et en pwatou charanteFlavius a écrit:
Non !
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Mutine
clymene3
Flavius
Moiself
Ymar
9 participants
Topic des questions qu' on se pose
Invité- Invité
- Message n°651
Re: Topic des questions qu' on se pose
Flavius- Modérateur
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- Message n°652
Re: Topic des questions qu' on se pose
non. C'est en Amazonie ? en tout ca, c'est certainement un nom indien...PandaCoinCoin a écrit:
et en pwatou charante
cristaline- Messages : 26874
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°654
Re: Topic des questions qu' on se pose
PandaCoinCoin a écrit:
et en pwatou charante
Arrête de charrier, panda, c'est à ce genre de faute que l'on devine que tu nous mènes en bateau depuis toutes ces années....
Flavius- Modérateur
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- Message n°656
Re: Topic des questions qu' on se pose
Mais l’un n’empêche pas l’autre. La marche c’est bien sûr excellent, mais ça ne fait pas tout travailler.clymene3 a écrit:
Ce ne l'est pas.
Mais ces salles dites de fitness, où l'on paie très cher, me font rire, il suffit de marcher régulièrement.
Et puis, si vous voulez vraiment faire du cardio et transpirer, maintenir votre poids, et acquérir un peu de souplesse que vous perdez en vieillissant, les étirements, par exemples sont un plus. je trouve que cela me convient bien. Mais bon, chacun fait en fonction de ce qu’il recherche.
Flavius- Modérateur
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- Message n°657
Re: Topic des questions qu' on se pose
Et bien aujourd’hui, ballade et visite. Comme nous sommes dans le Down-town de Los Angelès, nous avons dû prendre le métro qui nous emmène sur Hollywood boulevard. Pas mal de cloches quand même dormant sur les bancs. Toutes les annonces sont faites en anglais et en espagnol. Quant à nous, nous familiarisons avec les appareils à tickets au point d’aider les autres à les utiliser.
Bon, alors, là, arrivés, c’est la fête à neuneus. Et sans nul doute, nous sommes passés pour des neuneus. Dès la sortie du métro, je me fait kidnapper par Hulk, Batman et Spiderman. On échappe pas à la photo, ma femme et moi et au fait que la fine équipe me demande 10 $. Mais bon, être photographié avec le géant vert, ce n’est pas tous les jours. Puis j’avais réservé un tour de la ville. Toutefois, Madame Flavius me dit : - je devrais prendre des cours auprès de tes nouveaux copains. Parce que la façon, dont la fine équipe a su te soutirer 10 dols sans douleur, c’est du grand art. Je mets quand même plus de temps, et généralement c’est à l’usure. Là, tu m’as étonnée...
- Bon, il faut bien se relâcher un peu de temps à autre. Nous sommes en vacance. Et puis ça fait du bien de temps en temps de passer pour un beauf !
- Tu devrais te relâcher plus souvent avec moi.
- Ben toi tu es 365 jours par an en vacance avec moi. Et toi tu bénéficies d’une cagnotte que je ne cesse d’alimenter. Alors que Hulk et Spiderman n’ont pas cette chance. Ils sont obligés de faire les cons chaque jour pour manger.
Sur cette argumentation qui ne convainc pas ma douce et tendre, et qui ne convaincrait d’ailleurs personne, nous prenons la file d’attente pour le tour de de la ville dans un bus off and up. Mais en voyant arriver le véhicule, je m’aperçois que je me suis trompé d’attraction. Il s’agit d’un tour qui doit nous emmener visiter les lieux et places des maisons d’artistes, dont je me fiche éperdument. Trop tard pour faire machine arrière. C’est inclus dans ma réservation Viator, donc va pour passer encore plus cons qu’on ne l’est déjà. On aperçoit le toit de la maison de machin, la pelouse de machine, enfin la visite à éviter. J’entends un chiffre, celui d’une maison 35 millions. Je me penche sur Flaviusette et je lui dis : - C’est un peu grand, mais je pense que l’on s’y fera parfaitement. En rentrant je demanderai à ma banque si elle accepte de me faire un crédit sur deux ou trois siècles. Bon public, elle rigole.
Ce tour dure deux heures et j’ai l’impression qu’il en dure 5.
Enfin, la souffrance se termine. Le gars, préconise un pourboire de 10 dollars par personne. Alors qu’il attend son pourliche, il me fait gentiment remarquer que j’oublie son tip. Je le regarde, et je lui dis que je n’oublie rien du tout. Il faut dire que je suis énervé de mêtre trompé d’attraction et qu’il m’a gavé un max. Il me demande pourquoi. Alors je lui dis, qu’il faisait froid dans sa bétaillère, et que j’attends toujours sa traduction en français. Là je suis de mauvaise foi, car je savais pertinemment qu’il n’y aurait pas de traduction en français. Et de me faire remarquer que je ne me débrouille pas si mal en anglais.
- Peut-être, continuai-je sur le ton de la mauvaise foi. Mais c’est un principe. Vous devez parler la langue de vos clients. Ce qui ne se fait plus depuis longtemps ici. Ces Américains pensent qu’on doit forcément parler leur langue.
Dans.
Dans ces cas-là, mon épouse me donne toujours raison. Et nous dirigeons vers un snack où nous irons boire un thé. Là,elle me dit :- tu y as été un peu fort avec le chauffeur.
- il m’a fait j’échange, je lui rends la pareille. Et puis qu’est-ce que c’est que. Ces manières de gland, que de m’imposer 10 dollars par personne ? Il m’a bien regarder lui ?
- C’est sûr, il ne te connais pas aussi bien que moi.
- tu le sais, j’ai horreur de me faire entubé.
- Sauf par Hulk. Je sais...
Zut, le café en question m’informe par une inscription sur la porte des toilettes qu’elles sont indisponibles. Et moi qui était rentré pour soulager ma vessie. Je vais à la caisse, d’un air mauvais, et je demande si leurs chiottes sont indisponibles, dès fois qu’il y en aient d’autres ? La fille m’explique : mais non les toilettes sont disponibles. Je vais vous donner le mot de passe, et de me donner le césame avec lequel je peux actionner le verrou à code. Ma vessie la remercie, et ma femme de me demander ce qui se passe. Et bien c’est simple, ils mettent ce panneaux, car il y a pas mal de clodos qui viennent en salissant les lieux de vomis, de pisse, qui font leur toilette, qui se soutient, etc. Et qui bien sûr ne consomment pas.
Sur ces considérations d’ordre domestique, nous arpentons le fameux boulevard aux inscriptions et empreintes de mains et de pieds des célébrités du spectacle. Je vois, Madame Flavius anxieuse.
- Mais que cherches-tu ? Tes empreintes ? Il est vrai que tu deviens célèbre en Amérique.
- Idiot ! Je cherche Judy Garland. Et moi, je tombe sur les traces de Maurice Chevalier. Comme nous sommes devant le théâtre Chinois, qui n’ a de Chinois que le nom et les décors, nous y entrons. Là une présentation cinématographique de 10’ nous est faite, sur ce lieu, temple du cinéma américain qui a vu passer les plus grands acteurs. L’écran est géant et les premières de grands films y sont Projettées.
À la sortie, on nous raconte l’histoire d’accessoires divers même la robe de Judy Garland, dans le magicien d’Oz. Enfin, ce qui est émouvant, ce sont les toilettes portées par des artistes d’autrefois. Pas les accoutrements comme les costumes de Dark Vador ou celui des soldats de l’empire de Star War.
Bof, on aurait pu s’en passer sans regret. Devant nous, le bâtiment où sont oscarisés les artistes et nous rejoignons le musée de Madame Tussaud. Là arrive contre on s’est bien amusés à nous prendre en photo, avec des célébrités. Et comme on faisait tous pareil, là on a eu des moments de sacrées rigolades. C’est ainsi que je tiens par la taille Ingrid Bergman, Jennifer Lopez, bois le thé avec Audrey Hepburn, je boxe avec Stallone, je monte le chameau de Lawrence d’Arabie, discute avec Hitchcock, tape sur l’épaule se Spielberg, entame une conversation avec Forest Gump, et reçoit un coup de pied de Bruce-Lee, monte la moto de Steven McQueen dans la grande évasion. Madame Flavius n’est pas en reste. Elle prend la main de Gregory Peck auprès duquel elle est minuscule, danse avec James Dean et Travolta, pose avec le grand Clint Eastwood, met sa main sur l’épaule d’Elvis, etc. Je vous le dis, un grand moment de rigolade.
Et puis nous commençons à fatiguer. Madame Flavius, propose que l’on aille boire à nouveau une tasse de thé, dans un café qu’elle a repéré pas loins d’ici. Ok. Comme je ne suis jamais contre une bonne tasse de thé, nous y allons. En fait, nous prenons un expresso, ce qui n’est pas courant. Tous n’ont pas de percolateur. On en profite. La Flaviusette, me plante là en me disant qu’en attendant que le café refroidisse elle a quelque chose à faire. Et bing, encore piégé. Ce n’est donc pas un hasard si nous sommes ici. Quinze minutes plus tard, alors que le café n’est plus aussi chaud, je revois ma moitié, revenir l’air un peu contrarié.
- Qu’y a -t-il encore.
- Bah, ils avaient de beaux modèles de chaussures ici. Mais pas ma taille. Je remercie le dieu des vendeuses de chaussures hollywoodiennes et nous repartons, par le métro, pour notre hôtel où nous attendent 1heure30 de souffrance intense.
Bon, alors, là, arrivés, c’est la fête à neuneus. Et sans nul doute, nous sommes passés pour des neuneus. Dès la sortie du métro, je me fait kidnapper par Hulk, Batman et Spiderman. On échappe pas à la photo, ma femme et moi et au fait que la fine équipe me demande 10 $. Mais bon, être photographié avec le géant vert, ce n’est pas tous les jours. Puis j’avais réservé un tour de la ville. Toutefois, Madame Flavius me dit : - je devrais prendre des cours auprès de tes nouveaux copains. Parce que la façon, dont la fine équipe a su te soutirer 10 dols sans douleur, c’est du grand art. Je mets quand même plus de temps, et généralement c’est à l’usure. Là, tu m’as étonnée...
- Bon, il faut bien se relâcher un peu de temps à autre. Nous sommes en vacance. Et puis ça fait du bien de temps en temps de passer pour un beauf !
- Tu devrais te relâcher plus souvent avec moi.
- Ben toi tu es 365 jours par an en vacance avec moi. Et toi tu bénéficies d’une cagnotte que je ne cesse d’alimenter. Alors que Hulk et Spiderman n’ont pas cette chance. Ils sont obligés de faire les cons chaque jour pour manger.
Sur cette argumentation qui ne convainc pas ma douce et tendre, et qui ne convaincrait d’ailleurs personne, nous prenons la file d’attente pour le tour de de la ville dans un bus off and up. Mais en voyant arriver le véhicule, je m’aperçois que je me suis trompé d’attraction. Il s’agit d’un tour qui doit nous emmener visiter les lieux et places des maisons d’artistes, dont je me fiche éperdument. Trop tard pour faire machine arrière. C’est inclus dans ma réservation Viator, donc va pour passer encore plus cons qu’on ne l’est déjà. On aperçoit le toit de la maison de machin, la pelouse de machine, enfin la visite à éviter. J’entends un chiffre, celui d’une maison 35 millions. Je me penche sur Flaviusette et je lui dis : - C’est un peu grand, mais je pense que l’on s’y fera parfaitement. En rentrant je demanderai à ma banque si elle accepte de me faire un crédit sur deux ou trois siècles. Bon public, elle rigole.
Ce tour dure deux heures et j’ai l’impression qu’il en dure 5.
Enfin, la souffrance se termine. Le gars, préconise un pourboire de 10 dollars par personne. Alors qu’il attend son pourliche, il me fait gentiment remarquer que j’oublie son tip. Je le regarde, et je lui dis que je n’oublie rien du tout. Il faut dire que je suis énervé de mêtre trompé d’attraction et qu’il m’a gavé un max. Il me demande pourquoi. Alors je lui dis, qu’il faisait froid dans sa bétaillère, et que j’attends toujours sa traduction en français. Là je suis de mauvaise foi, car je savais pertinemment qu’il n’y aurait pas de traduction en français. Et de me faire remarquer que je ne me débrouille pas si mal en anglais.
- Peut-être, continuai-je sur le ton de la mauvaise foi. Mais c’est un principe. Vous devez parler la langue de vos clients. Ce qui ne se fait plus depuis longtemps ici. Ces Américains pensent qu’on doit forcément parler leur langue.
Dans.
Dans ces cas-là, mon épouse me donne toujours raison. Et nous dirigeons vers un snack où nous irons boire un thé. Là,elle me dit :- tu y as été un peu fort avec le chauffeur.
- il m’a fait j’échange, je lui rends la pareille. Et puis qu’est-ce que c’est que. Ces manières de gland, que de m’imposer 10 dollars par personne ? Il m’a bien regarder lui ?
- C’est sûr, il ne te connais pas aussi bien que moi.
- tu le sais, j’ai horreur de me faire entubé.
- Sauf par Hulk. Je sais...
Zut, le café en question m’informe par une inscription sur la porte des toilettes qu’elles sont indisponibles. Et moi qui était rentré pour soulager ma vessie. Je vais à la caisse, d’un air mauvais, et je demande si leurs chiottes sont indisponibles, dès fois qu’il y en aient d’autres ? La fille m’explique : mais non les toilettes sont disponibles. Je vais vous donner le mot de passe, et de me donner le césame avec lequel je peux actionner le verrou à code. Ma vessie la remercie, et ma femme de me demander ce qui se passe. Et bien c’est simple, ils mettent ce panneaux, car il y a pas mal de clodos qui viennent en salissant les lieux de vomis, de pisse, qui font leur toilette, qui se soutient, etc. Et qui bien sûr ne consomment pas.
Sur ces considérations d’ordre domestique, nous arpentons le fameux boulevard aux inscriptions et empreintes de mains et de pieds des célébrités du spectacle. Je vois, Madame Flavius anxieuse.
- Mais que cherches-tu ? Tes empreintes ? Il est vrai que tu deviens célèbre en Amérique.
- Idiot ! Je cherche Judy Garland. Et moi, je tombe sur les traces de Maurice Chevalier. Comme nous sommes devant le théâtre Chinois, qui n’ a de Chinois que le nom et les décors, nous y entrons. Là une présentation cinématographique de 10’ nous est faite, sur ce lieu, temple du cinéma américain qui a vu passer les plus grands acteurs. L’écran est géant et les premières de grands films y sont Projettées.
À la sortie, on nous raconte l’histoire d’accessoires divers même la robe de Judy Garland, dans le magicien d’Oz. Enfin, ce qui est émouvant, ce sont les toilettes portées par des artistes d’autrefois. Pas les accoutrements comme les costumes de Dark Vador ou celui des soldats de l’empire de Star War.
Bof, on aurait pu s’en passer sans regret. Devant nous, le bâtiment où sont oscarisés les artistes et nous rejoignons le musée de Madame Tussaud. Là arrive contre on s’est bien amusés à nous prendre en photo, avec des célébrités. Et comme on faisait tous pareil, là on a eu des moments de sacrées rigolades. C’est ainsi que je tiens par la taille Ingrid Bergman, Jennifer Lopez, bois le thé avec Audrey Hepburn, je boxe avec Stallone, je monte le chameau de Lawrence d’Arabie, discute avec Hitchcock, tape sur l’épaule se Spielberg, entame une conversation avec Forest Gump, et reçoit un coup de pied de Bruce-Lee, monte la moto de Steven McQueen dans la grande évasion. Madame Flavius n’est pas en reste. Elle prend la main de Gregory Peck auprès duquel elle est minuscule, danse avec James Dean et Travolta, pose avec le grand Clint Eastwood, met sa main sur l’épaule d’Elvis, etc. Je vous le dis, un grand moment de rigolade.
Et puis nous commençons à fatiguer. Madame Flavius, propose que l’on aille boire à nouveau une tasse de thé, dans un café qu’elle a repéré pas loins d’ici. Ok. Comme je ne suis jamais contre une bonne tasse de thé, nous y allons. En fait, nous prenons un expresso, ce qui n’est pas courant. Tous n’ont pas de percolateur. On en profite. La Flaviusette, me plante là en me disant qu’en attendant que le café refroidisse elle a quelque chose à faire. Et bing, encore piégé. Ce n’est donc pas un hasard si nous sommes ici. Quinze minutes plus tard, alors que le café n’est plus aussi chaud, je revois ma moitié, revenir l’air un peu contrarié.
- Qu’y a -t-il encore.
- Bah, ils avaient de beaux modèles de chaussures ici. Mais pas ma taille. Je remercie le dieu des vendeuses de chaussures hollywoodiennes et nous repartons, par le métro, pour notre hôtel où nous attendent 1heure30 de souffrance intense.
cristaline- Messages : 26874
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°658
Re: Topic des questions qu' on se pose
Nouvel épisode hilarant : je me souviens parfaitement de Hollywood Boulevard et des ses célèbres empreintes ; mais Hollywood reste pour moi la pire attraction attrape-couillon qui soit ! Si jamais vous prenez le petit train pour visiter les "studios" d'Hollywood, pensez à moi !....Avec les décors en carton-pâte etc....
Le coup des WC à code, on a ça aussi dans les Mac Do, et aussi d'autres enseignes, et quelque part, on les comprend !
Mon salut matutinal à Madame Flavius et à son époux, vous-même, cher administrateur ! (Bon, il n'est que 8h45 mais je suis levée depuis 7h...)
Le coup des WC à code, on a ça aussi dans les Mac Do, et aussi d'autres enseignes, et quelque part, on les comprend !
Mon salut matutinal à Madame Flavius et à son époux, vous-même, cher administrateur ! (Bon, il n'est que 8h45 mais je suis levée depuis 7h...)
Invité- Invité
- Message n°659
Re: Topic des questions qu' on se pose
J'ai souvent eu des problèmes de toilettes.Flavius a écrit:Et bien aujourd’hui, ballade et visite. Comme nous sommes dans le Down-town de Los Angelès, nous avons dû prendre le métro qui nous emmène sur Hollywood boulevard. Pas mal de cloches quand même dormant sur les bancs. Toutes les annonces sont faites en anglais et en espagnol. Quant à nous, nous familiarisons avec les appareils à tickets au point d’aider les autres à les utiliser.
Bon, alors, là, arrivés, c’est la fête à neuneus. Et sans nul doute, nous sommes passés pour des neuneus. Dès la sortie du métro, je me fait kidnapper par Hulk, Batman et Spiderman. On échappe pas à la photo, ma femme et moi et au fait que la fine équipe me demande 10 $. Mais bon, être photographié avec le géant vert, ce n’est pas tous les jours. Puis j’avais réservé un tour de la ville. Toutefois, Madame Flavius me dit : - je devrais prendre des cours auprès de tes nouveaux copains. Parce que la façon, dont la fine équipe a su te soutirer 10 dols sans douleur, c’est du grand art. Je mets quand même plus de temps, et généralement c’est à l’usure. Là, tu m’as étonnée...
- Bon, il faut bien se relâcher un peu de temps à autre. Nous sommes en vacance. Et puis ça fait du bien de temps en temps de passer pour un beauf !
- Tu devrais te relâcher plus souvent avec moi.
- Ben toi tu es 365 jours par an en vacance avec moi. Et toi tu bénéficies d’une cagnotte que je ne cesse d’alimenter. Alors que Hulk et Spiderman n’ont pas cette chance. Ils sont obligés de faire les cons chaque jour pour manger.
Sur cette argumentation qui ne convainc pas ma douce et tendre, et qui ne convaincrait d’ailleurs personne, nous prenons la file d’attente pour le tour de de la ville dans un bus off and up. Mais en voyant arriver le véhicule, je m’aperçois que je me suis trompé d’attraction. Il s’agit d’un tour qui doit nous emmener visiter les lieux et places des maisons d’artistes, dont je me fiche éperdument. Trop tard pour faire machine arrière. C’est inclus dans ma réservation Viator, donc va pour passer encore plus cons qu’on ne l’est déjà. On aperçoit le toit de la maison de machin, la pelouse de machine, enfin la visite à éviter. J’entends un chiffre, celui d’une maison 35 millions. Je me penche sur Flaviusette et je lui dis : - C’est un peu grand, mais je pense que l’on s’y fera parfaitement. En rentrant je demanderai à ma banque si elle accepte de me faire un crédit sur deux ou trois siècles. Bon public, elle rigole.
Ce tour dure deux heures et j’ai l’impression qu’il en dure 5.
Enfin, la souffrance se termine. Le gars, préconise un pourboire de 10 dollars par personne. Alors qu’il attend son pourliche, il me fait gentiment remarquer que j’oublie son tip. Je le regarde, et je lui dis que je n’oublie rien du tout. Il faut dire que je suis énervé de mêtre trompé d’attraction et qu’il m’a gavé un max. Il me demande pourquoi. Alors je lui dis, qu’il faisait froid dans sa bétaillère, et que j’attends toujours sa traduction en français. Là je suis de mauvaise foi, car je savais pertinemment qu’il n’y aurait pas de traduction en français. Et de me faire remarquer que je ne me débrouille pas si mal en anglais.
- Peut-être, continuai-je sur le ton de la mauvaise foi. Mais c’est un principe. Vous devez parler la langue de vos clients. Ce qui ne se fait plus depuis longtemps ici. Ces Américains pensent qu’on doit forcément parler leur langue.
Dans.
Dans ces cas-là, mon épouse me donne toujours raison. Et nous dirigeons vers un snack où nous irons boire un thé. Là,elle me dit :- tu y as été un peu fort avec le chauffeur.
- il m’a fait j’échange, je lui rends la pareille. Et puis qu’est-ce que c’est que. Ces manières de gland, que de m’imposer 10 dollars par personne ? Il m’a bien regarder lui ?
- C’est sûr, il ne te connais pas aussi bien que moi.
- tu le sais, j’ai horreur de me faire entubé.
- Sauf par Hulk. Je sais...
Zut, le café en question m’informe par une inscription sur la porte des toilettes qu’elles sont indisponibles. Et moi qui était rentré pour soulager ma vessie. Je vais à la caisse, d’un air mauvais, et je demande si leurs chiottes sont indisponibles, dès fois qu’il y en aient d’autres ? La fille m’explique : mais non les toilettes sont disponibles. Je vais vous donner le mot de passe, et de me donner le césame avec lequel je peux actionner le verrou à code. Ma vessie la remercie, et ma femme de me demander ce qui se passe. Et bien c’est simple, ils mettent ce panneaux, car il y a pas mal de clodos qui viennent en salissant les lieux de vomis, de pisse, qui font leur toilette, qui se soutient, etc. Et qui bien sûr ne consomment pas.
Sur ces considérations d’ordre domestique, nous arpentons le fameux boulevard aux inscriptions et empreintes de mains et de pieds des célébrités du spectacle. Je vois, Madame Flavius anxieuse.
- Mais que cherches-tu ? Tes empreintes ? Il est vrai que tu deviens célèbre en Amérique.
- Idiot ! Je cherche Judy Garland. Et moi, je tombe sur les traces de Maurice Chevalier. Comme nous sommes devant le théâtre Chinois, qui n’ a de Chinois que le nom et les décors, nous y entrons. Là une présentation cinématographique de 10’ nous est faite, sur ce lieu, temple du cinéma américain qui a vu passer les plus grands acteurs. L’écran est géant et les premières de grands films y sont Projettées.
À la sortie, on nous raconte l’histoire d’accessoires divers même la robe de Judy Garland, dans le magicien d’Oz. Enfin, ce qui est émouvant, ce sont les toilettes portées par des artistes d’autrefois. Pas les accoutrements comme les costumes de Dark Vador ou celui des soldats de l’empire de Star War.
Bof, on aurait pu s’en passer sans regret. Devant nous, le bâtiment où sont oscarisés les artistes et nous rejoignons le musée de Madame Tussaud. Là arrive contre on s’est bien amusés à nous prendre en photo, avec des célébrités. Et comme on faisait tous pareil, là on a eu des moments de sacrées rigolades. C’est ainsi que je tiens par la taille Ingrid Bergman, Jennifer Lopez, bois le thé avec Audrey Hepburn, je boxe avec Stallone, je monte le chameau de Lawrence d’Arabie, discute avec Hitchcock, tape sur l’épaule se Spielberg, entame une conversation avec Forest Gump, et reçoit un coup de pied de Bruce-Lee, monte la moto de Steven McQueen dans la grande évasion. Madame Flavius n’est pas en reste. Elle prend la main de Gregory Peck auprès duquel elle est minuscule, danse avec James Dean et Travolta, pose avec le grand Clint Eastwood, met sa main sur l’épaule d’Elvis, etc. Je vous le dis, un grand moment de rigolade.
Et puis nous commençons à fatiguer. Madame Flavius, propose que l’on aille boire à nouveau une tasse de thé, dans un café qu’elle a repéré pas loins d’ici. Ok. Comme je ne suis jamais contre une bonne tasse de thé, nous y allons. En fait, nous prenons un expresso, ce qui n’est pas courant. Tous n’ont pas de percolateur. On en profite. La Flaviusette, me plante là en me disant qu’en attendant que le café refroidisse elle a quelque chose à faire. Et bing, encore piégé. Ce n’est donc pas un hasard si nous sommes ici. Quinze minutes plus tard, alors que le café n’est plus aussi chaud, je revois ma moitié, revenir l’air un peu contrarié.
- Qu’y a -t-il encore.
- Bah, ils avaient de beaux modèles de chaussures ici. Mais pas ma taille. Je remercie le dieu des vendeuses de chaussures hollywoodiennes et nous repartons, par le métro, pour notre hôtel où nous attendent 1heure30 de souffrance intense.
Je déteste celles qui sont à code ou a ouverture électronique.
J'espère que Hulk t'a laissé son numéro...
Invité- Invité
- Message n°660
Re: Topic des questions qu' on se pose
Et alors mon ami XX121 qui vie au Texas disais bien la fwance pour la francecristaline a écrit:
Arrête de charrier, panda, c'est à ce genre de faute que l'on devine que tu nous mènes en bateau depuis toutes ces années....
Invité- Invité
- Message n°662
Re: Topic des questions qu' on se pose
j ai lu que la côte de popularité de Donald trump est plus important que Barak Obama en la même période et que les républicain pourrai remporter les élection de mimandant bonne nouvelle ca
Moiself- Messages : 22569
Date d'inscription : 17/12/2013
Age : 106
- Message n°663
Re: Topic des questions qu' on se pose
Flavius a écrit:Et bien aujourd’hui, ballade et visite. Comme nous sommes dans le Down-town de Los Angelès, nous avons dû prendre le métro qui nous emmène sur Hollywood boulevard. Pas mal de cloches quand même dormant sur les bancs. Toutes les annonces sont faites en anglais et en espagnol. Quant à nous, nous familiarisons avec les appareils à tickets au point d’aider les autres à les utiliser.
Bon, alors, là, arrivés, c’est la fête à neuneus. Et sans nul doute, nous sommes passés pour des neuneus. Dès la sortie du métro, je me fait kidnapper par Hulk, Batman et Spiderman. On échappe pas à la photo, ma femme et moi et au fait que la fine équipe me demande 10 $. Mais bon, être photographié avec le géant vert, ce n’est pas tous les jours. Puis j’avais réservé un tour de la ville. Toutefois, Madame Flavius me dit : - je devrais prendre des cours auprès de tes nouveaux copains. Parce que la façon, dont la fine équipe a su te soutirer 10 dols sans douleur, c’est du grand art. Je mets quand même plus de temps, et généralement c’est à l’usure. Là, tu m’as étonnée...
- Bon, il faut bien se relâcher un peu de temps à autre. Nous sommes en vacance. Et puis ça fait du bien de temps en temps de passer pour un beauf !
- Tu devrais te relâcher plus souvent avec moi.
- Ben toi tu es 365 jours par an en vacance avec moi. Et toi tu bénéficies d’une cagnotte que je ne cesse d’alimenter. Alors que Hulk et Spiderman n’ont pas cette chance. Ils sont obligés de faire les cons chaque jour pour manger.
Sur cette argumentation qui ne convainc pas ma douce et tendre, et qui ne convaincrait d’ailleurs personne, nous prenons la file d’attente pour le tour de de la ville dans un bus off and up. Mais en voyant arriver le véhicule, je m’aperçois que je me suis trompé d’attraction. Il s’agit d’un tour qui doit nous emmener visiter les lieux et places des maisons d’artistes, dont je me fiche éperdument. Trop tard pour faire machine arrière. C’est inclus dans ma réservation Viator, donc va pour passer encore plus cons qu’on ne l’est déjà. On aperçoit le toit de la maison de machin, la pelouse de machine, enfin la visite à éviter. J’entends un chiffre, celui d’une maison 35 millions. Je me penche sur Flaviusette et je lui dis : - C’est un peu grand, mais je pense que l’on s’y fera parfaitement. En rentrant je demanderai à ma banque si elle accepte de me faire un crédit sur deux ou trois siècles. Bon public, elle rigole.
Ce tour dure deux heures et j’ai l’impression qu’il en dure 5.
Enfin, la souffrance se termine. Le gars, préconise un pourboire de 10 dollars par personne. Alors qu’il attend son pourliche, il me fait gentiment remarquer que j’oublie son tip. Je le regarde, et je lui dis que je n’oublie rien du tout. Il faut dire que je suis énervé de mêtre trompé d’attraction et qu’il m’a gavé un max. Il me demande pourquoi. Alors je lui dis, qu’il faisait froid dans sa bétaillère, et que j’attends toujours sa traduction en français. Là je suis de mauvaise foi, car je savais pertinemment qu’il n’y aurait pas de traduction en français. Et de me faire remarquer que je ne me débrouille pas si mal en anglais.
- Peut-être, continuai-je sur le ton de la mauvaise foi. Mais c’est un principe. Vous devez parler la langue de vos clients. Ce qui ne se fait plus depuis longtemps ici. Ces Américains pensent qu’on doit forcément parler leur langue.
Dans.
Dans ces cas-là, mon épouse me donne toujours raison. Et nous dirigeons vers un snack où nous irons boire un thé. Là,elle me dit :- tu y as été un peu fort avec le chauffeur.
- il m’a fait j’échange, je lui rends la pareille. Et puis qu’est-ce que c’est que. Ces manières de gland, que de m’imposer 10 dollars par personne ? Il m’a bien regarder lui ?
- C’est sûr, il ne te connais pas aussi bien que moi.
- tu le sais, j’ai horreur de me faire entubé.
- Sauf par Hulk. Je sais...
Zut, le café en question m’informe par une inscription sur la porte des toilettes qu’elles sont indisponibles. Et moi qui était rentré pour soulager ma vessie. Je vais à la caisse, d’un air mauvais, et je demande si leurs chiottes sont indisponibles, dès fois qu’il y en aient d’autres ? La fille m’explique : mais non les toilettes sont disponibles. Je vais vous donner le mot de passe, et de me donner le césame avec lequel je peux actionner le verrou à code. Ma vessie la remercie, et ma femme de me demander ce qui se passe. Et bien c’est simple, ils mettent ce panneaux, car il y a pas mal de clodos qui viennent en salissant les lieux de vomis, de pisse, qui font leur toilette, qui se soutient, etc. Et qui bien sûr ne consomment pas.
Sur ces considérations d’ordre domestique, nous arpentons le fameux boulevard aux inscriptions et empreintes de mains et de pieds des célébrités du spectacle. Je vois, Madame Flavius anxieuse.
- Mais que cherches-tu ? Tes empreintes ? Il est vrai que tu deviens célèbre en Amérique.
- Idiot ! Je cherche Judy Garland. Et moi, je tombe sur les traces de Maurice Chevalier. Comme nous sommes devant le théâtre Chinois, qui n’ a de Chinois que le nom et les décors, nous y entrons. Là une présentation cinématographique de 10’ nous est faite, sur ce lieu, temple du cinéma américain qui a vu passer les plus grands acteurs. L’écran est géant et les premières de grands films y sont Projettées.
À la sortie, on nous raconte l’histoire d’accessoires divers même la robe de Judy Garland, dans le magicien d’Oz. Enfin, ce qui est émouvant, ce sont les toilettes portées par des artistes d’autrefois. Pas les accoutrements comme les costumes de Dark Vador ou celui des soldats de l’empire de Star War.
Bof, on aurait pu s’en passer sans regret. Devant nous, le bâtiment où sont oscarisés les artistes et nous rejoignons le musée de Madame Tussaud. Là arrive contre on s’est bien amusés à nous prendre en photo, avec des célébrités. Et comme on faisait tous pareil, là on a eu des moments de sacrées rigolades. C’est ainsi que je tiens par la taille Ingrid Bergman, Jennifer Lopez, bois le thé avec Audrey Hepburn, je boxe avec Stallone, je monte le chameau de Lawrence d’Arabie, discute avec Hitchcock, tape sur l’épaule se Spielberg, entame une conversation avec Forest Gump, et reçoit un coup de pied de Bruce-Lee, monte la moto de Steven McQueen dans la grande évasion. Madame Flavius n’est pas en reste. Elle prend la main de Gregory Peck auprès duquel elle est minuscule, danse avec James Dean et Travolta, pose avec le grand Clint Eastwood, met sa main sur l’épaule d’Elvis, etc. Je vous le dis, un grand moment de rigolade.
Et puis nous commençons à fatiguer. Madame Flavius, propose que l’on aille boire à nouveau une tasse de thé, dans un café qu’elle a repéré pas loins d’ici. Ok. Comme je ne suis jamais contre une bonne tasse de thé, nous y allons. En fait, nous prenons un expresso, ce qui n’est pas courant. Tous n’ont pas de percolateur. On en profite. La Flaviusette, me plante là en me disant qu’en attendant que le café refroidisse elle a quelque chose à faire. Et bing, encore piégé. Ce n’est donc pas un hasard si nous sommes ici. Quinze minutes plus tard, alors que le café n’est plus aussi chaud, je revois ma moitié, revenir l’air un peu contrarié.
- Qu’y a -t-il encore.
- Bah, ils avaient de beaux modèles de chaussures ici. Mais pas ma taille. Je remercie le dieu des vendeuses de chaussures hollywoodiennes et nous repartons, par le métro, pour notre hôtel où nous attendent 1heure30 de souffrance intense.
Toujours très drôle ton journal de bord Druide. On compatis beaucoup devant tant d'épreuves touristico-prostatiques, on te soutiens moralement.
cristaline- Messages : 26874
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- Message n°664
Re: Topic des questions qu' on se pose
Nous avons une "appli" pour trouver des toilettes un peu partout où l'on en a.....besoin !
Rien de pire que d'aller au bistrot, y boire un thé (obligation de consommer !), et avoir une envie pressante peu de temps après...cercle vicieux !
Rien de pire que d'aller au bistrot, y boire un thé (obligation de consommer !), et avoir une envie pressante peu de temps après...cercle vicieux !
Flavius- Modérateur
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- Message n°665
Re: Topic des questions qu' on se pose
Merci cristaline. Je ne manquerai pas de transmettre vos salutations à Madame.cristaline a écrit:Nouvel épisode hilarant : je me souviens parfaitement de Hollywood Boulevard et des ses célèbres empreintes ; mais Hollywood reste pour moi la pire attraction attrape-couillon qui soit ! Si jamais vous prenez le petit train pour visiter les "studios" d'Hollywood, pensez à moi !....Avec les décors en carton-pâte etc....
Le coup des WC à code, on a ça aussi dans les Mac Do, et aussi d'autres enseignes, et quelque part, on les comprend !
Mon salut matutinal à Madame Flavius et à son époux, vous-même, cher administrateur ! (Bon, il n'est que 8h45 mais je suis levée depuis 7h...)
Comme je vous l’ai dit, pour moi, Hollywood boulevard est une sorte de luna-Park de délire.
Je ne sais pas si visiter les studios. Ça risque démystifier bien des choses, et je n’aime pas trop ça. Après, chaque film que je verrais, jen’aurai de cesse que de rechercher, le vrai du faux. Je me connais.
Quetion WC, je ne savais pas que les Mac Do agissaient de même. Je n’y mets. Pratiquement jamais les pieds...en France. Ici il m’arrive d’y prendre une salade. Je sais par contre qu’en France, les proprios d’établissements affichent une pancarte, avec inscrit : réservé aux consommateurs uniquement. Bien évidemment qu’ils ont raison.
Là on va commencer la journée par faire un tour à Santa Monica, et peut-être nous embarquer sur un rafiot pour voir les grâcieuses baleines jouer à saute-mouton avec les malicieux dauphins. Après nous verrons bien.
Flavius- Modérateur
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- Message n°666
Re: Topic des questions qu' on se pose
Du temps s’écoule quand même entre les deux activités. Et puis le thé, au moment o nous le prenons est toujours le bien venu. Ce n’et Quand même pas les vases communicants.cristaline a écrit:Nous avons une "appli" pour trouver des toilettes un peu partout où l'on en a.....besoin !
Rien de pire que d'aller au bistrot, y boire un thé (obligation de consommer !), et avoir une envie pressante peu de temps après...cercle vicieux !
Flavius- Modérateur
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- Message n°667
Re: Topic des questions qu' on se pose
Merci. Ah, la prostate ! La maladie des présidents. Mais rassures-toi, ce n’en n’est pas à ce point là.Moiself a écrit:
Toujours très drôle ton journal de bord Druide. On compatis beaucoup devant tant d'épreuves touristico-prostatiques, on te soutiens moralement.
Flavius- Modérateur
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- Message n°668
Re: Topic des questions qu' on se pose
C’est çwa, votre rôle d’illettré patenté devient de plus en plus scabreux et sans objet.PandaCoinCoin a écrit:
Et alors mon ami XX121 qui vie au Texas disais bien la fwance pour la france
cristaline- Messages : 26874
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- Message n°669
Re: Topic des questions qu' on se pose
Flavius a écrit:
Merci cristaline. Je ne manquerai pas de transmettre vos salutations à Madame.
Comme je vous l’ai dit, pour moi, Hollywood boulevard est une sorte de luna-Park de délire.
Je ne sais pas si visiter les studios. Ça risque démystifier bien des choses, et je n’aime pas trop ça. Après, chaque film que je verrais, jen’aurai de cesse que de rechercher, le vrai du faux. Je me connais.
Quetion WC, je ne savais pas que les Mac Do agissaient de même. Je n’y mets. Pratiquement jamais les pieds...en France. Ici il m’arrive d’y prendre une salade. Je sais par contre qu’en France, les proprios d’établissements affichent une pancarte, avec inscrit : réservé aux consommateurs uniquement. Bien évidemment qu’ils ont raison.
Là on va commencer la journée par faire un tour à Santa Monica, et peut-être nous embarquer sur un rafiot pour voir les grâcieuses baleines jouer à saute-mouton avec les malicieux dauphins. Après nous verrons bien.
Pour les Mac Do, seulement en dépannage ! Pour changer du sandwich quand on est en vadrouille citadine, et qu'on ne veut pas couper la journée trop longtemps...Le dernier remonte à loin !
Je m'étais fait la réflexion, à Santa Monica, que décidément la côte atlantique valait largement ce Pacifique si souvent présenté comme le rêve absolu ; mais je suis très chauvine ; bonne idée, les baleines !
cristaline- Messages : 26874
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- Message n°670
Re: Topic des questions qu' on se pose
Flavius a écrit:
C’est çwa, votre rôle d’illettré patenté devient de plus en plus scabreux et sans objet.
Il nous mène en bateau, le panda....Rompfff....
Flavius- Modérateur
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- Message n°671
Re: Topic des questions qu' on se pose
Bien sûr. Ça peut toujours servir.Azalee a écrit:
J'ai souvent eu des problèmes de toilettes.
Je déteste celles qui sont à code ou a ouverture électronique.
J'espère que Hulk t'a laissé son numéro...
Flavius- Modérateur
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- Message n°672
Re: Topic des questions qu' on se pose
Oui, nous avons aussi des côtes fabuleuses.cristaline a écrit:
Pour les Mac Do, seulement en dépannage ! Pour changer du sandwich quand on est en vadrouille citadine, et qu'on ne veut pas couper la journée trop longtemps...Le dernier remonte à loin !
Je m'étais fait la réflexion, à Santa Monica, que décidément la côte atlantique valait largement ce Pacifique si souvent présenté comme le rêve absolu ; mais je suis très chauvine ; bonne idée, les baleines !
Invité- Invité
- Message n°673
Re: Topic des questions qu' on se pose
Flavius a écrit:Et bien aujourd’hui, ballade et visite. Comme nous sommes dans le Down-town de Los Angelès, nous avons dû prendre le métro qui nous emmène sur Hollywood boulevard. Pas mal de cloches quand même dormant sur les bancs. Toutes les annonces sont faites en anglais et en espagnol. Quant à nous, nous familiarisons avec les appareils à tickets au point d’aider les autres à les utiliser.
Bon, alors, là, arrivés, c’est la fête à neuneus. Et sans nul doute, nous sommes passés pour des neuneus. Dès la sortie du métro, je me fait kidnapper par Hulk, Batman et Spiderman. On échappe pas à la photo, ma femme et moi et au fait que la fine équipe me demande 10 $. Mais bon, être photographié avec le géant vert, ce n’est pas tous les jours. Puis j’avais réservé un tour de la ville. Toutefois, Madame Flavius me dit : - je devrais prendre des cours auprès de tes nouveaux copains. Parce que la façon, dont la fine équipe a su te soutirer 10 dols sans douleur, c’est du grand art. Je mets quand même plus de temps, et généralement c’est à l’usure. Là, tu m’as étonnée...
- Bon, il faut bien se relâcher un peu de temps à autre. Nous sommes en vacance. Et puis ça fait du bien de temps en temps de passer pour un beauf !
- Tu devrais te relâcher plus souvent avec moi.
- Ben toi tu es 365 jours par an en vacance avec moi. Et toi tu bénéficies d’une cagnotte que je ne cesse d’alimenter. Alors que Hulk et Spiderman n’ont pas cette chance. Ils sont obligés de faire les cons chaque jour pour manger.
Sur cette argumentation qui ne convainc pas ma douce et tendre, et qui ne convaincrait d’ailleurs personne, nous prenons la file d’attente pour le tour de de la ville dans un bus off and up. Mais en voyant arriver le véhicule, je m’aperçois que je me suis trompé d’attraction. Il s’agit d’un tour qui doit nous emmener visiter les lieux et places des maisons d’artistes, dont je me fiche éperdument. Trop tard pour faire machine arrière. C’est inclus dans ma réservation Viator, donc va pour passer encore plus cons qu’on ne l’est déjà. On aperçoit le toit de la maison de machin, la pelouse de machine, enfin la visite à éviter. J’entends un chiffre, celui d’une maison 35 millions. Je me penche sur Flaviusette et je lui dis : - C’est un peu grand, mais je pense que l’on s’y fera parfaitement. En rentrant je demanderai à ma banque si elle accepte de me faire un crédit sur deux ou trois siècles. Bon public, elle rigole.
Ce tour dure deux heures et j’ai l’impression qu’il en dure 5.
Enfin, la souffrance se termine. Le gars, préconise un pourboire de 10 dollars par personne. Alors qu’il attend son pourliche, il me fait gentiment remarquer que j’oublie son tip. Je le regarde, et je lui dis que je n’oublie rien du tout. Il faut dire que je suis énervé de mêtre trompé d’attraction et qu’il m’a gavé un max. Il me demande pourquoi. Alors je lui dis, qu’il faisait froid dans sa bétaillère, et que j’attends toujours sa traduction en français. Là je suis de mauvaise foi, car je savais pertinemment qu’il n’y aurait pas de traduction en français. Et de me faire remarquer que je ne me débrouille pas si mal en anglais.
- Peut-être, continuai-je sur le ton de la mauvaise foi. Mais c’est un principe. Vous devez parler la langue de vos clients. Ce qui ne se fait plus depuis longtemps ici. Ces Américains pensent qu’on doit forcément parler leur langue.
Dans.
Dans ces cas-là, mon épouse me donne toujours raison. Et nous dirigeons vers un snack où nous irons boire un thé. Là,elle me dit :- tu y as été un peu fort avec le chauffeur.
- il m’a fait j’échange, je lui rends la pareille. Et puis qu’est-ce que c’est que. Ces manières de gland, que de m’imposer 10 dollars par personne ? Il m’a bien regarder lui ?
- C’est sûr, il ne te connais pas aussi bien que moi.
- tu le sais, j’ai horreur de me faire entubé.
- Sauf par Hulk. Je sais...
Zut, le café en question m’informe par une inscription sur la porte des toilettes qu’elles sont indisponibles. Et moi qui était rentré pour soulager ma vessie. Je vais à la caisse, d’un air mauvais, et je demande si leurs chiottes sont indisponibles, dès fois qu’il y en aient d’autres ? La fille m’explique : mais non les toilettes sont disponibles. Je vais vous donner le mot de passe, et de me donner le césame avec lequel je peux actionner le verrou à code. Ma vessie la remercie, et ma femme de me demander ce qui se passe. Et bien c’est simple, ils mettent ce panneaux, car il y a pas mal de clodos qui viennent en salissant les lieux de vomis, de pisse, qui font leur toilette, qui se soutient, etc. Et qui bien sûr ne consomment pas.
Sur ces considérations d’ordre domestique, nous arpentons le fameux boulevard aux inscriptions et empreintes de mains et de pieds des célébrités du spectacle. Je vois, Madame Flavius anxieuse.
- Mais que cherches-tu ? Tes empreintes ? Il est vrai que tu deviens célèbre en Amérique.
- Idiot ! Je cherche Judy Garland. Et moi, je tombe sur les traces de Maurice Chevalier. Comme nous sommes devant le théâtre Chinois, qui n’ a de Chinois que le nom et les décors, nous y entrons. Là une présentation cinématographique de 10’ nous est faite, sur ce lieu, temple du cinéma américain qui a vu passer les plus grands acteurs. L’écran est géant et les premières de grands films y sont Projettées.
À la sortie, on nous raconte l’histoire d’accessoires divers même la robe de Judy Garland, dans le magicien d’Oz. Enfin, ce qui est émouvant, ce sont les toilettes portées par des artistes d’autrefois. Pas les accoutrements comme les costumes de Dark Vador ou celui des soldats de l’empire de Star War.
Bof, on aurait pu s’en passer sans regret. Devant nous, le bâtiment où sont oscarisés les artistes et nous rejoignons le musée de Madame Tussaud. Là arrive contre on s’est bien amusés à nous prendre en photo, avec des célébrités. Et comme on faisait tous pareil, là on a eu des moments de sacrées rigolades. C’est ainsi que je tiens par la taille Ingrid Bergman, Jennifer Lopez, bois le thé avec Audrey Hepburn, je boxe avec Stallone, je monte le chameau de Lawrence d’Arabie, discute avec Hitchcock, tape sur l’épaule se Spielberg, entame une conversation avec Forest Gump, et reçoit un coup de pied de Bruce-Lee, monte la moto de Steven McQueen dans la grande évasion. Madame Flavius n’est pas en reste. Elle prend la main de Gregory Peck auprès duquel elle est minuscule, danse avec James Dean et Travolta, pose avec le grand Clint Eastwood, met sa main sur l’épaule d’Elvis, etc. Je vous le dis, un grand moment de rigolade.
Et puis nous commençons à fatiguer. Madame Flavius, propose que l’on aille boire à nouveau une tasse de thé, dans un café qu’elle a repéré pas loins d’ici. Ok. Comme je ne suis jamais contre une bonne tasse de thé, nous y allons. En fait, nous prenons un expresso, ce qui n’est pas courant. Tous n’ont pas de percolateur. On en profite. La Flaviusette, me plante là en me disant qu’en attendant que le café refroidisse elle a quelque chose à faire. Et bing, encore piégé. Ce n’est donc pas un hasard si nous sommes ici. Quinze minutes plus tard, alors que le café n’est plus aussi chaud, je revois ma moitié, revenir l’air un peu contrarié.
- Qu’y a -t-il encore.
- Bah, ils avaient de beaux modèles de chaussures ici. Mais pas ma taille. Je remercie le dieu des vendeuses de chaussures hollywoodiennes et nous repartons, par le métro, pour notre hôtel où nous attendent 1heure30 de souffrance intense.
hello, hello
Encore une fois, je suis aussi de l'avis de nombre d'entre nous : cette journée ne fut pas des plus "moroses" à ce que je vois, entre la demande "forcée" de pourboire, les toilettes à code (original, mais bonne idée !!!), et Mme Flavius qui s'en donne à coeur joie avec toutes ces vedettes, vous devez être ................. épuisé à la fin de la journée (moralement et physiquement)
mais, quel bonheur de vous lire, on s'y croirait !
@ la prochaine, avec un petit peu d'impatience : mais que va t-il leur arriver cette fois (surtout, ne perdez pas Mme Flavius en cours de route !!!!)
Invité- Invité
- Message n°674
Re: Topic des questions qu' on se pose
j espère que les toilette sont mieux au usa qu' en France en France les toilette publique sur autoroute c est sale. Au pays bas c est beaucoup plus propre. Tu dois payer 50 cent mais après ta une réduction de 50 cent si tu achète quelque chose dans le magasin.Arlequine a écrit:
hello, hello
Encore une fois, je suis aussi de l'avis de nombre d'entre nous : cette journée ne fut pas des plus "moroses" à ce que je vois, entre la demande "forcée" de pourboire, les toilettes à code (original, mais bonne idée !!!), et Mme Flavius qui s'en donne à coeur joie avec toutes ces vedettes, vous devez être ................. épuisé à la fin de la journée (moralement et physiquement)
mais, quel bonheur de vous lire, on s'y croirait !
@ la prochaine, avec un petit peu d'impatience : mais que va t-il leur arriver cette fois (surtout, ne perdez pas Mme Flavius en cours de route !!!!)
Invité- Invité
- Message n°675
Re: Topic des questions qu' on se pose
déjà trouver des toilette avec une planche c est pas évident