par beced Lun 16 Mar 2020 - 8:16
L’influence qu’a l’épidémie de Coronavirus en Iran sur les activités de son armée, notamment en Syrie et au Liban.
Les chiffres des morts et des personnes infectées sont incontrôlables mais ce qui est sûr est que ceux donnés par la dictature théocratique sont absolument faux et sous-évalués. Le nombre de morts pourrait dépasser les 3 000 victimes, selon les moudjahidines Khalk [ou Organisation des Moudjahidines du Peuple Iranien (OMPI)] qui combattent les ayatollahs ainsi que d’autres associations de l’opposition civile iranienne avec lesquelles nous sommes en relation.
Ce qui nous apparaît certain est que l’Iran est le second pays le plus touché par la pandémie après la Chine, tant au nombre des décès qu’à celui des personnes infectées. Cette dernière estimation ne fait pas l’ombre d’un doute, tout comme le fait que la "République" Islamique d’Iran ne dispose pas des matériels et des personnels médicaux en quantité suffisante pour faire face à la maladie. L’Iran est en passe de devenir le premier foyer mondial du Coronavirus.
On peut simplement s’en persuader en comptant le nombre élevé de ministres et de conseillers malades, certains dans le premier cercle du "Guide suprême", à l’instar d’Ali Akbar Velayati, son principal conseiller. Velayati, pédiatre de formation, qui fut ministre des Affaires Etrangères de décembre 1981 à août 1997.
Nombreux sont aussi les officiers des Pasdaran et les conseillers iraniens à être atteints par la maladie. Cela met en doute non seulement leur aptitude à combattre mais aussi la menace qu’ils contaminent massivement le reste de l’Armée ainsi que les personnes qu’ils rencontrent.
On sait avec certitude à ce propos que des délégations iraniennes ont contagionné un grand nombre de dirigeants du Hezbollah. Les Iraniens étaient évidemment entrés au Liban sans avoir à se soumettre au moindre contrôle. Des rumeurs persistantes courent aussi à Beyrouth selon lesquelles Hassan Nasrallah, Secrétaire général du Hezb., aurait été contaminé par ces encombrants visiteurs.
D’après Michaël Béhé, le chef de la Ména libanaise, ces soupçons concernant Nasrallah sont cependant invérifiables.
(Source: "la mena.org)