Ils l'ont fait ,ils l'ont fait Ils ont fait Mimi Mathy capitaine de police dans l'activeSabbatha a écrit:
Pourquoi pas, mais pourquoi pas, surtout, faire une vraie oeuvre personnelle!!
Honnêtement je ne vois pas l'intérêt de changer le sexe des personnages, dans cette pièce en tous les cas.
Par contre, faites-moi un Rambo au féminin......là au moins je rigolerais!!!!
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Le droit des femmes
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Re: Le droit des femmes
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Re: Le droit des femmes
Même qu'à la fin elle se suicide, comme des policiers, en se pendant à la branche d'un banzai.Pasta a écrit:
Ils l'ont fait ,ils l'ont fait Ils ont fait Mimi Mathy capitaine de police dans l'active
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- Message n°53
Re: Le droit des femmes
beced a écrit:
Depuis la Bible tout a été déjà dit sur le des relations humaines: ce n'est donc pas vraiment pas une raison pour ne pas en parler ou proposer un autre regard sur ces sujets. Sur Youtube on appelle cela un(e) "cover"...
Par exemple le " Roméo&Juliette" Shakespeare a donné de l'inspiration à plusieurs auteur(e)s sans que cela ne cause un émoi quelconque ou un préjudice au Grand Will.
Et donc pourquoi pas Cyrano au féminin? Surtout si l'on sait que l'intention n'est pas de masquer l'oeuvre d'origine.
Bien de cet avis aussi et certains avis, après avoir vu la pièce, sont d'ailleurs fort élogieux :
"""Les comédiennes sont incroyables. Elles ne jouent pas leurs personnages, elles les vivent. Elles ne sont pas drôles, elles sont hilarantes. D'une grâce folle, elles ne se déplacent pas sur scène, elles volent. Chaque pas esquisse une danse. Les vers d'Edmond Rostand sont restitués avec une diction, une justesse dans l'expression qui l'aurait, sans aucun doute, fait s'exclamer : quel panache ! Le Baz'art
Chacune des comédiennes porte au moment de la prise de parole un masque qui rappellent ceux de la Comedia dell Arte. Impossible de se tromper de personnage et toutes lui donnent force, sensibilité et courage au cours de l’histoire. Une façon de dire que Cyrano c’est un peu chacun de nous aussi. Une personne qui parfois veut s’élever contre les conventions sociales. Quelqu’un qui risque de dire non aux propositions les plus alléchantes pour garder sa liberté même si cela le pousse à la solitude. Il brave des interdits grâce à sa verve, sa dextérité, ses doutes et ses fragilités.
Reprendre un tel mastodonte du théâtre était un défi de taille. Ce défi a été relevé avec brio par Bastien Ossart, metteur en scène, au théâtre du Funambule à Montmartre. A ses côtés, trois femmes aux visages changeants et au verbe déroutant, qui remettent au cœur de leur interprétation toute la fragilité, l’amour et la force de ce personnage.
Le Ticket Mode
Un spectacle brillant et savoureux aux parfums enveloppants. Une formidable interprétation. Un moment mémorable pour sa justesse et son audace. À voir sans hésiter, je le recommande vivement. Spectatif
Cyrano est très certainement l’un des spectacles à ne pas manquer cet été car tout y est réuni pour faire passer un délicieux moment aux spectateurs. Si on apprécie le texte, on admire encore plus les trois talentueuses et énergiques comédiennes car elles sont bluffantes et polyvalentes. Cyranoest ultra captivant, on ne voit pas le temps passer et il y a en a pour tous les goûts : des traits d’humour, du mélodrame, de la poésie… La Parisienne life
etc, etc, etc """"""
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- Message n°54
Re: Le droit des femmes
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Maroc: un an de prison ferme pour une journaliste jugée pour "avortement illégal" >> AFP
La journaliste marocaine Hajar Raissouni, 28 ans, a été condamnée lundi à un an de prison ferme pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage" par le tribunal de Rabat, une affaire qui a suscité l'indignation dans le royaume et à l'étranger.
Arrêtés et jugés en première instance en même temps qu'elle, son gynécologue a écopé de deux ans de prison ferme et son fiancé d'un an ferme. Un anesthésiste a été condamné à un an de prison avec sursis et une secrétaire à huit mois avec sursis, selon un journaliste de l'AFP.
Les proches de la journaliste ont confié à l'AFP qu'elle allait faire appel, tout comme l'avocate de son gynécologue Meriem Moulay Rachid.
"Ce procès n'avait pas lieu d'être, les accusations étaient infondées : il n'y a ni débauche (relations sexuelles hors mariage, NDLR) ni avortement", a regretté l'avocat de la journaliste, Me Abdelmoula El Marouri, à l'issue du verdict.
Interpellée fin août à l'entrée d'un cabinet médical de Rabat, la reporter avait été "contrainte à faire un examen médical sans son accord", selon elle. Ses avocats avaient assimilé cet examen à de "la torture", pointant des "manquements de la police judiciaire" et des "preuves fabriquées", et plaidé pour sa libération.
Mme Raissouni, qui dénonce un procès "politique", est arrivée à la salle d'audience l'air serein, vêtue d'une djellaba noire, un voile couvrant sa tête. Elle a fait un signe de la main à ses proches avant de prendre place sur le banc des accusés. Le jugement a été accueilli par des cris de colère et de déception par les familles des accusés.
Journaliste au quotidien arabophone Akhbar Al-Yaoum, elle risquait jusqu'à deux ans de prison en vertu du code pénal marocain, qui sanctionne les relations sexuelles hors mariage et l'avortement quand la vie de la mère n'est pas en danger.
Lors d'une précédente audience, Mme Raissouni avait nié tout avortement, assurant avoir été traitée pour une hémorragie interne, ce que son gynécologue a confirmé devant le tribunal.
"C'est une affaire de répression politique, de répression d'une opinion indépendante, et une vengeance (contre) sa famille", a dit à l'AFP l'historien engagé Maati Monjib, présent à l'audience lundi.
"On est bien conscient que c'est une affaire politique. Mais en tant que mouvement féministe, ce sont les motifs qui nous inquiètent. Ce sont souvent les femmes qui sont victimes de lois liberticides", a affirmé peu avant le verdict Ibtissam Lachgar, co-fondatrice du Mouvement alternatif pour les libertés individuelles (MALI).
Des dizaines de journalistes et représentants d'ONG étaient présents dans la salle d'audience, bondée dans la journée.
La journaliste avait été interrogée par la police sur ses proches, son journal et ses écrits, selon son récit. Un de ses oncles est un éditorialiste engagé du quotidien Akhbar Al-Yaoum, un autre est un idéologue islamiste opposé au statut de "commandeur des croyants" du roi Mohammed VI.
Le parquet de Rabat, lui, avait assuré que son arrestation n'avait "rien à voir avec sa profession de journaliste" mais était intervenue dans le cadre d'une enquête judiciaire plus globale visant le cabinet médical.
L'affaire fait grand bruit, au Maroc comme à l'étranger, soulevant des débats sur les libertés individuelles dans le royaume et sur les poursuites judiciaires visant les voix critiques.
Pour Reporters sans frontières (RSF), elle est "victime de l'acharnement judiciaire contre les journalistes". L'ONG Amnesty International a dénoncé des "accusations forgées de toute pièce" et Human Rights Watch (HRW) une "violation flagrante de son droit à la vie privée et à la liberté".
Au Maroc, les arrestations dans les affaires d'avortement concernent en général les praticiens et très rarement les patientes, selon HRW, qui cite Chafik Chraibi, le président de l'Association marocaine contre les avortements clandestins (Amlac).
Dans un manifeste publié le 23 septembre dans plusieurs médias marocains au nom des libertés individuelles, des centaines de femmes se sont déclarées "hors-la-loi" en proclamant avoir déjà violé la législation "obsolète" de leur pays sur les moeurs et l'avortement.
Quelques centaines de personnes s'étaient rassemblées devant le tribunal avant l'ouverture d'une audience début septembre pour apporter leur soutien à la journaliste au nom du respect des libertés individuelles.
En 2018, la justice marocaine a poursuivi 14.503 personnes pour débauche, 3.048 pour adultère, 170 pour homosexualité et 73 pour avortements, selon les chiffres officiels. Entre 600 et 800 avortements clandestins sont pratiqués chaque jour au Maroc, selon des estimations.
.........................
Plus de 14.000 personnes "poursuivies", mais il a fallu attendre qu'une journaliste soit concernée pour que "mes" médias en parlent....
Maroc: un an de prison ferme pour une journaliste jugée pour "avortement illégal" >> AFP
La journaliste marocaine Hajar Raissouni, 28 ans, a été condamnée lundi à un an de prison ferme pour "avortement illégal" et "relations sexuelles hors mariage" par le tribunal de Rabat, une affaire qui a suscité l'indignation dans le royaume et à l'étranger.
Arrêtés et jugés en première instance en même temps qu'elle, son gynécologue a écopé de deux ans de prison ferme et son fiancé d'un an ferme. Un anesthésiste a été condamné à un an de prison avec sursis et une secrétaire à huit mois avec sursis, selon un journaliste de l'AFP.
Les proches de la journaliste ont confié à l'AFP qu'elle allait faire appel, tout comme l'avocate de son gynécologue Meriem Moulay Rachid.
"Ce procès n'avait pas lieu d'être, les accusations étaient infondées : il n'y a ni débauche (relations sexuelles hors mariage, NDLR) ni avortement", a regretté l'avocat de la journaliste, Me Abdelmoula El Marouri, à l'issue du verdict.
Interpellée fin août à l'entrée d'un cabinet médical de Rabat, la reporter avait été "contrainte à faire un examen médical sans son accord", selon elle. Ses avocats avaient assimilé cet examen à de "la torture", pointant des "manquements de la police judiciaire" et des "preuves fabriquées", et plaidé pour sa libération.
Mme Raissouni, qui dénonce un procès "politique", est arrivée à la salle d'audience l'air serein, vêtue d'une djellaba noire, un voile couvrant sa tête. Elle a fait un signe de la main à ses proches avant de prendre place sur le banc des accusés. Le jugement a été accueilli par des cris de colère et de déception par les familles des accusés.
Journaliste au quotidien arabophone Akhbar Al-Yaoum, elle risquait jusqu'à deux ans de prison en vertu du code pénal marocain, qui sanctionne les relations sexuelles hors mariage et l'avortement quand la vie de la mère n'est pas en danger.
Lors d'une précédente audience, Mme Raissouni avait nié tout avortement, assurant avoir été traitée pour une hémorragie interne, ce que son gynécologue a confirmé devant le tribunal.
"C'est une affaire de répression politique, de répression d'une opinion indépendante, et une vengeance (contre) sa famille", a dit à l'AFP l'historien engagé Maati Monjib, présent à l'audience lundi.
"On est bien conscient que c'est une affaire politique. Mais en tant que mouvement féministe, ce sont les motifs qui nous inquiètent. Ce sont souvent les femmes qui sont victimes de lois liberticides", a affirmé peu avant le verdict Ibtissam Lachgar, co-fondatrice du Mouvement alternatif pour les libertés individuelles (MALI).
Des dizaines de journalistes et représentants d'ONG étaient présents dans la salle d'audience, bondée dans la journée.
La journaliste avait été interrogée par la police sur ses proches, son journal et ses écrits, selon son récit. Un de ses oncles est un éditorialiste engagé du quotidien Akhbar Al-Yaoum, un autre est un idéologue islamiste opposé au statut de "commandeur des croyants" du roi Mohammed VI.
Le parquet de Rabat, lui, avait assuré que son arrestation n'avait "rien à voir avec sa profession de journaliste" mais était intervenue dans le cadre d'une enquête judiciaire plus globale visant le cabinet médical.
L'affaire fait grand bruit, au Maroc comme à l'étranger, soulevant des débats sur les libertés individuelles dans le royaume et sur les poursuites judiciaires visant les voix critiques.
Pour Reporters sans frontières (RSF), elle est "victime de l'acharnement judiciaire contre les journalistes". L'ONG Amnesty International a dénoncé des "accusations forgées de toute pièce" et Human Rights Watch (HRW) une "violation flagrante de son droit à la vie privée et à la liberté".
Au Maroc, les arrestations dans les affaires d'avortement concernent en général les praticiens et très rarement les patientes, selon HRW, qui cite Chafik Chraibi, le président de l'Association marocaine contre les avortements clandestins (Amlac).
Dans un manifeste publié le 23 septembre dans plusieurs médias marocains au nom des libertés individuelles, des centaines de femmes se sont déclarées "hors-la-loi" en proclamant avoir déjà violé la législation "obsolète" de leur pays sur les moeurs et l'avortement.
Quelques centaines de personnes s'étaient rassemblées devant le tribunal avant l'ouverture d'une audience début septembre pour apporter leur soutien à la journaliste au nom du respect des libertés individuelles.
En 2018, la justice marocaine a poursuivi 14.503 personnes pour débauche, 3.048 pour adultère, 170 pour homosexualité et 73 pour avortements, selon les chiffres officiels. Entre 600 et 800 avortements clandestins sont pratiqués chaque jour au Maroc, selon des estimations.
.........................
Plus de 14.000 personnes "poursuivies", mais il a fallu attendre qu'une journaliste soit concernée pour que "mes" médias en parlent....
Invité- Invité
- Message n°55
Re: Le droit des femmes
BonzaiFlavius a écrit:
Même qu'à la fin elle se suicide, comme des policiers, en se pendant à la branche d'un banzai.
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- Message n°56
Re: Le droit des femmes
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- Message n°57
Re: Le droit des femmes
Ma tablette est très indépendante.jacot3 a écrit:
Bonzai
Ara- Messages : 6459
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- Message n°58
Re: Le droit des femmes
760 EUROS POUR LES FILLES, 1.265 EUROS LES GARÇONS...
J'ignore s'il y a des soldes .
19 jeunes femmes enceintes libérées d’une "usine à bébés" au Nigéria
La police de Lagos a annoncé lundi 30 septembre avoir secouru 19 jeunes filles enceintes âgées de 15 à 28 ans, dans une "usine à bébés" destinés à être vendus au Nigeria, pays confronté à d’importants réseaux de trafic d’êtres humains.
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J'ignore s'il y a des soldes .
19 jeunes femmes enceintes libérées d’une "usine à bébés" au Nigéria
La police de Lagos a annoncé lundi 30 septembre avoir secouru 19 jeunes filles enceintes âgées de 15 à 28 ans, dans une "usine à bébés" destinés à être vendus au Nigeria, pays confronté à d’importants réseaux de trafic d’êtres humains.
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beced- Messages : 54752
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- Message n°59
Re: Le droit des femmes
In Iraq, religious ‘pleasure marriages’ are a front for child prostitution....
BBC investigation exposes Shia clerics in Baghdad advising men on how to abuse girls>> Girls as young as 9 sold for sex multiple times in temporary 'pleasure marriages'> Shia clerics were secretly filmed by the BBC offering 'pleasure marriages' to men who can pay a dowry for an 'interim' wife in Iraq (as long as they stay "virgin" )...
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Traduction courte : la pédophilie en Iraq est autorisée (officieusement) à condition que la virginité ((l'hymen) des fillettes ne soit pas affectée (comprendre: la sodomie )...
Flavius- Modérateur
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- Message n°60
Re: Le droit des femmes
Ce sont les seuls animaux impossibles à éduquer...beced a écrit:
In Iraq, religious ‘pleasure marriages’ are a front for child prostitution....
BBC investigation exposes Shia clerics in Baghdad advising men on how to abuse girls>> Girls as young as 9 sold for sex multiple times in temporary 'pleasure marriages'> Shia clerics were secretly filmed by the BBC offering 'pleasure marriages' to men who can pay a dowry for an 'interim' wife in Iraq (as long as they stay "virgin" )...
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Traduction courte : la pédophilie en Iraq est autorisée (officieusement) à condition que la virginité ((l'hymen) des fillettes ne soit pas affectée (comprendre: la sodomie )...
beced- Messages : 54752
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- Message n°61
Re: Le droit des femmes
Bicky Burger, ou Bicky pour les intimes, est une chaîne de "burger" en Belgique depuis 1981.
La nouvelle pub pour ce "junk-food" sur Facebook, avec raison, fait scandale....
https://www.sudinfo.be/id145327/article/2019-10-08/la-campagne-de-pub-honteuse-de-bicky-burger-un-homme-frappe-violemment-une-femme
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Alors que des campagnes sont lancées pour faire prendre conscience de la violence faite aux femmes, en pleine lutte contre les féminicides, on se dit qu’il y a encore du boulot car certains n’ont décidément rien compris.
PS.Vu la vague de condamnations, la publicité a été retirée de FaceBook....
..
La nouvelle pub pour ce "junk-food" sur Facebook, avec raison, fait scandale....
https://www.sudinfo.be/id145327/article/2019-10-08/la-campagne-de-pub-honteuse-de-bicky-burger-un-homme-frappe-violemment-une-femme
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Alors que des campagnes sont lancées pour faire prendre conscience de la violence faite aux femmes, en pleine lutte contre les féminicides, on se dit qu’il y a encore du boulot car certains n’ont décidément rien compris.
PS.Vu la vague de condamnations, la publicité a été retirée de FaceBook....
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Mutine- Messages : 15327
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Localisation : région des Gones !
- Message n°62
Re: Le droit des femmes
Pasta- Messages : 2013
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Localisation : Dans les nuages
- Message n°63
Re: Le droit des femmes
cristaline- Messages : 27183
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°64
Re: Le droit des femmes
Petite pause après un WE bien rempli :
Je suppose que vous avez suivi l’histoire de cet élu RN qui a demandé à une femme de retirer son voile ! Courageux et ferme, il a raison ! Beaucoup d'internautes le félicitent quand je lis ce matin que ça se déchire en haut lieu au sujet de ce fait divers ( récurrent ) : le droit des femmes à provoquer et faire iech
C’est là qu'on voit les limites du concept LREM, ni droite ni gauche
Or c’est précisément sur ce genre de sujet que la société se fracture
Je suppose que vous avez suivi l’histoire de cet élu RN qui a demandé à une femme de retirer son voile ! Courageux et ferme, il a raison ! Beaucoup d'internautes le félicitent quand je lis ce matin que ça se déchire en haut lieu au sujet de ce fait divers ( récurrent ) : le droit des femmes à provoquer et faire iech
C’est là qu'on voit les limites du concept LREM, ni droite ni gauche
Or c’est précisément sur ce genre de sujet que la société se fracture
cristaline- Messages : 27183
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- Message n°65
Re: Le droit des femmes
Dans le contexte actuel, chaque « non réponse » ou indulgence pseudo compréhensive à un pb islamique indiquant notre faiblesse apportera des voix supplémentaires au RN
Espérons que Blanquer sera ferme à ce sujet
Espérons que Blanquer sera ferme à ce sujet
Invité- Invité
- Message n°66
Re: Le droit des femmes
cristaline a écrit:Petite pause après un WE bien rempli :
Je suppose que vous avez suivi l’histoire de cet élu RN qui a demandé à une femme de retirer son voile ! Courageux et ferme, il a raison ! Beaucoup d'internautes le félicitent quand je lis ce matin que ça se déchire en haut lieu au sujet de ce fait divers ( récurrent ) : le droit des femmes à provoquer et faire iech
C’est là qu'on voit les limites du concept LREM, ni droite ni gauche
Or c’est précisément sur ce genre de sujet que la société se fracture
Dans le contexte actuel de plus en plus tendu, il serait opportun de préciser de façon claire, précise, levant toute ambigüité et dans un sens plus restrictif cette loi sur le port du voile, ce qui éviterait bien des conflits.
cristaline- Messages : 27183
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°67
Re: Le droit des femmes
Je vais plus loin : réagir fermement sur toutes les demandes des musulmans qui contreviennent à nos valeurs et ce, dans tous les domaines
Ara- Messages : 6459
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- Message n°68
Re: Le droit des femmes
cristaline a écrit:Je vais plus loin : réagir fermement sur toutes les demandes des musulmans qui contreviennent à nos valeurs et ce, dans tous les domaines
Toute personne pourvue d'un cerveau en état souhaiterait la même chose que toi.
Malheureusement, les accommodements dé-raisonnables servent à nos gouvernements dans bien des aspects , à commencer par la paix illusoire et les voix électorales.
On ne pourra jamais plus rétablir notre société. L'hisselamogauchisme a tout saccagé.
Cette récente histoire de voile,on l'a vue venir de loin, dès le moment où la loi sur le voile à l'école a été votée sous des motifs troubles.
«Soutenir la présence d’une femme portant un uniforme islamiste au sein d’une assemblée démocratique est une faute»
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Mutine- Messages : 15327
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- Message n°69
Re: Le droit des femmes
Mutine- Messages : 15327
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- Message n°71
Re: Le droit des femmes
Invité- Invité
- Message n°72
Re: Le droit des femmes
Le droit des femmes c'est aussi la députée dépitée de la France insoumise, Mathilde Panot qui revendique la parole avec la phrase suivante :
« taisez-vous, je suis une femme politique de 30 ans ».
Elle aurait pu ajouter qu'elle était la République et que sa personne était sacrée...
Mon dieu !
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« taisez-vous, je suis une femme politique de 30 ans ».
Elle aurait pu ajouter qu'elle était la République et que sa personne était sacrée...
Mon dieu !
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beced- Messages : 54752
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°73
Re: Le droit des femmes
En Belgique Mireille De Lauw a été condamné à 8 ans de prison pour avoir tué son mari.
Elle raconte : "Les disputes étaient devenues tellement violentes. Il voulait m'enlever ma fille qui avait 14 ans à l'époque. Il voulait me la prendre et l'emmener dans son pays, en Albanie, pour la marier. Il voulait me liquider car c'était la seule façon d'avoir ma fille" ....
Mirelle De Lauw avait prémédité son acte. En avril 2013, la mère de famille avait décidé d'en finir en tuant son époux. "Je n'ai pas pensé à la peine. J'avais tellement peur de mourir que c'était la seule chose à faire. Je ne pouvais pas faire autrement", explique-t-elle.
La cour d'assises de Bruxelles a rappelé que "symboliquement, on ne peut pas faire justice soi-même".
....
Mireille De Lauw devait normalement être incarcérée ce lundi en prison (elle avait été laissée en liberté jusqu'à ce jour). Mais un rebondissement inattendu s'est produit dans cette affaire.
Elle n'a pas été acceptée en prison. La raison? Il manquerait une date, que le commissariat n'aurait pas inscrite sur son billet d'écrou.
Elle devra revenir demain pour que la prison "lui ouvre ses portes"....
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...
Elle raconte : "Les disputes étaient devenues tellement violentes. Il voulait m'enlever ma fille qui avait 14 ans à l'époque. Il voulait me la prendre et l'emmener dans son pays, en Albanie, pour la marier. Il voulait me liquider car c'était la seule façon d'avoir ma fille" ....
Mirelle De Lauw avait prémédité son acte. En avril 2013, la mère de famille avait décidé d'en finir en tuant son époux. "Je n'ai pas pensé à la peine. J'avais tellement peur de mourir que c'était la seule chose à faire. Je ne pouvais pas faire autrement", explique-t-elle.
La cour d'assises de Bruxelles a rappelé que "symboliquement, on ne peut pas faire justice soi-même".
....
Mireille De Lauw devait normalement être incarcérée ce lundi en prison (elle avait été laissée en liberté jusqu'à ce jour). Mais un rebondissement inattendu s'est produit dans cette affaire.
Elle n'a pas été acceptée en prison. La raison? Il manquerait une date, que le commissariat n'aurait pas inscrite sur son billet d'écrou.
Elle devra revenir demain pour que la prison "lui ouvre ses portes"....
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beced- Messages : 54752
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- Message n°74
Re: Le droit des femmes
"Julian Assange, ce grand homme qui meurt dans l'indifférence ... Il s'appelle Julian Assange et est né le 3 juillet 1971 en Australie. C'est un cybermilitant, un homme brillant qui trouve que le fossé est trop ...etc...."
C'est ce qu'écrivait le journal belge La Libre le 5 nov. 2019 , 2 semaines avant l'abandon des poursuites pour viol ....
.
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Flavius- Modérateur
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Localisation : Hérault
- Message n°75
Re: Le droit des femmes
Elle est une femme politique de trente ans ? En quoi consiste l'exploit ? En plus ce n'est en rien une garantie d'intelligence...elle en est le preuve vivante.Azalee a écrit:Le droit des femmes c'est aussi la députée dépitée de la France insoumise, Mathilde Panot qui revendique la parole avec la phrase suivante :
« taisez-vous, je suis une femme politique de 30 ans ».
Elle aurait pu ajouter qu'elle était la République et que sa personne était sacrée...
Mon dieu !
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