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Un programme pour la France ; un président pour l'appliquer.
Flavius- Modérateur
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Et bien voilà! Au moins il aura la preuve concrète que l'insécurité est un fait et non pas un seul sentiment .
mais lui n'a risqué que ça, alors que les citoyens eux se font détrousser, violer, poignarder,décapiter, et j'en passe!
mais lui n'a risqué que ça, alors que les citoyens eux se font détrousser, violer, poignarder,décapiter, et j'en passe!
Invité- Invité
Article du Front Populaire, que j'approuve
Nation
Macron
Le deuxième corps du roi
EDITO. En visite dans « les territoires », précisément près d’un lycée hôtelier de la Drôme, Emmanuel Macron a été giflé par un inconnu alors qu’il se prêtait à un bain de foule. À trop dégrader sa fonction pour être comme tout le monde, on finit par être traité, hélas, comme tout le monde.
« Montjoie, Saint-Denis ! » Le cri de ralliement au royaume de France vient de prendre une seconde jeunesse. « A bas la macronie ! » a ajouté l’assaillant de la Drôme - pour l’actualiser sans doute -, en administrant une gifle au président de la République en villégiature pour son controversé « tour de France des territoires ».
On ne dira par ailleurs jamais assez le dégoût que peut inspirer ce tour de France « des territoires » qui a tous les atours du périple ethnographique. Macron quitte Paris pour « les territoires », comme l’ethnologue Pierre Clastres s’aventurait à la rencontre des indigènes Guayaki du Paraguay. Macron a rendez-vous en terre inconnue, dans « les territoires ». Vous savez, ces zones géographiques découpées en circonscriptions et classées dans des tableurs Excel à Bercy.
Le chef de l’État a donc été giflé par un jeune « royaliste » en polo kaki alors qu’il allait saluer la foule devant un lycée hôtelier de Tain-L'Hermitage. Qu’un excité organise ce genre de happening sauvage n’est pas tellement une nouveauté à l’ère des images et des réseaux. Le geste en lui-même n’est du reste pas nouveau. Régis Debray a raconté plusieurs fois qu’à l’époque où il était conseiller de François Mitterrand, il a vu ce dernier essuyer des crachats lors de certains déplacements.
L’unanime condamnation de la classe politique était à prévoir, et il n’y a rien à en dire en tant que tel ; elle était obligatoire. Certes, l’élection d’Emmanuel Macron a relevé de ce que d’aucuns appellent un « coup d’État judiciaire ». Certes, sa légitimité démocratique n’a jamais reposé que sur les sables mouvants d’une idéologie du Progrès coupée à l’autoritarisme. Mais quiconque prétendrait légitimer l’attaque physique du représentant de la Nation s’exclurait instantanément du jeu politique, de la lettre et de l’esprit des institutions. Terrain glissant, donc.
Rien n’interdit toutefois d’interroger le symbole, derrière ce crime de lèse-majesté que le droit contemporain nomme « violence sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Gifler Macron, ce n’est pas uniquement gifler Emmanuel, c’est aussi souffleter le président de la République française, donc le représentant de la Nation. Au fond, c’est le cœur de la thèse de l’historien médiéviste Ernst Kantorowicz sur les « deux corps du roi ». Le roi est une personne géminée : il possède deux corps, un corps naturel (un corps physique qui meurt) et un corps mystique (un corps politique qui ne meurt pas), idée symbolisée par la formule consacrée : « Le roi est mort, vive le roi ».
L’intérêt de cette distinction est de penser l’institutionnalisation du pouvoir (royal, à l'époque) par-delà la finitude de son incarnation concrète : le Monarque par-delà le monarque, la Couronne par-delà le titulaire de la couronne, entraîne la Souveraineté par-delà le titulaire de la souveraineté. À ce titre, le gaullisme a su conjuguer la chair et le mythe avec une noblesse poignante. Cet équilibre précaire – déjà largement abimé par les présidences successives - a été dans un premier temps travesti par le président Macron (époque jupitérienne), puis allègrement foulé aux pieds ces derniers mois (de la fête de la musique à l’Élysée à McFly et Carlito).
Lorsque le président de la République ricane avec des vidéastes dans le palais de l’Élysée, il humilie son deuxième corps, ce corps mystique qui est, par sa fonction même, rattaché à la Nation, et donc à l’ensemble des Français. L’algarade prend alors des allures de symptômes. Macron violenté, c’est un peu l’Ancien Monde qui demande des comptes au Nouveau, et à travers lui, le deuxième corps qui accuse le premier.
Nation
Macron
Le deuxième corps du roi
EDITO. En visite dans « les territoires », précisément près d’un lycée hôtelier de la Drôme, Emmanuel Macron a été giflé par un inconnu alors qu’il se prêtait à un bain de foule. À trop dégrader sa fonction pour être comme tout le monde, on finit par être traité, hélas, comme tout le monde.
« Montjoie, Saint-Denis ! » Le cri de ralliement au royaume de France vient de prendre une seconde jeunesse. « A bas la macronie ! » a ajouté l’assaillant de la Drôme - pour l’actualiser sans doute -, en administrant une gifle au président de la République en villégiature pour son controversé « tour de France des territoires ».
On ne dira par ailleurs jamais assez le dégoût que peut inspirer ce tour de France « des territoires » qui a tous les atours du périple ethnographique. Macron quitte Paris pour « les territoires », comme l’ethnologue Pierre Clastres s’aventurait à la rencontre des indigènes Guayaki du Paraguay. Macron a rendez-vous en terre inconnue, dans « les territoires ». Vous savez, ces zones géographiques découpées en circonscriptions et classées dans des tableurs Excel à Bercy.
Le chef de l’État a donc été giflé par un jeune « royaliste » en polo kaki alors qu’il allait saluer la foule devant un lycée hôtelier de Tain-L'Hermitage. Qu’un excité organise ce genre de happening sauvage n’est pas tellement une nouveauté à l’ère des images et des réseaux. Le geste en lui-même n’est du reste pas nouveau. Régis Debray a raconté plusieurs fois qu’à l’époque où il était conseiller de François Mitterrand, il a vu ce dernier essuyer des crachats lors de certains déplacements.
L’unanime condamnation de la classe politique était à prévoir, et il n’y a rien à en dire en tant que tel ; elle était obligatoire. Certes, l’élection d’Emmanuel Macron a relevé de ce que d’aucuns appellent un « coup d’État judiciaire ». Certes, sa légitimité démocratique n’a jamais reposé que sur les sables mouvants d’une idéologie du Progrès coupée à l’autoritarisme. Mais quiconque prétendrait légitimer l’attaque physique du représentant de la Nation s’exclurait instantanément du jeu politique, de la lettre et de l’esprit des institutions. Terrain glissant, donc.
Rien n’interdit toutefois d’interroger le symbole, derrière ce crime de lèse-majesté que le droit contemporain nomme « violence sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Gifler Macron, ce n’est pas uniquement gifler Emmanuel, c’est aussi souffleter le président de la République française, donc le représentant de la Nation. Au fond, c’est le cœur de la thèse de l’historien médiéviste Ernst Kantorowicz sur les « deux corps du roi ». Le roi est une personne géminée : il possède deux corps, un corps naturel (un corps physique qui meurt) et un corps mystique (un corps politique qui ne meurt pas), idée symbolisée par la formule consacrée : « Le roi est mort, vive le roi ».
L’intérêt de cette distinction est de penser l’institutionnalisation du pouvoir (royal, à l'époque) par-delà la finitude de son incarnation concrète : le Monarque par-delà le monarque, la Couronne par-delà le titulaire de la couronne, entraîne la Souveraineté par-delà le titulaire de la souveraineté. À ce titre, le gaullisme a su conjuguer la chair et le mythe avec une noblesse poignante. Cet équilibre précaire – déjà largement abimé par les présidences successives - a été dans un premier temps travesti par le président Macron (époque jupitérienne), puis allègrement foulé aux pieds ces derniers mois (de la fête de la musique à l’Élysée à McFly et Carlito).
Lorsque le président de la République ricane avec des vidéastes dans le palais de l’Élysée, il humilie son deuxième corps, ce corps mystique qui est, par sa fonction même, rattaché à la Nation, et donc à l’ensemble des Français. L’algarade prend alors des allures de symptômes. Macron violenté, c’est un peu l’Ancien Monde qui demande des comptes au Nouveau, et à travers lui, le deuxième corps qui accuse le premier.
cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
Sabbatha, tu imagines si j'aime !!!!
Invité- Invité
cristaline a écrit:Sabbatha, tu imagines si j'aime !!!!
J'espère que tu aimes!!! C'est, je trouve, un article intelligent. Il exprime ce que je pense aussi. C'est Macron qui n'est pas respecté pas le président que le gifleur trouve mal incarné. Cela dit, je ne justifie pas la violence, une phrase bien sentie et sensée sur sa politique m'aurait satisfaite, mais parfois la colère est tellement forte que les mots n'ont pas le temps d'arriver au cerveau.
Comme je le disais auparavant, au moins Macron aura-t-il eu un faible aperçu de ce qu'est l'insécurité.
Flavius- Modérateur
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Flavius- Modérateur
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Flavius- Modérateur
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Terrible bilan d’Emmanuel Macron en matière de politique migratoire :
- 260 000 titres de séjour délivrés par an. - Diminution de 50% des expulsions. - 3,3 millions de titres de séjour en tout. On arrête ou on continue ?
cristaline- Messages : 27107
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Flavius aime ce message
Flavius- Modérateur
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cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
"Des opérations "sophistiquées" "en bande organisée"
Ces nouveaux agents spécialisés ont été recrutés pour moitié parmi les contrôleurs classiques, pour l'autre en externe - on compte ainsi parmi eux d'anciens agents des impôts ou d'ex-détectives privés. Ils seront chargés de détecter la "fraude à fort enjeu", des opérations "sophistiquées", commises "en bande organisée" et souvent "à une échelle plus importante que le département". Elles relèvent davantage de la "prédation" que d'un "opportunisme de situation", selon la Cnaf.
Il peut s'agir du cas de délinquants qui usent de fausses identités pour obtenir des allocations dans plusieurs départements - l'un d'eux a ainsi écumé 54 CAF sur les 101 du pays -, ou qui démarchent des allocataires (parfois) de bonne foi et les incitent à solliciter une allocation indue, sur laquelle ils prélèveront ensuite une "commission".
36 917 fraudes pour un un total de 255,5 millions d'euros en 2020
Les contrôleurs spécialisés devront agir aussi contre les marchands de sommeil, qui achètent des biens immobiliers à bas prix et les louent à des personnes vulnérables en se payant avec les allocations logement. Or, lorsque les conditions de logement sont indignes, la CAF est en droit de suspendre ses versements pour "arrêter l'engrenage dont tire parti le propriétaire", a fait valoir Vincent Mazauric.
En 2020, les contrôleurs des CAF ont détecté 36 917 fraudes pour un un total de 255,5 millions d'euros, selon un bilan communiqué jeudi. Soit une baisse de 21% par rapport à 2019, qui s'explique par la "suspension temporaire des opérations de contrôle" pendant la crise sanitaire."
Vive la France si généreuse et si peu regardante ; heureusement que nous sommes en période d'élections ; vont-ils ENFIN prendre la mesure des nombreux dysfonctionnements à tous les niveaux ? Et pendant ce temps-là, les braves citoyens paient des impôts, des taxes, la CSG, etc...
Flavius- Modérateur
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Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
cristaline a écrit:"Des opérations "sophistiquées" "en bande organisée"
Ces nouveaux agents spécialisés ont été recrutés pour moitié parmi les contrôleurs classiques, pour l'autre en externe - on compte ainsi parmi eux d'anciens agents des impôts ou d'ex-détectives privés. Ils seront chargés de détecter la "fraude à fort enjeu", des opérations "sophistiquées", commises "en bande organisée" et souvent "à une échelle plus importante que le département". Elles relèvent davantage de la "prédation" que d'un "opportunisme de situation", selon la Cnaf.
Il peut s'agir du cas de délinquants qui usent de fausses identités pour obtenir des allocations dans plusieurs départements - l'un d'eux a ainsi écumé 54 CAF sur les 101 du pays -, ou qui démarchent des allocataires (parfois) de bonne foi et les incitent à solliciter une allocation indue, sur laquelle ils prélèveront ensuite une "commission".36 917 fraudes pour un un total de 255,5 millions d'euros en 2020
Les contrôleurs spécialisés devront agir aussi contre les marchands de sommeil, qui achètent des biens immobiliers à bas prix et les louent à des personnes vulnérables en se payant avec les allocations logement. Or, lorsque les conditions de logement sont indignes, la CAF est en droit de suspendre ses versements pour "arrêter l'engrenage dont tire parti le propriétaire", a fait valoir Vincent Mazauric.
En 2020, les contrôleurs des CAF ont détecté 36 917 fraudes pour un un total de 255,5 millions d'euros, selon un bilan communiqué jeudi. Soit une baisse de 21% par rapport à 2019, qui s'explique par la "suspension temporaire des opérations de contrôle" pendant la crise sanitaire."
Vive la France si généreuse et si peu regardante ; heureusement que nous sommes en période d'élections ; vont-ils ENFIN prendre la mesure des nombreux dysfonctionnements à tous les niveaux ? Et pendant ce temps-là, les braves citoyens paient des impôts, des taxes, la CSG, etc...
J'ai entendu cela ce matin.
Pour autant, c'est le côté déclaratif comme critère qu'il faudrait supprimer et matérialiser au maximum.
J'attends la même brigade pour les retraités algériens âgés de 120 ans et qui continuent à percevoir leur pension.
beced- Messages : 52792
Date d'inscription : 31/12/2013
Raphaël Enthoven, un curieux mea culpa >>> Les foudres se sont abattues sur le philosophe, quand il a déclaré qu’en cas de second tour entre les deux extrêmes, il préférait Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon. Il a depuis précisé ses propos et fait marche arrière. En cas d’un tel duel, il préférera finalement ne pas choisir.(extrait lu dans causeur.fr)
Ce qui est dérangeant, selon moi, est le fait de laisser des personnages publics, qui ne sont pas des réprésentants politiques, dire pour qui il faut ou ne pas voter : cela a un côté condescendant humiliant envers le public.
Par contre, à la rigueur, donner un avis expliquant quel parti a des qualités ou des défauts, serait selon moi plus acceptable et plus respectueux. Même si ce n'est qu'une nuance par rapport à l'autre attitude.
Ce qui est dérangeant, selon moi, est le fait de laisser des personnages publics, qui ne sont pas des réprésentants politiques, dire pour qui il faut ou ne pas voter : cela a un côté condescendant humiliant envers le public.
Par contre, à la rigueur, donner un avis expliquant quel parti a des qualités ou des défauts, serait selon moi plus acceptable et plus respectueux. Même si ce n'est qu'une nuance par rapport à l'autre attitude.
Paulette aime ce message
Flavius- Modérateur
- Messages : 35159
Date d'inscription : 17/12/2013
Localisation : Hérault
Je suis d'accord avec toi. De toute façon, Enthoven combien de division ?beced a écrit:Raphaël Enthoven, un curieux mea culpa >>> Les foudres se sont abattues sur le philosophe, quand il a déclaré qu’en cas de second tour entre les deux extrêmes, il préférait Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon. Il a depuis précisé ses propos et fait marche arrière. En cas d’un tel duel, il préférera finalement ne pas choisir.(extrait lu dans causeur.fr)
Ce qui est dérangeant, selon moi, est le fait de laisser des personnages publics, qui ne sont pas des réprésentants politiques, dire pour qui il faut ou ne pas voter : cela a un côté condescendant humiliant envers le public.
Par contre, à la rigueur, donner un avis expliquant quel parti a des qualités ou des défauts, serait selon moi plus acceptable et plus respectueux. Même si ce n'est qu'une nuance par rapport à l'autre attitude.
Je pense que ces gens ne se rendent pas compte à quel point leurs interventions partisanes irritent.
Ces personnalités ne se doute pas à quel point ils sont détestées.
Les politiques, les journalistes et les élites ou celles qui pensent l'être, sont rejetées. Je crains que cela ne se ressente dans les élections régionales avec une abstention record, ce que je regrette. Cela laisse une place de choix à la médiocrité, comme on a pu le constater à Lyon et à Bordeaux.
cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
Invité- Invité
C'est quand, le deuxième tour ?
beced- Messages : 52792
Date d'inscription : 31/12/2013
Paulette a écrit:
Le 24 avril 2022.
En 1904 (du 2 au 25 juillet 1904).
La victoire revient à Henri Cornet.
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Dan22- Messages : 5584
Date d'inscription : 17/04/2020
LV426 a écrit:C'est quand, le deuxième tour ?
?
Invité- Invité
C'était une vraie question. Je suis très déconnecté de l'actualité en ce moment. J'ai appris dimanche dernier à 21h que j'aurais dû(?) aller voter.Dan22 a écrit:
?
Mais OK, je vois ce matin que c'est aujourd'hui.
Pour certaines élections, il y a 2 semaines entre les deux tours.
C'est pourquoi je posais cette question qui t'a semblé insolite.
cristaline- Messages : 27107
Date d'inscription : 18/12/2013
LV426 a écrit:
C'était une vraie question. Je suis très déconnecté de l'actualité en ce moment. J'ai appris dimanche dernier à 21h que j'aurais dû(?) aller voter.
Mais OK, je vois ce matin que c'est aujourd'hui.
Pour certaines élections, il y a 2 semaines entre les deux tours.
C'est pourquoi je posais cette question qui t'a semblé insolite.
Ça doit être le syndrome du musicien ; j'en ai un à la maison qui se soucie des élections comme d'une guigne, il ne pense que musique, re-recording, arrangements, violon(s), musique ancienne, et sinon, grands sommets et montagne....J'ai essayé de le convaincre, mais à part les présidentielles, il ne vote pas...
PS ; j'ajoute que notre télé est quasiment éteinte depuis le changement d'horaire, et on ne s'en porte pas plus mal....
beced- Messages : 52792
Date d'inscription : 31/12/2013
Paulette aime ce message
Dan22- Messages : 5584
Date d'inscription : 17/04/2020
Je conçois très bien que l’on ne veuille pas voter et ne pas regarder la télé, mais il y a internet et la radio qui nous informent de ce qui se passe dans le monde ! A moins de vivre dans un trou à rats où on capte rien …. ou être moine
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Invité- Invité
ça arrive, tu n'es pas le seul !!!!LV426 a écrit:
C'était une vraie question. Je suis très déconnecté de l'actualité en ce moment. J'ai appris dimanche dernier à 21h que j'aurais dû(?) aller voter.
Mais OK, je vois ce matin que c'est aujourd'hui.
Pour certaines élections, il y a 2 semaines entre les deux tours.
C'est pourquoi je posais cette question qui t'a semblé insolite.
Pas voté volontairement au 1er tour, mais ce matin OUI, car trop important pour la région, pour le département : 70 % d'abstention au 1er tour, c'etait vraiment trop, là aujourd'hui ça s'est un peu "décanté" (les candidats) et je savais pour qui je devais voter
ps : pour rappel, En Moselle nous avons 27 cantons, 54 conseillers départementaux