T'as raison : un bon petit Armagnac, pour faire passer !
Je finis le bouquin de Natache Polony "Nous sommes la France", elle parle TRÈS BIEN de tous ces problèmes de cécité, langue de bois, et d'hypocrisie qui MINENT nos démocraties ; mais le bon peuple, lui, a des yeux et des oreilles !
Plenel, faudra que je prenne un antihistaminique !! J'ai envie de lui taper dessus dès que je vois sa moustache et ses yeux au sourire sournois !
Bonjour Cris
Oui, un antihistaminique à trèèèèès forte dose, c'est possible mais insuffisant. Il faut prévoir la piqûre d'adrénaline aussi...
Islam radical à Molenbeek : tout était écrit depuis dix ans Hind Fraihi, journaliste qui avait dénoncé dès 2006 la radicalisation à Molenbeek Dans « En immersion à Molenbeek » publié en 2006, Hind Fraihi décrivait déjà les processus de radicalisation inquiétants à Molenbeek (Belgique) où elle s’était installée pendant deux mois. Dix ans plus tard, l’enquête sur les attentats du 13 novembre a démontré le rôle central de ce quartier multiculturel et populaire de la banlieue de Bruxelles, où de nombreux terroristes ont vécu et tissé des liens. Dédaignée à l’époque, cette enquête visionnaire est rééditée*.
Que s’est-il passé lors de la publication de votre enquête en 2006 ? HIND FRAIHI. A la sortie de mon livre, il n’y a eu aucun débat sur son contenu. Je n’ai pas été prise au sérieux, ni par le maire de l’époque, ni par les politiques, ni pas les services de police et de renseignement. Tout le monde s’est dit que j’exagérais. Force est de constater que le constat dressé en 2006, qui comportait déjà tous les signaux d’alerte, n’a pas été entendu. Nous avons raté une chance de comprendre ce qu’il se passait, d’y réfléchir. Nous n’avons pas voulu voir.
Avez-vous été surprise de découvrir que l’enquête sur les attentats de Paris amène à Molenbeek ? Je n’ai pas été vraiment surprise de cette connexion, d’autant qu’il y a eu des précédents. Les attentats de Madrid en 2004, l’attaque au Musée juif de Bruxelles en 2014, l’attaque du Thalys en 2015 : à chaque fois, nous avons découvert que les assaillants avaient transité par Molenbeek. Ce qui m’a véritablement surprise, par contre, c’est l’ampleur de ces attaques.
Quel est votre constat aujourd’hui ? Il y a dix ans, je pouvais voir des livres pro-djihad sur les étagères des librairies, j’entendais des prêches extrémistes dans des mosquées, des recruteurs abordaient leurs jeunes recrues dans la rue ou dans le métro. C’était tangible. Aujourd’hui, les choses ont bien changé, tout est plus dissimulé, plus virtuel : les recrutements ne se font plus au grand jour, mais sur Internet. Il est donc beaucoup plus difficile d’identifier et de combattre les comportements à risques. Les raisons du djihad ont également évolué : en 2006, les jeunes candidats évoquaient la Palestine, l’Irak, l’Afghanistan. Aujourd’hui, c’est la Libye ou la Syrie. Mais, au fond, c’est toujours le même moteur : le sentiment que le monde est indifférent aux souffrances de ces pays. Enfin, j’observe également une évolution dans le profil des candidats au djihad : on voit désormais certains jeunes diplômés ou ayant un emploi. Ce n’était pas le cas auparavant.
Que faudrait-il faire ? Lors de mon immersion, j’avais pu constater l’existence de ce que j’ai nommé « une industrie de l’intégration », avec pléiade d’associations se donnant pour objectif d’intégrer les jeunes. Avec le succès que l’on connaît… Aujourd’hui, je crains qu’on ne soit passé à l’ère de « l’industrie de la déradicalisation ». Je crains que les résultats ne soient guère plus efficaces. En revanche, au niveau international, on peut déjà modifier en profondeur nos alliances diplomatiques. On ne peut plus continuer comme avant, avec l’Arabie saoudite notamment. Sur le plan intérieur, il faut enfin proposer un destin commun à ces jeunes issus de l’immigration. On les a trop longtemps négligés, niés. Il faut arrêter de monter des projets « pour » les jeunes, il faut faire « avec » les jeunes, ce qui est très différent.
Etes-vous plus écoutée aujourd’hui ? Oui. Hélas, oui. Mais notre aveuglement nous a coûté cher, tellement cher…
Islam radical à Molenbeek : tout était écrit depuis dix ans Hind Fraihi, journaliste qui avait dénoncé dès 2006 la radicalisation à Molenbeek Dans « En immersion à Molenbeek » publié en 2006, Hind Fraihi décrivait déjà les processus de radicalisation inquiétants à Molenbeek (Belgique) où elle s’était installée pendant deux mois. Dix ans plus tard, l’enquête sur les attentats du 13 novembre a démontré le rôle central de ce quartier multiculturel et populaire de la banlieue de Bruxelles, où de nombreux terroristes ont vécu et tissé des liens. Dédaignée à l’époque, cette enquête visionnaire est rééditée*.
Que s’est-il passé lors de la publication de votre enquête en 2006 ? HIND FRAIHI. A la sortie de mon livre, il n’y a eu aucun débat sur son contenu. Je n’ai pas été prise au sérieux, ni par le maire de l’époque, ni par les politiques, ni pas les services de police et de renseignement. Tout le monde s’est dit que j’exagérais. Force est de constater que le constat dressé en 2006, qui comportait déjà tous les signaux d’alerte, n’a pas été entendu. Nous avons raté une chance de comprendre ce qu’il se passait, d’y réfléchir. Nous n’avons pas voulu voir.
Avez-vous été surprise de découvrir que l’enquête sur les attentats de Paris amène à Molenbeek ? Je n’ai pas été vraiment surprise de cette connexion, d’autant qu’il y a eu des précédents. Les attentats de Madrid en 2004, l’attaque au Musée juif de Bruxelles en 2014, l’attaque du Thalys en 2015 : à chaque fois, nous avons découvert que les assaillants avaient transité par Molenbeek. Ce qui m’a véritablement surprise, par contre, c’est l’ampleur de ces attaques.
Quel est votre constat aujourd’hui ? Il y a dix ans, je pouvais voir des livres pro-djihad sur les étagères des librairies, j’entendais des prêches extrémistes dans des mosquées, des recruteurs abordaient leurs jeunes recrues dans la rue ou dans le métro. C’était tangible. Aujourd’hui, les choses ont bien changé, tout est plus dissimulé, plus virtuel : les recrutements ne se font plus au grand jour, mais sur Internet. Il est donc beaucoup plus difficile d’identifier et de combattre les comportements à risques. Les raisons du djihad ont également évolué : en 2006, les jeunes candidats évoquaient la Palestine, l’Irak, l’Afghanistan. Aujourd’hui, c’est la Libye ou la Syrie. Mais, au fond, c’est toujours le même moteur : le sentiment que le monde est indifférent aux souffrances de ces pays. Enfin, j’observe également une évolution dans le profil des candidats au djihad : on voit désormais certains jeunes diplômés ou ayant un emploi. Ce n’était pas le cas auparavant.
Que faudrait-il faire ? Lors de mon immersion, j’avais pu constater l’existence de ce que j’ai nommé « une industrie de l’intégration », avec pléiade d’associations se donnant pour objectif d’intégrer les jeunes. Avec le succès que l’on connaît… Aujourd’hui, je crains qu’on ne soit passé à l’ère de « l’industrie de la déradicalisation ». Je crains que les résultats ne soient guère plus efficaces. En revanche, au niveau international, on peut déjà modifier en profondeur nos alliances diplomatiques. On ne peut plus continuer comme avant, avec l’Arabie saoudite notamment. Sur le plan intérieur, il faut enfin proposer un destin commun à ces jeunes issus de l’immigration. On les a trop longtemps négligés, niés. Il faut arrêter de monter des projets « pour » les jeunes, il faut faire « avec » les jeunes, ce qui est très différent.
Etes-vous plus écoutée aujourd’hui ? Oui. Hélas, oui. Mais notre aveuglement nous a coûté cher, tellement cher…
Mais c'est pareil en France. Se taire pour ne pas avoir de bruit est la solution qui a été choisie pour acheter la paix sociale et accessoirement des voix. C'est pareil en France. C'est toujours la pire des solutions parce qui plus on attend pour parler, plus le bruit est assourdissant. Ça donne le 7 janvier et le 13 novembre. Tu vas dans les banlieues lyonnaises (Vénissieux), grenobloises, parisiennes, lilloises, marseillaises... la situation n'est pas différente de celle de Molenbeek. Ici, 8000 habitants, à plus de cent bornes de Grenoble, les belphégors et barbus sont en train de fleurir vitesse grand V. Et personne ne fait rien pour empêcher les imams salafistes de faire leur propagande.
Azalee a écrit: Mais c'est pareil en France. Se taire pour ne pas avoir de bruit est la solution qui a été choisie pour acheter la paix sociale et accessoirement des voix. C'est pareil en France. C'est toujours la pire des solutions parce qui plus on attend pour parler, plus le bruit est assourdissant. Ça donne le 7 janvier et le 13 novembre. Tu vas dans les banlieues lyonnaises (Vénissieux), grenobloises, parisiennes, lilloises, marseillaises... la situation n'est pas différente de celle de Molenbeek. Ici, 8000 habitants, à plus de cent bornes de Grenoble, les belphégors et barbus sont en train de fleurir vitesse grand V. Et personne ne fait rien pour empêcher les imams salafistes de faire leur propagande.
Et l'on s'étonne que l'histoire se répète ! On n'écoute pas ceux et celles qui ont des choses à dire c'est du type : "rengaine ta rengaine", et on tire pas les leçon de l'histoire fusse-t-elle récente, du type : ne nous serinez pas avec vos commémorations ...
Flavius a écrit: Et l'on s'étonne que l'histoire se répète ! On n'écoute pas ceux et celles qui ont des choses à dire c'est du type : "rengaine ta rengaine", et on tire pas les leçon de l'histoire fusse-t-elle récente, du type : ne nous serinez pas avec vos commémorations ...
A propos de commémoration Hollande en a trouvé une nouvelle qui concerne la guerre d'Algérie. Il est vrai qu'en maître de cérémonie, avec son look de maître d'hôtel au garde à vous, il est parfait ! Il n'y a même que là qu'il est bien. Sauf que c'est le domaine dont tout le monde se fout.
Azalee a écrit: A propos de commémoration Hollande en a trouvé une nouvelle qui concerne la guerre d'Algérie. Il est vrai qu'en maître de cérémonie, avec son look de maître d'hôtel au garde à vous, il est parfait ! Il n'y a même que là qu'il est bien. Sauf que c'est le domaine dont tout le monde se fout.
Je le trouve encore pire que tout dans ces cas-là : il a l'air stupide, mal fagoté, le cul en arrière, le bras gauche plus court que le droit, et la mine constipée....
S'il pense se refaire une gloire avec ça, c'est mal barré !
Azalee a écrit: A propos de commémoration Hollande en a trouvé une nouvelle qui concerne la guerre d'Algérie. Il est vrai qu'en maître de cérémonie, avec son look de maître d'hôtel au garde à vous, il est parfait ! Il n'y a même que là qu'il est bien. Sauf que c'est le domaine dont tout le monde se fout.
C'est exact ! l'homme de la récupération politique sur le dos les morts aura été parfait ! Je ne pense pas que cela lui fasse gagner une seule voix...pas même de celle de Ray qui lui acquise même s'il déclenchait par inadvertance une guerre nucléaire...
C'est exact ! l'homme de la récupération politique sur le dos les morts aura été parfait ! Je ne pense pas que cela lui fasse gagner une seule voix...pas même de celle de Ray qui lui acquise même s'il déclenchait par inadvertance une guerre nucléaire...
C'était tellement flagrant que je m'étonne que les médias n'en ont pas parlé (ceux que je regarde ou lit ) à l'époque.
En direct on a vu quelques jeunes du quartier de Molenbeek manifester en faveur des terroristes: la police et leurs chiens ont dû intervenir pour les "calmer" ou les disperser.
C'est exact ! l'homme de la récupération politique sur le dos les morts aura été parfait ! Je ne pense pas que cela lui fasse gagner une seule voix...pas même de celle de Ray qui lui acquise même s'il déclenchait par inadvertance une guerre nucléaire...
En direct on a vu quelques jeunes du quartier de Molenbeek manifester en faveur des terroristes: la police et leurs chiens ont dû intervenir pour les "calmer" ou les disperser.
Il parait qu'il a le droit de refuser l'extradition. Comme je le crois très lâche, je pense qu'il ne va pas se gêner.
Azalee a écrit: Il parait qu'il a le droit de refuser l'extradition. Comme je le crois très lâche, je pense qu'il ne va pas se gêner.
Quand on vit en Belgique on devient accro aux frites.... : Cela dit il peut refuser l'extradition, mais les juges ne sont pas obligés d'accepter son argumentation. D'autant plus que quand il s'agit de terrorisme, je pense, les lois sont plus "souples".
Cela étant il doit répondre de certaines actions qu'il a commis, en ou depuis la Belgique. : Cela dit on ne meurt pas, ni dans les prisons belges ni dans les prisons françaises: il y aura donc un jour lointain où il sortira libre, et où il sera l'invité "special" d'un jt....
Quand on vit en Belgique on devient accro aux frites.... : Cela dit il peut refuser l'extradition, mais les juges ne sont pas obligés d'accepter son argumentation. D'autant plus que quand il s'agit de terrorisme, je pense, les lois sont plus "souples".
Cela étant il doit répondre de certaines actions qu'il a commis, en ou depuis la Belgique. : Cela dit on ne meurt pas, ni dans les prisons belges ni dans les prisons françaises: il y aura donc un jour lointain où il sortira libre, et où il sera l'invité "special" d'un jt....
Ce jour-là, j'espère qu'il aura un comité d'accueil à la hauteur de ses méfaits
Azalee a écrit: Il parait qu'il a le droit de refuser l'extradition. Comme je le crois très lâche, je pense qu'il ne va pas se gêner.
Il y a des situations où la notion de "droit de l'homme", y compris des sales crevures, me fait gerber ; cachot, pain sec et flotte, pas de télé, je te lui ferais un de ces petits régimes, moi, au "salaud abdeslam"......
Il y a des situations où la notion de "droit de l'homme", y compris des sales crevures, me fait gerber ; cachot, pain sec et flotte, pas de télé, je te lui ferais un de ces petits régimes, moi, au "salaud abdeslam"......
Dire qu'on va devoir encore nourrir cette pourriture !
Il y a des situations où la notion de "droit de l'homme", y compris des sales crevures, me fait gerber ; cachot, pain sec et flotte, pas de télé, je te lui ferais un de ces petits régimes, moi, au "salaud abdeslam"......
Si j'ai bien compris, même s'il n'est pas d'accord, il sera extradé. Tant mieux. Je note que ce sont les pires criminels qui revendiquent l'application stricte de la loi pour eux-même.
Azalee a écrit: Si j'ai bien compris, même s'il n'est pas d'accord, il sera extradé. Tant mieux. Je note que ce sont les pires criminels qui revendiquent l'application stricte de la loi pour eux-même.
Le document en question est un document européen: de tel sorte que tant que cela se passe dans l'UE, tout se passe dans la légalité. :
L"affaire de Molenbeek (après celles de Forest, Verviers - près de Liège )... indique que la Belgique a aussi des "territoires perdus".
A noter que malgré les discours des politiciens la plupart des Belges savaient depuis des années qu'un jour où l'autre que ce genre de chose allait se produire en Belgique.
Tout comme la population européenne (j'extrapole... ) se doute bien du chaos, tôt ou tard, que va créer les nouveaux accords avec la Turquie, et cela malgré les discours des dirigeants de l'UE.
Ce matin sur France-Culture Béatrice Delvaux du journal belge Le Soir, désignait les communes de Bruxelles où les musulmans y sont +- majoritaires de "le croissant du pauvre".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Pendant 20 ans, la Belgique a eu tout faux - Par Alain Destexhe Mis à jour le 22/03/2016 TRIBUNE - Le sénateur belge Alain Destexhe dénonce l'aveuglement et l'excès de tolérance des autorités et des médias vis-à-vis de la montée de l'islamisme outre-Quiévrain.
La Belgique est frappée à son tour par le terrorisme. Les Belges sont abattus, tristes et en colère mais pas surpris. Ce qui étonne, c'est plutôt que le pays ait si longtemps été épargné, à l'exception notable de l'attentat au Musée juif de Bruxelles. En effet, des réseaux belges ont été impliqués dans les grands attentats terroristes des vingt dernières années. Parmi les plus connus, citons l'assassinat du commandant Massoud en Afghanistan deux jours avant le 11 septembre 2001, les attentats de Madrid en 2004 et, plus récemment, la cellule de Verviers, l'attaque du Thalys et, bien sûr, les attentats de Paris. C'est une Belge convertie qui fut la première Européenne à commettre un attentat kamikaze en Irak en 2005. À Anvers s'est tenu l'année dernière le procès de quarante-six (!) ... :::
Cela dit dans la même intervention Béatrice Delvaux s'insurge contre les critiques de la France de la Belgique alors que les deux pays ont commis les mêmes erreurs* d'appréciation avec les mêmes conséquences. :
: : * Erreurs d'appréciation dues en fait par le soucis des 2 pays de respecter les principes fondamentaux de la démocratie; ;
beced a écrit: Ce matin sur France-Culture Béatrice Delvaux du journal belge Le Soir, désignait les communes de Bruxelles où les musulmans y sont +- majoritaires de "le croissant du pauvre".
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Pendant 20 ans, la Belgique a eu tout faux - Par Alain Destexhe Mis à jour le 22/03/2016 TRIBUNE - Le sénateur belge Alain Destexhe dénonce l'aveuglement et l'excès de tolérance des autorités et des médias vis-à-vis de la montée de l'islamisme outre-Quiévrain.
La Belgique est frappée à son tour par le terrorisme. Les Belges sont abattus, tristes et en colère mais pas surpris. Ce qui étonne, c'est plutôt que le pays ait si longtemps été épargné, à l'exception notable de l'attentat au Musée juif de Bruxelles. En effet, des réseaux belges ont été impliqués dans les grands attentats terroristes des vingt dernières années. Parmi les plus connus, citons l'assassinat du commandant Massoud en Afghanistan deux jours avant le 11 septembre 2001, les attentats de Madrid en 2004 et, plus récemment, la cellule de Verviers, l'attaque du Thalys et, bien sûr, les attentats de Paris. C'est une Belge convertie qui fut la première Européenne à commettre un attentat kamikaze en Irak en 2005. À Anvers s'est tenu l'année dernière le procès de quarante-six (!) ... :::
Cela dit dans la même intervention Béatrice Delvaux s'insurge contre les critiques de la France de la Belgique alors que les deux pays ont commis les mêmes erreurs* d'appréciation avec les mêmes conséquences. :
: : * Erreurs d'appréciation dues en fait par le soucis des 2 pays de respecter les principes fondamentaux de la démocratie; ;
Une des difficultés des forces de l'ordre (françaises, belges, ou autres ) est de pouvoir opérer sans les révélations intempestives venues de +- l'extérieur. Lors de l'arrestation vendredi dernier de Salah Abdelslam les journalistes étaient déjà devant son immeuble (ou pratiquement ) avant l'arrivée de la police (fuite il semble venant de l'Obs ). Le lendemain le procureur français François Molins annonce qu'Abdelslam va coopérer. Du coup on peut raisonnablement penser que les terroristes encore en liberté aient voulu accélérer leur projet d'attentat: qui peut-être n'avait même pas Bruxelles pour cible au moment de leur préparation. Ce matin la RTBF radio publique belge annonce comme une info "exclusive" ce qui pourtant n'a pas encore révélé des enquêtes délicates en cours par les forces de sécurité Il y a là , il me semble comme une irresponsabilité coupable venant de ceux qui pourtant sont les mieux au courant des dangers que courent nos démocraties.
A propos de François Molins : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] : : : A propos du manque de responsabilité des forces belges : photo prise à Bruxelles avant la Noel 2015 et qui avait choqué les Belges :