jacot3 a écrit: Galadriel a écrit: E.E.Schmitt
Je crois que je les ai presque tous lus, mon préf reste Mr Ibrahim ...
le film est très beau, je ne voyais personne d'autre qu'Omar Sharif dans le rôle !
Ce livre m'a fait penser à La vie devant soi de Romain Gary
et le film avec Signoret, Mme Rosa
Oscar et la Dame rose, Odette Toulemonde et le film avec C.Frot,
les Perroquets de la Place d'Arezzo est un de mes derniers lus.
Celui que j'ai le moins aimé est les Dix enfants que Mme Ming n'a jamais eus.
J'écoute Robert Menard sur LCI qui parle de son ex ami Zemmour et je n'ai pas l'impression qu'ils partiront en vacances ensemble !
Pour faire court il dit que les propositions de Zemmour, que ce soit sur l'immigration ou sur des promesses financières ne sont que des conneries !
Je vois que vous ne connaissez pas très bien les politiques. Les ennemis d'hier deviendront les meilleurs amis du monde demain.
Que disaient Bruno Le Maire et Darmanin de Macron avant que ce dernier ne leur offre les maroquins dont ils rêvaient ?
Bruno Le Maire : Emmanuel Macron est changeant, sans "programme" et "sans conviction". C'est en tout cas ce qu'il déclare le 19 février, alors qu'il défend toujours la candidature de François Fillon.Après les propos du leader d'En Marche ! qualifiant la colonisation de "crime contre l'humanité", l'ancien candidat à la primaire de la droite demande à Emmanuel Macron de "s'excuser devant les Français", considérant son geste comme une "faute politique". [size=36]"Amateurisme", "banquier" : l'avis de Gérald Darmanin[/size]
Directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy durant la primaire de la droite, Gérald Darmanin promet que "la loi Taubira sera abrogée" par le futur gouvernement (de droite). Une position en contradiction totale avec celle du nouveau président, qui revendique l'héritage du quinquennat Hollande. Sur le site d'En Marche !, le "mariage pour tous" est qualifié d'"acquis fondamental". Très attendue, la composition du premier gouvernement de l'ère Macron a finalement été dévoilée mercredi 17 mai, avec vingt-quatre heures de retard. Parmi les 18 ministres de l'équipe d'Edouard Philippe, deux sont issus de sa famille politique, Les Républicains : le député de l'Eure et candidat malheureux à la primaire de la droite Bruno Le Maire, et le député-maire de Tourcoing (Nord) Gérald Darmanin.
Ces deux-là n'étaient pourtant pas franchement fans d'Emmanuel Macron voilà encore quelques semaines. "L'Obs" a passé en revue leurs tweets pour voir ce qu'ils disaient du nouveau président de la République.
Hulot, Le Maire, Collomb... Découvrez la composition du gouvernement Philippe
[size=36]# "Pas novateur", "socialiste", "sans conviction" : l'avis de Bruno Le Maire[/size]
Neuvième dans l'ordre protocolaire, le nouveau ministre de l'Economie Bruno Le Maire n'a pas toujours vu d'un bon œil celui qui a, lui aussi, un temps occupé Bercy. Le 17 novembre 2016, au lendemain de la déclaration de candidature d'Emmanuel Macron, le député de l'Eure affirme ainsi ne rien trouver de "très surprenant ou novateur" dans les idées de ce dernier.
Mi-janvier, quelques jours avant les premières révélations du "Canard Enchaîné" sur l'affaire Fillon, Bruno Le Maire tacle son opposant, qualifié de "socialiste". Tant pis pour le candidat d'En Marche ! qui promettra deux semaines plus tard de gouverner avec "des responsables politiques de gauche, de droite, [et] venant de la société civile".
Pire, pour Bruno Le Maire, Emmanuel Macron est changeant, sans "programme" et "sans conviction". C'est en tout cas ce qu'il déclare le 19 février, alors qu'il défend toujours la candidature de François Fillon.
Après les propos du leader d'En Marche ! qualifiant la colonisation de "crime contre l'humanité", l'ancien candidat à la primaire de la droite demande à Emmanuel Macron de "s'excuser devant les Français", considérant son geste comme une "faute politique".
Mais tout change à partir du 1
er mars. Ce jour-là, "BLM" démissionne de ses fonctions de conseiller aux affaires européennes et internationales de François Fillon. En cause : le candidat de la droite et du centre refuse de se retirer de la course à l'Elysée, alors qu'il est mis en examen. Celui qui souhaite le retour d'Alain Juppé sera ensuite beaucoup moins agressif envers Emmanuel Macron.
Durant l'entre-deux-tours, Bruno Le Maire appelle clairement à voter pour le candidat arrivé en tête du premier tour. Même s'il maintient avoir avec ce dernier des "divergences".
L'élu de droite affirme aussi sa volonté de mener la bataille des législatives aux côtés des Républicains (dont il est désormais exclu), et dit souhaiter une cohabitation avec le, ou la, futur(e) président(e) de la République.
Le député, qui pourrait être mis en difficulté dans sa circonscription électorale, est l'un des premiers à droite à féliciter le nouveau président au soir du second tour. Et à souligner sa Macron-compatibilité. Avec d'autres élus LR, il salue la nomination à Matignon d’Edouard Philippe et demande à la droite de répondre à "la main tendue par le président de la République".
[size=36]# "Amateurisme", "banquier" : l'avis de Gérald Darmanin[/size]
A seulement 34 ans, le nouveau ministre de l’Action et des comptes publics, maire de Tourcoing depuis 2014, est le benjamin du gouvernement. Comme Bruno Le Maire, celui qui était considéré comme l'une des étoiles montantes de la droite (également exclu de LR après son entrée au gouvernement) n'a pas toujours été tendre avec Emmanuel Macron.
Qui est Gérald Darmanin, le protégé de Nicolas Sarkozy ?Lors de la nomination de celui-ci au ministère de l'Economie, en août 2014, il pointait du doigt son passé de banquier, en contradiction selon lui avec la fameuse déclaration du Bourget de François Hollande : "mon véritable adversaire, [...] c'est la finance".
Directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy durant la primaire de la droite, Gérald Darmanin promet que "la loi Taubira sera abrogée" par le futur gouvernement (de droite). Une position en contradiction totale avec celle du nouveau président, qui revendique l'héritage du quinquennat Hollande. Sur le site d'En Marche !, le "mariage pour tous" est qualifié d'"acquis fondamental".
Au moment de l'adoption de la loi Macron, Gérald Darmanin dénonce une loi "imposée" par l'utilisation à plusieurs reprises du 49-3, un "coup bas permanent".
Si vous en voulez d'autres, n'hésitez pas. Vous n'avez qu'à demander.
Ménard, est bien gentil, mais il a bien changé dix fois d'avis. Pourtant, j'aime bien Ménard. Il faudrait qu'il soit un peu plus constant dans ses choix. Sur l'immigration, il me semble bien qu'il n'y a pas un fossé entre Marine le Pen et Zemmour. Quant aux retraites, Ménard, disait, il a encore deux semaines que c'était une connerie de la mettre à 60 ans. Au bout d'un moment, il faut savoir se poser.