Flavius a écrit:
Je vous répondrai plus tard. Mais je le ferai. Pour l'heur je vais souper et demain je serai absent.
Je vous en prie, prenez tout votre temps , je me doute un peu de la réponse
Flavius a écrit:
Je vous répondrai plus tard. Mais je le ferai. Pour l'heur je vais souper et demain je serai absent.
cristaline a écrit:
Moi aussi j’ai accueilli favorablement la loi Veil qui permettait aux femmes le choix de garder ou non un bébé non désiré ; mais je pense que ça a dérivé, là aussi, et que c’est considéré maintenant comme un énième moyen de contraception
Arlequine2 a écrit:
Il faut savoir que de nos jours, certaines personnes utilisent cette méthode (IVG) comme moyen de contraception, en raison justement d'un échec à leur propre contraception "traditionnelle" :n'est pas là paradoxal , qu'en pensent certains ??????
beced a écrit:Il me semble que le fait que le désir d'enfant soit égoïste ou pas n'est pas à entrer en compte.
L'amour et la tendresse et l'attention qu'il recevra de la part de ses parents devraient être identiques , que ces derniers soient hétéros ou homos ou par procuration..etc....
Le problème , toute proportion gardée, est le même que celui des prénoms absurdes ou grotesques que l'on donne à l'enfant "lorsqu'il apparaît", et qui dans certains cas sont refusés par la société (en fait l'administration). Il s'agit donc, dans le même esprit ou logique, de lui mettre, hors de sa cellule familliale, le moins d'embûches psychologiques ou émotionnelles sociales dans sa formation d'adultes et au delà.
Je te rejoins complètement.beced a écrit:Il me semble que le fait que le désir d'enfant soit égoïste ou pas n'est pas à entrer en compte.
L'amour et la tendresse et l'attention qu'il recevra de la part de ses parents devraient être identiques , que ces derniers soient hétéros ou homos ou par procuration..etc....
Le problème , toute proportion gardée, est le même que celui des prénoms absurdes ou grotesques que l'on donne à l'enfant "lorsqu'il apparaît", et qui dans certains cas sont refusés par la société (en fait l'administration). Il s'agit donc, dans le même esprit ou logique, de lui mettre, hors de sa cellule familliale, le moins d'embûches psychologiques ou émotionnelles sociales dans sa formation d'adultes et au delà.
LV426 a écrit:
Oui, il y a quelque chose à creuser, là. Il faudrait y revenir.
Concernant les mobiles qui poussent à faire un enfant, j'ajouterais -- et tant pis pour le cynisme -- pouponner.
Ou pire, avoir un nounours plus vrai que nature à sa disposition.
J'ai vu des femmes dire "ça fait envie" en voyant l'une de leurs congénères papouiller son bébé.
Sinon, l'histoire, les ancêtres, bref le passé, me parle peu. Trop abstrait, trop intello, trop éloigné de mon expérience concrète et intime, qui ne débute pas avant le 27 novembre 1951. Et encore. Disons plutôt au moment où se déchire le rideau de l'amnésie infantile (mi-55 pour moi).
La généalogie satisfait mon goût de l'investigation mais je pourrais aussi bien faire celle de quelqu'un d'autre. D'ailleurs, je l'ai fait et j'y ai pris plaisir.
Il y aurait néanmoins peut-être un petit "moins", un pont qui me relierait à ses recherches qui me manquerait. C'est là qu'il faudrait que je creuse....quand j'aurai le temps.
Mais je pense que ce qui nous sépare est d'ordre psychologique, davantage que philosophique. Nos neurones ne doivent pas être branchés pareil.
Oui, pour la généalogie en général. Pour moi, c'est comme une enquête policière : chercher, se documenter, croiser les sources, trouver, découvrir, répondre aux questions, ...Arlequine2 a écrit:
Perso, je suis passionnée de généalogie car elle représente une forme de valorisation patrimoniale ; elle s’intéresse à la micro-histoire, celle qui étudie les individus et leurs réalisations.
La biographie sur un individu : sa vie familiale, son milieu socio-professionnel, son parcours militaire, ses lieux de vie… je ne m'en lasse pas
LV426 a écrit:
Oui, pour la généalogie en général. Pour moi, c'est comme une enquête policière : chercher, se documenter, croiser les sources, trouver, découvrir, répondre aux questions, ...
La question que je me posais était : est-ce que faire ma propre généalogie m'apporte davantage que de faire celle de quelqu'un d'extérieur à ma famile ?
Faut pas. C'est pas grave. A ce stade (avant la conception), c'est pas grave.Arlequine2 a écrit:
bien d'accord sur cela avec toi !
Par ailleurs, je serais bien curieuse de connaitre les motivations de toutes les mamans de ce forum qui les ont "poussé" (ou pas ! !!) à avoir des enfants car quand je lis que le désir d'avoir un enfant est égoiste, je trouve cette connotation tellement négative !!!!!
Evidement mettre un enfant au monde c'est prendre une responsabilité, celle de s’engager à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour donner à cet enfant tous les outils lui permettant d’être heureux dans sa vie, et considérer qu’on en a la capacité mais malgré toute notre bonne volonté les malheurs et les difficultés font partie de la vie l’enfant vivra forcément des périodes de difficultés qu’il devra surmonter.
philosophie du jour, 2 h pour rendre les copies
Est-ce important au point d'être vital ?Arlequine2 a écrit:
Curieuse question à laquelle je répondrai oui, sans hésitation aucune, s'il y a motivation et curiosité de savoir plus sur tes ancêtres
@+, bonne journée
Pour faire simple , ou plutôt néopphite primaire, ce qui est encore mon cas !:Sabbatha a écrit:
Je partage votre point de vue, VS, d'autant plus que l'adjectif "naturel" s'agissant de l'Humain me gêne un peu tant ce dernier combat la nature.!!! Pour moi, le désir d'enfant est de surcroît relativement récent dans notre histoire, comme je tente de l'expliquer plus haut.
Et moi, cher VS, je baigne dans la mer !!! ( et plus dans la mère depuis plus d'un demi-siècle!!!). Je vais aller voir sur Google ce qu'est le Klezmer.
Vieux singe a écrit:
Pour faire simple , ou plutôt néopphite primaire, ce qui est encore mon cas !:
Musique traditionnelle, culturelle voir d'inspiration ou histoire religieuse des ashkénazes, juifs de l'Europe centrale pour l'essentiel;
La clarinette a un rôle technique très important dans cette musique, en exploitant des modulations du son avec le un travail très spécifique sur le bec de l'instrument. Les rythmiques sont très spécifiques aussi , en particulier pour suivre et exploiter les variations de son et les tonalités. c'est le mineur qui apparait souvent comme tonalités dominantes mais le jeu des changements de tonalité fait souvent partie du message biblique , autant pour la mélodie que pour le rythme et les accompagnements.
Le présent commentaire, donc le mien, est celui d'un béotien qui découvre un monde nouveau. Musicien classique de formation, je n'ai accéder à cette musique, me semble il?, que grâce à mon passage par le jazz ces 25, dernières années bien qu'en saxophone dans les big bands.
J'aimerais bien avoir un avis, un regard de LV sur ma vision du jour, d'autant que ma récente rencontre avec ce monde nouveau est "particulière", n'étant ni ashkénaze , ni rien du tout, sauf le catholique standard jusqu'à, et seulement, ma première communion!
Et quand un païen se glisse dans les cantiques, pas facile de suivre son chemin de croix
LV ton silence recevra toute mon humilité.
Sabbatha, je referai le point dans1 an et 1 jour, fruit d'une expérience survécue
Primate antérieur mais toujours en cours d'évolution?
LV426 a écrit:
Je te rejoins complètement.
J'auris juste aimé que ta première phrase soit complète, pour y voir plus clair : n'est pas à entrer en compte dans quoi ?
Oui, on aime la personne, le sujet qu'est l'enfant une fois qu'il est là. Et c'est ça qui compte.
Cependant, il me semble quand même nécessaire de couper court à ce fantasme selon lequel faire un enfant serait une manifestation d'altruisme. De questionner des affirmations telles que "tu dois chérir inconditionnellement ta mère/ton père car ils t'ont mis au monde".
beced a écrit:
Il existe plusieurs arguments de la part des parents potentiels (tous absolument sincères) sur le droit (ou pas ) d'avoir une enfant. Et qui font l'objet des débats aux Parlements des pays qui veulent gérer ces pressions grandissantes.
Aucune , à ma connaissance, ne tient compte des droits du premier concerné: l'enfant, qui, il me semble dans
la plupart des cas, veut avant tout "être comme les autres".
Tout en sachant qu'une fois en vie, peut importe sa conception (naturelle, médicalement assistée, robotiquement assistée,...), ontologiquement (si c'est le bon mot) l'enfant se saura socialement légitime. Un exemple hollywoodien est illustré dans le film I.Robot, quand un robot suite à un "accident", prend naturellement conscience de soi (et refuse d'être mis hors service par les ingénieurs humains).
..
PS. Ce qui précède est écrit rapidement (oublié de faire mon shopping), et peut-être pas très cohérent...
Pour moi, c 'est ça, pour l'instant!Sabbatha a écrit:VS, je suis en train d'écouter pendant que je vous écris et vraiment j'adore!!! C'est très enlevé !!!
Merci!!! Car grâce à vous je découvre quelque chose que je ne connaissais pas et qui me plaît.
Sans doute me trouverez vous naïve mais j'entends des influences diverses dans ce que j'écoute: musique à accents orientaux, slaves, tsiganes, et par moment un peu jazzy....
C'est vraiment plaisant et joyeux!!!
Vieux singe a écrit:
Pour faire simple , ou plutôt néopphite primaire, ce qui est encore mon cas !:
Musique traditionnelle, culturelle voir d'inspiration ou histoire religieuse des ashkénazes, juifs de l'Europe centrale pour l'essentiel;
La clarinette a un rôle technique très important dans cette musique, en exploitant des modulations du son avec le un travail très spécifique sur le bec de l'instrument. Les rythmiques sont très spécifiques aussi , en particulier pour suivre et exploiter les variations de son et les tonalités. c'est le mineur qui apparait souvent comme tonalités dominantes mais le jeu des changements de tonalité fait souvent partie du message biblique , autant pour la mélodie que pour le rythme et les accompagnements.
Le présent commentaire, donc le mien, est celui d'un béotien qui découvre un monde nouveau. Musicien classique de formation, je n'ai accéder à cette musique, me semble il?, que grâce à mon passage par le jazz ces 25, dernières années bien qu'en saxophone dans les big bands.
J'aimerais bien avoir un avis, un regard de LV sur ma vision du jour, d'autant que ma récente rencontre avec ce monde nouveau est "particulière", n'étant ni ashkénaze , ni rien du tout, sauf le catholique standard jusqu'à, et seulement, ma première communion!
Et quand un païen se glisse dans les cantiques, pas facile de suivre son chemin de croix
LV ton silence recevra toute mon humilité.
Sabbatha, je referai le point dans1 an et 1 jour, fruit d'une expérience survécue
Primate antérieur mais toujours en cours d'évolution?
Merci de cet exempleArlequine2 a écrit:
Pour moi, à la clarinette rien ne vaut ces morceaux celtiques dont la tonalité n'est plus à démontrer, à chacun ses gouts n'est ce pas que de variétés dans les sons, un peu comme la voix, je trouve
LV426 a écrit:La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. (Woody Allen)
La finitude. Et, pour une espèce comme l'homo sapiens, la conscience de cette finitude.
Ça sent l'arnaque, non ?
Donner la vie, c'est donner la mort en même temps. Ça fait partie du contrat, c'est un package. On prend tout ou on prend rien.
Une fois cela établi -- car il me semble nécessaire de l'établir -- on peut surmonter l'épreuve et même, qui sait? y prendre goût au point de transmettre nous-mêmes la vie. Prendre cette souffrance sur nos épaules et avancer. Et, peut-être, trouver dans cette démarche... le sens... de la vie.
Heu...oui...si tu veux...factuellement.beced a écrit:
Factuellement il me semble qu'on ne donne que la vie.
Mais c'est la vie qui donne la mort.
Qui mettra enfin la vie sur le banc des accusés?
.
LV426 a écrit:La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. (Woody Allen)
La finitude. Et, pour une espèce comme l'homo sapiens, la conscience de cette finitude.
Ça sent l'arnaque, non ?
Donner la vie, c'est donner la mort en même temps. Ça fait partie du contrat, c'est un package. On prend tout ou on prend rien.
Une fois cela établi -- car il me semble nécessaire de l'établir -- on peut surmonter l'épreuve et même, qui sait? y prendre goût au point de transmettre nous-mêmes la vie. Prendre cette souffrance sur nos épaules et avancer. Et, peut-être, trouver dans cette démarche... le sens... de la vie.
LV426 a écrit:La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible. (Woody Allen)
La finitude. Et, pour une espèce comme l'homo sapiens, la conscience de cette finitude.
Ça sent l'arnaque, non ?
Donner la vie, c'est donner la mort en même temps. Ça fait partie du contrat, c'est un package. On prend tout ou on prend rien.
Une fois cela établi -- car il me semble nécessaire de l'établir -- on peut surmonter l'épreuve et même, qui sait? y prendre goût au point de transmettre nous-mêmes la vie. Prendre cette souffrance sur nos épaules et avancer. Et, peut-être, trouver dans cette démarche... le sens... de la vie.