Quoi de neuf aujourd'hui ?

Paulette a écrit:
Mince, tu manges des blancs d'œufs battus en neige ?

Mais, c'est super bon. Avec un soupçon de sucre.

Ah oui, avec du sucre... à la rigueur... et cuit... bref, des meringues.
Pas le blanc d'œuf en neige dont on se sert dans les recettes, qui est fadasse.

Paulette a écrit:

Flavius a écrit:
Miam, ça donne envie

Mince, tu manges des blancs d'œufs battus en neige ?

Non bien sûr. Je mange ce qu'ils vont devenir. Encore que avec un peu de sucre...

Flavius a écrit:
Non bien sûr. Je mange ce qu'ils vont devenir. Encore que avec un peu de sucre...

Les œufs à la neige... c'est délicieux !

Paulette a écrit:Ah oui, avec du sucre... à la rigueur... et cuit... bref, des meringues.
Pas le blanc d'œuf en neige dont on se sert dans les recettes, qui est fadasse.

Ben, si. Quand il me reste un blanc d'œuf, je me le prépare comme ça.

Paulette a écrit:
Les œufs à la neige... c'est délicieux !

Ben ça, je n'aime pas.

Azalee a écrit:
Ben, si. Quand il me reste un blanc d'œuf, je me le prépare comme ça.

Très mauvais, de manger de l'albumine !

Azalee a écrit:
J'adore les blancs en neige.

Hum, ....    

Paulette a écrit:
Très mauvais, de manger de l'albumine !

Il ne faut pas en manger souvent, c'est sûr.

Très écœurant pour moi

Azalee a écrit:
J'adore les blancs en neige.

C'est le principe ou la base des méringues, non?

beced a écrit:


C'est le principe ou la base des méringues, non?

C'est ça.

La présence de producteurs de «viande végétale» provoque la stupeur au Salon de l'agriculture


Par Éric De La Chesnais
Publié  hier à 17:03, Mis à jour il y a 5 heures


«Chippolatas», «Nuggets» : ici, tout est garanti 0% viande. Eric de La Chesnais

À quelques mètres des éleveurs de cochons ou de vaches, la plus grande ferme de France accueille des producteurs de «saucisses» ou de «lardons» végétaux : une première.
Une première au Salon de l'agriculture qui n'est pas passée inaperçue aux yeux des visiteurs. Deux stands de substituts végétaux à la viande ont fait leur apparition dans les allées de la porte de Versailles, à quelques encablures du hall 1 et de ses plus beaux animaux de ferme. Et de son grand stand visible de loin, tenu par l'interprofession de la viande ! Aussi, cette présence peut paraître provocatrice. De quoi alimenter les curiosités et le débat dans les allées du plus grand comice agricole de France.


La première de ces jeunes sociétés, Heura, se situe dans le hall international. Tout en souhaitant la « bienvenue aux viandards », en arrière-fond, on y trouve sur le comptoir des nuggets, chipolatas et émincés végétaux à déguster. Ils sont fabriqués près de Valence, en Espagne. « Heura est une entreprise catalane spécialisée dans la viande végétale», explique Laurent Gubbels directeur de la communication de cette entreprise leader en Espagne de la « viande végétale », avec 16 millions d'euros de ventes en 2021 et 110 employés. Elle a levé 16 millions d'euros en juin. «On veut montrer les atouts de la viande végétale pour la planète et la santé humaine au public, qui est réceptif à ces arguments et au goût de nos produits. Nous avons eu des discussions avec les éleveurs et des bouchers interloqués, mais dans 99% cela s'est bien passé et dans 1% cela a râlé », poursuit celui qui se revendique comme vegan, mais ne veut pas imposer son choix de vie.

«Lardons végétaux» à base soja et d'huile

Un peu plus loin, à l'entrée du hall de l'artisanat : d'une superficie de 18 m2, pourvu d'une façade rose, ce lieu d'exposition met en avant la production de bacons ou de lardons végétaux obtenus à partir de la protéine de soja non OGM. Rentre aussi dans cette recette brevetée et composée en Vendée du sel, de l'huile de tournesol, de l'eau, des colorants et arômes naturels. Le tout fumé au bois de hêtre. « Il paraît que la texture rappelle celle de la viande de porc », indiquent les amateurs, nombreux à venir déguster ces deux aliments sous le regard satisfait du fondateur de l'entreprise, La Vie, Nicolas Schweitzer. « Nous avons des retours très positifs des personnes qui goûtent nos produits, assure-t-il. Ils sont d'abord curieux et après les avoir testés repartent convaincus. Nous avons tous les profils, des plus jeunes aux plus anciens. Nous avons eu de nombreuses discussions avec des éleveurs qui veulent comprendre notre démarche et sont satisfaits de découvrir une société française qui produit en France. »

Pierre Oteiza, éleveur de cochons a écrit:
C'est comme si nous allions faire déguster nos saucissons dans un salon vegan

Du côté des exposants éleveurs, occupés à bichonner leurs animaux pour le concours dans le hall 1, rares sont ceux qui ont eu le temps de voir ces deux stands. « J'apprends leur présence, cela me surprend de les savoir au cœur d'un salon qui met en avant la viande, commente Pierre Oteiza, éleveur de cochons de plein air de la race basque locale Kintoa, exposant depuis 45 ans. C'est comme si nous, nous allions faire déguster nos saucissons, pâtés et jambons dans un salon vegan. Cela n'aurait pas de sens ». « Qu'ils fabriquent des produits sans viande à base de végétaux, très bien, complète pour sa part, Joël Sillac, éleveur de race bovin Bazardaise, dans les Landes. Mais qu'ils appellent cela de la viande alors que cela n'en est pas cela pose un problème de dénomination et induit en erreur le consommateur. Par ailleurs, l'élevage est indispensable dans nos campagnes depuis la nuit des temps car il contribue à amender des terres qui ne peuvent être cultivées. C'est complémentaire du végétal et contribue au bon bilan carbone des exploitations. »

Un marché de niche

Au niveau alimentaire, les consommateurs considèreraient le soja contenu dans ces substituts comme des alternatives sérieuses. C'est du moins ce qui ressort d'une étude réalisée pour le compte de Sojaxa, l'association pour la promotion des aliments au soja. « 60% des interrogés se déclarent consommateurs d'alternatives végétales et 57% des consommateurs de produits au soja considèrent que les protéines végétales sont complémentaires des protéines animales », affirme-t-elle. Le docteur Corinne Chicheportiche-Ayache, médecin nutritionniste, estime pour sa part que « ces alternatives végétales sont importantes car nous consommons trop de protéines animales. Ces dernières restent associées au cholestérol et acide gras saturé. Une alimentation plus végétale va dans le bon sens et améliore le profil cardiovasculaire. Toutefois il ne faut pas tomber dans une attitude excessive d'un régime qui bannirait la viande et les protéines animales ».
À lire aussiLe lait végétal et la viande artificielle enflamment les investisseurs
Reste que les substituts végétaux à la viande appartiennent à un marché de niche. « Ils représentent 0,29% du marché mondial de la viande qui a encore un bel essor devant lui», insiste l'économiste Jean-Paul Simier, contributeur au recueil annuel Cyclope, le catalogue annuel, qui passe en revue toutes les matières premières de la planète. «Les populations asiatiques continuent à augmenter leur consommation, notamment en Chine avec en moyenne 45 kilos* par habitant et par an alors qu'avec 86 kilos par an et par habitant en France ce chiffre se stabilise », poursuit-il. La bataille du lardon ne fait que commencer.

Du coup, j'ai appris ce qu'était un "marché de niche"...

Un marché de niche est un petit segment d'un marché où les produits sont adaptés à un groupe de clients bien défini. Les produits répondent généralement aux besoins, goûts ou préférences spécifiques des clients.

cristaline a écrit:La présence de producteurs de «viande végétale» provoque la stupeur au Salon de l'agriculture


Par Éric De La Chesnais
Publié  hier à 17:03, Mis à jour il y a 5 heures


«Chippolatas», «Nuggets» : ici, tout est garanti 0% viande. Eric de La Chesnais

À quelques mètres des éleveurs de cochons ou de vaches, la plus grande ferme de France accueille des producteurs de «saucisses» ou de «lardons» végétaux : une première.
Une première au Salon de l'agriculture qui n'est pas passée inaperçue aux yeux des visiteurs. Deux stands de substituts végétaux à la viande ont fait leur apparition dans les allées de la porte de Versailles, à quelques encablures du hall 1 et de ses plus beaux animaux de ferme. Et de son grand stand visible de loin, tenu par l'interprofession de la viande ! Aussi, cette présence peut paraître provocatrice. De quoi alimenter les curiosités et le débat dans les allées du plus grand comice agricole de France.


La première de ces jeunes sociétés, Heura, se situe dans le hall international. Tout en souhaitant la « bienvenue aux viandards », en arrière-fond, on y trouve sur le comptoir des nuggets, chipolatas et émincés végétaux à déguster. Ils sont fabriqués près de Valence, en Espagne. « Heura est une entreprise catalane spécialisée dans la viande végétale», explique Laurent Gubbels directeur de la communication de cette entreprise leader en Espagne de la « viande végétale », avec 16 millions d'euros de ventes en 2021 et 110 employés. Elle a levé 16 millions d'euros en juin. «On veut montrer les atouts de la viande végétale pour la planète et la santé humaine au public, qui est réceptif à ces arguments et au goût de nos produits. Nous avons eu des discussions avec les éleveurs et des bouchers interloqués, mais dans 99% cela s'est bien passé et dans 1% cela a râlé », poursuit celui qui se revendique comme vegan, mais ne veut pas imposer son choix de vie.

«Lardons végétaux» à base soja et d'huile

Un peu plus loin, à l'entrée du hall de l'artisanat : d'une superficie de 18 m2, pourvu d'une façade rose, ce lieu d'exposition met en avant la production de bacons ou de lardons végétaux obtenus à partir de la protéine de soja non OGM. Rentre aussi dans cette recette brevetée et composée en Vendée du sel, de l'huile de tournesol, de l'eau, des colorants et arômes naturels. Le tout fumé au bois de hêtre. « Il paraît que la texture rappelle celle de la viande de porc », indiquent les amateurs, nombreux à venir déguster ces deux aliments sous le regard satisfait du fondateur de l'entreprise, La Vie, Nicolas Schweitzer. « Nous avons des retours très positifs des personnes qui goûtent nos produits, assure-t-il. Ils sont d'abord curieux et après les avoir testés repartent convaincus. Nous avons tous les profils, des plus jeunes aux plus anciens. Nous avons eu de nombreuses discussions avec des éleveurs qui veulent comprendre notre démarche et sont satisfaits de découvrir une société française qui produit en France. »

Pierre Oteiza, éleveur de cochons a écrit:
C'est comme si nous allions faire déguster nos saucissons dans un salon vegan

Du côté des exposants éleveurs, occupés à bichonner leurs animaux pour le concours dans le hall 1, rares sont ceux qui ont eu le temps de voir ces deux stands. « J'apprends leur présence, cela me surprend de les savoir au cœur d'un salon qui met en avant la viande, commente Pierre Oteiza, éleveur de cochons de plein air de la race basque locale Kintoa, exposant depuis 45 ans. C'est comme si nous, nous allions faire déguster nos saucissons, pâtés et jambons dans un salon vegan. Cela n'aurait pas de sens ». « Qu'ils fabriquent des produits sans viande à base de végétaux, très bien, complète pour sa part, Joël Sillac, éleveur de race bovin Bazardaise, dans les Landes. Mais qu'ils appellent cela de la viande alors que cela n'en est pas cela pose un problème de dénomination et induit en erreur le consommateur. Par ailleurs, l'élevage est indispensable dans nos campagnes depuis la nuit des temps car il contribue à amender des terres qui ne peuvent être cultivées. C'est complémentaire du végétal et contribue au bon bilan carbone des exploitations. »

Un marché de niche

Au niveau alimentaire, les consommateurs considèreraient le soja contenu dans ces substituts comme des alternatives sérieuses. C'est du moins ce qui ressort d'une étude réalisée pour le compte de Sojaxa, l'association pour la promotion des aliments au soja. « 60% des interrogés se déclarent consommateurs d'alternatives végétales et 57% des consommateurs de produits au soja considèrent que les protéines végétales sont complémentaires des protéines animales », affirme-t-elle. Le docteur Corinne Chicheportiche-Ayache, médecin nutritionniste, estime pour sa part que « ces alternatives végétales sont importantes car nous consommons trop de protéines animales. Ces dernières restent associées au cholestérol et acide gras saturé. Une alimentation plus végétale va dans le bon sens et améliore le profil cardiovasculaire. Toutefois il ne faut pas tomber dans une attitude excessive d'un régime qui bannirait la viande et les protéines animales ».
À lire aussiLe lait végétal et la viande artificielle enflamment les investisseurs
Reste que les substituts végétaux à la viande appartiennent à un marché de niche. « Ils représentent 0,29% du marché mondial de la viande qui a encore un bel essor devant lui», insiste l'économiste Jean-Paul Simier, contributeur au recueil annuel Cyclope, le catalogue annuel, qui passe en revue toutes les matières premières de la planète. «Les populations asiatiques continuent à augmenter leur consommation, notamment en Chine avec en moyenne 45 kilos* par habitant et par an alors qu'avec 86 kilos par an et par habitant en France ce chiffre se stabilise », poursuit-il. La bataille du lardon ne fait que commencer.

Cette viande végétale industrielle est une horreur. C'est du pur marketing.

Azalee a écrit:
Cette viande végétale industrielle est une horreur. C'est du pur marketing.

Je m'en doute : ça doit être hyper trafiqué, et je ne vois pas l'intérêt de nommer "viande" ce qui n'en est pas !

cristaline a écrit:

Je m'en doute : ça doit être hyper trafiqué, et je ne vois pas l'intérêt de nommer "viande" ce qui n'en est pas !

C'est peut-être pour convertir ceux qui voudraient manger moins de viande. Mon fils en achète de temps en temps pour cette raison.
Même sur le plan nutritionnel, c'est une arnaque. Sur le plan écologique aussi.

.
Vous avez  déjà probablement vu des films de James Bond et autres thriller avec des courses de voitures en pleine ville..
Aujourd'hui, il y  avait une file de voitures qui roulaient lentement, quand la sirène d'une voiture de police a résonné, et j'ai vu la voiture monter sur le trottoir, passer devant moi, pour pouvoir se retrouver en début de la file et continuer sa poursuite ....
Même Jason Bourne aurait été impréssionné...       

             
 

Cristaline a écrit:Je m'en doute : ça doit être hyper trafiqué, et je ne vois pas l'intérêt de nommer "viande" ce qui n'en est pas !

Malgré la publicité faite ici ou là cela ne me tente pas du tout car je préfère un vrai bon steak 🥩
Ps : Contente de te lire à nouveau

Arlequine3 a écrit:
Malgré la publicité faite ici ou là cela ne me tente pas du tout car je préfère un vrai bon steak 🥩
Ps : Contente de te lire à nouveau

Moi aussi ! pas trop cuit, mais pas saignant : à point, quoi !

Il m'arrive d'acheter des galettes végétales, ça peut dépanner : goût insipide, souvent, et en plus, Biocoop pratique beaucoup trop l'emballage plastique, et ça, je ne supporte plus

Paulette a écrit:L’épave de l’« Endurance » d’Ernest Shackleton retrouvée au large de l’Antarctique

L’épave a été retrouvée dans une zone décrite par Shackleton lui-même comme « la pire portion de la pire mer du monde », en raison de ses conditions glaciales.




C’est une épave mythique. Celle de l’Endurance, le navire de l’explorateur britannique Ernest Shackleton, brisé par les glaces en 1915 au large de l’Antarctique. Elle a été retrouvée dans la mer de Weddell par 3 000 mètres de fond, ont annoncé ses découvreurs, mercredi 9 mars.
« Nous sommes très émus d’avoir localisé et capturé des images de l’Endurance », a affirmé Mensun Bound, directeur de l’expédition d’exploration organisée par le Falklands Maritime Heritage Trust. « C’est de loin la plus belle épave de bois que j’ai jamais vue. Elle se tient droite, très fière sur le fond marin, intacte, dans un fantastique état de préservation », a ajouté l’explorateur. « On peut même lire son nom, Endurance, inscrit en arc de cercle sur la poupe », s’est-il réjoui.

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Ce matin, la BBC en a fait plusieurs émissions "SPECIAL"...

beced a écrit:

Ce matin, la BBC en a fait plusieurs émissions "SPECIAL"...

Normal... pour le GRAND Shackleton

Après le naufrage de l'Endurance, Shackleton et quelques marins triés sur le volet se lancent à travers les mers les plus hostiles du globe (le détroit de Drake, où règnent les vents et les houles des quarantièmes rugissants) à bord d'une simple chaloupe de l'Endurance que le charpentier de l'expédition a tant bien que mal modifiée. Parti de l'Antarctique, il parvient à rejoindre la côte méridionale de la Géorgie du Sud puis à traverser à pied cette île montagneuse et glaciale, parcourue de blizzards épouvantables pour atteindre la station baleinière britannique de Grytviken où il trouvera enfin de l'aide pour lancer une expédition de secours qui ramènera sains et saufs tous les membres de son expédition.

Pour Marlène Schiappa on pourrait envisager pour la prochaine Marianne, une Marianne transgenre. Pourquoi pas ? Ça vous botte ?
Et ont va les revoir pour cinq ans !

Tu sais á l'époque tu mettais Alice Sapritch*en Marianne
et tu voyais pas la différence ...


- ok ! Je sors ...

* que j'aimais beaucoup !