Là, j'avoue que je frissonnerais d'horreur !
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Quoi de neuf aujourd'hui ?
cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°526
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Ça doit faire le même effet quelles que soient les bestioles : frelons, guêpes, rongeurs, insectes...
Là, j'avoue que je frissonnerais d'horreur !
Là, j'avoue que je frissonnerais d'horreur !
Invité- Invité
- Message n°527
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
C’est pas la petite bête qui va manger la grosse mais je crois que nous sommes nombreuses à en avoir peur, nous somme des musophobescristaline a écrit:Ça doit faire le même effet quelles que soient les bestioles : frelons, guêpes, rongeurs, insectes...
Là, j'avoue que je frissonnerais d'horreur !
cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°528
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
C'est comme les araignées : je déteste ! les grosses, surtout ; ça m'est arrivé d'en attraper une en croyant que c'était une boule de quelque chose, et de hurler en voyant les papattes ; ça fait rigoler mon mari qui les trouve sympas et limite mignonnes, faut pas exagérer !
Invité- Invité
- Message n°529
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Moi ça va pour les araignées, je ne crains pas trop, mais ma seconde fille quand elle en voit une, elle hurle au lieu de la ......... tuercristaline a écrit:C'est comme les araignées : je déteste ! les grosses, surtout ; ça m'est arrivé d'en attraper une en croyant que c'était une boule de quelque chose, et de hurler en voyant les papattes ; ça fait rigoler mon mari qui les trouve sympas et limite mignonnes, faut pas exagérer !
On ne se moque pas d'elle (à son âge ), parce qu'on voit bien qu'elle est mal à l'aise
cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°530
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Ah mais je ne les tue pas ! je les attrape avec un système de bol plus un carton que je passe dessous, et hop, dehors...Je n'aime pas avoir droit de vie et de mort sur des êtres plus petits que moi...Et puis, il paraît que ça veut dire que la maison est saine !
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Dan22- Messages : 5546
Date d'inscription : 17/04/2020
- Message n°531
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
L'essentiel est de ne pas avoir d'araignée au plafond
cristaline, Mutine et Paulette aiment ce message
Invité- Invité
- Message n°532
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
t'est plus sympa que moi, alors !!!!!cristaline a écrit:Ah mais je ne les tue pas ! je les attrape avec un système de bol plus un carton que je passe dessous, et hop, dehors...Je n'aime pas avoir droit de vie et de mort sur des êtres plus petits que moi...Et puis, il paraît que ça veut dire que la maison est saine !
Sinon ça je ne le savais pas, c'est donc une bonne chose !!!!! nous en avons toujours à la fin de l'été entre octobre et décembre et j'ai toujours cru qu'elles venaient "se mettre au chaud"
Invité- Invité
- Message n°533
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Qui n'en n'a pas, au moins une ?????Dan22 a écrit:L'essentiel est de ne pas avoir d'araignée au plafond
Invité- Invité
- Message n°535
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
C'est parfois intéressant de connaitre l'origine des expressions et je viens d'apprendre quelque chose, merci Dan "chérie"Dan22 a écrit:L'essentiel est de ne pas avoir d'araignée au plafond
Expression datant du milieu du XIXe siècle.
Elle a été utilisée par les prostituées parisiennes.
C'est une métaphore, dont le plafond indique le haut de la boîte crânienne, où il y a l'araignée, qui vit généralement dans des endroit négligés et qui véhicule une image de délabrement.
Donc si l'on évoque une araignée dans un crâne, c'est pour dire que cette personne n'a pas un comportement normal, est un peu dérangée.
Avoir un côté farfelu, un comportement un peu fou, qui ne dérange pas les autres.
Dan22- Messages : 5546
Date d'inscription : 17/04/2020
- Message n°536
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Arlequine2 a écrit:
Qui n'en n'a pas, au moins une ?????
Moi, je ne yoyotte pas encore de la toiture
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Dan22- Messages : 5546
Date d'inscription : 17/04/2020
- Message n°538
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Arlequine2 a écrit:
C'est parfois intéressant de connaitre l'origine des expressions et je viens d'apprendre quelque chose, merci Dan "chérie"
Expression datant du milieu du XIXe siècle.
Elle a été utilisée par les prostituées parisiennes.
C'est une métaphore, dont le plafond indique le haut de la boîte crânienne, où il y a l'araignée, qui vit généralement dans des endroit négligés et qui véhicule une image de délabrement.
Donc si l'on évoque une araignée dans un crâne, c'est pour dire que cette personne n'a pas un comportement normal, est un peu dérangée.
Avoir un côté farfelu, un comportement un peu fou, qui ne dérange pas les autres.
cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°539
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Invité- Invité
- Message n°540
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Pareil ! Je me suis faite pincer comme ça quand j'étais ado alors que je rentrais très très tard. Tout le monde était couché.cristaline a écrit:C'est comme les araignées : je déteste ! les grosses, surtout ; ça m'est arrivé d'en attraper une en croyant que c'était une boule de quelque chose, et de hurler en voyant les papattes ; ça fait rigoler mon mari qui les trouve sympas et limite mignonnes, faut pas exagérer !
J'allume la lumière de la salle à manger, je fais ce que j'ai à faire avant d'aller me coucher, le tout très silencieusement et j'avance la main vers l'interrupteur pour éteindre.
Et là, juste à côté du bouton, une énorme araignée, pleine de longues pattes poilues !
Du coup, bon en arrière qui bouscule les chaises et les font tomber. Je retiens un cri, mais trop tard, le bruit des chaises a réveillé ma mère qui est descendu en chemise de nuit, les yeux dans le vague...
Elle me demande ce je fous là à cette heure-là. Ben, je n'arrive pas à dormir ! (tu parles, j'étais encore habillée avec ma veste et mes chaussures)
Et je lui explique le coup de l'araignée. L'araignée ayant filé, elle se fout de moi pour avoir eu peur d'une p'tite bestiole et me dis d'aller me coucher.
Le lendemain, ma mère étant pleinement réveillée, elle m'a passé un savon ayant compris que je venais de rentrer...
Quelques jours plus tard, je rentre du lycée et ma mère me dit qu'elle a retrouvé mon araignée noyée derrière le lave-linge. Elle l'a mis de côté pour la monter (quel bonheur !).
Elle a reconnu qu'elle était grosse.
Invité- Invité
- Message n°541
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Même pas en rêve !cristaline a écrit:Ah mais je ne les tue pas ! je les attrape avec un système de bol plus un carton que je passe dessous, et hop, dehors...Je n'aime pas avoir droit de vie et de mort sur des êtres plus petits que moi...Et puis, il paraît que ça veut dire que la maison est saine !
Invité- Invité
- Message n°542
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Euh, moi ?Arlequine2 a écrit: Qui n'en n'a pas, au moins une ?????
Dan22- Messages : 5546
Date d'inscription : 17/04/2020
- Message n°543
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
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beced- Messages : 49664
Date d'inscription : 31/12/2013
- Message n°544
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
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cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°546
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
CONSTERNANT DE CONNERIE !!!!! "la blanchité alimentaire" comme élément de supériorité blanche !!!
Jusqu'où va t-on aller, descendre, se prêter aux folies du moment, pour de ne pas déplaire aux minorités (devenant clairement majoritaires) ; QUI va sonner l'alarme ????
Une mère d'élève, en primaire, jadis, sur un ton plaintif, quand le directeur évoquait l'éducation à la cantine : "monsieur, au Laos, les gens mangent avec les doigts" ! Et le directeur de rétorquer immédiatement : "Madame, nous sommes en France et nous pratiquons les moeurs françaises"
Dans le cadre d’un séminaire organisé par Sciences Po Paris et l’Université de Nanterre, cette chercheuse a défendu le concept de «blanchité alimentaire» comme outil de «l’identité raciale dominante». L’école se défend, affirmant ne promouvoir «aucune théorie ni école de pensée particulière».
La gastronomie française, raciste? C’est ce qu’a expliqué une chercheuse dans une intervention qui suscite depuis la polémique sur les réseaux sociaux, à l’occasion de la «semaine doctorale intensive» organisée par l’École de Droit de l’Institut d’études politiques de Paris chaque année. «Le repas français est souvent représenté comme un rituel national auquel tous les citoyens peuvent participer à égalité», introduit-elle. Jusqu’ici, on ne saurait lui donner tort. Mathilde Cohen, chargée de recherche au CNRS mais également maître de conférences à l’université du Connecticut aux États-Unis, continue: «les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches.»
» LIRE AUSSI - Coluche aurait-il survécu à l’ère de la «cancel culture»?
La «blanchité alimentaire» participerait à «renforcer la blanchité comme identité raciale dominante», en s’imposant dans la société à l’aide du droit, si l’on en croit la chercheuse. Elle appuie son raisonnement sur deux exemples: d’un côté, les cantines scolaires établies aux XIXe siècle et justifiées par «un discours racialisé et eugéniste» auraient établi les «normes blanches et chrétiennes» comme normes par défaut. De l’autre, la nationalité française aurait été accordée en fonction de «perfomances blanches» dont font partie les habitudes alimentaires. «Les administrateurs coloniaux prêtaient attention aux modes de vie des postulants, y compris leurs habitudes alimentaires: mangeaient-ils du riz ou du pain? Mangeaient-ils au sol ou attablés?», poursuit la chercheuse. «Le droit contribue à marginaliser les minorités raciales et ethnologiques en accordant à la culture alimentaire blanche française le statut de régime alimentaire privilégié et juridiquement protégé», conclut-elle.
Jusqu'où va t-on aller, descendre, se prêter aux folies du moment, pour de ne pas déplaire aux minorités (devenant clairement majoritaires) ; QUI va sonner l'alarme ????
Une mère d'élève, en primaire, jadis, sur un ton plaintif, quand le directeur évoquait l'éducation à la cantine : "monsieur, au Laos, les gens mangent avec les doigts" ! Et le directeur de rétorquer immédiatement : "Madame, nous sommes en France et nous pratiquons les moeurs françaises"
Dans le cadre d’un séminaire organisé par Sciences Po Paris et l’Université de Nanterre, cette chercheuse a défendu le concept de «blanchité alimentaire» comme outil de «l’identité raciale dominante». L’école se défend, affirmant ne promouvoir «aucune théorie ni école de pensée particulière».
La gastronomie française, raciste? C’est ce qu’a expliqué une chercheuse dans une intervention qui suscite depuis la polémique sur les réseaux sociaux, à l’occasion de la «semaine doctorale intensive» organisée par l’École de Droit de l’Institut d’études politiques de Paris chaque année. «Le repas français est souvent représenté comme un rituel national auquel tous les citoyens peuvent participer à égalité», introduit-elle. Jusqu’ici, on ne saurait lui donner tort. Mathilde Cohen, chargée de recherche au CNRS mais également maître de conférences à l’université du Connecticut aux États-Unis, continue: «les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches.»
» LIRE AUSSI - Coluche aurait-il survécu à l’ère de la «cancel culture»?
La «blanchité alimentaire» participerait à «renforcer la blanchité comme identité raciale dominante», en s’imposant dans la société à l’aide du droit, si l’on en croit la chercheuse. Elle appuie son raisonnement sur deux exemples: d’un côté, les cantines scolaires établies aux XIXe siècle et justifiées par «un discours racialisé et eugéniste» auraient établi les «normes blanches et chrétiennes» comme normes par défaut. De l’autre, la nationalité française aurait été accordée en fonction de «perfomances blanches» dont font partie les habitudes alimentaires. «Les administrateurs coloniaux prêtaient attention aux modes de vie des postulants, y compris leurs habitudes alimentaires: mangeaient-ils du riz ou du pain? Mangeaient-ils au sol ou attablés?», poursuit la chercheuse. «Le droit contribue à marginaliser les minorités raciales et ethnologiques en accordant à la culture alimentaire blanche française le statut de régime alimentaire privilégié et juridiquement protégé», conclut-elle.
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cristaline- Messages : 26861
Date d'inscription : 18/12/2013
- Message n°547
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
On devrait leur donner du boudin noir, histoire de voir si ça satisferait les "minorités"....
Invité- Invité
- Message n°548
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
Pauvre France ! J’ai même plus d’arguments et de mots tellement c’est écœurant .cristaline a écrit:On devrait leur donner du boudin noir, histoire de voir si ça satisferait les "minorités"....
Ymar- Messages : 17391
Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 71
Localisation : A l'Ouest
- Message n°549
Re: Quoi de neuf aujourd'hui ?
cristaline a écrit:CONSTERNANT DE CONNERIE !!!!! "la blanchité alimentaire" comme élément de supériorité blanche !!!
Jusqu'où va t-on aller, descendre, se prêter aux folies du moment, pour de ne pas déplaire aux minorités (devenant clairement majoritaires) ; QUI va sonner l'alarme ????
Une mère d'élève, en primaire, jadis, sur un ton plaintif, quand le directeur évoquait l'éducation à la cantine : "monsieur, au Laos, les gens mangent avec les doigts" ! Et le directeur de rétorquer immédiatement : "Madame, nous sommes en France et nous pratiquons les moeurs françaises"
Dans le cadre d’un séminaire organisé par Sciences Po Paris et l’Université de Nanterre, cette chercheuse a défendu le concept de «blanchité alimentaire» comme outil de «l’identité raciale dominante». L’école se défend, affirmant ne promouvoir «aucune théorie ni école de pensée particulière».
La gastronomie française, raciste? C’est ce qu’a expliqué une chercheuse dans une intervention qui suscite depuis la polémique sur les réseaux sociaux, à l’occasion de la «semaine doctorale intensive» organisée par l’École de Droit de l’Institut d’études politiques de Paris chaque année. «Le repas français est souvent représenté comme un rituel national auquel tous les citoyens peuvent participer à égalité», introduit-elle. Jusqu’ici, on ne saurait lui donner tort. Mathilde Cohen, chargée de recherche au CNRS mais également maître de conférences à l’université du Connecticut aux États-Unis, continue: «les habitudes alimentaires sont façonnées par les normes des classes moyennes supérieures blanches.»
» LIRE AUSSI - Coluche aurait-il survécu à l’ère de la «cancel culture»?
La «blanchité alimentaire» participerait à «renforcer la blanchité comme identité raciale dominante», en s’imposant dans la société à l’aide du droit, si l’on en croit la chercheuse. Elle appuie son raisonnement sur deux exemples: d’un côté, les cantines scolaires établies aux XIXe siècle et justifiées par «un discours racialisé et eugéniste» auraient établi les «normes blanches et chrétiennes» comme normes par défaut. De l’autre, la nationalité française aurait été accordée en fonction de «perfomances blanches» dont font partie les habitudes alimentaires. «Les administrateurs coloniaux prêtaient attention aux modes de vie des postulants, y compris leurs habitudes alimentaires: mangeaient-ils du riz ou du pain? Mangeaient-ils au sol ou attablés?», poursuit la chercheuse. «Le droit contribue à marginaliser les minorités raciales et ethnologiques en accordant à la culture alimentaire blanche française le statut de régime alimentaire privilégié et juridiquement protégé», conclut-elle.
Cette M.Cohen a dû se lancer dans une béchamel qu'elle a loupé et elle lui a collé au plafonnier, chercheuse et conférencière heureusement
je n'ai plus d'études à suivre...
. PA
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