infos diverses de société

Paulette a écrit:
Ah, là, nous voilà d'accord ! Vous avez entièrement raison (vous aussi !) de rappeler le rôle néfaste de tous ceux que vous avez cités.
Et en effet, ce n'est pas possible de mettre à l'écart une partie de la population.
On aurait pu imposer des règles, mais voilà...
Cependant, même en tenant  compte, surtout en tenant compte, de tous ces paramètres, je persiste à dire que c'est indécent de faire l'éloge de l'école privée.

Car si l'on a bien tout suivi, les reçus aux grandes écoles qui sortent de l'enseignement public ont - eux et leurs professeurs - beaucoup plus de mérite que les élèves du privé !

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:

J'en suis persuadé. Vous avez raison. Mais quid des syndicats ? Quid de la gauche ? Quid des adeptes de l'égalitarisme ? Quid des universalistes de salon ? Quid de nos élites du 7 ème arrondissement.
En fait ce que vous préconisez, à juste titre, ne me parait pas possible.

Ah, là, nous voilà d'accord ! Vous avez entièrement raison (vous aussi !) de rappeler le rôle néfaste de tous ceux que vous avez cités.
Et en effet, ce n'est pas possible de mettre à l'écart une partie de la population.
On aurait pu imposer des règles, mais voilà...
Cependant, même en tenant  compte, surtout en tenant compte, de tous ces paramètres, je persiste à dire que c'est indécent de faire l'éloge de l'école privée.

A mon époque, l'école privée était considérée comme une boîte à BAC. S'y engouffraient des élèves, virés de bons nombre établissements, élèves médiocres que les études n'intéressaient pas et dont les parents, souvent aisés, ne sachant plus quoi faire de leur progéniture, payaient un établissement qui acceptait de les accueillir.
Aujourd'hui, les motivations ont changé. Ce sont des élèves qui désirent étudier, passer leurs diplômes, réussir dans la vie. Pour cela ils ont besoin de fréquenter des établissements qui ne les freinent pas dans leurs études par un manque de rectitude et d'exigence. C'est une autre époque.

Dan22 a écrit:


Je dois dire que dans le 93, c'était pas évident !

Ma soeur y a enseigné : l’hypocrisie des chefs d’établissement qui ne veulent pas que leur collège soit montré du doigt est phénoménale ; je retrouverai l’article qu’elle a écrit dans une revue spécialisée, qui dit tout, la réalité, en fait ; ce n’étaient pas les élèves les pires, mais le manque de soutien criminel de la hiérarchie !

Paulette a écrit:
Je suis d'accord.
Il me semble impudent de porter aux nues les écoles privées, quand on a en plus clairement dit qu'on n'y supportait pas "le foutoir" (sic !)
Et ceux qui ne correspondent pas aux normes des curés, on en fait quoi, à votre avis ?
Je pourrais vous faire une liste longue d'une page de tous les avantages que le privé a par rapport au public.

J'ai retiré mon fils de l'école du village parce que, alors qu'il marchait bien, il est tombé en CM1 (classe qui faisait aussi CM2) sur une institutrice d'une nullité incroyable qui détestait les garçons, avec des méthodes complètement aberrantes.
Les gens qui habitaient le village le savaient et retiraient leurs enfants pour les mettre dans le privé (catholique).
Il a fait son année ici, mais avec d'énormes problèmes. En juin, il était à la limite de la dépression. La mort dans l'âme et malgré l'opposition de mon mari, j'ai contacté l'école privée pour leur expliquer le problème. La secrétaire et le directeur ont compris la situation et ont accepté à condition qu'il redouble son CM1.

Il n'a jamais été contraint à aucune obligation religieuse. Je me souviens qu'à la réunion de début d'année, des parents sont intervenus pour dire qu'ils ne trouvaient pas normal qu'il y ait des élèves musulmans et athées (c'était notre cas).
Le directeur a été ferme en leur rappelant les valeurs de tolérance et d'ouverture du catholicisme et les a recadrés sèchement.
Dans la mesure où l'école a permis à mon fils de récupérer un bon niveau, il a continué au collège privé dans une classe trilingue.
Je suis devenue amie avec la prof d'anglais, d'origine anglo-indienne qui est religieuse (en civile).

Heureusement qu'ils étaient là, sinon, ça aurait très mal tourné. Aujourd'hui, mon fils est ingénieur et je leur suis très reconnaissante.
Il est possible que certaines écoles privées sélectionnent en fonction du niveau. Ça n'est certainement pas le cas partout. Ça ne l'a pas été pour mon fils.

Azalee a écrit:
J'ai retiré mon fils de l'école du village parce que, alors qu'il marchait bien, il est tombé en CM1 (classe qui faisait aussi CM2) sur une institutrice d'une nullité incroyable qui détestait les garçons, avec des méthodes complètement aberrantes.
Les gens qui habitaient le village le savaient et retiraient leurs enfants pour les mettre dans le privé (catholique).
Il a fait son année ici, mais avec d'énormes problèmes. En juin, il était à la limite de la dépression. La mort dans l'âme et malgré l'opposition de mon mari, j'ai contacté l'école privée pour leur expliquer le problème. La secrétaire et le directeur ont compris la situation et ont accepté à condition qu'il redouble son CM1.

Il n'a jamais été contraint à aucune obligation religieuse. Je me souviens qu'à la réunion de début d'année, des parents sont intervenus pour dire qu'ils ne trouvaient pas normal qu'il y ait des élèves musulmans et athées (c'était notre cas).
Le directeur a été ferme en leur rappelant les valeurs de tolérance et d'ouverture du catholicisme et les a recadrés sèchement.
Dans la mesure où l'école a permis à mon fils de récupérer un bon niveau, il a continué au collège privé dans une classe trilingue.
Je suis devenue amie avec la prof d'anglais, d'origine anglo-indienne qui est religieuse (en civile).

Heureusement qu'ils étaient là, sinon, ça aurait très mal tourné. Aujourd'hui, mon fils est ingénieur et je leur suis très reconnaissante.
Il est possible que certaines écoles privées sélectionne en fonction du niveau. Ça n'est certainement pas le cas partout. Ça ne l'a pas été pour mon fils.

J'en suis très heureuse pour toi et pour lui.
Ce n'est absolument pas contradictoire avec ce que j'ai dit auparavant sur les privilèges dont le privé bénéficie.
Quant au problème que ton enfant a rencontré en CM1 et la solution qui y a été donnée, l'inverse pouvait parfaitement se produire.

Paulette a écrit:
J'en suis très heureuse pour toi et pour lui.
Ce n'est absolument pas contradictoire avec ce que j'ai dit auparavant sur les privilèges dont le privé bénéficie.
Quant au problème que ton enfant a rencontré en CM1 et la solution qui y a été donnée, l'inverse pouvait parfaitement se produire.

Je n'en doute pas.

Azalee a écrit:
J'ai retiré mon fils de l'école du village parce que, alors qu'il marchait bien, il est tombé en CM1 (classe qui faisait aussi CM2) sur une institutrice d'une nullité incroyable qui détestait les garçons, avec des méthodes complètement aberrantes.
Les gens qui habitaient le village le savaient et retiraient leurs enfants pour les mettre dans le privé (catholique).
Il a fait son année ici, mais avec d'énormes problèmes. En juin, il était à la limite de la dépression. La mort dans l'âme et malgré l'opposition de mon mari, j'ai contacté l'école privée pour leur expliquer le problème. La secrétaire et le directeur ont compris la situation et ont accepté à condition qu'il redouble son CM1.

Il n'a jamais été contraint à aucune obligation religieuse. Je me souviens qu'à la réunion de début d'année, des parents sont intervenus pour dire qu'ils ne trouvaient pas normal qu'il y ait des élèves musulmans et athées (c'était notre cas).
Le directeur a été ferme en leur rappelant les valeurs de tolérance et d'ouverture du catholicisme et les a recadrés sèchement.
Dans la mesure où l'école a permis à mon fils de récupérer un bon niveau, il a continué au collège privé dans une classe trilingue.
Je suis devenue amie avec la prof d'anglais, d'origine anglo-indienne qui est religieuse (en civile).

Heureusement qu'ils étaient là, sinon, ça aurait très mal tourné. Aujourd'hui, mon fils est ingénieur et je leur suis très reconnaissante.
Il est possible que certaines écoles privées sélectionnent en fonction du niveau. Ça n'est certainement pas le cas partout. Ça ne l'a pas été pour mon fils.

Des témoignages comme ça j’en ai entendu des dizaines : mes jeunes voisines ont failli aussi tomber en dépression pour cause de racket ; l’une était excellente élève et systématiquement des élèves lui demandaient de faire le travail à leur place ; elle n’en pouvait plus ; leur mère ( veuve depuis peu en plus) les a mises au Caousou, où, j’insiste, il y avait des élèves de toutes origines ; ce fut la renaissance
Perso, ayant été élevée dans une école catholique, j’ai voulu pour mes enfants l’école publique, la mixité sociale n’étant pas encore synonyme de violences à répétitions ; actuellement je ne le ferais plus ; hypocrisie à tous les niveaux, on faisait passer en 6 ème des gosses qui avaient 7 de moyenne au motif qu’ils avaient 12 ans ( et maghrébins) mais mon fils, qui avait d’excellents résultats ne passait pas en 6 ème car il était soi disant trop jeune : l’école ( et non nous) lui avait fait fait avaler le CE2/ CM1 en une année et d’un coup on le faisait reculer ; je connaissais bien l’instit, sa fille était notre baby sitter , elle m’a tenu un discours sidérant : mon fils n’était pas mûr, il serait perdu au collège, il servirait de moteur aux autres etc….
Je lui ai dit qu’en aucun cas il ne resterait dans cette école de toute façon ; on m’a proposé de passer en commission j’ai décliné car je trouvais le raisonnement aberrant ! A la fin elle m’a dit : « vous avez gagné  »!!! 
Il a eu une scolarité normale et ça marchait très bien ; il était bon camarade en plus 
A présent, je n’hésiterais pas une seconde : privé ! 
Environnement trop violent partout

Tout cela est "juste et bon" !
Mais donc : si on maintient les privilèges de l'école privée, à savoir le pouvoir de se débarrasser des éléments perturbateurs et de ceux qui risquent de mettre en péril les pourcentages de réussite aux examens, il faut les donner AUSSI à l'école publique ; et dans ce cas, que fait-on des laissés pour compte ?
Bien évidemment, c'est impossible !
Dans ce cas, puisque l'école de la République est obligée d'accepter tout le monde (oui, je sais, c'est de la faute de la gauche, des bien-pensants, des syndicats, j'en passe et Démarreur), et maintenant que tous les élèves sont dans la même filière, ayons la décence de ne pas comparer les résultats.

Paulette a écrit:Tout cela est "juste et bon" !
Mais donc : si on maintient les privilèges de l'école privée, à savoir le pouvoir de se débarrasser des éléments perturbateurs et de ceux qui risquent de mettre en péril les pourcentages de réussite aux examens, il faut les donner AUSSI à l'école publique ; et dans ce cas, que fait-on des laissés pour compte ?
Bien évidemment, c'est impossible !
Dans ce cas, puisque l'école de la République est obligée d'accepter tout le monde (oui, je sais, c'est de la faute de la gauche, des bien-pensants, des syndicats, j'en passe et Démarreur), et maintenant que tous les élèves sont dans la même filière, ayons la décence de ne pas comparer les résultats.

Mes deux filles, dans le public, on fait une très bonne scolarité mais parfois, surtout en primaire, se sont vues "freiner" car tous ne suivaient pas et donc nivellement par le bas !!!!

L'une d'ailleurs, s'ennuyait et parlait un peu trop en classe (CP) car avait déjà bien acquis la lecture et la maitrisait (déchiffrer un texte, comprendre l'énoncé d'un problème, enfin ce qui est la vraie lecture !)

Elle aurait pû et avait envie d'en savoir plus, sa curiosité et son éveil impressionnait l'institutrice.

Elles ont fait toute leur scolarité dans le public car nous nous sommes dit que si elles avaient cette envie d'apprendre, pourquoi les mettre dans le privé ???
Elles ont eu toutes les deux leur bac (S et ES) avec mention B, donc cela n'a pas posé de problème.

La seule chose que j'ai toujours regrettée, ce sont les classes à niveaux, qui favorisant les uns (ceux qui suivaient le mieux) ne défavoriseraient pas les autres (ceux qui avaient du mal et demandaient plus d'attention) afin de niveler......... par le haut

Elles ont ensuite poursuivi leurs études à BAC + 5, l'une ingénieur et l'autre médiatrice culturelle en Suisse (allemand/anglais)

Itou
Le public était évident
J'ai misé , beaucoup d'autres sont partis dans le privé,
Ont réussi peu ou prou...
Et avec toute l'étape Collège pour min fils plutôt
Difficile...LOL !
Mais le fiston s'en est bien sorti
Bac + 5 aussi
Tellement de choses rentrent en compte
Chaque cas est différent !

Il a monté sa boîte d'informatique.

Je n'ai connu que le public.
Mes enfants aussi.

Donc, je ne suis pas outillé pour faire la comparaison.
Je peux seulement dire que, dans les deux cas, je n'ai rien à reprocher à l'EN.

LV426 a écrit:Je n'ai connu que le public.
Mes enfants aussi.

Donc, je ne suis pas outillé pour faire la comparaison.
Je peux seulement dire que, dans les deux cas, je n'ai rien à reprocher à l'EN.

Tout dépend des époques. Aujourd'hui, mes enfants iraient, selon où j'habite, soit à l'école publique, ma préférence, soit à l'école privée, une nécessité.

Arlequine3 a écrit:

Paulette a écrit:Tout cela est "juste et bon" !
Mais donc : si on maintient les privilèges de l'école privée, à savoir le pouvoir de se débarrasser des éléments perturbateurs et de ceux qui risquent de mettre en péril les pourcentages de réussite aux examens, il faut les donner AUSSI à l'école publique ; et dans ce cas, que fait-on des laissés pour compte ?
Bien évidemment, c'est impossible !
Dans ce cas, puisque l'école de la République est obligée d'accepter tout le monde (oui, je sais, c'est de la faute de la gauche, des bien-pensants, des syndicats, j'en passe et Démarreur), et maintenant que tous les élèves sont dans la même filière, ayons la décence de ne pas comparer les résultats.

Mes deux filles, dans le public, on fait une très bonne scolarité mais parfois, surtout en primaire, se sont vues "freiner" car tous ne suivaient pas et donc nivellement par le bas !!!!

L'une d'ailleurs, s'ennuyait et parlait un peu trop en classe (CP) car avait déjà bien acquis la lecture et la maitrisait (déchiffrer un texte, comprendre l'énoncé d'un problème, enfin ce qui est la vraie lecture !)

Elle aurait pû et avait envie d'en savoir plus, sa curiosité et son éveil impressionnait l'institutrice.

Elles ont fait toute leur scolarité dans le public car nous nous sommes dit que si elles avaient cette envie d'apprendre, pourquoi les mettre dans le privé ???
Elles ont eu toutes les deux leur bac (S et ES) avec mention B, donc cela n'a pas posé de problème.

La seule chose que j'ai toujours regrettée, ce sont les classes à niveaux, qui favorisant les uns (ceux qui suivaient le mieux) ne défavoriseraient pas les autres (ceux qui avaient du mal et demandaient plus d'attention) afin de niveler......... par le haut

Elles ont ensuite poursuivi leurs études à BAC + 5, l'une ingénieur et l'autre médiatrice culturelle en Suisse (allemand/anglais)

Vous nous parlez d'une école que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Et puis tout dépend des lieux de résidence...

Flavius a écrit:

Oui. Je suis un peu simple, mais moi-même j'arrive à le comprendre.
Voilà pourquoi, lorsque l'on reproche à certains de mettre l'immigration au centre de bien des problèmes auxquels notre société est confrontée.
Lorsque j'entends des journalistes, des commentateurs, des politiques dire : "mais vous êtes obsédé par l'immigration", je me dis mais merde ! Ils n'ont toujours pas compris." les flux migratoires touchent l'économie, le logement, la santé, le chômage, l'école, les transports, le social, l'identité culturelle, les mœurs, etc. Effectivement cela doit être au centre des préoccupations de nos politiques.

Corrélation évidente pour ceux qui acceptent de mettre leur idéologie de côté...

Ce qui est rigolo, c'est cette haine sous-jacente à l"'égard du "privé" qui serait "réservé" à des bourges, et qui virerait les perturbateurs ; c'est faux ; ce qui est vrai, c'est que le laxisme n'est pas toléré dans le privé, et on ferait bien de s'en inspirer dans certaines écoles (ex. du 93 cité plus haut), où on laisse faire et où on ferme gravement les yeux, pour ne pas "stigmatiser" l'établissement; et ce, dans le lus pur mépris des élèves eux-mêes, qui ne sont pas dupes, et qui, bien souvent, réclament (à leur façon), cette autorité ; en tout cas, qui en ont grand besoin

L'autorité n'est ni de droite ni de gauche, ni du privé ni du public, au départ

Et, je le répète, l'article qui a donné lieu à ces échanges ne faisait que faire l'éloge d'une prépa archi connue qui a fait ses preuves, et donc, au nom de quelle idéologie on ne devrait pas ?

je précise que que mes enfants ont été dans le public toute leur scolarité, hypo-khâgne et khâgne comprises pour ma fille, dans l'excellent lycée Saint Sernin ; et là, je vous prie de croire qu'il y a sélection à l'entrée, public ou pas...

Jamais je n'ai une seule fois dit que le privé était réservés aux "bourges" (sic !)
J'ai souligné qu'on lui octroyait des droits que les établissements publics n'ont pas.

Cerise sur le gâteau, on oblige le public à "récupérer" ceux qui sont virés par le privé.

Et c'est archi-faux de dire qu'on laisse tout faire dans le public : il y a des demandes de conseils de discipline, voire de renvoi, sachant que pour les élèves posant de gros problèmes, on contraindra l'établissement public voisin à les inscrire.
Quand on a quelques cas disséminés, le problème est facile à régler.
Quand il s'agit de classes presque entières, c'est ingérable.

Mais personne ne semble capable de répondre à la question : que fait-on des cas difficiles dont le privé ne veut pas, une fois qu'on a rabâché le constat que l'immigration pose des problèmes ?

Paulette a écrit:Jamais je n'ai une seule fois dit que le privé était réservés aux "bourges" (sic !)
J'ai souligné qu'on lui octroyait des droits que les établissements publics n'ont pas.
Cerise sur le gâteau, on oblige le public à "récupérer" ceux qui sont virés par le privé.
Et c'est archi-faux de dire qu'on laisse tout faire dans le public : il y a des demandes de conseils de discipline, voire de renvoi, sachant que pour les élèves posant de gros problèmes, on contraindra l'établissement public voisin à les inscrire.
Quand on a quelques cas disséminés, le problème est facile à régler.
Quand il s'agit de classes presque entières, c'est ingérable.
Mais personne ne semble capable de répondre à la question : que fait-on des cas difficiles dont le privé ne veut pas ?

Créer des maisons de correction 

Dan22 a écrit:


Créer des maisons de correction 

Moi, je suis pour le bagne sur l'île du Diable.

Voilà rouvrir les bagnes et les galères !

Ou casser des cailloux aux Kerguelen   Ca les occuperait !

Galadriel a écrit:Voilà rouvrir les bagnes et les galères !

Le fouet, la chiourme, mais c'est encore trop bon pour "eux" !

Dan22 a écrit:


Créer des maisons de correction 

Pour certains, ce serait une solution, mais en appelant cela "centre éducatif fermé"....Paraît que ça existe

Flavius a écrit:


Vous nous parlez d'une école que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Et puis tout dépend des lieux de résidence...

Où il n'y avait pas 80 nationalités par classe, en effet....

Donc, la fameuse corrélation citée plus haut me semble évidente...

Le constat est bel et bon, une solution serait préférable...
Bon, alors, on revient au bagne ?

Sinon, comme les établissements privés sous contrat sont financés AVEC MES IMPÔTS, ce serait bien que quand on met un élève à la porte d'un établissement public, on oblige l'établissement privé le plus proche à l'accueillir.