Vieux singe a écrit:Bon ok, je vais essayé de dire encore plus dénudé:
Nous avons tous compris (mais forcément ici????) qu'il était "préférable" de favoriser une sélection par un autre "système qu'un pure rapport de force. Disons un autre système de valeurs que j'ai sommairement évoqué ou imaginé par quelques critères simplifiés mais évidemment pas exhaustifs, notamment dans leurs détails.
En effet, ce n'est pas ce que j'avais compris. Mais je ne suis pas non plus un aigle. Lorsque vous écriviez qu'il est préférable de favoriser un autre système que le rapport de force, n'avez-vous pas le sentiment d'ouvrir des portes ouvertes ? Qui voudrait initier le rapport de force comme concept de relations sociales ? Personne je suppose.
C'est cela seulement le sens de mon propos introductif.
Cela signifie aussi qu'une sélection est toujours inéluctable, malgré le discours idéologique comme celui du précédent ministre, la dame Belcacem, qui prétend s'en émanciper en se référant à l'égalité en tous genres.
Nous sommes d'accord sur ce point
C'est une des dérives que j'ai évoquées, mais dans cette tentative, j'y ai vu autant d'incompétence que de stratégie politico idéologique, notamment dans le jeu concurrentiel des communautés qui arrivent sur notre territoire
Prendre cette dérive comme une preuve pour ou contre une quelconque sélection (dont il faut quand même bien repérer les fondements, efficacité y compris,) c'est un peut limité.
Mais j'avoue ne pas très bien comprendre. Les immigrés, puisque c'est de cela dont il est question, lorsqu'ils sont légitimes à entrer sur notre territoire, et je dirai même les autres, bénéficient autant que faire ce peut des outils leur permettant de s'intégrer à la communauté nationale.
Par exemple, si demain, je vais travailler aux USA, je devrais me mettre en règle avec les lois sur l'immigration, apprendre la langue et si possible faire homologuer mes diplômes. Idem en Israël ou ailleurs. Mais il est évident que les nationaux ne dévaloriseront pas leurs diplômes pour favoriser je ne sais quel pékin.
Ecoutez, c'est quand même simple. Dans le sport, on sélectionne les meilleurs pour les envoyer aux jeux Olympiques et personne n'y trouve à redire ; dans les entreprises, on prend les meilleurs dans leur catégorie ; même les hommes et les femmes font une sélection avant de se marier.
Quant aux critères de cette sélection, ils varient bien sûr en fonction des besoins et des contextes.Mais si on pense qu'il est inutile de clarifier ces fondement, voire le système de valeurs qu'il sous tend, peut être que l'on admet sans le dire que les rapports de force primitifs représentent la seule façon d'organiser les sociétés humainesPersonne n'a écrit cela !Moi je ne le pense pas mais je vous en laisse la liberté de penser
Ou alors, qu'on m'explique comment vous identifiez le ou les systèmes de valeurs sous jacents, masqués souvent, à la sélection des individus ou des communautés, et les vrais objectifs poursuivis
Je vous prie de m'excuser, mais j'avoue ne pas comprendre. Les vrais objectifs poursuivis ? Mais les systèmes de valeur sont le plus souvent définis par les niveaux culturels qu'une société veut bien se dotés. Elle seule en a la maîtrise. Et certainement pas les postulants. Quand au concept d'égalité ou d'inégalité, c'est une toute autre question qui se définit, se juge, ou s'apprécie selon chacun, mais c'est bien loin des régles du jeu qu'on doit subodorer, définir, reconnaitre, par exemple pour une communauté par la démocratie, voire un système autoritaire ou théocratique
Mais ça me parait "mieux" d'en identifier le système de valeur référent
Et dire que tout ça n'est que d'inspiration religieuse, pire voire seulement catholique, là on rentre dans un domaine qui m'a échappé depuis longtemps
Je pressentais que le sujet allait générer des approches plus souvent affectives qu'analytiques, pour ne pas dire plus.
Sur ce plan, je ne suis pas déçu
D'abord on évoquait surtout l'idéologie qui prône l'égalitarisme comme mesure de justice.
Ensuite, la sélection est forcément égalitaire puisqu'elle s'adresse à tous sans exception.
Par ailleurs, les critères de cette sélection ne sont pas d'ordre philosophique, mais forcément arbitraires, voire subjectifs. Et c'est bien normal, puisque prononcés en fonction des besoins de la population et de la nation.
Je crains que vous ne confondiez histoire et religion. Lorsque je dis que le poids de l'Eglise n'a pas été neutre dans cette aspiration pratiquement de gauche et radicale chrétienne, c'est un simple constat. Qu'ensuite cette inspiration ait connu d'autres prétextes, c'est possible, même certain. Mais là on parlait de source et d'inspiration.
Par ailleurs, je ne vois pas sur quoi vous vous fondez pour y voir un quelconque affect...Surtout de ma part 
Maintenant que vous ne trouviez pas cela analytique, libre à vous. Pour ma part, je n'y vois que de l'analyse factuelle.
Mais comme dirait la môme Piaf en chanson, je ne regrette rien
Elle avait beaucoup de chance. Moi je regrette beaucoup de choses, et ce n'est pas près de s'arranger de ce côté-là.
J'admire ces chansons qui énoncent des paroles qui font plaisir à entendre, mais qui souvent ne s'embarrassent pas avec la sincérité. D'ailleurs, elles ne sont pas là non plus pour cela.Je ferai aussi mon tour de piste ailleurs , avant de sombrer dans le désespoir
Bonne nuit:pluie-3:
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Azalée,
) elle a toujours été une nulle de chez nulle !mais avec l'étiquette de ministre elle se prends pour quelqu'un d'important ,ça lui gonfle le melon et elle raconte un tas de conneries ,tout en se prenant pour une idéologue
c'était pathétique 
Pour en revenir à la télévision, regarderai ce soir la suite des "Bracelets Rouges", avec toujours autant d'émotion !!!!!!
" Les petits meurtres " le retour ! 
