés trotskistes…). En froid avec ses anciens amis du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), le candidat se lance avec l’étiquette Révolution permanente, nom d’une scission politique, dont l’extrême gauche française a le secret. Repéré lors des manifestations de cheminots en 2018, Anasse Kazib est régulièrement invité sur les plateaux d’émissions populaires, comme Les Grandes Gueules ou Touche pas à mon poste. Sandrine Rousseau a désormais de la concurrence médiatique ! Discussion fleuve éclairante – parfois agaçante – sur les vents contraires qui balaient une partie de la gauche…
Le Point : Vous vous êtes fait connaître comme cheminot SUD-Rail, puis comme militant NPA, maintenant comme membre de Révolution permanente… Qu’est-ce que Révolution permanente ?
Anasse Kazib : Révolution permanente est, à l’origine, une tendance du Nouveau Parti anticapitaliste. Au bout de plusieurs années où les désaccords politiques se sont accumulés, nous avons été, disons, poussés vers la sortie après l’annonce de ma précandidature à la présidentielle en avril dernier.
Quelles sont vos lignes de fracture politique ?
Elles portent sur des questions de stratégie et sur le type d’organisation à construire. Nous avons toujours considéré que le NPA, qui prévoyait le regroupement des anticapitalistes, manquait d’une boussole stratégique claire, d’un projet en positif, communiste et révolutionnaire. Au fil des années, cette absence de projet l’a souvent amené à se diluer dans des fronts avec des gens qui ont une autre ligne stratégique, comme LFI. Et il y a aussi d’autres désaccords de plus longue date, comme la question du rapport aux directions syndicales ou encore de l’abandon de la perspective de ce que Marx appelait la dictature du prolétariat…
Vous croyez à la dictature du prolétariat ?
Oui ! Dans son sens le plus simple, c’est-à-dire un gouvernement des travailleuses et des travailleurs. On peut considérer d’une certaine manière aujourd’hui que l’on vit dans une dictature de la classe capitaliste. Il ne s’agit pas d’une dictature au sens politique du terme, mais au sens d’une domination sociale, tout simplement… Nous vivons dans une « démocratie bourgeoise », une démocratie certes, mais dont l’ensemble des institutions sont dirigées et gérées par une classe dominante qui, de fait, défend ses propres intérêts de classe. Un gouvernement des travailleurs aurait l’avantage d’être un gouvernement de la majorité de la population, pas d’une minorité de parasites qui vivent du travail d’autrui.
Après le facteur, on demande le cheminot ! Dans le grand jeu des sept familles de l’extrême gauche, est apparu un nouveau personnage : Anasse Kazib, 34 ans, aiguilleur, père de deux enfants, gagnant 1 700 euros par mois et… candidat annoncé à la présidentielle, revendiquant déjà 150 parrainages. Doté d’un vrai franc-parler et d’un sens certain de la polémique, le syndicaliste SUD-Rail Anasse Kazib affirme faire souffler un « vent de fraîcheur » sur une extrême gauche un peu poussiéreuse, mais, en dépit sa jeunesse, son discours fleure bon le marxisme des années 1960 : refus des étiquettes politiques, vocabulaire au classicisme suranné – « lutte des classes », « impérialisme », « oppressions »… Tout y est.
Seule vraie nouveauté, l’usage intensif des réseaux sociaux et l’intégration des marqueurs d’une pensée clairement intersectionnelle et décoloniale (tout en prétendant ne pas voir de quoi il s’agit, sacrés trotskistes…). En froid avec ses anciens amis du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), le candidat se lance avec l’étiquette Révolution permanente, nom d’une scission politique, dont l’extrême gauche française a le secret. Repéré lors des manifestations de cheminots en 2018, Anasse Kazib est régulièrement invité sur les plateaux d’émissions populaires, comme Les Grandes Gueules ou Touche pas à mon poste. Sandrine Rousseau a désormais de la concurrence médiatique ! Discussion fleuve éclairante – parfois agaçante – sur les vents contraires qui balaient une partie de la gauche…
Le Point : Vous vous êtes fait connaître comme cheminot SUD-Rail, puis comme militant NPA, maintenant comme membre de Révolution permanente… Qu’est-ce que Révolution permanente ?
Anasse Kazib : Révolution permanente est, à l’origine, une tendance du Nouveau Parti anticapitaliste. Au bout de plusieurs années où les désaccords politiques se sont accumulés, nous avons été, disons, poussés vers la sortie après l’annonce de ma précandidature à la présidentielle en avril dernier.
Quelles sont vos lignes de fracture politique ?
Elles portent sur des questions de stratégie et sur le type d’organisation à construire. Nous avons toujours considéré que le NPA, qui prévoyait le regroupement des anticapitalistes, manquait d’une boussole stratégique claire, d’un projet en positif, communiste et révolutionnaire. Au fil des années, cette absence de projet l’a souvent amené à se diluer dans des fronts avec des gens qui ont une autre ligne stratégique, comme LFI. Et il y a aussi d’autres désaccords de plus longue date, comme la question du rapport aux directions syndicales ou encore de l’abandon de la perspective de ce que Marx appelait la dictature du prolétariat…
Vous croyez à la dictature du prolétariat ?
Oui ! Dans son sens le plus simple, c’est-à-dire un gouvernement des travailleuses et des travailleurs. On peut considérer d’une certaine manière aujourd’hui que l’on vit dans une dictature de la classe capitaliste. Il ne s’agit pas d’une dictature au sens politique du terme, mais au sens d’une domination sociale, tout simplement… Nous vivons dans une « démocratie bourgeoise », une démocratie certes, mais dont l’ensemble des institutions sont dirigées et gérées par une classe dominante qui, de fait, défend ses propres intérêts de classe. Un gouvernement des travailleurs aurait l’avantage d’être un gouvernement de la majorité de la population, pas d’une minorité de parasites qui vivent du travail d’autrui.
Invité- Invité
Anasse Kazib est un islamiste notoire qui refuse de serrer les mains des femmes, et ça n'est pas le pire des défauts.cristaline a écrit:Un nouveau révolutionnaire en marche !
Après le facteur, on demande le cheminot ! Dans le grand jeu des sept familles de l’extrême gauche, est apparu un nouveau personnage : Anasse Kazib, 34 ans, aiguilleur, père de deux enfants, gagnant 1 700 euros par mois et… candidat annoncé à la présidentielle, revendiquant déjà 150 parrainages. Doté d’un vrai franc-parler et d’un sens certain de la polémique, le syndicaliste SUD-Rail Anasse Kazib affirme faire souffler un « vent de fraîcheur » sur une extrême gauche un peu poussiéreuse, mais, en dépit sa jeunesse, son discours fleure bon le marxisme des années 1960 : refus des étiquettes politiques, vocabulaire au classicisme suranné – « lutte des classes », « impérialisme », « oppressions »… Tout y est.
Seule vraie nouveauté, l’usage intensif des réseaux sociaux et l’intégration des marqueurs d’une pensée clairement intersectionnelle et décoloniale (tout en prétendant ne pas voir de quoi il s’agit, sacrés trotskistes…). En froid avec ses anciens amis du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), le candidat se lance avec l’étiquette Révolution permanente, nom d’une scission politique, dont l’extrême gauche française a le secret. Repéré lors des manifestations de cheminots en 2018, Anasse Kazib est régulièrement invité sur les plateaux d’émissions populaires, comme Les Grandes Gueules ou Touche pas à mon poste. Sandrine Rousseau a désormais de la concurrence médiatique ! Discussion fleuve éclairante – parfois agaçante – sur les vents contraires qui balaient une partie de la gauche…
Le Point : Vous vous êtes fait connaître comme cheminot SUD-Rail, puis comme militant NPA, maintenant comme membre de Révolution permanente… Qu’est-ce que Révolution permanente ?
Anasse Kazib : Révolution permanente est, à l’origine, une tendance du Nouveau Parti anticapitaliste. Au bout de plusieurs années où les désaccords politiques se sont accumulés, nous avons été, disons, poussés vers la sortie après l’annonce de ma précandidature à la présidentielle en avril dernier.
Quelles sont vos lignes de fracture politique ?
Elles portent sur des questions de stratégie et sur le type d’organisation à construire. Nous avons toujours considéré que le NPA, qui prévoyait le regroupement des anticapitalistes, manquait d’une boussole stratégique claire, d’un projet en positif, communiste et révolutionnaire. Au fil des années, cette absence de projet l’a souvent amené à se diluer dans des fronts avec des gens qui ont une autre ligne stratégique, comme LFI. Et il y a aussi d’autres désaccords de plus longue date, comme la question du rapport aux directions syndicales ou encore de l’abandon de la perspective de ce que Marx appelait la dictature du prolétariat…
Vous croyez à la dictature du prolétariat ?
Oui ! Dans son sens le plus simple, c’est-à-dire un gouvernement des travailleuses et des travailleurs. On peut considérer d’une certaine manière aujourd’hui que l’on vit dans une dictature de la classe capitaliste. Il ne s’agit pas d’une dictature au sens politique du terme, mais au sens d’une domination sociale, tout simplement… Nous vivons dans une « démocratie bourgeoise », une démocratie certes, mais dont l’ensemble des institutions sont dirigées et gérées par une classe dominante qui, de fait, défend ses propres intérêts de classe. Un gouvernement des travailleurs aurait l’avantage d’être un gouvernement de la majorité de la population, pas d’une minorité de parasites qui vivent du travail d’autrui.
Le qualifier de marxiste est une erreur, ne serait-ce que par le rôle de la religion dans son "combat".
La dictature du prolétariat n'est pas son sujet. Il fait de l'entrisme islamique dans le syndicat Sud. La dictature qu'il appelle de ses vœux n'est autre qu'islamique, tendance frère musulman.
Il est en passe d'évincer Besancenot à la Tête du NPA. Voilà ce qui arrive à la gauche quand elle flirte de trop près avec les islamistes : ils se font bouffer.
Ymar- Messages : 17672
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 72
Localisation : A l'Ouest
Azalee a écrit:
Anasse Kazib est un islamiste notoire qui refuse de serrer les mains des femmes, et ça n'est pas le pire des défauts.
Le qualifier de marxiste est une erreur, ne serait-ce que par le rôle de la religion dans son "combat".
La dictature du prolétariat n'est pas son sujet. Il fait de l'entrisme islamique dans le syndicat Sud. La dictature qu'il appelle de ses vœux n'est autre qu'islamique, tendance frère musulman.
Il est en passe d'évincer Besancenot à la Tête du NPA. Voilà ce qui arrive à la gauche quand elle flirte de trop près avec les islamistes : ils se font bouffer.
Encore une élite issue de la diversité ramadienne sûrement! Pouah!
Ymar- Messages : 17672
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 72
Localisation : A l'Ouest
Hier soir avant de dormir nous avons un peu fait le tour des infos de France en replayant et nous avons trouvé les candidats
d'une grande morosité, d'un triste à mourir donc pour ne pas nous suicider nous avons donc décidé de nous moquer d'eux
et nous avons donc bien rigolé !
Leurs visages sérieux et mornes n'incitent vraiment pas à les suivre ...
Quand aux journalistes, chroniqueurs et invités j'ai eu l'impression d'assister à qui deglinguera le plus vite les interlocuteurs!
Ils vous préparent un semestre des plus drôles...
d'une grande morosité, d'un triste à mourir donc pour ne pas nous suicider nous avons donc décidé de nous moquer d'eux
et nous avons donc bien rigolé !
Leurs visages sérieux et mornes n'incitent vraiment pas à les suivre ...
Quand aux journalistes, chroniqueurs et invités j'ai eu l'impression d'assister à qui deglinguera le plus vite les interlocuteurs!
Ils vous préparent un semestre des plus drôles...
Mutine aime ce message
Ymar- Messages : 17672
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 72
Localisation : A l'Ouest
Deux petits extraits qui m'ont fait plaisir car ils font partie des journalistes qui exposent bien les situations, Judith Weintraub
et Yves Thréard, je les apprécie vraiment.
et Yves Thréard, je les apprécie vraiment.
cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
Ymar a écrit:Deux petits extraits qui m'ont fait plaisir car ils font partie des journalistes qui exposent bien les situations, Judith Weintraub
et Yves Thréard, je les apprécie vraiment.
Je ne vois pas les extraits mais j'aime beaucoup Y. Thréard !
Invité- Invité
C'est comme quand on écrit en pièce jointe et qu'il n'y a pas de pièce jointe.
Ymar- Messages : 17672
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 72
Localisation : A l'Ouest
Effectivement en zappant j'ai vu deux extraits où ces personnes étaient présentes et en écrivant le msg j'ai oublié * J'ai vu... *
Invité- Invité
Anne Hidalgo ce jour au JT de 13 heures, pathétique je trouve : elle ne répond pas aux questions posées de façon concrète, mais que du bla/bla bla, "moi si je suis élue"
Comment faire revenir les médecins ou personnel soignant démissionnaires, comment améliorer les conditions de travail dans les hôpitaux afin d'assurer de meilleurs soins aux malades ?????
Elle n'a eu de cesse de taper sur le gouvernement en évoquant la suppression de lits, mais pour proposer des solutions censées, là niet
Comment faire revenir les médecins ou personnel soignant démissionnaires, comment améliorer les conditions de travail dans les hôpitaux afin d'assurer de meilleurs soins aux malades ?????
Elle n'a eu de cesse de taper sur le gouvernement en évoquant la suppression de lits, mais pour proposer des solutions censées, là niet
Invité- Invité
Hidalgo dit ce qu'elle veut faire, mais sans dire comment elle va le faire.Arlequine3 a écrit:Anne Hidalgo ce jour au JT de 13 heures, pathétique je trouve : elle ne répond pas aux questions posées de façon concrète, mais que du bla/bla bla, "moi si je suis élue"
Comment faire revenir les médecins ou personnel soignant démissionnaires, comment améliorer les conditions de travail dans les hôpitaux afin d'assurer de meilleurs soins aux malades ?????
Elle n'a eu de cesse de taper sur le gouvernement en évoquant la suppression de lits, mais pour proposer des solutions censées, là niet
Ses propos sont creux et ne veulent rien dire.
Invité- Invité
Tout à fait !!!Azalee a écrit:Hidalgo dit ce qu'elle veut faire, mais sans dire comment elle va le faire.
Ses propos sont creux et ne veulent rien dire.
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Paulette a écrit:Hidalgo ? t'as oublié que c'est Annie Dingo ? (c'est toi qui l'as dit )Azalee a écrit:
Hidalgo dit ce qu'elle veut faire, mais sans dire comment elle va le faire.
Ses propos sont creux et ne veulent rien dire.
Il n'y a qu'avec Hidalgo que j'arrive à accéder à la notion vertigineuse du vide abyssal...!
Invité- Invité
En effet. Je ne l'ai pas mis, mais j'y ai pensé très fort.Paulette a écrit:
Hidalgo ? t'as oublié que c'est Annie Dingo ? (c'est toi qui l'as dit )
Invité- Invité
Elle n'a même pas l'intelligence de préparer ses interventions et de les faire écrire.Flavius a écrit:
Il n'y a qu'avec Hidalgo que j'arrive à accéder à la notion vertigineuse du vide abyssal...!
Elle improvise en permanence et elle est incapable de répondre intelligemment à une question de journaliste, allant jusqu'à dire que leur question est nulle.
cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
Paulette a écrit:
Hidalgo ? t'as oublié que c'est Annie Dingo ? (c'est toi qui l'as dit )
Non c’est moi : relevé sur un courrier de lecteurs
Invité- Invité
C'est bien le problème.Paulette a écrit:D'un autre côté, il faudrait qu'elle connaisse d'avance les questions