cristaline a écrit:Perso, et quitte à choquer, je suis surprise en bien par Macron, pour qui je n'ai pas voté ; il hérite d'un pays dans un état catastrophique, il ne peut pas faire de miracle
Concernant l'APL ( dont mes enfants ont bénéficié, ce qui nous déchargeait, nous, les parents, d'autant), je ne suis pas choquée : à force d'aider à tout va, dans tous les domaines, on s'est habitués à la gratuité, à avoir des sous en plus ; dans le même temps, qui n'a pas son smartphone ???? Avec forcément le forfait qui va avec ??? Alors, franchement, 5€, faut pas déconner, ce n'est pas la ruine
Sur le Point.fr, la question est posée "le gouvernement a-t-il raison de rogner les APL"? J'ai répondu "oui", sans hésiter ; résultat : 74,5 OUI, 21,5 NON...
J'attends qu'on arrête aussi de distribuer du fric pour la rentrée scolaire, encore une "aide" stupide, qu'il vaudrait mieux octroyer en nature...
Ce que j'attends, en revanche, c'est qu'il trouve le moyen de donner à tous le moyen de gagner sa vie avec un vrai boulot...
Christone,
Je suis d'accord avec toi sur l'ensemble de ton msg.
La seule subvention, aide ou quoi que ce soit dont mon ex et moi avons bénéficié
pour notre fille fût la prime de naissance si cela s'appelait ainsi, that's it!
Je suis loin de me plaindre car celle-ci a pu arriver à son objectif mais je comprends
que des personnes puissent râler maintenant le flou artistique concernant l'obtention
de ces aides doit absolument être revu,
à tous niveaux, la prise en compte doit être
plus rapide et l'administratif allégé de manière à pouvoir mettre plus de moyens sur
les suivis de contrôle des bénéficiaires car beaucoup omettent d'actualiser leurs
situations, facteur non négligeable de la fraude.
Pour ce que j'ai surligné, il faut tout d'abord uniformiser les besoins par niveau,
déterminer sans excès le nécessaire ( copies couleurs, etc ... ) et donc fournir
le matériel et non de l'argent car celui-ci est trop dévoyé par les parents.
Ce n'est que mon avis.
Toutes ces décisions ne sont pas aisées à prendre et à mettre en place mais il faut
assainir les finances comme partout et cesser de s'apitoyer ou reporter la faute sur
les autres.
Les autorités santé du Manitoba viennent de fermer cinq mini cliniques d'urgence
Francophones, tu vois la raison est dans ce dernier mot car les revendications
communautaires avaient pris le pas sur le bon sens d'autant plus que la majorité
de la population parle les deux langues et les soins seront dispensés en hôpital.