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Tu déplaces le problème. Pourquoi dit-elle ça ? Comme je suis sûr qu'elle n'est pas foncièrement raciste, et comme c'est une spécialiste de la communication, j'écarte la maladresse, d'autant qu'elle ne s'en excuse pas. En général on s'excuse d'une maladresse. Il reste quoi ? Et bien le contexte politique. Elle pense récupérer des jeunes, comme ceux qui adhèrent à l'UNEF, les groupuscules racialistes, et elle ratisse sur les plates-bandes de Mélenchon.beced a écrit:
Il ne s'agit pas de voter pour elle, mais d'une phrase à propos d'un sujet.
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cristaline aime ce message
Flavius a écrit:
Tu déplaces le problème. Pourquoi dit-elle ça ? Comme je suis sûr qu'elle n'est pas foncièrement raciste, et comme c'est une spécialiste de la communication, j'écarte la maladresse, d'autant qu'elle ne s'en excuse pas. En général on s'excuse d'une maladresse. Il reste quoi ? Et bien le contexte politique. Elle pense récupérer des jeunes, comme ceux qui adhèrent à l'UNEF, les groupuscules racialistes, et elle ratisse sur les plates-bandes de Mélenchon.
Je ne comprends pas ta comparaison. Macron est président de la république. Sa mission première est de protéger son peuple.beced a écrit:
Mais justement je ne vois pas de maladresse dans ses propos ..... en valeur absolue.
C'est comme si on reprochait à Macron de vouloir vaincre l'épidémie pour des raisons électorales. C'est peut-être le cas, mais en valeur absolue, je trouve que c'est une bonne chose de vaincre l'épidémie.
Flavius a écrit:
Je ne comprends pas ta comparaison. Macron est président de la république. Sa mission première est de protéger son peuple.
Maintenant quel rapport avec Pulvar qui se présente à des élections et qui profite d'un contexte politique ?
Peut-être défend elle, le racisme en utilisant le racialisme à la mode aujourd'hui ? Je ne suis pas dans sa tête, mais j'analyse ce qu'elle a dit au travers du prisme de ce qu'elle représente dans un contexte donné.
beced a écrit:
C'est noté.
Bonne soirée
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Au moins, avec toi on ne se prend pas la tête...Flavius a écrit:
It's a good philosophybeced a écrit:
Let's Call the Whole Thing Off :"You Say Tomato, I Say ....Tomato "
Flavius a écrit:
Tu déplaces le problème. Pourquoi dit-elle ça ? Comme je suis sûr qu'elle n'est pas foncièrement raciste, et comme c'est une spécialiste de la communication, j'écarte la maladresse, d'autant qu'elle ne s'en excuse pas. En général on s'excuse d'une maladresse. Il reste quoi ? Et bien le contexte politique. Elle pense récupérer des jeunes, comme ceux qui adhèrent à l'UNEF, les groupuscules racialistes, et elle ratisse sur les plates-bandes de Mélenchon.
Dans quel milieu le racisme serait absent ? Le racisme a toujours été présent, dans toutes les sociétés, dans tous les pays et parmi toutes les classes sociales, avec des haut et des bas. Mais toujours latent. Et cela vaut pour toutes les races et confessions religieuses. Tout est dans le nombre. La majorité, une partie d'entre-elle en tout cas, n'accepte pas la différence. Apres' il faut s'entendre sur les degrés dans le racisme. Le racisme ne s'exprime pas forcément dans la violence. On peut être raciste et indifférent. D'ailleurs on est souvent plus xénophobe que raciste. C'est un peut la formule, j'aime bien les Africains chez eux.LV426 a écrit:Echanges haineux sur WhatsApp : le policier qui a dénoncé ses collègues témoigne dans "Envoyé spécial"
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Sur un sujet similaire, j'avais acheté ce livre pour me tenir compagnie pendant un trajet en transport en commun. Il raconte l'immersion d'un journaliste dans la police. L'auteur y relève des comportements racistes caractérisés. Il y traite également le cas des suicides de policiers (toutes origines confondues, cette fois).
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Rien que pour la forme -- car je me doute que ça ne sera pas le cas -- je mets en garde contre toute généralisation abusive. Le racisme est présent dans la police, en douter serait nier la réalité. Ce qui reste à savoir, c'est si la proportion d'individus concernés y est, ou non, supérieure à celle de la population générale.
Tout à fait d'accord avec l'idée que le racisme est une pulsion anthropologique fondamentale qui affecte tous les sapiens.Flavius a écrit:
Dans quel milieu le racisme serait absent ? Le racisme a toujours été présent, dans toutes les sociétés, dans tous les pays et parmi toutes les classes sociales, avec des haut et des bas. Mais toujours latent. Et cela vaut pour toutes les races et confessions religieuses. Tout est dans le nombre. La majorité, une partie d'entre-elle en tout cas, n'accepte pas la différence. Apres' il faut s'entendre sur les degrés dans le racisme. Le racisme ne s'exprime pas forcément dans la violence. On peut être raciste et indifférent. D'ailleurs on est souvent plus xénophobe que raciste. C'est un peut la formule, j'aime bien les Africains chez eux.
Après tout on ne peut, au nom de je ne sais quelle morale ou bonne conduite, à aimer l'autre. On ne commande pas ses sentiments. Le véritable problème est dans le respect de l'autre que l'on doit considérer comme de la même espèce. Par contre on et pas sensé épouser ses mœurs et comportement, notamment lorsque ce dernier est notre hôte.
NON !beced a écrit:Le mot "flic" est déjà en soi une forme de racisme (cf.l'uniforme) ou xénophobie (cf. la fonction)...
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Je pense que ce topic a pour objet de relever des événements racistes et de les commenter. Maintenant, rien n'interdit de débattre sur le racisme, sa définition, ses origines, ses causes, là où les façons dont il s'exprime, et ses conséquences sur l'humanité.LV426 a écrit:
Tout à fait d'accord avec l'idée que le racisme est une pulsion anthropologique fondamentale qui affecte tous les sapiens.
Du coup, que faisons-nous de ce topic ?
Je suis assez séduit par votre approche visant à le consacrer à une réflexion sur les mécaniques du phénomène.
Tout ce qui contribue à ne pas railler, ne pas maudire, ne pas déplorer mais comprendre (cf. Spinoza) m'intéresse.
Je crois que, si le mot flic a pu, à une époque, être péjoratif, il est désormais devenu aussi neutre que le sont respectivement pébroque, blé et pote pour parapluie, argent et ami. Ça fait même un bout de temps que c'est comme ça. Par exemple, le film Flic ou Voyou, avec Belmondo, date de 1979.beced a écrit:Le mot "flic" est déjà en soi une forme de racisme (cf.l'uniforme) ou xénophobie (cf. la fonction)...
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Que les intersectionnalistes continuent dans cette voie. A force de croiser les facteurs "d'oppression" (femme noire transgenre pauvre avec un enfant malade droguée, etc...), ils finiront par trouver la vérité. Ils finiront par tomber sur la minorité ultime, la seule qui vaille à mes yeux : l'individu...s'ils n'ont pas tué tout le monde avant.
A condition que l'individu en question ne soit qualifier par sa couleur de peau, sa religion ou un handicap quelconque.LV426 a écrit:
Que les intersectionnalistes continuent dans cette voie. A force de croiser les facteurs "d'oppression" (femme noire transgenre pauvre avec un enfant malade droguée, etc...), ils finiront par trouver la vérité. Ils finiront par tomber sur la minorité ultime, la seule qui vaille à mes yeux : l'individu...s'ils n'ont pas tué tout le monde avant.
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Dés syndicat a l université on ce moque de qui. Déjà on leurs paie leur étude alors qu il arrête leur cinéma dans la majorité des pays du monde si ta pas d argent tu fais pas d étude.